Ayant quelques jours de vacances sans ma femme, je décidais d’aller les passer chez ma mère, ma femme me rejoignant pour le week-end.
Je partis par le train, sans oublier de passer par le kiosque à journaux afin d’acheter quelques magazines dont un X, les soirées chez ma mère risquant d’être longues et ayant un peu abandonné les catalogues de la Redoute et des 3 Suisses pour me masturber.
A l’arrivée, ma mère m’attendait à la gare, je l’embrassais tout en posant ma main sur le haut de ses fesses pour bien débuter le séjour. Nous prîmes la voiture pour rentrer. Je ne manquais pas d’examiner sa tenue. Elle portait une jupe qui lui montait au-dessus des genoux et de ses jambes gainées de satin noir, son chemisier légèrement ouvert mettant en valeur sa forte poitrine (100 D).
Nous nous arrêtâmes pour faire quelques courses en cours de route, et c’est dans le magasin que j’ai vu qu’elle portait des bas, car en se baissant pour prendre un produit dans le rayon du bas, sa jupe remonta laissant apparaître la dentelle des bas et la jarretelle qui le maintenait en place. Mon sang se mit en ébullition et mes fantasmes œdipiens ne mirent pas longtemps à réapparaître.
La fin de journée se passa calmement, bien que je me posais la question de savoir si cette tenue de ma mère était justifiée parce qu’elle avait un amant ou si cela était-il en mon honneur. Nous bûmes l’apéritif avant le diner, je lui en servis une bonne dose dans l’espoir qu’elle s’endorme en regardant la télé (comme souvent) et que je puisse voir ce qui se cachait sous sa jupe.
Après dîner nous nous installâmes devant la télé et elle ne tarda pas à s’endormir (cela s’entendait), après quelques minutes je m’approche d’elle et d’une main délicate je soulève sa jupe… et là, j’aperçois ma mère comme je ne l’ai jamais vue, un ensemble bas et porte-jarretelles en dentelle noir, le tout relevé de bas en nylon noir avec le haut avec des broderies rouges. La dentelle laissait voir sa toison rousse et blanche. De peur qu’elle se réveille, je n’ose pas poser ma main sur ses cuisses pour sentir la douceur du nylon et sentir la chaleur de son entre jambe. Après un moment de contemplation je remis sa jupe en place et je lui dis que je vais me coucher en lui faisant la bise, elle me dit qu’elle aussi y va.
Nous rejoignons nos chambres respectives. Les émotions de cette journée m’ayant excité, je désirais me faire un plaisir à la main en regardant l’un des magazines achetés. Mes yeux regardent les photos des femmes en lingerie et poses sexy, mais mon cerveau me montre le visage de ma mère, ce qui a pour effet de décupler mon excitation. Et je ne suis pas long à jouir.
Pensant qu’elle s’est déjà endormie et n’ayant pas pris d’eau, j’ouvre ma porte pour me rendre dans la cuisine. Je passe doucement devant sa chambre et j’entend la télé fonctionner. Au retour, la porte s’est entre-ouverte (???) et je lance un regard à l’intérieur de sa chambre. Et je la vois sur son lit, elle a retiré sa jupe et son chemisier mais à gardé sa lingerie sexy, je peux entendre le son de la télé, en fait elle regarde un film porno (pas de doute vu les dialogues, « Oh oui met moi ta grosse queue… »)
Je me glisse dans un coin noir du couloir d’où je peux la voir. Ses mains commencent à courir sur son corps, légèrement ridé vue son âge. Ses mains font sortir ses énormes seins de son soutien-gorge (assorti au bas) et elle s’empresse de se les caresser, se les portant l’un après l’autre à sa bouche pour se sucer et se faire passer la langue sur les tétons gonflés.
Délaissant un de ses seins, une main se glisse dans sa culotte, pour se poser sur sa chatte. D’où je suis je peux voir sa main glisser sur sa fente tout en se caressant un sein de l’autre.
Rapidement elle retire sa culotte et écarte bien ses cuises, ses deux mains s’affairent sur son sexe. Elle a glissé deux doigts dans son vagin et se titille le clito de l’autre, le rythme de ses doigts s’accélère. Elle commence à pousser des sons de plaisir, et après quelques minutes de ce jeu, je l’entends dire « ça fait tellement longtemps, j’ai besoin de sentir une queue dans ma chatte, je veux que l’ont me défonce ».
A ces mots, elle se penche et sort de sous le lit une boite d’où elle extrait un vibro et un gode. Pas besoin de vous dire que mon membre avais repris de sa vigueur à la vue des ébats de ma mère.
Elle mit en route le vibro qu’elle se passa sur la moule, mais je sentis qu’elle était déjà bien excitée et qu’il fallait surtout qu’elle se fourre le gode, de bonne taille dans la chatte. Elle le fit entrer en elle sans aucun problème, vu comment elle était excitée. Elle commença à se baiser avec, toujours assise sur le lit, les jambes écartées ; d’où je me trouvais je ne pouvais le voir entré et sortir de sa chatte. Au bout d’un moment elle se retourna, se mit à quatre pattes, la tête dans l’oreiller et cul levé. Elle ne l’avait pas sorti d’elle pour changer de position.
Positionnée ainsi je pouvais contempler le cul et la chatte de mère, que je rêve de pouvoir prendre un jour. Elle fit passer sa main sous son ventre de façon à pouvoir activer le gode. Je me mis à me branler au rythme de ses caresses, imaginant ma queue à la place de cet objet de plaisir. Elle accéléra le rythme et sa respiration et ses halètements par la même occasion. Nous arrivâmes à l’extase en même temps. Elle poussa des râles de plaisir alors que moi je jouis en silence pour ne pas me faire remarquer.
Je me dépêchai de rentrer dans ma chambre et me coucher. Ma nuit fut remplie de rêves érotiques où elle avait une place importante.
Ceci est mon premier essai d’histoire, n’hésitez pas à laisser vos commentaires
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