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Géraldine tome 2-Epilogue

Géraldine tome 2-Epilogue



Voila ! Pour moi, les aventures de Géraldine « s’arrêtent » ici !
Je laisse le soin à tous mes lecteurs qui m’ont fait la sensibilité et la joie de suivre mes écrits, de se faire une idée de la suite, voir de spin-off sur les plus grands Conforts de toutes les élèves de l’école, voir même le leur, si l’envie est de l’intégrer.

Les personnages et les situations de ce récit était purement fictifs(quoique…)

Toutes ressemblances avec des personnes et des situations existantes ou ayant existé ne seraient que fortuites(quoique…)

EPILOGUE

Après bien des week-end Confortables et plaisants auprès de sa Maîtresse, qui suivant son humeur en faisait une French maid ou autres, son plus malin plaisir étant d’en faire sa Chienne Caniche.

Géraldine avait néanmoins remporté le premier concours complet du trophée d’été, rapportant ainsi un joli pactole à sa Maîtresse, et pour Maîtresse Xaviera, mettre un peu plus en avant la notoriété de son école.

Lors de son premier anniversaire, où après avoir servi «dessert» à tous les convives, Géraldine avait eu la surprise de se voir offrir une petite voiture rose flashy par sa Maîtresse, pour lui faciliter ses déplacements après tous les engagements qu’elle avait pris pour sa soumise.

En effet, Maîtresse Sandra l’avait laissé à disposition de Maîtresse Xaviera, pour 3 après-midi par semaine, avec en compensation que Maître Laurent et Maîtresse Marina continu son entraînement de pouliche tous les matins qu’elle venait à l’école. Deux autres jours étaient entièrement consacrés à des tournages dans les studios de Maîtresse Maryse, et son week-end était entièrement consacré aux « simples » désirs de sa Maîtresse.

Aux studios, Géraldine retrouvait parfois Joy, qui servait maintenant « d’actrice » ou de « mobilier » pour tous les films de latex en isolation complète.

Elle y croisait également Maura, toujours tenue en laisse par Maîtresse Maryse, trottinant à petits pas sur la pointe de ses ballets boots roses munis d’anneaux reliés l’un à l’autre par une courte chaîne, tout en tortillant son petit cul remodelé, toujours largement comblé d’un plug gonflable et vibrant rose, dont la poire se balançait entre ses cuisses toujours gainées de bas résilles roses.
Elle était toujours gracieusement maquillée et coiffée de chignons blond platine, seule sa tenue était toujours identique.

Son nouveau corps remodelé avait sa taille considérablement amaigrie, toujours cerclée par un étroit corset assorti à sa minuscule robe de Sissy en latex rose, ce qui lui faisait ressortir ses gros seins annelés, qui en débordaient allégrement, tout comme sa nouvelle « anatomie » de Sissy Slut soumise, que les courts volants de sa robe ne cachait en rien, laissant voir son ridicule « bout de chair », seul vestige de son ancienne masculinité, annelé de son prince Albert muni d’un gros grelot, surmonté d’un tatouage « M » en lettre gothique, et par lequel sa Maîtresse la promenait en laisse.
Ses bras étaient toujours entravés, soit pris dans un armbinder assorti à sa tenue, ou fixés aux anneaux de son corset. mais dans ce cas, ses coudes étaient étroitement enserrés dans son dos, pour lui faire ressortir encore un peu plus son opulente poitrine annelée et grelottante, dont les anneaux étaient le plus souvent reliés par des chaînes à l’anneau de sa langue étirée, qui s’échappait du large ring-gag de son harnais de tète associé à son collier de maintien, où pendait un large tag « CUM SLUT »

Après de les résultats très satisfaisant de ses évaluations dans les cours des Jumelles, Maîtresse Maryse en avait fait une « remonteuse en régime » pour les artistes qui perdaient parfois en efficacité lors des tournages.

Sa langue et sa bouche, une fois libéré de leurs entraves faisaient des « miracles », et parfois ses mains aux longs ongles roses avaient également le droit de prendre les membres des acteurs pour les caresser, quand la quantité était trop importante, et faire patienter, Maîtresse Maryse se gardant l’exclusivité de l’intimité de sa Sissy Slut.

Le reste du temps, la Sissy Slut Maura était aux « petits soins » pour sa Maîtresse adorée, qu’elle servait de son mieux, malgré les traces sur les fesses qui attestaient de certaines de ses erreurs ou des sautes d’humeur de sa Maîtresse.

Maîtresse Maryse se promenait également accompagnée de Alexandra, devenue Alexa, sa chienne caniche blanche à corset et gros nœud rose, qui lui servait également de cendrier, depuis le jour où elle l’avait acheté à la dernière vente aux enchères de l’école, où Maîtresse Xaviera avait fait exposer la dernière expérience de transformation de l’école, en la personne de la soumise oursonne rose de 1metre 80, et qui pesait 150 kilos, propriété de Maîtresse Samantha, dans le  « tube » et son Confort, ce qui avait fait grande sensation.

Durant son séjour à l’école, l’oursonne avait été suspendue des cours de mise en beauté, pour passer plus de temps dans les autres cours, surtout celui de maintien, car l’apprentissage de la marche en ballet boots lui avait été difficile vue la prise de poids désiré par sa Maîtresse.

Au désir de Maîtresse Samantha, son système pileux avait également été accentué par de la testostérone, pour être ensuite teinté en rose, tout comme ses sourcils roses redessinés, qui surmontaient ses yeux maquillés d’un épais trait de eye-liner tatoué, et lourdement maquillé de sombre et agrémenté de très longs faux cils.
Sa bouche aux lèvres siliconées et pulpeuses colorés de noir pailletté assorti à ses yeux, était muselée par un large ring-gag muni d’un modulateur, d’où sortait sa langue annelée et reliée par deux chaînes tendues aux larges anneaux de ses mamelons, lestés également de lourds grelots, et d’une lourde chaîne les reliant entre eux.
Sa coupe de sa chevelure rose taillée en brosse longue, dont les cotés dessinaient des accroche- cœurs sur ses joues pomponnées, ne cachait rien de ses oreilles bardées de plusieurs anneaux, bardés de chaînes, toutes reliées à son large anneau nasal, tandis que le haut de son harnais ring-gag était agrémentée d’un gros nœud de dentelle noire pailleté.
Ses poignets étaient cadenassées à son corset de cuir vernis serré au maximum par les soins de sa Maîtresse, et qui surplombait un tutu de dentelle ultra court assorti à sa coiffe, laissant ainsi bien voir ses roses pattes poilues aux longues « griffes » noires assorties à son maquillage, et qui étaient toutes munies d’un anneau pouvant éventuellement être raccordées à son corset, et qui pour l’exposition étaient toutes cadenassées à leur jumelle de l’autre patte.
Son large collier de maintien assorti à son corset, était également raccordé aux larges entraves de ses poignets par de lourdes chaînes, tandis que ses chevilles entravées par la barre d’entrave en « T » inversé, lui imposait un équilibre précaire sur ses ballets boots de cuir vernis, mais qui ne lui affinaient pas ses jambes aux grosses cuisses, surplombées des seules choses épilées de son corps, ses fesses, où rentrait l’axe au plug gonflable relié au gros bouton rouge, qui la maintenait stable, et son pubis tatoué d’un « S », qui surplombait son sexe bagué et annelé d’un prince Albert, qu’un traitement à la crème « relaxante » avait rendu totalement flasque et sans réaction, même quand son anus se dilatait sous l’effet du gonflement extrême du plug, dans un grognement de plaisir.

Une fois la vente close, Maîtresse Xaviera avait ouvert le bal avec Maîtresse Samantha, en faisant danser son oursonne à grands coups de fouet.
L’oursonne soumise couinant à chaque coup, sa Maîtresse ne ratant jamais la cible de ses fesses, qu’elle avait comblé d’un plug de chasteté, muni d’une queue pompon rose dés sa sortie du tube, tandis que le fouet de Maîtresse Xaviera cinglait le reste de son corps velu.
La danse finie, la petite Maîtresse Samantha, dont le corps charnu était drapé dans l’étroitesse d’une robe de latex bleu électrique, assorti à tous ses accessoires et à son maquillage, faisant ressortir sa chevelure châtain cuivré, presque rousse exhiba son oursonne de deux mètres, la tenant en laisse par sa langue annelée pour la promener tout au long de la soirée, la faisant trottiner sur ses ballets boots entravés par une lourde mais très courte chaîne, ne s’arrêtant que pour recevoir des compliments sur la particulière transformation de son oursonne soumise, qui répondait maintenant au nom de « PINKY, SLUT BEAR », comme le signalait la grosse médaille accrochée à l’anneau central de son collier de maintien.

Quand à Slutty, après un redoublement, qui lui avait fait parfois visiter le chenil ou le donjon, ses évaluations avaient enfin autorisé sa sortie de l’école, qui avait commencé par une croisière, ou elle avait tenu compagnie à Maître Erik et de quelques uns de ses amis, croisière qu’elle avait fait le plus souvent encordée en suspension sur le ponton, tout en étant souvent très « occupée ».

Elle était ensuite revenue au service de Maîtresse Sandra, mais avec un statu beaucoup moins souple, mais tout aussi Confortable que celui de Géraldine.
Elle devait se lever tous les jours vers 6h, pour être prête pour le réveil de sa Maîtresse et le service du petit déjeuner, pour ensuite s’occuper de l’entretien de la propriété pendant le restant de la journée, parfois sous la surveillance « assidue » de Maîtresse Sandra, qui avait arrêté de travailler, faisant fructifier ses actions et l’héritage de Géraldine.
Elle était également déposée dans un supermarché deux jours par semaine pour y faire les courses, toujours joliment pomponnée et simplement vêtue soit d’un ensemble vinyl rose flashy constitué d’un petit blouson entre-ouvert sur sa poitrine, où pendait la courte laisse de son collier, et d’une jupe ultra courte qui dévoilait parfois son large plug anal à la vue des plus attentifs, ou d’un mini tee- shirt ultra-moulant rose, qui laissait voir son récent piercing de son nombril, mais surtout les anneaux de ses seins au travers du tissu tendu, tandis qu’un minuscule short lui bloquait son large plug dans ses petites fesses, qu’elle se devait de tortiller en poussant son caddy, trottinant sur ses longues jambes fuselées, chaussées de hautes plates formes assorties à sa tenue, laissant voir un tatouage à une cheville en forme d’as de pique, avec un « Q «  en son centre et surplombé d’un « BITCH » .

Ce tatouage lui avait été fait lors d’un « enlèvement » organisé par Maîtresse Sandra, pour lui apprendre de ne plus s’écarter du chemin de ses courses, comme elle l’avait fait une fois ou deux.
Cinq grands noirs cagoulés l’avaient enlevé dans un camion, pour l’emmener dans un hangar désaffecté, où elle avait subi diverses perversions pendant plusieurs jours, maintenue dans une totale angoisse par ses geôliers, qui lui disait « qu’elle serait vendue comme de la simple chair fraîche », sans se douter que sa position avait toujours été définie grâce à une puce GPS, dont les soumises étaient toutes pourvues durant leur opération de modification subi à l’école.

Elle fut « libérée » par le gang de Maître Anthony, ses geôliers l’abandonnant dans ses solides entraves en suspension, avant de retourner discrètement sur les plateaux de tournages de Maîtresse Maryse, la laissant ainsi pleinement « profiter » de ses libérateurs.
Depuis ce jour, sa Maîtresse lui avait dit qu’elle avait une dette à rembourser auprès de Maître Antony, et qu’elle en serait le paiement, ne sachant rien du contrat financier entre sa Maîtresse et son libérateur, qui offrait 80 pour 100 de ses gains pour Maîtresse Sandra.

Ainsi, dés que Géraldine était rentrée, Slutty était emmenée dans l’hôtel privé de Maître Anthony, pour y être consommée par une clientèle très demandeuse de perversités des plus diverses, elle y retrouvait parfois Tammy, qui était déjà suivi d’une bonne réputation, pour y avoir déjà travaillé avant de devenir la propriété de Maîtresse Elsa.
Suivant l’humeur de Maîtresse Sandra, Slutty passait parfois le week-end à servir auprès de sa Maîtresse, surtout si elle recevait, mais cela se finissait souvent pour elle par une sévère punition, ou passez la semaine en tant que Pink Lady docile dans les doux Conforts découverts entre les mains de Maîtresse Xaviera, l’obligeant à rester ainsi pour ses soirées de services dans l’hôtel privé de Maître Anthony, ce qui lui faisait parfois doubler ses gains.

Mais à l’hôtel particulier, c’était surtout Anale, qui attirait le plus de regards, son nouveau corps était très demandé, oublié les muscles saillants qui avaient totalement fondus faute d’exercices, de chirurgies, d’hormones et de nourriture minimale.
Les neuro-stimulants, l’éducation assidue et ses modifications physiques durant son séjour à l’école de Maîtresse Xaviera, avaient fini de complètement la casser.
Elle avait en plus été le souffre douleur des jumelles, qui a grande dose de cocktail, lui avait appris que sa bouche et son anus n’étaient là pour être ouvert à qui les désireraient, en les disloquant avec de multiples accessoires.
En temps que très mauvaise élève à ses débuts au sein de l’école, elle avait passé beaucoup de nuits au donjon ou au chenil, où Hugo et sa perverse perceptrice, souvent accompagné de sa compagne infirmière avaient montré énormément de subtilité pour finir de lui détruire son mental avec des punitions des plus inventives, parfois étouffantes, électriques et neuronals, pour faire de Anale ce qu’elle était maintenant.

A son retour auprès de son Maître, Anale n’était plus qu’une docile Salope Soumise prête pour l’abatage, devenue avide de sexe passif, et devint vite très rentable pour son Maître, qui laissait les dominants utilisés son corps comme bon leurs semblaient.
Son Maître l’exposait toujours en début de soirée, debout au centre du salon principal, sa tête rejetée en arrière par ses longs cheveux blonds platines tirés en natte et reliés à un crochet anal qui s’insérait dans d’un énorme plug de métal creux, recevant des « petites »impulsions électriques à intervalle irrégulier, la faisant couiner et se tortiller dans ses entraves comme une bonne chienne soumise.
Elle était retenue par une simple laisse fixée au plafond reliée à son anneau nasal et à l’ anneau de sa langue percée, qui s’étirait au milieu d’un large ring-gag, découvrant les trois piercing qui l’ornait, juchée sur des plates formes vertigineuses avec une barre d’écartement lui bloquant ses longues jambes fines, gainées de bas de soie attachés aux jarretelles de son corset qui lui enserrerai sa taille devenue si étroite, après l’ablation de six cotes, que ses longues mains aux ongles extrêmement longs au vernis assorti à son rouge à lèvres en faisait maintenant le tour, chacun de ses doigts étant bloqués dans des anneaux prévus pour eux sur le corset, tandis que ses coudes étaient rapprochés presque à se toucher dans son dos, faisant ressortir ses gros seins en bonnet E, qui avaient remplacé ses pectoraux.
Ses seins étaient annelés de lourds anneaux aussi large, que les multiples créoles qui ornaient ses oreilles, ou le ring-gag qui lui écartelait sa bouche siliconée, aux lèvres maquillée d’un tatouage noir qui dessinait le « O » du WHORE que lui avait fait tatoué son Maître en lettres gothiques sur ses joues.
Ses yeux avaient eux aussi subi de la chirurgie, et étaient maintenant dessinés en amande, surmonté de sourcils tatoués, et lourdement chargé en maquillage.
Son cou devenu tout fin était toujours cerclé d’un large collier de maintien de cuir noir assorti à son corset.
Au milieu d’autres tatouages très explicites, trônait celui d’appartenance à son Maître, au-dessus de son petit clito inutile et flasque bagué et percé d’un prince Albert, et dont les attributs portaient eux aussi de nombreux anneaux.
Quand a son postérieur, largement occupé par son énorme plug ouvert de métal, il portait de nombreuses marques des derniers jeux pervers subis, et était surmonté de son tatouage de lettres gothiques « BITCH FUCKED », qui ornait l’emplacement de son coccyx, où son Maître avait rajouté un « FOREVER ».

Mais depuis peu, elle faisait l’objet d’une attention particulière d’un petit Maître bourgeois noir, qui avait la réputation d’être un « étalon » increvable.
Il la prenait chaque soir, depuis qu’il était tombé sous le « charme » particulier de cette soumise, dont les lèvres et la langue aux nombreux piercings, et qui une fois libre, savaient s’occuper avec beaucoup de ferveur de son sexe pour le mettre en condition, tandis que ses yeux ne pouvaient trahir le réel plaisir qu’elle prenait sous ses sévères « soins » dans les diverses positions entravées, qu’il lui faisait subir avant de remplir son accueillant anus de son sperme, après d’interminables pénétrations ou de fist fucking.
Il avait fait une offre alléchante à Maître Alexis pour son rachat, voulant en faire sa Sex Doll, après une dernière « modification » qu’il avait prévu, pour avoir vu le résultat sur la soumise de son associée de sa société de production pornographique.
En attendant, le contraste de la blancheur laiteuse de la peau tatouée et la taille de Anale, tortillant son postérieur sur ses hauts plates formes à talons, qui lui faisait dépasser largement les deux mètres, et de son futur Maître, lui arrivant à la hauteur de la poitrine, qui l’entraînait dans une des suites spéciales, en la tirant par sa laisse reliée à sa langue et à son anneau nasal, après l’avoir fait longuement couiner sous d’insistantes impulsions et de « caresses » dans le salon principal, faisait à chaque fois une énorme sensation.

Mais n’oublions pas la petite Kitty, la petite chatte de compagnie aux nombreux « pelages » pourvu de multiples accès, et qui malgré un petit clito qui n’avait plus quitté sa minuscule cage, mais était rempli d’excitations permanentes provoqué par le cocktail journalier que lui imposait sa Maîtresse depuis sa libération du chenil, un secteur maintenant « surveiller » par une couinante vigile en la personne de BITCH 773, maintenant tatouée à vie sur le front et équipée d’un large collier et d’entraves de métal soudées, auquel le Maître pouvait ajuster les boules d’isolation.
Chaque visite provoquait à la petite Kitty, un frisson d’angoisse, quand elle accompagnait sa Maîtresse pour assister parfois à l’entraînement de Géraldine, laquelle se voyait confier la garde de la chatte de la Directrice, avec certaines directives pour qu’elle ne «s’ennuie» pas les après-midi, où Maîtresse Xaviera s’occupait personnellement de certaines élèves ou des nouvelles recrues de l’école.

Mais le soir venu, la Duchesse de salon retrouvait le Confort du Canapé, solidement muselée et entravée par les soins de sa Maîtresse, qui se délectait de jouer à l’exciter tout les soirs, lui soufflant parfois la fumée d’une de ses longues cigarettes, qui finissait toujours dans la gorge de la pauvre Maude, devenue cendrier permanent, même dans les appartements de la Directrice.
Ayant pris la Sissy Slut Amanda à son service pour les repas du soir, et entre autre chose le ménage quotidien des ses appartements, ou même parfois pour « jouer » avec sa chatte.
Maîtresse Xaviera avait ainsi toutes libertés pour garder sa chatte entravée, ou dans sa catsuit tous les soirs, et faire jouer ses mains Câlines et exploratrices, ne la « libérant » que pour la nuit, l’entravant différemment pour la détendre, et mieux la Câliner, tandis que Amanda se retrouvait attachée au lit à baldaquin, ou seule entravée dans le salon, allongée sur la moquette au coin du feu, s’endormant sous les « gémissements « inaudibles du cendrier, et surtout les miaulements ou les ronronnements de la Duchesse de Maîtresse Xaviera.

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