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Trop bu

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Je suis vigile dans une société de gardiennage. Un soir après un arrosage, avec Robert nous avons du raccompagné un collègue qui était proche du c*** éthylique.

Une fois sorti de l’ascenseur, comme s’il reconnaissait les lieux dans son demi c***, notre collègue a sorti ses clés. Nous l’avons soutenu jusqu’à la porte ; Il s’est mis a chercher la serrure du mauvais côté, et nous avons du l’aider à ouvrir.
Elle était là en nuisette. Elle ne s’attendait certainement pas à nous voir avec son mari. Elle était encore plus belle que la première fois que nous l’avions vu.

C’était lors d’un arrosage précédent. Elle était venue chercher son mari, avant qu’il n’ai trop bu. C’était elle qui le conduisait depuis une quinzaine suite à une suspension de permis et nous ne comprenions pas comment il avait pu en lever une si jolie. C’était l’été et elle portait une petite robe courte qui nous donnait des envies de grand vent. Elle était toute mignonne dans les 25, 30 ans avec de très beaux yeux noirs et tout ce qu’il faut pour occuper un homme. Elle avait les cheveux noirs très courts et un visage qu’on avait envi de prendre entre ses mains pour s’enfoncer dans sa bouche. Quand elle est entrée il y a eu un silence. Nous étions une quinzaine. Elle nous a salué avec un sourire radieux et a commencé à nous faire la bise. J’ai vu Robert en profiter pour lui peloter le cul. Il faut dire qu’il est assez primitif et que certaines semblent en raffoler. Ce n’était pas le cas de Karine. Elle lui a demandé sèchement ou était son mari.

Sa nuisette transparente ne cachait pas grand chose et nous avons marqué un temps d’arrêt. Elle a vite compris que nous étions en train de mater ses seins libres sous la nuisette et a rougi.
-Bonsoir Karine. Nous te ramenons ton mari. Il avait vraiment trop bu pour qu’on le laisse conduire. Si tu veux, on va le porter jusqu’à la chambre.
Quand nous l’avons suivie dans le couloir, nous avons pu deviner la silhouette d’un string sous sa nuisette. Elle avait vraiment un joli cul, et je ne sais pas si elle l’avait prévu pour son mari mais la chambre éclairée faisait contre jour avec l’obscurité du salon, rendant sa nuisette encore plus transparente. Sa démarche était gracieuse, mais elle semblait gênée. Robert m’a fait un clin d’œil. Nous sommes entrés dans la chambre. Nous avons déposer son mari sur le lit. Il semblerait que c’est là que tout a basculé. Robert s’est collé à elle et l’a poussée contre moi. Elle était là entre nous eux , sa tête entre nos deux torses.. Elle semblait paniquée. Pas pour longtemps. Mon collègue me regardait attendant que je prenne parti.
– Tu sais Karine que si tu fais du bruit tu vas réveiller ton mari. Lui dis-je tout bas.
Robert qui était derrière elle, lui attrapa le menton pour rechercher ses lèvres. Je lui caressait pour ma part les seins puis descendait jusqu’à sa fente en passant sur le côté du string. D’un doigt je prenais possession d’elle. Elle n’était pas encore humide. Mon collègue l’embrassait maintenant à pleine bouche en lui dénudant les seins que je me mis à lécher.
– S’il vous plait, pas ici. Dit-elle dès qu’elle eu retrouvé son souffle.
Nous sortîmes de la chambre et nous dirigeâmes vers le salon, en abandonnant le mari. Une fois arrivé je m’assis et lui ordonnai.
– Viens là !

Elle se rapprocha encore un peu effrayée. Je l’attrapai par les hanches et commençait à lui embrasser le ventre, en lui soulevant sa nuisette. Robert n’était pas inactif et tout en restant à côté d’elle, il lui pétrissait les seins et l’embrassait .
Mes doigts avaient retrouvés le chemin de sa chatte, elle commençait à mouiller et j’en profitait pour lui glisser un doigt dans l’anus.
Robert la fit alors se pencher vers moi. Je défis mon pantalon et lui donnait ma queue à sucer. Devant son hésitation je dus lui prendre la tête à deux mains pour lui donner du courage. Robert l’enfila alors par derrière et d’après la grimace qu’elle fit quand il s’enfonça , je compris qu’il venait de l’enculer sans préparation. Sous le coup de l’émotion je lui jouis dans la bouche. Elle laissa couler la majeure partie de mon foutre. Robert la coucha alors le dos sur le canapé et l’enfila de nouveau dans le cul. Au bout de quelques minutes, je m’approchait de nouveau de ses lèvres pour qu’elle me redonne une consistance. Robert semblait être un vrai machine à baiser. Il la limait en lui tenant les jambes au dessus des épaules. Je lui branlais le clito pendant qu’elle me suçait.
– Tu aimes qu’il t’encule ?
– Oui ! Maintenant ça va mais il n’a pas été tendre au début.
– Tu sais Robert n’est pas vraiment un tendre…
– Oui mais j’ai une grosse queue pour les femmes de ton genre. Continua-t-il.
– Ton mari, il t’encule souvent ?
– Elle me fit signe que non pour ne pas interrompre sa fellation.
– Laisse moi une place. demandais-je à Robert.
– S’il vous plait, pas les deux en même temps.
– Tu viens sur moi et tu te l’enfiles dans le cul ou on réveille ton mari.
Elle se leva alors se rassit sur lui comme il le lui avait demandé. Je voyais la bite de Robert entrer et sortir de son cul, et sa chatte encore ouverte et ruisselante. Je m’engouffrais dedans. Elle était maintenant coincée entre nous deux. Je l’embrassait en lui massant les seins. Je sentais la bite de Robert en mouvement avec la mienne. Elle commençait à gémir. Elle semblait vraiment apprécier. Je sortis de sa chatte pour lui envoyer mon foutre sur ses seins. Au moment de jouir Robert, sorti de son cul, la fit mettre à genoux et lui mit tout dans la bouche et sur le visage . Je prenais une photo avec un appareil qui traînait dans le salon, alors qu’elle finissait de lui nettoyer la queue.
Un peu plus tard, nous partîmes. J’avais la pellicule à la main. Elle nous embrassa. J’en profitais pour lui remettre un doigt.
– Nous reviendrons de temps en temps.

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