Il m’est souvent arrivé de regarder des films où un plombier sexy se fait baiser par un client et je dois avouer que ce genre de scènes me laissait froid, jusqu’à cette semaine.
Mercredi passé, j’arrive chez moi, après le travail, pour m’apercevoir que le tuyau sous l’évier de ma chambre de bain était bouché. N’étant pas très manuel, je pense tout de suite à un ami dont je savais qu’il avait déjà flirté avec un plombier. Je me décidai donc à lui téléphoner pour lui demander s’il avait toujours contact avec ce mec et heureusement, il m’avoua qu’il le voyait quelques fois pour le sexe. Je lui expliquai mon problème et gentiment, il me proposa de le contacter. Quelques minutes plus tard, il me rappela pour me dire que le fameux plombier pouvait, dès maintenant, se rendre chez moi. Par chance, il demeurait qu’à quelques minutes de chez moi.
Soit une dizaine de minutes plus tard, il sonnait à la porte, son coffre d’outil à la main. En le voyant, je me rappelai l’avoir déjà entrevu au bar. Je l’invitai donc à entrer pour le conduire à la salle de bain. C’est là que commence les scènes de film porno gay.
Il se positionna sur le dos, la tête sous l’évier. Aussitôt, je remarquai qu’il ne portait rien sous son jeans. La forme de sa queue se laissait parfaitement entrevoir. Je dois avouer que ce n’était pas tout à fait mon type d’homme mais de savoir qu’il était nu sous son jeans commença à m’exciter. Comme toujours quand je suis à la maison, je ne portais qu’un boxer ample et un t-shirt et je ne désirais nullement que cette excitation devienne évidente. Ce qui m’importait au moment présent, c’était que ce plombier débouche ce tuyau mais pourtant, je ne parvenais plus à détacher mon regard de son jeans. Je n’avais qu’une envie et c’était d’y poser ma main. Je savais bien que s’il levait la tête, il verrait aussitôt mon érection, ma queue sortant de mon boxer. Je pensai aller mettre un jeans mais il était trop tard; il se serait sans doute demander le pourquoi du pourquoi. Je tentai alors de cacher ma queue en la replaçant sous mon boxer mais en vain. Et là, il fit ce qu’il n’aurait jamais dû faire; il posa sa main sur son jeans pour, lui aussi, replacer sa queue. Je la voyais grossir et le terme grossir est presqu’un euphémisme. Ce mec n’avait pas une queue sous son jeans mais une matraque. Maintenant, il était parfaitement bandé et poursuivait son travail comme rien, les bras au-dessus de la tête, sous l’évier. Je savais bien qu’il était gay mais comment m’assurer que je pouvais tenter quelque chose sans me faire rabrouer.
Je m’approchai donc et m’agenouillai près de lui, feignant de m’intéresser au fameux tuyau bouché.
– Et puis, vas-tu en venir à bout?
– Aucun problème avec ce tuyau, me répondit-il avec sa grosse voix. Si tu remarques bien, il n’est pas là le problème.
– Comment ça? Ce n’est pas le tuyau qui est bloqué?
– Pour être bloqué, il l’est bel et bien par contre, si tu regardes bien, c’est mon tuyau qui a besoin d’être débloqué, dit-il en tripotant sa queue par dessus son jeans. Tu la regardes depuis tout à l’heure sans rien faire, poursuivit-il en déboutonnant son jeans pour la sortir, me montrant un mastodonte circoncit au gland énorme.
Sans me faire prier, j’ouvris la bouche et me mis à la sucer avidement. Je n’avais encore jamais eu une si grosse bite dans la bouche et dieu sait que j’en ai eu des queues entre mes lèvres. Elle devait mesurer près de 27 centimètres et elle était assez épaisse pour me faire mal aux mâchoires. Et pendant que je le suçais, il poursuivait son travail.
– Crois-tu que ton cul serait capable de la prendre au complet? demanda-t-il tout bonnement.
Il ne savait pas à qui il avait affaire ce plombier. Aussitôt, je me débarrassai de mon boxer et pris place sur sa queue mouillée de ma salive. Je dois avouer que je pris mon temps, plus que d’habitude, avant de la faire entrer au complet mais une fois au fond de moi, ouf…. Je la sentais bien, très bien même et j’accélérai mes mouvements. Il y avait un bout que mon cul ne s’était pas fait plaisir à ce point. Je montais et descendais, montais et descendais, sa queue se plaquant contre ma prostate pendant que je me masturbais. Lui, il continuait toujours son travail mais je pouvais l’entendre gémir sous l’évier jusqu’à ce qu’il laisse entendre un long cri pendant que je sentais la chaleur de son foutre me remplir le cul. J’accélérai ma masturbation, venant à grands jets sur le mec tout en poursuivant mes mouvements du bassin car je sentais encore très bien sa queue en moi. Lentement, je quittai ma position, sa queue sortant de mon cul. Je m’agenouillai et pris sa bite en entier dans ma bouche pour la lécher de son foutre gluant. Une fois nettoyée, je la replaçai dans le jeans que je boutonnai et remis mon boxer.
– Avise-moi quand tu auras terminé, je serai au salon, dis-je en quittant la salle de bain pour le laisser faire son travail.
Soit une dizaine de minutes plus tard, je le vis apparaître, son coffre d’outil à la main.
– Tu sais quoi, me dit-il. Si je suis venu ce soir, c’est que je savais qui tu étais quand Marco m’a téléphoné. Je me suis dit que je ne pouvais pas manquer cela.
– Comment ça? demandai-je en le regardant avec curiosité.
– Je t’ai souvent vu au bar et chaque fois, je me suis dit que tu avais un cul spécialement conçu pour ma queue. Marco m’avait avoué que tu adorais te faire planter.
– Il a dit cela? Tu vois donc qu’il ne mentait pas.
– Je vais y aller. Tu sais, pas besoin d’attendre qu’un tuyau soit bouché pour me téléphoner. En passant, c’est gratuit.
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