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Louna.

Louna.



Pour Louna, adepte du pet-play, rencontrée sur ce site.

Louna en chienne.
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J’arrive devant l’hôtel. C’est un beau bâtiment, ancien et classe. La fille de la réception me regarde, pas emballé par mon look…heureusement, j’entends, « Louna? »
« Oui… ». C’est Tin-tin. « Enchantée. » Il m’embrasse. Il est sympa, la cinquantaine, chauve et avec une petite barbe. Je lui souris.
Il me dit, « On va aller t’acheter des nouveaux vêtements. » Je suis ravie, je mets mes bras autour de son cou et l’embrasse, « Ça me fait vraiment plaisir. »
Allez, je l’aime bien Tin-tin. On va dans le centre avec sa voiture. Il connaît la ville. Dans la première boutique, je choisi un corsage rose tout mignon et une mini-mini-jupe. Je le fais venir dans la cabine pour qu’il me donne son avis.
Je me change devant lui. C’est normal, le Monsieur qui me paye des vêtements a toujours le droit de me voir tout nue et même plus. D’ailleurs il connaît cet usage, car il me fait un doigt, non, deux doigts de cour. « Tu ne mets jamais de culotte? » me demande t’il. « Pas en été… »
Puis, j’ai droit à une veste en jeans, parce que le soir il fait frais. Dans un magasin de chaussures, je peux acheter une nouvelle paire de baskets et des sandales à hauts talons qui me font gagner quelques centimètres. Pour terminer un petit bikini. Je lui donne un gros baiser sur la bouche. « Merci Tin-tin chéri »
Après les courses, on va pendre l’apéro. Il a une fameuse descente Tin-tin, il carbure au pastis, petits, d’accord, mais beaucoup. Quand je bois, je fais encore plus la conne que d’habitude, donc je fais attention, mais Tin-tin ne veut pas boire seul. Alors, je fais ce qu’il veut et je m’enfile 3 pastis, à jeun. J’ai la tête qui tourne un peu. …
Après l’apéro, on va manger une bourride le long du port. Tin-tin carbure au Listel, vin blanc du pays, moi aussi… Il me parle requins et me raconte ses aventures…
Au dessert, dame blanche pour lui, moelleux au chocolat pour moi, il raconte des histoires… plus ou moins drôles… sur les blondes aussi, genre,
« Une blonde se balade avec ses deux chiens.
Un petit garçon s’arrête en admiration devant eux.
La blonde demande, « Tu veux caresser mes deux Saint-Bernard? ».
Le petit garçon lui répond : « Oui, je veux bien, mais moi c’est Jacques, pas Bernard. »
Tin-tin imite d’une voix forte le petit garçon, tout en faisant le geste de peloter des nichons. Nos voisins sont surpris. C’est bête, mais le vin aidant, j’éclate de rire.
Il m’interroge aussi sur moi, mais je ne vais pas lui dire comme Jean Philippe Smet : je suis née dans la rue, ouais, dans la rue! Ni que je n’ai jamais connu mon père, que ma mère m’a abandonnée – bah, vaut mieux pas de mère qu’une méchante. Je lui parle juste des centres où j’ai été et des amies que j’ai eues et même des éducatrices…câlines…
Vous allez me dire, de là mon goût pour les chattes! Eh! Vous êtes psy ou quoi? J’aime les chattes, mais je ne crache pas sur les bites…oui d’accord l’image manque de classe, c’est la faute au Listel gris, voilà pourquoi je ne peux pas boire!
Il m’explique aussi – enfin! – qu’on a rendez vous à l’hôtel avec un ami scientifique. Le but étant de faire une sortie en bateau afin d’échantillonner les animaux d’une certaine profondeur et d’essayer de conserver vivant un petit requin de méditerranée, très rare en captivité.
En fin de compte je passe une bonne soirée.
On rentre l’hôtel où l’autre scientifique nous attend. Ils se connaissent déjà,
Tin-tin me présente comme son assistante, avec un grand clin d’oeil. L’autre est sympa aussi, il est surnommé le Prof, car il est…ben, professeur dans une Université. Ils parlent un peu d’Oxynotus, lamellibranches, holothuries et j’en passe…
On monte dans les chambres. Tin-tin lui dit, « Si tu as envie de t’amuser un peu, viens nous rejoindre, mon assistante n’est pas farouche ».
« J’arrive dans 5 minutes. », dit le Prof.
Bon, je sens venir le plan à 3, mais je suis dans l’ambiance.

Et puis… et puis, dans la chambre, tout à coup, l’attitude de Tin-tin change radicalement.
Il sort de drôles de trucs de sa valise : une petite balle, une gamelle, des boites de conserves… Il me dit : « Déshabille-toi, Louna! ». Sa voix n’est plus la même, elle est dure, autoritaire.
Le Tin-tin comique et sympa a disparue.
Il me regarde dans les yeux, son visage tout près du mien, « On va faire un jeu où il faudra obéir, tu comprends??
« Oui, Monsieur ».
On toque à la porte, c’est le prof.
« Je lui explique les règles », dit Tin-tin. « A partir de maintenant, tu es ma chienne, tu n’as plus le droit de parler. Et si tu n’obéis pas tu seras punie. »
Prof a sorti son sexe et le caresse nonchalamment. Oulah!! Que l’ambiance a changée! Et moi avec mon QI de hamster qui trouvait Tin-tin si gentil, si marrant, un peu ridicule avec ses imitations. Ce n’est plus le Dr Jekkyl, c’est Mr Hyde.
Il sort de sa poche un collier de chien, en cuir clouté, pas très large. Avec une clochette au milieu… ça, ça va c’est plutôt mignon, mais il prend aussi une revue qu’il roule très serré et qu’il maintient avec du scotch.
« Tu as bien compris les règles? » je fais oui de la tête. Il sort de sa valise un « butt plug » avec une queue. C’est comme un gros suppositoire de plastique de 10 cm de long en forme de 8 avec un bout effilé et un bout aplati. Le plus grand diamètre fait largement le sexe de Rocco Siffredi et ça se termine par une belle queue en panache qui pend du bout aplati.
« Met toi à 4 pattes! ». Il met le plug contre ma bouche: « Lèche! » je le mouille soigneusement. Il le met contre mon anus. Je pense : décontracte-toi, Louna!! Il l’enfonce d’un coup. Je fais « aaaaaaiiiiiiiiiiii!!! », mon anus se referme sur la partie étroite du milieu. Heureusement que je suis sortie avec des marins!! C’est vraiment dérangeant, j’essaye de pousser pour l’expulser, mais il s’en aperçoit et me donne un bon coup sur les fesses avec la revue roulé. Je fais à nouveau « aaaaiiiiiiiiiiii!! », ça fait vraiment mal ce truc.
La clochette tinte à chaque mouvement que je fais.
« C’est l’heure de manger, Princesse. »
Princesse!! C’était ça ou Mirza. Je geins un peu, que faire d’autre?? Et puis manger!! On sort du resto!
Il ouvre une boite de Canigou et verse le contenu dans une gamelle. Beeuuurrrrkkkk!!! Après la bourride et le moelleux!!! Il lève sa revue. Je plonge le nez dans la gamelle…c’est dégueulasse, pourvu que je ne vomisse pas.
Tin-tin me dit : « Ne vas pas trop vite Princesse, si tu vomis, tu vas le regretter! » Je fais un énorme effort et j’avale…une bouchée après l’autre, sans trop mâcher… Quand j’ai enfin fini, il me fait manger un bout qui est tombé de la gamelle et un peu de gelée dans le fond de celle-ci. « C’est bien Princesse, tu es une bonne chienne. » Il sort d’un paquet quelques biscuits pour chien qu’il me fait manger dans le creux de sa main.
« Tu as assez? ». Je gémis…
« Bien, bien, j’ai compris, tu as assez mangé. Ces petite bête savent se faire comprendre! », le prof et lui rigolent.
« Maintenant, marche en remuant la queue. » Je marche à 4 pattes en remuant mon derrière. Et, oui, j’ai pleinement conscience d’être très, très ridicule. Puis, il prend une petite balle rouge toute rongée, dégoûtante, et me la lance. Je vais la chercher, la prends dans la bouche et lui apporte. Il me donne un bon coup de revue sur les fesses et me dit : « Plus vite!! », ça fait vraiment mal sa revue. Je repars en gémissant et je cours à 4 pattes le plus vite possible. Ma clochette tinte sans arrêt. Il lance la balle aux 4 coins de la pièce. Le prof est ravi de me voir courir à 4 pattes les fesses en l’air.
Il dit à Tin-tin, « T’es champion pour le dressage ».
Celui-ci et euphotique, il m’envoie encore un bon coup de la revue roulée sur les fesses, juste là où il avait donné le précèdent. Ça fait un mal de… chien! Je gémis et je cours derrière la balle le plus vite possible. Je suis toute en sueur et je tire la langue en haletant…
Pour amadouer mon maître, je lèche sa main quand je ramène la balle. Ça a l’air de le satisfaire. « Fais la belle! », me dit-il.
Il me caresse la tête : « C’est une bonne chienne, ça…. ».
Je le regarde avec une soumission, Tin-tin est le maître. Il me caresse la joue. Je lèche ses doigts à nouveau.
« Tu vas aller faire plaisir à mon ami avec ta bouche, tu comprends Princesse? » je pousse un gémissement …affirmatif.
Ouf8! Si ça part en sexe, c’est bientôt fini. Je vais à 4 pattes entre les jambes du prof. Son sexe est tout congestionné tellement il est excité. Il est près de jouir, je le vois. Je lui lèche les couilles, j’ai le nez dans ses poils, il sent fort la transpiration…
Tin-tin vient derrière moi. Aie! Je sais ce qu’il va faire : enlever le plug. Heureusement, il est content de sa chienne et ne l’enlève pas trop brutalement. Ouch!! Je le sens bien ressortir quand même. Il le remplace par son sexe, là, ça va je suis toute ouverte pour l’accueillir. Le prof n’y tient plus et jouit! J’avale tout, je suis bien dressée.

Moi aussi… je sens que je suis prêt de jouir. Heureusement, j’ai un bon maître et tout en me baisant, il glisse sa main sous moi et me caresse la chatte. Ben oui, une chienne a une chatte. Toute mouillée, en ce qui me concerne. Je fais ce que font tous les chiens contre une main (ou une jambe) je me frotte et je jouis…. Mmmmhhhh… C’est bon, c’est la première fois que la chienne en moi, jouit…
Tin-tin se retire sans jouir! Aaah??
Il s’assied et me montre son sexe en disant, « Allez, viens nettoyer, Princesse! »
Bon, son sexe est sale… de moi, mais nous, les canidés, on n’est pas vite dégoûtés. Euh… enfin, pour dire vrai, je préfère encore le Canigou!! Il me regarde…lécher son sexe sale. « Prends le bien en bouche. » me dit-il, « et avale tout… sinon … tu n’auras pas de suuuuuuucre!!! »
Il jouit! Et, bien sûr, Princesse avale tout.
Après ça les hommes se rajustent. Moi, j’attends, obéissante.
Tin-tin me dit, « Comme tu as été sage, je te fais cadeau du collier et tu peux parler maintenant. »
Il a de nouveau l’air gentil, mais moi il me faut un moment pour « redescendre ». Je réponds, « Merci, Maître… pour le collier et pour le dressage ».
Tin-tin rigole et me caresse la joue, « Je dirai à Iris que tu as été une petite chienne très obéissante, d’ailleurs, je te rebaptise, ce n’est plus Princesse, c’est Carpette. ».
Oh…oui, ça me va beaucoup mieux. Le maître trouve les images qui font mouche… 20 cm sous mon nombril.
On se couche. Tin-tin me dit, « Enlève ton collier, sinon tu vas sonner la nuit s’il me prend l’envie de te tirer! »
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Louna en pony girl.
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Vers l’arrière de la ferme il y a une ancienne étable.
Diane connaît la marche à suivre, elle se déshabille et me fait signe, je fais la même chose.
La Maîtresse amène un grand sac de voyage, dans lequel il y a une série d’accessoires, ainsi que des grelots : pour le cou, les bras, les poignets, la taille, les chevilles.
Diane m’aide à les mettre, je fais de même pour elle. Quand c’est fini, on tinte au moindre mouvement. Un vrai concert à nous deux.
« Maintenant, la queue. » Diane me regarde en faisant la grimace.
Il s’agit de but-plug, un peu semblable à celui que j’avais déjà mis quand Tin-tin m’a fait jouer « chien-chien et ba-balle! ».
C’est Diane qui commence, elle se met à genoux sur une table basse, les jambes écartées, le front contre la table. Elle a des traces sur les fesses, les coups de fouet de la veille qui sont toujours visibles, j’ai les mêmes.
Dans cette position, l’anus de Diane n’a plus de secret pour moi.
La Maîtresse prend un but-plug et met de la vaseline sur le bout.
Avec appréhension, Diane jette un coup d’œil vers l’arrière. Appréhension justifiée, car elle pousse un cri, « Ooooh, il est plus gros que d’habitude!! »
« Oui on avait peur que le modèle moyen ne ressortent du cul de Louna! »
Charmant!
« C’est trop gros, Maîtresse, je vous jure…pitié! »
La Maîtresse s’adresse à moi, « A ton avis une pony girl ça a le droit de parler? ».
« Euh…, non, Maîtresse je ne crois pas »
« Hélas, Diane, je vais devoir sévir, non seulement tu parles, mais en plus c’est pour râler. Alors, je vais te le mettre dans le cul, mais à la place de lubrifiant, je vais mettre ceci! »
La Maîtresse prend un tube dans le sac, je vois écrit harissa. Ouch!! Elle va jongler!!
Elle montre à Diane, le cône enduit d’harissa, « Je t’ai déjà dit qu’une pony girl ne parle pas, peut être qu’après ceci tu t’en souviendras! ». Diane fait oui, oui, oui de la tête!
« On y va! », dit La Maîtresse. Elle met le butt-plug entre les fesses de Diane. Elle commence par caresser l’anus pour l’enduire d’harissa. L’effet est immédiat, Diane fait un bond et commence à geindre. Alors, la Maîtresse l’enfonce en force d’un mouvement continu. L’anus se dilate et ne forme plus qu’une mince bague complètement distendue, quand la plus grosse partie du butt-plug s’enfonce en elle. Diane se cabre – une pony girl, normal – et pousse un cri de douleur très aigu.
« Quel cinéma!! Tu veux que je te le laisse jusqu’à demain? » Diane fait non, non, non de la tête.
La Maîtresse prend un chiffon qui traîne et essuie l’harissa de l’anus autour du butt-plug. Elle rigole, « Je n’ai pas envie d’avoir des ennuis avec la SPA. »
« Allez à toi. » me dit-elle, « Je vais te mettre de l’harissa aussi pour ne pas faire de jalouse! »
Je geins, « Mais, j’ai pas parler, Maîtresse! »
« Ah, non et qu’est ce que tu fais maintenant! »
Je me mets dans la même position à côté de Diane. Moi, mon cul il a déjà bien vu le loup, aussi quand elle l’enfonce d’un coup, je fais un petit bond mais je ne dis rien, pendant quelques secondes… Et puis j’ai l’impression qu’on vient de m’enfoncer un morceau de l’enfer dans le derrière.
« Aaaaaaiiiieeeeee… ça bruuuuuulle!! »
La Maîtresse me donne une claque sur les fesses en disant, « C’est le but!! »
L’harissa me brûle!!!! Je me remets debout, les grelots font « clink clink clink », une symphonie de grelots.
Le plug dans le derrière ça irait, mais c’est l’harissa qui me torture!
« Voilà! » dit la Maîtresse, « maintenant vous avez vraiment le feu au cul!! »
On met des baskets tout en gémissant.
« Et maintenant les mors. » Je regarde Diane, elle fait une grimace, là aussi. Putain, j’avais oublié ça!
« Faudra t’habituer me dit La Maîtresse…parce que, j’y pense, ce serait un bon moyen de te punir quand tu poses trop de questions! »
Le mors est en métal recouvert de plastique. Il est assez large, ce qui fait qu’on est obligé de tirer complètement les coins de la bouche.  » Elle fixe une série de lanière vers le haut et les côtés, si bien qu’il est impossible de s’en débarrasser.
Elle le ferme sur l’arrière de la tête. Je me mets déjà à baver un peu….
Diane, elle, a plus l’habitude d’avoir la bouche étirée.
Au moindre mouvement, c’est le concert de grelot, on ne cessera pas de tinter.
En nous tenant par les mors, Diane nous amène devant un genre de sulky, la voiture où se met le jockey dans les courses de trotteurs. Ça ressemble aussi aux voiturettes tirées par un homme…
Au lieu d’y avoir deux montants entre lesquels la « pony » se trouve, il y en a 4, les 2 du milieu étant très proches… C’est pour 2 ponies.
Elle fait des réglages pour que nous tenions les montants les bras fléchi, comme on est à peu près la même taille, c’est facile.
Ce sulky est très léger et il a de grandes roues, il est facile à tirer.
La Maîtresse prend son fouet… Ouch!!
Elle s’assied derrière nous et dit, « Vous devez partir de la jambe droite et bien vous synchroniser. Aujourd’hui, on ne cherche pas la vitesse, mais à ce que vous soyez bien ensemble, Louna aligne toi sur Diane! ».
On sort de l’étable, je sens qu’on tire sur mon mors à gauche, je tourne à gauche. « Pas complètement à gauche, stupide a****l! », me crie La Maîtresse et je reçois un coup de fouet sur les fesses ». Aiiiie, Ça piiiinnnce!
On oblique vers une grande piste de sable, comme dans un manège. Au début, ça va, c’est facile à tirer. J’essaye de copier ce que fait Diane, mais à un moment, je perds le rythme et… »fffwwwiiii », je prends un autre coup de fouet sur les fesses. Aie!!! « Synchronise-toi!! » crie La Maîtresse.
« Ffwwwiii « le fouet claque à nouveau. Aie!!! Trois fois de suite, jusqu’à ce que je sois synchrone à nouveau…

Gaffe!! Gaffe!! Louna!! Je dois rester concentrée malgré l’harissa qui me brûle l’anus et le fouet qui me martyrise les fesses!
Ça va, pendant un moment, on file vite, on tinte, ça a l’air facile…mais à nouveau je perds le rythme et le fouet claque 4 fois sur mes fesses, j’ai les yeux pleins de larme, je ne vois plus grand-chose….
Heureusement! Elle nous crie, « Oooooh!! » en tirant sur les mors…je freine trop brutalement. Le fouet claque encore une fois, « aaaiiiieee…. »
On souffle un peu, puis La Maîtresse crie « huuue!!! » et on repart, je reçois un coup de fouet sur les mollets, « plus haut les jambes… »
Plusieurs fois, elle nous fait arrêter et repartir.
J’arrive enfin à me synchroniser…ce qui n’empêche pas La Maîtresse de nous envoyer régulièrement un coup de fouet. « Pour rester concentrée », nous dit-elle.
On fait ça, pendant une demi heure, je suis en sueur et épuisée, Diane a plus l’habitude, elle a l’air un plus en forme. Moi, j’ai bien reçu 20 coups de fouets, mes fesses doivent être toutes rouges. Ce sont des marques qui font mal mais sans que ça saigne, elle sait y faire la Maîtresse, c’est une pro!
Enfin… on rentre à l’écurie. Quand, je suis détachée, je me laisse tomber sur de la paille, en soufflant…
Diane enlève mes grelots, puis les siens.
La Maîtresse enlève nous enlève les mors… ouf!!! C’est vraiment très désagréable, j’ai les coins de la bouche tous meurtris.
Ensuite, comme Diane, je me mets à genoux et La Maîtresse retire ma queue, sans ménagement et lentement, là, je crie « aaaaiiiiiii », tellement mon anus est irrité.
Au tour de Diane, elle enlève la queue très lentement, s’arrêtant lorsque le plus grand diamètre du plug passe l’anus, qui ne forme à nouveau plus qu’un tout mince anneau. Diane pousse des cris aigus, elle aussi.
On peut aller se soulager à la toilette et s’asperger d’eau! J’aurais besoin d’une douche, mais ça n’a pas l’air prévu au programme.
J’ai l’impression d’avoir couru le marathon.
« Alors, » me dit la Maîtresse « ça t’a plu? »
« ….euh… vous êtes une très bonne driveuse, Maîtresse. »
« Bien répondu, Louna. Et toi Diane? »
« J’adore courir pour vous Maîtresse. »
Que répondre d’autre???
« Demain on fera de la vitesse! », dit elle.

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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