Pour moi, tout a commencé innocemment à l’adolescence. Une incontrôlable envie qui m’a pris au ventre avec une force incroyable.
Je me suis faufilé discrètement dans la chambre de ma sœur ou, à défaut, dans celle de ma mère pendant leur absence. J’ai ouvert l’armoire aux senteurs si féminines, j’ai touché et senti avec ivresse la lingerie exposée à mon regard.
En tremblant d’émotion, j’ai choisi une petite culotte sexy, celle en dentelle rouge. Irrésistiblement, mon instinct m’a poussé à l’essayer. Je l’ai enfilée sur mes hanches juvéniles tout en m’admirant dans le miroir de la grande armoire.
De me voir ainsi a provoqué une vive érection. Excité, ma petite verge turgescente a jailli du délicat tissu et m’a poussé à une vive masturbation. Peut-être même que j’ai joui dans ce fin tissu.
De voir, par transparence, ma semence perler goutte à goutte, m’a procuré un orgasme plus fort que toutes les masturbations que je connaissais jusqu’à présent.
Au fil du temps, je me suis pris de passion pour la lingerie féminine. J’ai même volé des petites culottes à ma sœur, les cachant comme un précieux butin que je ressortais à chacune de mes envies. Puis suivirent d’autres lingeries intimes toujours plus érotiques, jusqu’à des robes à raz des fesses, des talons hauts vertigineux, des perruques et des maquillages outranciers.
A chaque séance, je me masturbais tant le plaisir était fort. J’ai découvert, par ce biais, une jouissance nouvelle, totalement différente de celle que je connaissais avec les filles.
Hélas, après chaque orgasme, je me sentais honteux et coupable car un Homme ne se livre pas à ces jeux féminins. Pour des questions de pudeur publique, IL ne remet jamais en cause sa virilité.
Ma conscience me dictait alors de renoncer, de jeter ces accessoires féminins si attirants, de corriger ce plaisir que je cachais à ma famille, à mes amis ou à ma compagne. Je ne voulais plus recommencer !
Or, le virus de la féminisation était en moi. J’ignorais que je rentrais dans une spirale infernale qui échappait à mon contrôle. Par faiblesse, j’ai recommencé en me cachant des autres, quitte à me dégoûter un peu plus à chaque nouvelle expérience.
Puis est arrivé ce jour où ma copine m’a surpris travesti en fille dans sa propre lingerie. Et pour comble, je venais de jouir dans sa petite culotte. Quelle honte !
Elle s’est d’abord indigné puis s’est ouvertement moquée de mon ridicule penchant. Après de vaines explications, elle m’a quitté pour un autre homme, bien plus « sain » celui là.
Et oui, face à ce désir irrépressible de féminisation, je me suis senti indigne devant elle.
Avec le temps, cette séparation m’a finalement arrangé. Je pouvais enfin me livrer ouvertement à mess plaisirs féminins les plus extrêmes. Je me suis donc consolé en disant que cette séparation était une chance.
J’étais enfin libre de me travestir à ma guise !
J’ai alors acheté à volonté tous ces vêtements et cette lingerie sexy qui m’excitaient tant ! Habillé en femme devant le grand miroir, je me masturbais sans cesse en me godant ( à l’aide d’objets de plus en plus gros) et en regardant mes jambes gainées de soie, mes tétons qui pointaient, ma petite queue dressée qui débordait de la petite culotte sexy.
Je prenais des poses suggestives, excessivement efféminées, tout en éprouvant une sensation bizarre. Je ne me rendais pas compte, qu’en me dévirilisant ainsi, j’étais en train de renoncer à mon statut d’homme…
Pour me consoler de cette séparation, je me suis fait des amis qui partageaient les mêmes attirances sexuelles que vous : échanger sur Internet nos fantasmes de féminisation et jouer sexuellement à la femme soumise avec des hommes.
Conditionné par les autres travestis, j’ai même envisagé un traitement hormonal pour mieux me féminiser et voir ma poitrine se développer. J’ai discuté de mes fantasmes avec des hommes, des hétéros, et j’ai accepté des rendez-vous intimes.
Des hommes toujours plus nombreux que je faisais jouir dans leur voiture ou leur lit.
Rien à voir avec les gays. Ceux-ci ne m’attiraient pas. Avec les hommes hétéros, je pouvais enfin me travestir à mon gré, jouer de ma féminité et les exciter.
Ces hommes recherchaient une femme sexy qui puisse surtout satisfaire leurs penchant sexuels les plus outranciers, des jeux qu’une femme biologique n’accepte jamais de faire, des choses que les hommes n’osent pas demander à leurs épouses par pudeur.
Dans mon cas, eux pouvaient utiliser à leur guise la femelle en chaleur que j’étais, faire de moi un objet sexuel soumis à tous leurs fantasmes. Et moi, j’appréciais cette inversion des rôles, de devenir une femme soumise entre leurs bras.
J’ai alors découvert combien une queue de mec entre mess lèvres me procurait un plaisir bien plus fort qu’un vagin de femme, combien le goût du sperme me ravissait en lieu et place de la cyprine. Je ne sais plus sur quel blog j’ai lu que des travestis éjaculaient plus abondamment avec un homme qu’avec une femme, surtout lorsqu’on les traitait en pute.
Ça s’était au début quand je découvrais le bonheur de vivre ouvertement ma féminité. Ma féminisation a fait son chemin depuis. Est venue entre-temps l’envie d’être pris comme une femme, un besoin irrépressible d’être enculé, défoncé, dilaté, ouvert au plaisir de l’autre avec une certaine douleur.
J’ai acquis de l’expérience et sans même m’en rendre compte, j’ai pris du plaisir par derrière en oubliant mes érections.
Je n’éprouvais plus le besoin de jouir et d’éjaculer tant la sodomie me rendait fou de plaisir. Au-delà des premières pénétrations, parfois très douloureuses, mon anus se transformait en une chatte accueillante qui me procurait un plaisir de femme.
Et oui, en devenant une femelle soumise au lit, je renonçais inconsciemment à ma virilité de mâle…
FIN
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