Le dancing
* * *
Quel dimanche d’hiver maussade en perspective. Froid, pluie et grisaille. Un peu de feu dans la cheminée. Allait-on rester désœuvrés ?
« Et si on allait au dancing rétro cet après-midi ? »
« Tu ne sais même pas danser ! »
« C’est pas grave, tu te feras inviter par des spécialistes »
« Et ? »
« Eh bien, tu danseras avec eux »
« Serrée ? c’est ça ? »
« Boh, comme tu le sentiras, ben oui »
…
« Ouais, allez, pourquoi pas, …bon, je vais me changer… je m’habille comment ? »
« ben, en tailleur –tu sais ton petit tailleur noir très doux- puis… »
« puis, quoi ? »
« beuffff, je ne sais pas moi… tu pourrais mettre des bas à couture noirs fins, la guêpière noire, avec tes escarpins… »
Tout de noir vêtue, cinq minutes plus tard, Jeannine redescendit l’escalier. Immédiatement, je jaugeais le côté sexy de sa tenue. Tailleur noir en tissu fin et doux, avec une jupe mi-longue, mi-sage, mi-coquine – aux genoux mais fendue jusqu’à mi-cuisses. Surtout, je reluquais avec enchantement la couture des bas nylon finement arachnéeens, qui laissait supposer la présence d’un porte-jarretelles ou une guêpière.
« T’as mis quoi, dessous ? »
« La guêpière en tulle et dentelle et c’est tout », dit-elle en écartant un peu les pans de sa douce veste directement à même la peau.
« Super, ouais tu es super-belle comme ça ! sexy BCBG quoi !»
Le ton était donné.
Enfonçant le clou, elle chaussa ses escarpins vernis à bride en cuir noir et talons hauts, qui mettaient bien en évidence le renfort de la couture des bas fins aux talons : « je ne sais pas trop si je pourrai danser longtemps avec ça aux pieds… tu prendras une paire de rechange, au cas où. »
Effectivement, je pris mon petit sac en bandoulière, où je rangeais ses autres escarpins noirs à talon plus bas à côté du caméscope.
D’un coup de voiture, nous voilà rendus au dancing.
Le portier resta un moment silencieux devant l’apparition et nous fit prestement entrer, en hélant son collègue ‘placeur’ afin qu’il nous réserve une bonne table.
Pas de doute, ils n’avaient que rarement l’habitude d’aussi beau linge. Lentement, nous entrons dans la douce pénombre ce dancing, où une ambiance feutrée nous précédait. Se déhanchant imperceptiblement sur ses escarpins, ma femme me précéda et je pus jauger du bel ondulé de sa croupe sous sa jupette ajustée, de la droiture de ses coutures sur ses bas hyper-fins… et je pensais que le « public » en faisait de même. Le gars nous invita à nous asseoir face au bar, à une table basse avec une confortable banquette en velours sombre. Dans la foulée, un serveur –reluquant bien ma femme au passage (était-il probablement un peu « indic » des bons coups ?)- vint nous offrir deux flûtes de champagne de bienvenue en nous disant aimablement que l’on pourrait commander par la suite.
Quatre ou cinq couples dansaient un paso-doble sur la piste à moitié vide. Par contre, malgré la pénombre, nous vîmes immédiatement après notre entrée plus d’une dizaine de paires d’yeux masculins d’un âge certain lorgner attentivement dans notre direction… mais pas trop ostensiblement tout de même, afin de garder une certaine réserve. Il y avait de tout, pas mal de vieux ringards, quelques jeunes venus chercher une aventure facile… enfin quoi, pratiquement que des types.
Confortablement installés, chacun sur un fauteuil, nous voulions signifier aux danseurs potentiels, que ma femme était invitable. Plusieurs morceaux défilèrent sans que nous n’ayons bougé d’un centimètre de nos fauteuils… Ma femme croisant et décroisant ses jolies jambes, gainées des bas fins éclairés par les lueurs blanches, faisant se balancer dans le vide ses jolis escarpins bandants.
Une valse sonna le déclic. Un peu timidement, un vieux grisonnant moustachu s’approcha de notre table, alors que les mesures endiablées de la valse emplissaient la sono. D’un geste hésitant, il fit mine de l’inviter à danser. Illico, elle se leva, se dirigea droit sur lui et se colla immédiatement contre ce bélâtre un brin surpris de tant d’ardeur : aussitôt ils se soudèrent sur la piste en tournoyant. Leurs corps s’épousaient et je n’avais pas souvent vu une valse aussi lascive… les autres types aussi. Leur couple devint donc immédiatement la cible de tous les regards, malgré les autres couples qui se démenaient. Elle se colla à lui sans équivoque, les bas-ventres se touchaient et se frottaient étroitement en tournant sur le rythme enlevé ; le cavalier grisonnant l’enserrant au niveau de la poitrine et la maintenant plaquée avec sa main dans le bas du dos, juste à la naissance du rebondi des fesses ajustées sous le fin tissu de la jupe souple. Les cuisses des deux danseurs intercalées et imbriquées tournaient en cadence. Les autres mecs, surpris de voir cette belle femme a priori « pas seule » se laisser emporter « collé-serré » par un danseur inconnu, zyeutaient les jambes fines et les escarpins, édifiés par les coutures des bas noirs sans équivoque, bien mises en évidence par la fente de la jupe, qui s’entrouvrait encore plus au rythme de la danse. Ils enviaient très certainement le vieux de pouvoir frotter sa queue contre ce beau linge.
De mon côté, commençant à bander, j’observais toute la scène d’un peu loin. Je pouvais contempler les bas-ventres imbriqués lorsque le couple danseur se rapprochait de moi en bout de piste et, le plus discrètement possible, je commençais à filmer cette première danse avec mon caméscope silencieux. Un client, la soixantaine, grisonnant, assis sur un pouf en bord de piste non loin de moi, n’en perdait pas une ; deux ou trois plus jeunes à l’air bien vicelard, s’imaginant un coup facile, lorgnaient régulièrement dans notre direction. Leurs yeux étaient à hauteur des fesses de ma femme et le vieux mec la reluquait, ainsi que son danseur-frotteur, avidement sans aucune retenue, les yeux rivés à la fente de la jupe qui dévoilait régulièrement le liseré plus foncé de la bande supérieure des bas à couture. Il se tourna un court instant vers moi pour constater probablement un léger sourire béat sur mon visage… et demeura étonné par le fait que je filmais. Il se douta de quelque chose de bon. Les ‘jeunes’ me voyant filmer s’étaient rapprochés car ils avaient bien envie d’être de la fête.
Tous se dirent qu’un « coup » se préparait et ils n’avaient pas l’air de vouloir laisser passer une si belle occase.
J’étais fier de la beauté de ma femme et du spectacle sexy qu’elle provoquait, des envies qu’elle devait faire naître dans les yeux et la tronche de tous ces danseurs interloqués par cette jolie présence inhabituelle dans ce dancing rétro, où habituellement ils ne devaient pas trop avoir de beautés à se mettre sous la dent.
La valse prit fin et, naturellement, ma femme se détacha de son danseur en le remerciant d’un sourire. Le mec, planté au milieu de la piste, se retrouva gêné par une trique d’enfer qu’il ne put dissimuler. D’ailleurs, je zoomais à bloc sur sa queue bandée dans son pantalon. Tous les autres types purent constater cette bandaison et voir la barre significative de l’état d’excitation dans lequel la valse avec le corps lascif de ma femme l’avait laissé.
Nonchalamment et en souriant ma femme vint se rasseoir à mes côtés. Elle but quelques gorgées de champagne, montrant bien ses cuisses et ses bas en se rasseyant… ce qui n’échappa à personne. Enchaînement hispanique avec un paso-doble tonitruant : le type qui était assis à mes côtés ne laissa pas passer son tour et, devançant tout le monde, se précipita pour l’inviter. Ma femme accepta aussitôt sans sourciller. Enchanté, le mec essaya de se coller le plus possible à elle, du moins autant que le permettait la danse, ce qui était moins évident. De temps en temps la veste de son tailleur s’entrouvrant généreusement, je le voyais qui lorgnait sur le tulle et la dentelle noire de la guêpière. Il avait dû se rendre compte qu’elle ne portait rien d’autre que cette guêpière noire sexy-aguichante sous sa veste. Oserait-il aller poser ses pognes directement sur ce soyeux tissu sexy de la guêpière ? Par contre, les tournoiements du paso permettaient de voir se soulever un brin la fine jupette et attiraient les regards sur les belles jambes fines et les escarpins vertigineux (à ce moment, je me mis à avoir peur que ma femme réclame les autres chaussures à talon un peu plus bas… mais non… ces talons hauts sont tellement sexy ! elle le savait et les gardait !… elle voulait agacer les types.).
Peu à peu un simili attroupement s’était formé. Déjà intrigués par la valse de tout à l’heure, les types de tous âges peuplant ce dancing –il n’y avait que très peu de femmes et encore plutôt du genre bobonne pas très chouette- s’étaient peu à peu rapprochés de cette piste de danse pour mieux admirer ma femme accolée à son danseur. Grosso modo, ils étaient un bon nombre proches de la soixantaine ou l’ayant dépassée, avec des temps grisonnantes ou des calvities et petits bedons éloquents, quelques vieux-beaux… et aussi quelques jeunes –pas mal ma foi et que ma femme reluquait avec appétit- mais surtout, la quasi totalité d’entre eux avait l’air bien vicelard de celui qui vient chercher la bonne affaire… une bourgeoise à emballer, une chatte à lever. Ils flairaient donc le bon coup… surtout en me voyant filmer.
Ma femme, tout en dansant, jetait des brefs regards alentour. Elle avait pu se rendre compte, à sa plus grande fierté de femelle qui se veut séductrice et à mon plus grand plaisir de mari heureux de la voir matée avec application par des vieux vicelards bavant d’envie, que (presque) tous les mecs peuplant ce dancing n’avaient d’yeux (exorbités d’ailleurs) que pour elle… rien que pour ses jambes, ses bas noirs fins à couture et ses escarpins, pour sa jupette sous laquelle ondulaient ses fesses en rythme –la fente arrière suggestive et sexy polarisait les regards-, enviant tous le danseur qui la tenait entre ses pognes. Il faut dire que voir danser ainsi la valse ou le paso une jolie femme en tailleur noir plutôt BCBG, avec des bas à couture et des escarpins noirs était très très sexytant : cette fente arrière coquine de la jupe présentait l’avantage de dévoiler très haut ses cuisses à certains mouvements, à un point tel que la chair blanche du haut de ses cuisses nous apparaissait par instants fugaces en haut du liseré des bas noirs… sans qu’elle s’en aperçoive franchement (mais elle devait bien s’en douter la coquine). Elle avait pu voir aussi que je filmais par intermittence quelques passages… du coup, elle se colla de plus belle, telle une liane érotique, au corps de son danseur comme pour mieux m’affoler. Jusqu’où allait-elle aller ?
Le disc-jockey s’étant probablement aperçu du jeu érotique enchaîna avec un tango. Alors que ma femme prenait congé de son précédent danseur, qui lui aussi resta planté au milieu de la piste avec une trique d’enfer que tous les mecs –et mon camescope- gardèrent gravés dans leur tronche, un autre type l’invite sans qu’elle eut le temps de regagner sa place. Evidemment, vu la danse, le mec s’accouple à elle immédiatement et le tango devint vite très lascif, pour le plus grand plaisir du danseur bien sûr mais aussi des autres types qui mataient l’avancée de ma femme dans son processus d’encanaillerie.
Alors la, le gars, profitant des mouvements lents et appuyés du tango, paluchait de plus en plus ouvertement ma femme, au vu de tous.
Ses pognes allaient et venaient sur sa croupe à la chute de ses reins, au ras de ses seins sur le doux tissu de la guêpière qu’il avait investi sous la veste ouverte. Il plaquait ma femme contre lui, remontant de ce fait encore plus haut sa jupette, dévoilant à tout le monde ses bas noirs à couture jusqu’en haut, sa main, doigts en éventail sur ses fesses, appuyant sur le haut du cul de ma femme pour que son bas-ventre vienne au contact de sa queue bandée dans son futal.
J’entendis quelques murmures, des « hmmmh ! » admiratifs, des « ouaouh ! » « ça devient chaud !» d’encouragement et d’extase visuelle. Deux types me regardèrent en souriant d’un air complice et interrogateur ; l’un d’eux se passa même une langue gourmande évocatrice sur les lèvres. Je leur répondis par un petit geste silencieux leur signifiant qu’il n’y avait pas besoin de s’affoler et que leur heure allait venir. L’autre type leva le pouce vers le haut, avec une moue ébahie des lèvres, pour m’indiquer que c’était du « top niveau » que j’offrais à ce dancing.
Puis survint une courte pause, de la musique un peu plus endiablée reprit. Ma femme vint se rasseoir à mes côtés en se trémoussant.
Tout en finissant son verre, elle me dit : « on nous invite à boire un coup dans la deuxième salle, où ils ne passent que des tangos et des danses calmes, on y va ? »
« Oui, oui, comme tu veux, bien sûr, je te suis », enchanté et hypocrite que j’étais. Aussitôt son « cavalier » la reprend et l’emmène dans la deuxième salle, en la tenant par la main… comme une conquête.
Fébrile et émoustillé, je suis (aussitôt imité par les autres types, dont ses deux premiers cavaliers) : dans cette salle, l’ambiance est plus feutrée, il fait plus sombre, la piste de danse est plus étroite et c’est presque désert (je discerne quelques rares couples sur des banquettes).
Là le tango devient très très lascif sous les regards attentifs des quatre ou cinq types qui ont suivi et restent debout près du couple danseur.
Probablement enhardi par la pénombre et mis en confiance par le fait que ma femme l’a suivi à lui, son danseur l’empoigne encore plus fermement face à lui. Leurs deux corps et aussi leurs sexes sont maintenant face à face. Le gars appuie ostensiblement son bas-ventre contre la jupe de ma femme, qui ne se dérobe pas. Là, plus de doute, il trique dur contre sa moule appuyée et plaquée sous la jupe qui remonte, remonte… toujours plus haut. Son autre pogne agace les seins par-dessus la guêpière, écartant de plus en plus la veste.
Puis soudain, un enchaînement amène des slow. Alors là, le ton monte… la chaleur aussi. Je n’attendais que ça mais ma femme aussi je crois. Les deux corps s’enlacent encore plus, je filme à fond et je bande dans mon froc de voir ma femme paluchée, serrée, collée à ce type, lui provocant une méga trique que je n’arrive même plus à voir, tellement ils sont serrés. Je bande aussi car je sens autour de moi la fébrilité, l’excitation et l’impatience gagner les autres types : certains se penchent sans vergogne pour zyeuter sous la jupe de ma femme, quelques-uns s’approchent lentement dans la pénombre du couple dansant imperceptiblement. Appuyant encore plus sa queue à travers les tissus, le danseur toise ma femme du regard puis l’attaque et d’un coup vainqueur lui roule une galoche devant nous tous. La coquine salope répond avec véhémence et leurs langues se dardent. Le gars se met à lui faire un super paluchage sur toute la ligne. Les autres types me jettent un coup d’œil pour voir ma réaction : je ne bronche pas, je continue à filmer. Ils sont dédouanés et édifiés : c’est l’affaire du siècle. La veste s’ouvre complètement, les autres voient ses seins et sa guêpière, la deuxième main enserre son cul, remonte sa jupe et ses bas sont la proie de toutes les paires d’yeux des mecs affamés.
Alors, elle, oubliant toute retenue, met sa main dans son pantalon et plonge son avant-bras. Plus de doute pour les gars: le coup est parti !
Le danseur affolé et surexcité caresse ses seins, qu’il dénude en titillant les bouts qui dépassent de la dentelle de la guêpière noire… puis il plonge sa tête et lèche un téton au vu et au su de tous. Je filme.
Les autres reluquent comme des malades et tournent de plus en plus près autour d’eux. Un gars s’enhardit et vient se coller au couple dansant : il se met à danser le slow à contre-temps dans le dos de ma femme et sa queue bandée à travers son futal vient s’appuyer contre les fesses offertes à travers le fin tissu de la jupe. Ma femme, à peine interloquée, tourne un peu la tête, toise un instant le gars qui plonge aussitôt vers sa bouche entrouverte et se met à lui rouler une galoche.
Les deux gars, sentant qu’il faut faire monter la température, paluchent ma femme à pleines mains, au vu et au su de nous tous, remontant sa jupe jusqu’au-dessus des bas, dénudant ses tétons au ras de la guêpière et la coincent fermement entre leurs bites bandées à travers les étoffes. Aussitôt un petit groupe se forme près du trio danseur, je n’ai plus d’angle de vue pour filmer et je m’en désole. Ce n’est pas le cas des types affamés qui viennent se presser autour du trio hard-danseur. Les pognes commencent à fuser de tous côtés, la jupe de ma femme est pratiquement remontée à la taille, sa veste lui est enlevée, des bouches goulues se mêlent aux trois danseurs, galochent ma femme ou sucent ses bouts de seins. La curée est lancée. C’est un véritable essaim de mecs de tous âges –surtout des vieux d’ailleurs- qui gravite autour de ma femelle livrée sur la piste de danse et les mains de ma femme, à moitié ballantes pendent le long de son corps à la recherche de bites à flatter et à masser à travers les pantalons, puis dans les braguettes que les mecs commencent à défaire. En effet, je vois un à un les types baisser leur fermeture éclair et extirper leurs queues des pantalons pour mieux se faire branler en direct ou venir frotter les glands contre le haut des cuisses de ma femme, à la douceur du nylon, tutoyer une fesse, la culotte. Ma femme a rapidement trois à quatre bites à branler autour d’elle et ses mains s’activent sur les colonnes de chair qu’elle agace et branle avec un plaisir évident, alors qu’ils la galochent à tour de rôle, dardant leurs langues la bloquant ainsi. Elle est dépoitraillée maintenant, sa jupette est descendue et enlevée. En bas escarpins et guêpière noire ma femme est maintenant entièrement livrée aux mains et aux queues des pseudo danseurs qui l’encerclent de très près, frottant leurs dards contre elle. Là je peux filmer à nouveau car les gars, fiers, l’exposent à ceux qui ne se sont pas encore mêlés au jeu et à moi car ils se doutent que j’adore la voir ainsi. Le disc-jockey augmente son éclairage et concentre le faisceau sur ma femme et la grappe de mecs bandant autour d’elle. Je vois des bites aller et venir le long de ses bas, des glands branlés dans ses menottes, ses miches assaillies par cinq ou six bouches affamées, elle vole et virevolte au milieu des mecs qui la soulèvent presque du sol. Un vieux à l’air bien vicieux s’est agenouillé et frotte son gland contre ses escarpins, tout en léchant ses bas. Cette coquine l’a senti car elle lui plante le talon entre les jambes pour mieux l’exciter. Ce faisant elle écartèle un peu son entrejambe et un autre type accroupi commence à lui bouffer la chatte à travers le nylon de sa culotte. Puis il écarte celle-ci et darde sa langue dans la fente probablement très humide.
Alors ma femme, brutalement s’accroupit, descendant d’un seul coup à hauteur des bites. Les gars dégagent bien leurs couilles et leurs dards des braguettes et tous présentent leurs engins aux yeux quasiment émerveillés de ma femme. Alors, commence une longue session de léchage de couilles, de branlage de tiges et de suçage de bites. Les gars se serrent près de son visage épanoui quitte à presque l’étouffer et tous viennent se faire sucer par la bouche gourmande de ma femme. Elle a des queues impatientes qui klaxonnent par-dessus son épaule, d’autres s’amusent dans sa chevelure en attendant leur heure. Elle agrandit sa bouche au maximum pour arriver à en sucer deux en même temps, à titiller trois glands simultanément avec sa langue. Elle lèche les hampes dures et longues, ses mains flattent les couilles. C’est une vraie farandole de bites autour de son visage qui tantôt fixe les dards, tantôt se relève pour sourire d’extase à ses sucés. Parfois la pipe est douce et suave, bouche arrondie, parfois sa langue gourmande caresse en velours la tige sur sa longueur ou s’enroule humide autour d’un gland luisant parfois un gars plus excité empoigne sa tête et enfonce sa queue bien au fond de sa gorge presque à l’étouffer. Cette frénésie de pipes dure un très long moment, tous les gars –une bonne douzaine maintenant- y passent à leur tour. Ma femme ne semble pas vouloir s’arrêter de sucer et de branler des queues. Le disc-jockey (qui n’a pas dû perdre grand-chose du spectacle) dirige un projecteur rouge sur le petit groupe hard, laissant le reste de cette pièce dans la pénombre. C’est le spectacle du jour ! d’autres types rappliquent et s’installent à mes côtés pour mater et se branler, d’autres viennent à quelques mètres de l’essaim de sexe, attendant leur heure. Je surprends un vieux qui est entrain de se branler avec la jupe de ma femme qui traînait sur un tabouret, je le regarde en souriant et je l’encourage même. Il est tellement dédouané –et probablement peu habitué à un tel spectacle- qu’il décharge dans la jupette noire, qu’il décore de son foutre blanc. Bonne âme –et ça me fait bicher- je viens essuyer sa queue avec la doublure de la jupe, le vieux en est tout chamboulé et il tremble comme une feuille en finissant de juter dans la jupe de ma femme que je serre sur sa queue pour la faire dégorger : « vas-y ouais, jute dans sa jolie jupe de salope, ça te fais partir ça hein ? » et le vieux crache toutes ses réserves de foutre dans la jupe de ma femme.
Sur la piste, un autre type a réussi à enlever la culotte de ma femme et après s’être un court instant branlé avec, l’enfouit prestement dans sa poche. Les autres gars précipitent les choses. Ils amènent ma femme sur la banquette près de moi et commencent à se jeter sur elle, l’assaillant de tous côtés. Les pognes, les bites se ruent sur elle qui n’a pas trop l’air d’apprécier. Comme elle tente de se dégager, un vieux beau –le danseur de tout à l’heure- fait un peu le vide autour d’elle et l’installe plus au milieu sur un large pouf, au bord de la piste. Le disc-jockey a bien pigé et il dirige son projecteur sur ma femme. Alors, le vieux la fait se mettre en levrette, caresse doucement ses fesses qu’elle commence à tendre vers le haut, un autre appuie sur le creux de ses reins pour mieux la faire se cambrer et le faisceau rouge du projo illumine le cul de ma femme offert à tous le vieux doigte bien la raie trempée et excite les lèvres du vagin de ma femme offert aux gars.
Un premier gars, hardi et impatient, vient l’embrocher en levrette s’enfonçant profond en elle en douceur, tant sa chatte doit être trempée. Comme elle menace de tomber en avant, deux mecs arrivent de l’autre côté et tout en la maintenant, lui présentent leurs queues à sucer. Prenant appui sur ses mains au bord du pouf, subissant les coups de treuil de la bite qui la ramone –c’est déjà la deuxième !- elle embouche une des queues, alors que l’autre tapote sa joue.
Couvrant momentanément la musique, le disc-jockey dédié à cette pièce –on ne peut plus intime- annonce : « et de trois ! », quand une nouvelle queue vient choper ma femme en levrette. Là elle le sait, ça va être un défilé, un défilé de tous côtés car devant son visage béat plusieurs dards se pointent pour se faire sucer. Le mec qui la besogne, la tenant fermement par la guêpière aux hanches, se régale et y va de bon cœur, puis il se retire et laisse la place à un petit gros bedonnant qui la pilonne aussitôt comme un soudard.
« Quatre ! » martèle disc-jockey et il en rajoute même
« Aujourd’hui, on va entrer dans le guiness des records, il y a une chatte à enfiler en levrette ici, allez-y les gars ! venez choper un beau cul ! y a de la baise ici !»
Et là, je deviens barje de plaisir de voir ce défilé dans la chatte offerte de ma femme, cul tendu éclairé, baisée et rebaisée. Cela devient dingue, j’ai du mal à compter car j’essaie de filmer aussi en écartant les types qui attendent leur tour! heureusement le disc-jockey suit les débats, les ébats plutôt : « onze ! onze queues elle a pris… et ce n’est pas fini ! voilà ! la douzaine, ça y est ! »
Je me demande si tous les mâles de la boîte vont se la faire. Probablement car le disc-jockey semble rameuter les troupes (heureusement encore qu’il n’y avait en tout et pour tout qu’une bonne vingtaine de clients !). Le défilé ne s’interrompt pas, les types approchent un à un, caressent ses bas, ses cuisses, soupèsent ses seins, viennent se faire sucer, frottent leurs glands contre les escarpins vernis pour certains, tutoient les tétons pendants avec leurs glands. La chaleur est grande. Les mecs secouent ma femme, qui dodeline de la tête car certaines bites sont ma foi fort épaisses et doivent bien la remplir d’aise. D’ailleurs elle agite son cul, à la rencontre des bites qui la pilonnent à la queue-leu-leu. Je me régale de voir ces mecs se succéder dans sa chatte, en la saisissant aux hanches ou aux fesses et la besognant vigoureusement. Un vieux qui vient de la limer en levrette, à la limite de l’apoplexie, décharge sur ses escarpins et ses bas, même aidé en cela par sa bobonne qui l’a suivi dans cette baise collective, probablement envieuse du succès de ma femme. Le petit gros bedonnant vient asperger sa guêpière qu’il décore de longues lézardes de foutre blanc. Le disc-jockey monte la musique, éclaire encore plus fort « allez les barmans maintenant ! ».
Alors qu’effectivement tous les danseurs ont bien bourré ma femme et ont plus ou moins déchargé de bonnes rasades de foutre, pour certains en finissant par se faire sucer, je vois un barman arriver, ouvrir sa braguette, extirper un braquemart d’enfer et choper ma femme aux hanches. Il la baise comme une bête, la secoue en cadence en se mettant à beugler : « je lui décharge dans la chatte, je la remplis de foutre cette belle salope, tiens, tiens » et il accompagne ses décharges de coups de reins puissants. Ma femme crie un peu de plaisir plus que de douleur, se sentant inondée. Alors, les deux autres barmans rappliquent, enlèvent leur futal rapido. L’un d’eux s’installe sur la banquette face à ma femme, il l’attire vers lui et elle vient s’empaler sur sa tige démesurée en piaillant comme une mijorée. Le gars la maintient par les bras, l’attire à lui, la galoche profond avec sa langue pendant que l’autre barman doigte le trou du cul de ma femme, aussitôt léché par un vieux langue dardée. Quatre pognes sont plaquées sur le cul tendu et offert de ma femme, dilatent son œillet, deux vieux lui lèchent le cul et la fente, et le deuxième barman l’encule d’un seul coup lent et progressif, tandis que l’autre maintient sa grosse bite immobilisée.
« Sandwich pour tout le monde ! » braille le disc-jockey.
Un nouveau défilé se passe dans le cul de ma femme pour ceux qui tiennent encore la distance. Son cul est d’ailleurs vite rendu accueillant car le deuxième type, un peu rustre, ne se prive pas d’inonder de foutre son conduit afin de mieux le lubrifier pour ses potes : « putain, que c’est bon, je lui décharge dans le cul à cette pute, ah ! elle me fait jouir ! quel cul ! prends mon foutre salope »
Effectivement, après lui, les mecs glissent comme dans du beurre. Ma femme est prise en sandwich à qui mieux mieux. Le barman qui a fini par décharger dans sa chatte, la passe à son voisin, qui, la tête enfouie dans les seins de ma femme, jouit aussi en elle en me regardant les yeux convulsés. « Que t’es belle salope, tu me fais décharger, putain, je te jouis dans la chatte… je lui inonde sa chatte à ta femme » rajoute-t-il en se tournant vers moi, le regard vitreux de plaisir. Cette fois c’est sûr tous les mâles de la boîte se la sont enfilée et ont juté en elle ou sur elle, ses fesses sont décorées de foutre, sa guêpière est pleine de lézardes blanches. Un vieux la déchausse, décharge au fond de son escarpin, puis la rechausse, collant le foutre à ses bas. Un autre vient spermer délicatement sur son front. Plusieurs essuient leur bite dégoulinante sur ses bas, alors que je vois l’autre de tout à l’heure asperger le plancher en reniflant sa culotte.
Enfin, le disc-jockey, ayant encore renforcé l’éclairage avant de quitter son bunker, -on y voit presque comme en plein jour, enfin, on voit surtout le cul de ma femme offert- vient enculer ma femme en la saisissant par les fesses et la lime ardemment avant de se planter en elle : « tiens, prends mon foutre pour finir, tu débordes de sperme salope, que tu es bonne ! ».
Les mecs se rhabillent peu à peu, le cercle se défait, les bobonnes jalouses regardent ma femme avec envie et je reste seul avec elle, épuisée, repue de bites : un beau dimanche après-midi quoi !
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