Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe lesbiennes Histoires porno

Carine et son peintre 1/3

Carine et son peintre 1/3



Je m’appelle Carine. J’ai quarante ans, je suis brune aux longs cheveux. J’ai conservé un corps de jeune femme grâce aux nombreuses activités physiques que je pratique, footing, gym et yoga. Je reste particulièrement fière de ma poitrine opulente qui a fait tourner bien des têtes durant ma jeunesse.
Avec mon mari, nous sommes parvenues à nous acheter la maison de nos rêves dans la campagne au-dessus de Marseille. C’est un vieux corps de ferme que nous avons dû faire rénover. Mon mari s’est chargé de la gestion des plus gros travaux, il m’a échu celui de m’occuper de toutes les finitions. J’ai donc fait venir de nombreux artisans et étudier leur devis. Malgré tout, mon mari souhaite surveiller mes décisions.
Une semaine, j’essaie de lui faire parvenir le devis du peintre que je souhaite signer, mais je ne parviens pas à le joindre. Il est à l’étranger et il ne reçoit pas mes envois. Je décide de me passer de son avis et signe à sa place.
Lorsqu’il revient enfin le week-end et que je lui en parle, je vois qu’il se crispe et lorsque je lui présente le devis il explose littéralement. Jamais je ne l’ai vu autant en colère. J’essaie de lui faire comprendre que c’était le meilleur et qu’on peut au moins se permettre ça, mais il ne veut rien entendre. Il se montre particulièrement grossier et me compare à une pute de luxe ce qui me révulse. Le ton monte rapidement et nous passons le week-end fâchés.
Le lundi alors que je l’accompagne au train et que j’espère que tout va se détendre, au moment de nous séparer, ce dernier douche brutalement mes espoirs. Il me somme de régler ça. Je dois me débrouiller comme je veux, mais il refuse de payer pour ça. Je lui rappelle devant tout le monde que je ne suis pas sa chose et que c’est lui qui m’a poussé à arrêter de travailler, alors que j’aurais pu avoir une meilleure carrière que lui. C’est sûrement ce qui l’avait inquiété, je me le suis toujours dit. Il aurait eu du mal à accepter que je gagne plus que lui. Comme j’étais folle amoureuse de lui à l’époque et que même avec un salaire nous n’aurions manqué de rien, j’avais accepté. Aujourd’hui, alors que je vois le train partir, je le regrette.

Lorsque je retourne chez moi, je trouve le peintre, Léo, qui attend que je lui ouvre pour commencer son travail.
Je passe ma journée à broyer du noir, à me demander si je dois faire comme mon mari me le demande et si je le fais comment je peux revenir sur le devis que j’ai signé.
La nuit ne m’apporte pas plus de réconfort, je suis frustré et je dois le reconnaître, en manque de sexe. Alors que je me caresse le clitoris pour me calmer, je ne pense pas à mon mari, mais à mon peintre. C’est un homme brun, au physique impressionnant, très large d’épaules, à la peau bronzée par le soleil et à la voix grave. Un morceau de choix, vulgairement parlant. Un homme qui saurait combler ma frustration, j’en suis certaine. Je sais que je ne lui déplais pas étant donné les regards qu’il a posés sur moi toute la journée.
Alors qu’à force de caresses je parviens à me donner un petit orgasme, je décide de répondre aux attentes de mon mari en me vengeant de lui. Il m’a traité de pute, je vais lui faire de magnifiques cornes en me comportant comme telle. J’obtiendrais une réduction du devis comme il le souhaite en payant avec mon corps.

Le lendemain pourtant, il me faut un moment pour reprendre le fil de ma pensée et oser agir et me venger. Je vais rejoindre Léo alors qu’il travaille, ironie de l’histoire, dans ce qui devrait devenir le bureau de mon mari.

— Bonjour, je ne vous dérange pas.
— Que puis-je pour vous, madame ?
— Mon mari a lu votre devis et il n’a pas été content.
— Désolé pour vous, mais vous avez signé.
— Je sais. Néanmoins, ne pourrions-nous pas trouver un accord pour faire baisser la note ?

Je prends une pose lascive pour lui faire comprendre le sens de mon offre.

— C’est pas vrai, je suis encore tombé chez une salope mal baisée !

Cette façon de parler de moi me choque, mais je me retiens de le montrer. Je veux me venger de mon mari, je peux supporter quelques commentaires déplacés.

— Vous savez, j’ai une femme, j’ai ce qu’il faut chez moi.
— Mais un homme ne fait pas toujours tout ce qu’il veut avec sa femme. Avec moi, vous pourrez tout faire.

À la perspective de pouvoir me faire tout ce qu’il me veut, je vois une lueur a****le apparaître dans ses yeux. Il m’observe d’une façon complètement différente. Je commence à sérieusement regretter ma dernière proposition.

— Et quelle réduction espérez-vous atteindre avec une telle offre ?
— Cinquante pour cent.

Il pousse un long sifflement.

— Vous doutez vraiment de rien. Et comment je nourris ma famille ?

Je lui lance mon regard le plus aguicheur tout en déboutonnant le haut de mon chemisier que j’écarte délicatement pour faire apparaître la naissance de mon imposante poitrine qui l’attire, je le sais. Il n’arrête pas de les reluquer depuis qu’il est venu faire son devis. D’ailleurs, elle ne tarde pas à faire effet, je le vois se lécher les lèvres avec envie.

— Allez, déshabille-toi.
— Vous êtes d’accord ?
— T’emballe pas, ma salope. Faut que j’examine la marchandise avant.

« La marchandise », ce salaud me prend pour un vulgaire bout de viande.

— À poil, j’ai pas toute la journée.

Timidement, sous son regard intense, je défais les boutons de mon chemisier que je laisse tomber au sol. J’essaie de jauger de sa réaction, mais ma lenteur l’énerve et il me rappelle à l’ordre. Ma jupe rejoint vite mon chemisier par terre.

— J’ai dit à poil ! Vire-moi le reste !

Choquée par son manque de considération, mais étant allée trop loin pour m’arrêter, je lui obéis. Je dégrafe mon soutien-gorge et fais glisser ma culotte le long de mes jambes. Devant le regard vicieux qu’il me lance, j’ai un moment de pudeur et je masque mon pubis et ma poitrine comme je peux.

— Tu me proposes de te baiser et tu ne veux pas me montrer tes seins et ta chatte ? Place les mains le long de ton corps, tu m’as déjà fait perdre assez de temps.

Une fois de plus, je lui obéis. Après m’avoir longuement observé des pieds à la tête, il se met à me tourner autour comme un prédateur et sa proie. Il tourne lentement et me jauge. Sa présence m’impressionne et je n’ose pas lui parler.
Un frisson me traverse quand une de ses mains rêches se pose sous mon sein droit. Il le soupèse comme un fruit bien mûr avant de l’abandonner pour s’intéresser au sein gauche. Il est désormais face à moi, les yeux fixés sur ma poitrine qu’il malaxe et pétrie selon son envie. Il frotte le bout de mes tétons ce qui a pour effet de les faire durcir malgré moi. Il passe une fois de plus ses deux mains sous ma poitrine qu’il soulève au maximum avant de les laisser retomber et de fixer leur balancement et de sourire.
Sans un mot, il reprend son examen. Il se retrouve derrière moi et fait subir à mes fesses un traitement semblable.

— Cambre-toi.

Ses mains toujours sur mes fesses qu’il tient écartées, je me penche en avant. Je sens mes joues rougir en pesant à la vision indécente que je lui offre. Il me fait garder la position de longues secondes avant de me relâcher et de m’ordonner de me redresser.
Le revoilà devant moi à me dévisager. Je le vois porter son index à sa bouche. Avant que je n’aie le temps de réagir, il me le plonge brusquement entre mes cuisses et force l’entrée de mon vagin. J’essaie de me soustraire à cette pénétration, mais il m’empêche de fuir en passant sa main libre derrière mon cou.

— Qu’est-ce que vous faites ?
— Ça ne se voit pas ? Je teste la qualité de la marchandise. Et à ce que je sens, tu es vraiment une sacrée salope. Ta chatte est toute chaude et humide de ce que je te fais.

Je veux protester. Même s’il dit vrai et que la situation m’excite plus que je ne l’aurais imaginé, je n’aime pas ses manières. Pourtant, seul un léger soupir sort de mes lèvres. Ce salaud vient de rajouter un deuxième doigt dans ma chatte et commence à faire des va-et-vient dedans. Sa façon de me fouiller me perturbe et me fait du bien, mais je fais tout pour ne pas lui montrer.

— Alors, vous êtes satisfait ? Vous me faites ma réduction ?
— OK, tu auras tes cinquante pour cent si tu te donnes à moi quand je veux, comme je veux, où je veux, jusqu’à la fin de semaine.

Je le regarde avec de grands yeux, je pensais m’offrir à lui une fois pour obtenir ma réduction et me venger, pas devenir sa chose pour toute la semaine.

— Non, vous pourrez me baiser qu’une seule fois.
— Tu te prends pour une pute de luxe ? À ce prix-là, tu es à moi toute la semaine ou rien du tout.

Je devrais renoncer, subir la colère stupide de mon mari encore quelque temps, mais le regard intense qu’il me lance et ses doigts qui continuent de fouiller finissent par me faire perdre la raison et mes dernières barrières volent en éclats.

— D’accord.
— Parfait. Alors, va chercher des capotes. Je vais profiter de ton corps.
— Je n’en ai pas.
— Quoi ? Tu projettes de te faire sauter et tu ne penses pas à ça ? Hors de question que je te fourre sans. Il y a que ma femme qui a droit à ça. Tu vas aller en acheter de quoi tenir la semaine, mais avant tu vas me sucer et goûter à mon sperme.

Alors qu’il défait sa salopette, je n’ose pas lui avouer que je n’ai jamais laissé aucun homme jouir dans ma bouche. Cette pensée s’envole au moment où sa tenue de travail lui tombe sur les chevilles et que je vois pendre entre ses jambes un membre aux proportions impressionnantes. Il ne bande pas encore et pourtant il me paraît avoir déjà un bien plus grand sexe que mon mari.
Mon trouble ne lui échappe pas et le fait sourire.

— Tes pas habitués à voir un pareil calibre. Il est trop tard pour avoir peur et reculer. Tu vas la sentir passer et tu vas aimer ça.

Devant mon absence de réactions, il se saisit de ma main qu’il porte à son pénis. Mes doigts en font à peine le tour, je n’ose imaginer les proportions qu’il va prendre une fois en érection. Je la sens grossir dans ma main tandis qu’il se masturbe avec.
D’une main sur l’épaule, il me force à m’agenouiller devant lui.

— Vas-y, branle-moi et profite du spectacle.

Il lâche enfin sa prise sur ma main et je continue tout seul de le masturber. Devant son érection impressionnante, je pose mon autre main autour de son membre. Ce type est décidément sacrément membré, car même là je ne le tiens pas sur toute la longueur. Cette vision a le don de m’exciter et de m’inquiéter. Comment vais-je pouvoir faire une fellation à un tel colosse ?

— Ça suffit. Tu m’as bien fait bander, maintenant il est temps que tu me suces.

Je continue de le masturber d’une main avant de rapprocher mes lèvres de son sexe. Je ne sais pas comment m’y prendre. Je décide de poser des baisers sur toute la longueur de son pénis. Le contact de mes lèvres sur ce membre dur et chaud a le don de m’électriser. Léo semble apprécier ce que je lui fais, car sa respiration s’accélère légèrement. Néanmoins, il se lasse assez vite de cette caresse.

— Suce-moi maintenant.

Je ne me sens toujours pas prête pour faire entrer un tel monstre dans ma bouche. Je me mets donc à le lécher sur toute la longueur de son membre. Je suis en train de faire tourner ma langue sur son gland quand il plonge ses mains dans mes cheveux.

— Je t’ai dit de me sucer.

Je sens ses doigts se refermer autour de mon crâne et il force soudain l’entrée de ma bouche avec son pénis. En quelques secondes, je me retrouve avec son gland qui chatouille ma luette. Jamais aucun homme ne s’est ainsi enfoncé en moi, pas même mon mari. Un frisson mêlé de crainte et d’excitation me prend quand je constate soudain qu’il est loin de me l’avoir enfoncé en entier. Il en reste encore plusieurs centimètres dehors. Je redoute qu’il poursuive sa progression, mais il se satisfait visiblement de cette profondeur de pénétration et commence à faire des allers et retours lents dans ma bouche.
Après un moment, il finit par relâcher sa pression sur mon crâne.

— À toi de jouer maintenant.

Je reproduis le mouvement qu’il m’a montré une dizaine de fois avant de recracher son pénis. Je joue avec son gland que j’embrasse et lèche consciencieusement avant de le ravaler. Je varie ainsi le rythme et la profondeur de ma fellation. Il me fixe tout en me caressant les cheveux.

— Tu manques sérieusement d’expérience. Tant pis, j’ai une semaine pour te former. Voyons voir jusqu’où tu peux m’avaler ?

Il repose ses mains dans mes cheveux et s’enfonce dans ma bouche jusqu’à forcer ma gorge. Je suis pris de haut-le-cœur et je frappe nerveusement sur ses cuisses. Il se dégage et me laisse reprendre mon souffle avant de retenter sa chance. Pendant plusieurs minutes, il essaie de me la mettre en entier, mais j’en suis incapable. Il finit par me relâcher et je recrache sa bite pour respirer à grandes bouffées et reprendre mon souffle.

— D’ici à la fin de la semaine, tu la prendras en entier et je pourrais jouir directement dans ton estomac. Aujourd’hui, je vais me contenter d’inonder ta bouche de foutre.

Il présente sa bite devant mes lèvres et reprend sa prise dans mes cheveux. Ce n’est plus une fellation que je lui fais, mais lui qui me baisse littéralement la bouche. Il y va fort et vite, la pièce est emplie d’un bruit de succion indécent. Cette situation, cette façon qu’il a de se servir de moi comme une vulgaire vide couille devrait me paraître dégradante et me révulser, pourtant cela a l’effet inverse. Je sens mon plaisir monter. Un plaisir nouveau et étrange, celui d’être soumise aux pulsions sexuelles d’un homme et celui-ci n’est pas mon mari.
Les gestes de Léo deviennent soudain saccadés, il va bientôt jouir.

— Putain, ça vient salope !

Je n’ai plus que son gland dans la bouche quand le premier jet de sperme explose littéralement dans ma bouche. Je sens les jets suivants venir s’écraser sur mon palet, sur ma langue. J’ai l’impression que je vais étouffer et qu’il ne va jamais s’arrêter. J’ai un mouvement de haut-le-cœur, mais il me tient fermement et m’empêche de me soustraire.
Enfin, il pousse un dernier râle. La source de foutre est tarie.

— Ouvre ta bouche et montre-moi ce que je t’ai donné.

Honteusement du spectacle que je vais afficher, j’ouvre timidement la bouche.

— La vache, j’avais vraiment les couilles pleines, je t’en ai mis la dose. Dis-moi, ma salope, est-ce que je me trompe où aucun mec ne t’a jamais joui dans la bouche ?

Je hoche lentement la tête de manière affirmative.

— Hum, alors ce sera le premier jus de couille que tu boiras ?

Je hoche de nouveau la tête.

— Alors, bois et savoure.

Il me fixe de son air a****l dans l’attente que je lui obéisse. Je devrais tout recracher, pourtant mes lèvres se referment. Il me faut encore quelques secondes avant de trouver le courage d’avaler toute cette crème épaisse dans ma bouche. J’ai le sentiment que le bruit de ma déglutition résonne dans toute la pièce. Le goût est étrange, âpre, mais pas si immonde que je l’aurais cru.

— Alors, tu as aimé ?

Je reste silencieuse, je ne sais pas quoi lui répondre ce qui le fait sourire. Il présente sa queue à moitié bandée devant moi et la fourre dans ma bouche.

— Nettoie-la, récupère tout le sperme qui est resté dessus.

Il pousse des grognements de satisfaction alors que j’aspire consciencieusement tout ce qu’il reste sur son sexe. Une fois propre, il remonte sa salopette.

— Maintenant, dépêche-toi d’aller acheter des capotes, j’ai hâte de te baiser.

Ce pervers me tend mon chemisier et ma jupe et piétine mes sous-vêtements pour me faire comprendre que je ne dois pas en remettre et sortir sans.

Cette sensation de ne pas porter de sous-vêtements me trouble. J’ai l’impression que toutes les personnes qui me regardent conduire ou les rares que je croise lorsque je fais mes courses le savent.
Pour dissimuler mon achat de préservatifs, je me rends là ou personne ne pourra me reconnaître. Je me sens rougir comme une adolescente au moment de passer en caisse. Ce sentiment de gêne me revient quand je reviens chez moi et qu’il se moque du temps qu’il m’a fallu.

— Et alors, tu es allée jusqu’où pour cacher que tu étais une salope qui va tromper son mari ?

Il abandonne ses pinceaux pour venir me rejoindre et me plaquer contre la table où il a déposé ses pots de peinture sur lesquels j’ai mis les boîtes de préservatifs. Il passe ses mains autour de moi et tire sur mon chemisier. Les boutons cèdent dans un craquement et ma poitrine jaillit. Il palpe généreusement mon sein gauche tandis qu’il ouvre la première boîte de capote dont il renverse le contenu en levant le paquet devant mes yeux. Il répète le manège pour les deux autres paquets.

— Au moins, maintenant, nous sommes sûrs de ne manquer de rien.

Il me libère enfin et abat une main sur mes fesses.

— Allez, fous-toi de nouveau à poil et va m’attendre à quatre pattes au milieu de la pièce. J’ai pas encore fini mon travail.

Alors qu’il retourne à ses pinceaux, je retire mon chemisier abîmé et défais ma jupe. Une fois de plus, je suis troublée à l’idée qu’en ôtant ces deux bouts de tissus je suis totalement nu et offerte. Je ne peux pas décrire la sensation que j’ai au moment de me mettre dans la position qu’il m’a demandé.

— Caresse-toi. Montre-moi à quel point tu es chaude, salope. Prouve-moi que tu as envie que je te prenne.

Le visage appuyé sur le sol, honteuse et pourtant encore un peu plus excitée par ses propos, je glisse une main jusqu’à mon pubis. Je commence à faire glisser mes doigts entre mes grandes lèvres, à faire des allers et retours, je les écarte délicatement. Je joue rapidement avec mon clito qui est dressé.

Après de longues minutes à me donner du plaisir en solitaire, le bruit des pinceaux s’arrête enfin. Un frisson me parcourt quand j’entends sa salopette tomber au sol. Je regarde par dessus mon épaule. Il est là, derrière moi, qui me domine de toute sa taille. Il affiche toujours ce même sourire a****l alors qu’il se masturbe.

— Tu sais que t’es vraiment une belle chienne dans cette position.

J’entends le bruit de l’emballage du préservatif qu’il déchire. Il le lance et celui-ci tombe sous mon nez.

— Reste muette si tu veux, dans quelques secondes, je vais te faire chanter une autre chanson.

Il déroule le préservatif sur son sexe bandé et il s’accroupit vers moi. Je sens son gland se poser à l’entrée de ma chatte.

— Tu ne veux pas me lécher avant ?
— Pas aujourd’hui.

Il pose ses deux mains sur mes hanches et s’enfonce en moi. Je pousse un hoquet de surprise simplement en sentant le gland me pénétrer. Il poursuit sa pénétration, distendant ma chatte comme jamais. Je ne cesse de pousser de longs râles, tant ce qu’il me fait ressentir est inimaginable. Je pousse un petit cri aigu au moment où je sens son pubis appuyer contre mes fesses.

— Jusqu’aux couilles dans ta chatte de salope.

Cette simple pénétration m’a rendu haletant. Ma chatte est pleine comme elle ne l’a jamais été et malgré le tiraillement j’adore ça.

— Attends, tu vas voir, je vais modeler l’intérieur de ta chatte à la forme de ma bite ! Quand j’en aurai fini avec toi, tu ne ressentiras plus rien avec la petite bite de ton mari.

Il ressort extrêmement lentement sa queue de ma chatte pour ne laisser plus que la pointe de son gland avant de replonger pour une fois arriver au bout donner un coup sec et faire claquer nos corps. Il reproduit cette pénétration à de nombreuses reprises avant de progressivement augmenter le rythme. Rapidement, ce n’est plus une bite que j’ai en moi, mais un pieu qui ramone intensément l’intérieur de mon vagin.

Dans un coup de reins titanesque qui me fait hurler, il me propulse en avant et me cloue au sol.

— Je m’en suis fait des salopes, mais des comme toi, rarement. J’ai hâte d’être à demain lorsque je te sodomiserais.
— Non, pas ça ! Pas par là, je suis…
— Vierge ? Je m’en doutais, c’est bien pour ça que j’ai hâte de te faire sauter ce pucelage. Mais pour le moment, je vais te faire la chatte comme jamais !

Il sort de moi, laissant une sensation extraordinaire de vide que je n’avais encore jamais ressenti, puis me retourne sur le dos. Il écarte mes cuisses avant de replonger en moi jusqu’aux couilles. Il me prend alors comme un bûcheron en me donnant de grands coups de reins qui me font hurler. Mes seins se balancent au rythme furieux de ses coups de bite. Je devrais être écœurée par cette façon qu’il a de me prendre, pourtant je sens une boule qui monte au creux de mes reins. Je sens un plaisir nouveau et énorme monter avant d’exploser. Je crie, je gémis comme jamais. Je suis emportée par un orgasme terrible. Jamais je n’aurais cru qu’on pouvait jouir ainsi. Ce salaud entretient mon plaisir en continuant de me prendre aussi rudement pendant que je jouis. Il ne s’arrête que lorsque ma jouissance se calme enfin.

— Eh bien, tu aimes ça te faire défoncer. Tu en veux encore ?
— …

Je suis incapable de réagir, je suis encore au septième ciel. Je ne reviens sur terre qu’au moment où tout mon corps est brusquement propulsé vers l’avant par une série de coups de bites titanesque.

— Tu… vas… me… répondre… salope !
— Oui ! Encore, encore ! Baise-moi !

Une main dans les cheveux, il me force à me relever. Il m’emmène jusqu’à son escabeau sur lequel il m’appuie. Ce salaud veut me rappeler pourquoi il peut me prendre ainsi.

— Tu es à moi. Je vais user et abuser de toi à outrance.
— Oui, je suis ta salope ! Prends-moi, défonce-moi comme jamais !

D’un violent coup de reins, il se plante en moi propulsant en avant l’escabeau. Une fois de plus, il me pilonne sans ménagement. La pièce est emplie de mes cris de jouissances et du grincement de l’escabeau que ses assauts déplacent petit à petit. Il ne lui faut que quelques minutes pour me donner un nouvel orgasme tout aussi dévastateur que le précédent qui me laisse pantelante.
Lorsqu’il sort enfin de moi, je glisse le long de l’escabeau et tombe à genoux devant lui, sa queue toujours dressée à quelques centimètres de mon visage. D’un geste rageur, il arrache le préservatif et plonge au fond de ma bouche. Comme tout à l’heure, il la baise comme si c’était mon vagin. Heureusement pour moi, il ne lui faut pas plus d’une minute avant de se répandre copieusement en moi en hurlant.

— Avale, salope ! Avale !

Pour la seconde fois de toute ma vie et en l’espace de quelques heures, je bois de nouveau du sperme. Je déglutis comme je peux les giclées de sperme tout aussi copieuses et nombreuses que tout à l’heure. Je dois être dans un état second, car je trouve le goût presque agréable.
Les couilles vides, il me laisse groggy à même le sol et disparaît. Je reste allongée à reprendre mon souffle et mes esprits pendant que j’entends l’eau de la douche couler. Il revient une dizaine de minutes plus tard et me retrouve toujours nue dans ma cuisine. Il me lance un regard qui me montre à quel point il est fier de lui, fier de ce qu’il a fait de moi.

— J’ai pris une douche, je ne voulais pas sentir la chienne en chaleur en revenant chez moi. Demain, quand j’arriverai, on la prendra ensemble et j’ouvrirai ton cul avec ma bite.

Pour ne pas tomber dans l’oubli, histoire publiée par tirkhard

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire