Mes récits précédents se passaient dans ma jeunesse. Celui qui vient, est récent puisqu’il date du mois d’août dernier… C’est dire si j’ai pris quelques années dans l’intervalle…
Ma fille est partie en vacances, avec sa famille, pour une quinzaine de jours, et comme à l’accoutumée, c’est moi qui garde la maison… A charge pour moi d’effectuer quelques travaux de bricolage et de jardinage… A mon rythme, car quand on est retraité …
Ce matin là, la météo ayant annoncé des températures élevées dans l’après-midi, j’avais donc décidé de bricoler le matin avant les grandes chaleurs. Quelques travaux de menuiserie, un peu de jardinage… Midi arrive : une bonne douche ! Un « marcel » tout propre, un short tout aussi propre…
Maintenant, passons au repas, mais d’abord, un ou deux petits pastis bien tassés. Je l’ai bien mérité, et ma fille m’a dit de profiter du bar ! Avec le repas, une demi-bouteille de Cotes du Rhône… Ah ! C’est pas mal comme plan ! En fait, d’être seul dans cette maison, ça me va, je suis libre, je fais ce que je veux ! Super !
Je fais la vaisselle, et je sens que l’alcool commence à me faire de l’effet ! Ma bite commence à être émoustillée ! Ah ! Putain, je vais me faire du bien en matant des vidéos pornos sur mon PC portable !
« Dring dring dring », le carillon de la porte d’entrée qui sonne ! Moi qui voulais être tranquille !
Je vais ouvrir…
– Tiens, la belle Nina !
– Excuse-moi, Yves !
– Tu es toute excusée, ma belle voisine.
– J’ai un problème, et comme je sais que tu bricoles pas mal.
– Oui ?
– Mon évier est bouché, tu peux jeter un coup d’œil, car Marc n’est pas là…
– Attends-moi, je prends 3-4 outils…
Nina, que je connaissais bien pour avoir, participé en commun à des repas chez ma fille, était la plus proche voisine… Les deux terrains étaient contigus… Nina, 35 ans environ, était une femme brune, mince et de petite taille. Je dirais 1m55 et 45-48kg, toute mince, donc la taille d’une gamine de 14-15 ans. Ses origines andalouses lui avaient donné un teint mat. Elle travaillait à domicile dans l’informatique, son mari Marc était VRP et donc sur les routes toutes la semaine… Leur fille était chez les grands-parents…
Je suis donc Nina jusque chez elle, et je ne peux m’empêcher de mater son joli petit cul qui se balance dans une robe légère qui lui arrive à mi-cuisses.
Je prends une bassine et me faufile sous l’évier, en rampant sur le dos. Je dévisse le siphon, et toutes les « cochonneries » tombent dans la bassine… C’est bien ce que je pensais, c’est souvent le même problème pour un évier bouché…Je remonte le siphon ; voilà, c’est fait, il ne me reste plus qu’à sortir de dessous ce fichu évier. Aïe aïe aie, voilà mes lombaires qui font des leurs, le mal de dos qui recommence…
– Qu’est ce qui t’arrive, Yves ?
– Ah, bloqué du dos !
– Tu peux te relever ?
– Oui oui ça va aller, mais je souffre…
– Tu sais qu’avant d’être dans l’informatique j’ai fait des études de kiné ?
– Euh, non…
– Va dans le salon, retire ton tee-shirt, allonge toi sur le ventre sur le canapé, je vais voir ce que je peux faire pour toi !
– Ok
La voilà qui monte à l’étage, tandis que je m’écroule su le canapé… Elle revient quelques minutes plus tard, seulement vêtue d’une guêpière en latex noir !!! Avec une espèce de baume et de l’huile parfumée… Elle commence à me masser le dos, et c’est vrai que petit à petit la douleur s’estompe sous les petits doigts de fée de Nina…
– Alors, qu’est ce que t’en dis de mes talents de masseuse ?
– Terrible, ça me fait un bien fou !
Mais… Par mégarde ou volonté, le massage quittait doucement les lombaires pour aller plus bas et frôler la naissance de mes fesses ! Inutile de dire que ce traitement avait des conséquences… Ajoutées à l’alcool de mon repas, les caresses de Nina m’avaient donné la trique !!! Se sentir sous les doigts de cette jeune femme me faisait bander !!!
Nina s’en aperçut au fait que je me tortillais de plus en plus… Elle me chuchota à l’oreille :
– Alors mon cochon, tu bandes ?
– …
– Hein, elle te fait bien bander la petite Nina ?
– Oui oui.
Et toujours à l’oreille :
– Je t’ai aperçu hier soir, qui te baladait à poil dans la maison !
– Et alors ?
– Alors ça ma donné des idées !
– Te faire un vieux ?
– Non, me faire un mec ! Tu sais Marc n’est pas souvent là, et quand il est là…
– Tu veux dire que…
– Oui oui, c’est pas terrible entre nous, c’est pour cela que tu vas me baiser, mon cochon !
– …
– Allez ! Debout mon salaud ! Quitte tes fringues !
Je me mis debout, me déshabillai… Nina tendit sa petite main et soupesa mes couilles puis sa main s’empara de ma bite.
– Dis-donc tu bandes sec mon vieux ! A ton âge !
– …
– T’en a une belle !
– …
– Pas longue mais épaisse, et quel gros gland, hmmm !!!!
– Je trique pour toi, Nina, tu me fais fantasmer avec ton corps de gamine !
– Vraiment cochon toi !
– Y a pas de mal à ça !
– Non non bien sur !
– Si tu me donnes l’ordre de te baiser, je le ferais !
– C’est ça, je t’en donne l’ordre ! Mais pour soulager ton dos, tu vas aller t’asseoir sur une chaise dans la cuisine. Tu vois j’ai pitié de toi !
Nina m’a suivi. Dans la cuisine je me suis installé sur une chaise bien dure. Je triquais toujours en matant. Humm, le latex !!! Nina paraissait vraiment une gamine avec son corps si frêle… Putain, la bite me faisait mal à force d’être tendue…
– T’es un vieux cochon, Yves !
– Oui ma Nina.
– Un vieux cochon avec une grosse pine, qui va me tirer.
– Oh oui ! Nina !
– T’es vicieux, je suis sure que tu mates du porno sur internet ?
– Oui oui, Nina, je mate, ça me fait bien bander !
– Cochon !
– …
– Bouge pas, Je vais te sucer un peu, après tu me sautes, d’accord ?
– Oui ma petite ! Vas-y !
Elle se pencha sur loi, et engloutit ma queue d’un seul coup ! Et sa langue savait y faire, elle tournoyait adroitement autour de la colonne. Le rythme est soutenu, elle est experte en pipe la petite ! Sa bouche était chaude… elle me suçait … lentement descendant de plus en plus… enserrant bien ma queue entre ses lèvres aspirant tout en léchant…
– Oui, voilà ! Regarde-bien ma queue, tu vois comment elle est bien raide, grâce à toi…
– J’ai envie de te caresser la pine.
– Ouais, donne-moi ta main…tu la prends bien fermement, et tu fais coulisser la peau vers le bas…comme ça, c’est bien… Branle. Regarde, mon gland il est bien décalotté maintenant…
– Hummm ! Bonne grosse queue !
– Maintenant, branle-moi bien ! voilà ! …oui c’est bon comme ça !
– Ça t’excite, quand j’fais ça ? Mon gros vicieux !
– Oui, c’est bon, continue ! descend bien à fond ta main jusqu’à la base !
– Hummm, c’est gros ! hmmm !
– Me fais pas partir, hein ! J’ai envie de ton petit cul !
– Tu vas l’avoir, tu vas l’avoir ! J’adore ta queue… J’en ai rarement vu d’aussi grosses !
– T’aime ma bite ? Et celle de Marc ?
– 13 cm et toute fine… Pas un gros barreau comme la tienne !
– Oui, mais une bite de vieux.
– Vieux qui aime le cul, hein mon salaud ?
– Oui oui, un petit cul de gamine comme le tien !
– Maintenant, tu vas l’avoir mon cul, mais c’est MOI qui te baise, compris ? Tu débandes pas, hein !
A ces mots, elle se redressa, se mit face à moi… Nina regarde sa salive qui entoure ma pine et l’a rend luisante .J’admire son joli corps moulé dans le latex.
Elle balance une jambe et se positionne à cheval au dessus de ma queue droite comme un menhir. Elle s’assit à califourchon sur moi, s’empalant progressivement. Elle s’empale jusqu’aux couilles en criant :
– Nom de dieu, tu transperces mon corps!
C’est vrai que la vision de ma queue bien large, dans un corps si fragile ! J’avais peur le la casser !
– Je n’en reviens pas que tu puisses faire entrer cette matraque toute entière.
– Je ne suis pas si petite que çà!
– Putain, quelle baise ! Si je m’attendais à ça en débouchant un évier…
– Là il faut plutôt me le boucher mon minou, vieux salaud ! Putain de queue ! Ta bite me rend complètement folle.
Elle gémit quand sa chatte s’enfonce sur mon sexe en pleine érection et son plaisir monte en puissance au fur et à mesure. Je mets mon bras autour d’elle et elle appuie sa tête sur mon torse. Toujours assise sur moi, je la maintiens et elle m’embrasse pendant que ma main derrière sa tête intensifie la pression sur nos lèvres. Nos langues se trouvent en un baiser passionné.
– Oh mon Dieu, c’est incroyable ! Qu’est-ce que t’es gros !
– Et toi si frêle, ma jolie !
– Elle me remplit bien…
Tout en baisant, mes mains caressaient son corps si mignon. J’agaçais ses tétons qui dardaient sur ses petits seins, elle avait l’air d’apprécier !
– Tu les aimes mes petits seins ?
– Oui oui, bien que d’habitude ce sont les grosses mamelles et les gros culs qui m’attirent. Mais toi, avec ton petit cul !!!
– Donc tu préférerais ma mère qui a physique qui te plairait !
– Pour l’instant c’est toi qui me baise en dansant sur ma queue…
– …
– Vas-y, pousse, n’aie pas peur.
– Alors, petite chérie, tu aimes ?
– Oui oui, allez regarde ; je monte et descend sur ton gros manche.
– Putain, tirer une jeune c’est terrible ! Je croyais que j’allais débander, mais non… Vas-y baise moi, ma jolie !
– Ça m’excite tellement ! Gros salaud poilu ; j’aime les poils sur ton gros ventre…
– …
– Oui, c’est bien, mon chéri. Continue comme ça ! Tends bien ta queue en avant, c’est moi qui te baise !
– Oui oui ! Ah, vas-y ! Baise-moi, je sens que tu mouilles ?
– Oui oui , ton gros boudin !!! Oui ! Défonce-moi ! …Quel morceau !
– Elle te plait ma queue ?
– Oh oui j’aime ta grosse queue !
– Serre là bien avec ta chatte, j’adore ça !
– Comme çà ? Ah la vache elle me chauffe le minou ta queue…
– Serrée du con :
– Yves… gémit-elle, la voix rauque. Oh, Yves… Pines moi bien !
– Vas-y, ma petite, lâche-toi… T’es trempée !
– Oui oui ! Oui ! Oui ! Encore !
– Ah, ma petite je sens que çà monte !!!
– Oh oui ! … Vas-y ! … Plus fort ! … N’aie pas peur mon chéri ! … Défonce-moi bien la chatte ! … Moi aussi !!!
– C’est pas possible ! … ça vient, ça vient…
– Oh! oui… vas-y…vas-y !
– Je décharge, salooope ! Oui oui, aaaah !!!
– Moi aussi, ça vient, gros salaud !!! Tiens tiens tiens !!! Aaaaaaah, je t’asperge de ma mouille, je jute !!!!
Sa bouche s’entrouvre et un long gémissement en sort…
– Aaaaah… aah… aah… aaah !
Son sexe se crispe et se détend par intermittence de nombreuses fois autour de ma bite… elle jouit pendant quelques longues secondes. Nos sexes se crispent tour à tour dans un rythme de jouissance bestiale.
– Ça pour de la baise, c’est de la baise…J’ai jamais vécu ça ! dit-elle en me faisant un clin d’œil.
– On se reverra ?
– Tu gardes la maison de ta fille pour quelques temps, je crois ?
– Oui 15 jours.
– Bon, d’accord ! Y aura peut-être du nouveau pendant cette période ! Mais il n’y aura pas un évier bouché à chaque fois, mon vieux salaud poilu !!!
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