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Lèche vitrine hot à Paris

Lèche vitrine hot à Paris



Je prends le train pour une foi qu’il n’est pas en gréve pour me rendre à Paris faire du lèche vitrine. J’ai mi une petite robe légèrement décolletée. Lors du trajet, je remarque un homme en face de moi qui bouquine un livre de micro-informatique sur le systhéme Exel. Comme je n’y comprends rien, je lui demande :
« Excusez-moi Monsieur ! Mais je vois que vous lisez un magazine sur Excel, et j’ai justement une totale incompréhention de ce logiciel. »
« Oui mais sans PC, c’est compliqué de vous expliquer Madame. » Me répond-il avec un large sourire en matant mon décolleté.
« Oui, je comprends. Désolée de vous avoir embêté avec mes questions idiotes. »
« Non pas du tout. Mais si vous voulez, je peux vous montrer ça à mon bureau. Il n’est pas loin de la gare. »
« C’est très gentil merci. Mais je ne voudrais pas vous déranger. »
« Non pas de soucis. Si vous pouvez, venez ce midi, nous seront seuls. »
Après avoir fait un tour aux galeries Lafayette et au Printemps, je me rends à son bureau. Il est très pro et répond à toutes mes questions. Mais je vois bien aussi qu’il ne rate pas une occasion de plonger dans mon décolleté et c’est pas pour me déplaire. Mais je butte sur certaines manips. Il me réexplique, mais rien à faire, je pige pas. Puis sur le ton de la blague, il me dit :
« Si vous ne comprenez toujours pas, vous allez avoir la fessée ! »
Je rigole et réplique :
« Vraiment ? C’est vrai ? Une vraie fessée ? »
« – Ouais Ouais une bonne fessée c’est comme ça que ça rentre le mieux ! »
Je pousse le bouchon un peu plus loin pour voir comment il varéagir.
« Vous savez mon mari adore me donner des fessées. »
Il me regarde un peu surpris de ma réponse et me demande :
« Et uniquement des fessée ou d’autres choses aussi ? »
Je commence sérieusement à me prendre à ce jeu et lui répond :
« Bien entendu, pleins d’autres choses, si vous voyez ce que je veux dire…. »
Ca a le mérite d’être clair, et il me dit :
«  Vous voudriez que je vous donne une fessée pour vous faire mieux comprendre ce logiciel ? »
Sans répondre, je prends appuie sur son bureau et me cambre en lui faisant un clin d’œil. Il contourne le bureau, soulève ma robe et découvre mon joli petit string noir. Sans tarder, il commence à me fesser doucement. Puis voyant que je suis plutôt réceptive, il baisse mon string et ses claques deviennent plus appuyées et mes fesses maintenant me chauffe sérieusement. Je mouille et pousse de petits couinement de douleur et de plaisir. A ce moment, je ne sais pas ce qui me prend, mais je le supplie presque de prendre sa ceinture pour me punir de ne pas comprendre le fonctionnement d’Exel.
Il hésite un instant et devant mon insistance, il se met à me rougir le cul à coup de ceinture. Devant mes pleures, il fait une pause et remarque que je mouille. Ses doigts s’émissent dans ma fente et remonte vers ma rosette. Je me cambre un peu plus sous cette douce caresse. Délicatement, il me pénétre le petit trou. Voyant que je suis docile, il enléve son doigt, se rassoit à son bureau et me dit :
« Montrez-moi vos seins ! »
Je lui souris et ôte ma robe pour me retrouver juste en soutien-gorge devant cet homme qui a sorti sa verge et se masturbe doucement en me dévorant des yeux.
« Virez-moi ce soutif  et venez me sucer ! »
Je fais voler le dernier rempart de ma nudité et très féline, je me met à genoux pour déguster cette belle hampe qui s’érige devant moi. En fine pompeuse experte, je glisse ma langue sur sa hampe et du bout de ma langue j’agace son méat. Je lèche son gland avec application. Je salive un peu et fini par avaler son engin. Mes lèvres se resserrèrent sur cette verge vibrante de plaisir. J’alterne, aspirations, petits coups de langue et gorge profonde. En geignant de plaisir il me dit :
« T’es meilleure pompeuse qu’informaticienne ! Continue comme ça t’es trop bonne ! »
Je me demande combien de temps il va tenir avant de me balancer sa purée dans la bouche. Je redouble d’effort pour le faire jouir dans ma bouche. Je sens les vibration de sa queue, prémices son éjaculation. Il est au bord de la jouissance quand il me prévient :
« Tu vas me faire jouir ! »
Je continue de plus bel ma fellation et dans un grognement, il lâche sa semence dans ma bouche. J’avale le doux liquide et viens me blottir mes seins sur son visage. Ses mains aussitôt partent à la découverte de ma poitrine. Il m’assoit sur son bureau et se met à me bouffer copieusement le minou en agaçant mon clitoris et en rentrant plusieurs doigts dans mon vagin brûlant. Je gémis de plus en plus for et joui finalement sous ses doigts et sa langue agiles.
Il me demande :
« Quand dois-tu rentrer en Normandy ? »
« Je reprends le dernier train demain ce soir. »
« Alors ce soir je te fait visiter Paris by night ! »
Cette invitation n’est pas pour me déplaire. Ca promet d’être chaud pensais-je et je suis toute disposée à accepter ses propositions.
Le soir, lorsque je prends place dans sa voiture, il me dit :
« Je devine dans quel état doit-être ta petite culotte. »
Je lui souris en lui répondant d’un air coquin :
« J’ai l’impression qu’elle me colle aux fesses. »
Il m’embrasse à pleine bouche et me dit :
« On va s’envoyer en l’air. »
Je rigole bêtement en pensant aux futures galipettes que nous allons faire. Mais qu’elle n’est pas ma déception quand je m’aperçois qu’il m’emmène à la Grande roue des Tuileries.
Quand je monte dans la nacelle il me complimente sur mes jambes. Il vient s’accroupir devant moi dans la nacelle et posant ses mains sur mes cuisses, il les écarte ostensiblement. Je joue l’oie blanche en lui demandant :
« Mais que fais-tu ? T’es fou ! On va nous voir ! »
La nacelle monte et s’immobilise au sommet de roue, se balançant doucement. A genoux entre mes jambes, il baisse mon string et commence un merveilleux cunnilingus avec pour témoin le tout Paris illuminé. J’ouvre largement les cuisses et me laisse aller à sa caresse en tendant mon bassin pour mieux profiter, tout en gémissant de plaisir. Il passe sa langue sur son abricot trempé et excite mon clitoris. Il goûte ma cyprine comme on se délecte d’un bon vin. Il ne tarde pas à mettre un doigt puis deux dans mon fourreau offert et détrempé, tout en suçant mon bouton turgescent, aspirant mes lèvres intimes.  La situation insolite décuple mon excitation et alors que la nacelle se remet en branle, j’explose dans un fabuleux orgasme. Il se relève et le visage couvert de ma cyprine, il m’embrasse langoureusement. Je pose ma main sur son entrejambe pour constater qu’il bande comme un âne. En lui souriant je lui dit simplement merci. Nous descendons de la nacelle et nous voilà déambulant dans le grand parc des Tuileries.
« Euh… c’était super.. j’ai aimé, tu fais ça bien ! »
Je l’embrasse et passe ma main pour serrer son sexe dur à travers son pantalon.
« J’ai envie de te sucer. »
« Ne te prive pas Michèle ! »
 Nous continuons notre promenade et il m’entraîne dans un restaurant. Installés dans un coin discret, où semble-t-il il a ses habitudes, Nous dinons et nos conversations dérivent rapidement sur le sexe.  Je lui avoue :
« Tu sais, mon mari est un libertin et il est très inventif. Mais comme j’ai un apétit sexuel intense je me masturbe régulièrement aussi. »
Discrètement je masse sa queue sous la table et quand il le peut, sa main glisse entre le sillon de ma poitrine pulpeuse.
«J’aime tes gros seins, çà ouvre beaucoup de possibilités érotiques… »
Espiégle je lui demande :
«  Ah oui ? lesquelles ? »
 « Je te montrerai ça aprés manger. Je te promets une surprise… »
Je ne réponds pas essayant de deviner à quoi ressemble sa surprise. Je lui dit :
« T’es un sacré coquin toi ! »
« T’es pas mal dans le genre toi aussi. Je présens la grosse cochonne qui sommeille en toi ! »
Je fais la choquée en rétorquant :
« Comme ça, tu me prends pour une traînée ? »
« Pas du tout. Mais pour une femelle en chaleur ! Masturbe-toi sous la table !»
« T’es fou pas en plein resto ! »
Il ricane et insiste :
« Pourquoi pas ? personne ne va te voir. Et tu me fera sucer tes doigts. J’aime le goût de ta chatte. »
En le regardant dans les yeux, je commence à me caresser, ma main étant cachée par la nappe.
« Tu sais que tu me fais bander à te branler sans pudeur dans ce restaurant. »
«  Huuumm….. Gros vixieux ! »
« Dis-moi que t’aime jouer à la salope ! »
« Oui… Huuum oui j’aime ça ! »
« Tu mouille salope ? »
«  Oui…Je.. mouille. Tu veux me goûter ? »
«  Oui, fais-moi goûter tes doigts ! »
Je lui tends mes doigts luisant de ma cyprine. Il me prend la main et les suce avec une délectation non feinte. Puis il me demande :
« Dis-moi ce que tu veux salope ! »
« J’ai envie de te sucer ! Je suis certaine que tu bande comme un malade ! »
« T’aime les grosses queues toi ! »
« Oui et alors? »
Il ne me répond pas et se lève pour payer l’audition en me disant de le suivre. Nous quittons rapidement le restaurant. Sa main posé sur mes fesses ; il me pousse vers l’entrée d’un hôtel. Arrivés dans la chambre, je m’empresse de baisser le zip de sa braguette et dégage le beau diable qui se dresse fièrement devant moi.
Sa grosse bite en main, lui soupesant les couilles, il me dit :
« Dis-moi que tu la veux dans ta bouche ma grosse bite comme la mienne, salope ! »
«  Oui, j’aime bien. … j’en ai envie de la prendre dans ma bouche et que tu me baise comme une vraie femelle ! »
« T’es une grosse gourmande toi ! »
« Oui, donne-moi ta belle queue… »
Je prends sa bite et le masturbe avant de le me mettre à le sucer en lui pressant les couilles.
« Oui… Tu pompe comme une reine ! Elle est bonne ta bouche. Salives bien dessus…Attends j’ai envie que tu me lèches le cul. »
Il se retourne, se met à quatre pattes. J’écarte ses fesses et commence une feuille de rose tout en le masturbant.  Ma langue gourmande lui fait frétiller son petit trou. Puis mon doigt prend le relais.
« T’aimes que je te mette un doigt dans le cul ? »
« Oui, encule mi avec ton doigt ! »
Je suis déchaînée et prête à tout. Je lui met deux doigt dans le cul en lui gobant les couilles. Il me lance alors :
« J’ai envie de jouir sur tes mamelles ! »
«  Ouiii, je veux ton sperme ! Arrose-moi avec ton foutre ! »
Il met sa bite entre mes seins et ne peut résister longtemps. Il me lâche plusieurs jets de sperme qui asperge mon visage et mes seins. J’en prends avec mes doigts et le goûte avec plaisir.
«T’aime mon foutre ? »
« Oui j’adore ! »
« T’es une grosse salope Michèle ! T’aime ça te faire triter de pute et pomper ma grosse queue ! Dis le que t’aime la bite et que t’es une chienne, un sac à foutre ! Allez /// Dis-le ! »
« Oui je suis une grosse pute qui aime se faire fourrer comme une chienne en chaleur ! »
Il rebande et me prenant par les hanches, il fourre à fond d’un coup. Il me baise à fond avec vigueur et je gémis de plaisir. Il doit avoir une vue imprenable sur mon cul où les traces de ceinture subsistent. Il me donne une grande claque sur les fesses en me lançant :
« Je vais visiter ton gros cul de pute ! »
« Oui, vas-y, encules moi ! »
Il prend de la mouille dans ma chatte, enduit ma rosette de cyprine, Pose son gros gland sur mon petit trou et me demande :
«  Comment veux-tu que j’t’encules, salope ? »
« Comme tu veux mais baise-moi ! »
Il pousse fermement et son engin fait sa place dans mon étroit conduit. Je m’exclame :
« Haaaa!!!Il est très gros !!! »
Sa queue est entrée entierement et il commence à bouger doucement.
« Oui c’est boooon haa oui baise moi fort ! »
Après cinq minutes de ce régime, mon orgasme éclate, le faisant glicer dans mon cul. Il se retire et regarde un instant le liquide blanc s’écouler de mon anus encore dilaté et palpitant. Il débouche un bouteille de champagne, me sert un verre et nous trinquons à notre baise ensemble. Puis il me dit :
« Allons dans la salle de bain. J’veux te pisser dessus ! »
« T’es pas bien Non ? »
« Fais pas ta mijorée ! Une grosse pute comme toi ça doit pas de poser de problème ! J’te demande pas boire ma pisse. Juste t’arroser ! »
Réticente, je me dis que ça ne coûte rien de lui faire plaisir. je me lève et vais m’allonger dans la baignoire.  Aussitôt , je me prend une douche dorée sur la figure et les seins.
« Vieux vicieux, tu aimes me pisser dessus comme çà. »
«  Oh, oui, tu m’excites  avec tes gros nibards ! »
Puis nous prenons une bonne douche ensemble.
Ouf quel séjour à Paris. Quand je vais raconter ça à mon mari et à mes amis ça va les exciter.

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