Ça y est, ma vie étudiante et nantaise a pris fin.
Mais avant de partir, j’ai eu le temps de revoir « MA » Laura, qui ne l’était plus d’ailleurs, lors d’une soirée. Il ne s’est rien passé, elle était avec son nouveau mec. J’ai donc fini ma nuit avec Marion, sa meilleure amie avec qui j’avais déjà eu des rapports très intimes.
J’ai aussi revu Maeva, la gothique coquine, plusieurs fois jusqu’au dernier jour. Nos adieux furent…très chauds.
Je suis resté une semaine chez mes parents, avant notre départ en vacances pour la Tunisie. Cela fait quelques années que je ne suis pas parti avec eux. Mais après 3 ans d’exil (même si je rentrais régulièrement le weekend), j’étais content de pouvoir passer un peu de temps avec eux. Surtout que nous serons au complet. Mon frère et sa chérie Mylène sont aussi du voyage.
Nous prenons donc l’avion pour la Tunisie où nous passerons notre séjour à Hammamet. Pendant le vol, je repense à l’université, aux copains que je me suis fait et aux conquêtes que j’ai eu. Ma dernière année fut particulièrement fructueuse. Depuis septembre dernier, j’ai eu une douzaine de nanas à mon compteur. Vous me direz 12 en un an c’est pas si énorme que ça, mais j’en étais plutôt fier, surtout que je me suis éclaté avec chacune d’elles. Je repense à chaque aventure. Linda la coiffeuse mature, Christelle la folle nympho, Patricia la mère d’une amie, Laura Marion et Agathe en partouze, Aurélia la collègue de boulot, Sabine la voisine du dessous, Estelle et Maeva les colocataires, Teresa une amie hébergée et Sandra la lesbienne saoule.
Mais après m’être tant amusé, je me dis qu’il est peut être temps de trouver une relation sérieuse, maintenant que c’est totalement fini avec Laura. Je verrais ça après les vacances.
Nous logeons pour la semaine dans un hôtel 4 étoiles au bord de la mer. L’endroit est très beau. Il y a 2 grandes piscines. Une intérieure et une extérieure, un hammam, une grande salle avec un gigantesque buffet de nourriture internationale et le site à sa propre discothèque.
Après avoir fait l’acquisition de nos chambres (j’en ai une pour moi seul), nous allons à la piscine avec mon frère et sa copine.
Posé sur un transat, lunettes de soleil sur le nez, je joue au voyeur en matant la marchandise dans et hors du bassin. Je recherche celle qui me fera craquer pendant ces vacances. J’observe calme, serein, tel un sniper, les femmes qui défilent en bikini. Une jeune maman avec son fils, pas mal. Une ado monte sur le plongeoir, mignonne mais trop jeune. Au passage, je mate Mylène, dans son bikini vert qui m’apporte un cocktail. Elle a une poitrine généreuse.
Un groupe de 7-8 nanas, dans lequel 2 ou 3 attirent mon attention. Puis une belle blonde mature aux seins siliconés. Tous ces nichons qui tréssautent dans les maillots réveillent mes pensées grivoises.
Après le dîner, direction la discothèque pour un spectacle local. Après le show, place à la danse. Mes parents sont partis se coucher et nous comptons bien profiter de cette première soirée. Nous bougeons en rythme sur les tubes de l’été.
Un regard, un sourire, elle se rapproche. Je la reconnais, elle fait partie du groupe de nanas que j’ai aperçu en fin d’après-midi. Petite brune couleur charbon, cheveux longs et lissés. Elle est canon avec son débardeur noir et sa mini-jupe blanche ras la moule. Des escarpins noirs qui me laisse apercevoir ses orteils vernis de rose.
Quelques chansons plus tard, on se galoche à pleine bouche. En voyant cela, ses copines, visiblement éméchées, huent, sifflent, l’acclament. Elle m’embrasse de plus belle, elle a envie de baiser ça se sent.
Elle me dit quelque chose que je ne comprend pas. Elle répète en criant plus fort. Elle parle anglais. Heureusement j’ai quelques bases de la langue. Elle souhaite m’offrir un verre et aller dehors.
Assis près de la piscine, on fait connaissance, en se bécotant. Rachel a 25 ans, c’est une irlandaise qui habite à Cork. Elle est venue passer une semaine de vacances en voyage organisé avec une quarantaine d’autres irlandais. Malheureusement, elle s’en va le lendemain, mais heureusement pour moi, elle a très envie de finir son séjour en beauté.
Après avoir bu nos verres, les caresses deviennent plus intimes. En passant mes mains sous la jupe de ma maîtresse du soir, je constate qu’elle ne porte rien dessous. J’adore. Rachel n’est pas en reste, sa main au fond de mon short me tâte les bourses à travers mon boxer. Je deviens dur comme l’acier.
Notre envie l’un de l’autre est omniprésente. Elle m’entraîne dans l’hôtel. Dans l’ascenseur qui nous amène à son étage, une certaine frénésie s’empare de nous. De nouveau sous sa jupe, mes doigts cajole sa fente humide et mon majeur la pénètre quelques secondes.
Nous entrons dans sa chambre:
– Oups, sorry!!
Sa partenaire de chambrée a déjà investi les lieux avec un mâle.
Nous les dérangeons en plein coït, la fille à califourchon sur sa monture.
Direction ma chambre. En chemin, nous fricotons un peu dans les couloirs de l’hôtel.
Dans ma piole, nous nous déshabillons rapidement. Elle ne porte pas de soutien-gorge non plus. Elle a de jolis seins ronds et fermes de taille moyenne.
Après quelques préliminaires de base, nous jouissons une première fois en 69. Moi, en lui dévorant son minou tout lisse et Rachel me pompant avec délice. J’ai ejaculé dans sa bouche, puis elle a tout recraché dans les toilettes.
Elle a ensuite pris un préservatif dans son sac à main et l’a déroulé sur mon chibre de nouveau érigé. Elle est d’abord à califourchon sur moi et bouge vite, c’est une vraie tigresse. Elle ondule et se titille l’anus. Dans un roulé-boulé, je me retrouve sur elle. Je la culbute jusqu’à ce qu’elle m’ordonne:
– Fuck my ass!!!
Sa souplesse lui permet de tendre ses jambes en arrière, les genoux de chaque côté de sa tête, m’offrant, indécente, son orifice bien ouvert. Je n’ai aucun mal à m’y engouffrer. Je grogne de plaisir en la sodomisant sauvagement. Rachel jouit de plus en plus:
– Oh my god, fuck me, fuck my ass.
Mes coups de butoir sont de plus en plus vifs, je la martèle jusqu’à notre jouissance commune.
A mon réveil, Rachel s’était éclipsée. Elle avait quitté l’hôtel pour rejoindre son pays natal.
J’ai retrouvé ma famille, mon frangin ne s’est pas privé de me chambrer
– Pas trop dur de se lever après avoir zouker toute la nuit?
Un sous-entendu que mes parents n’ont pas pigé.
Nous avons passé l’après-midi à la plage. Baignade, bronzette, beach-volley. Le top des vacances.
En rentrant, je décide de tester le hammam. Une première pour moi. Short de bain, claquettes, serviette autour du cou, me voilà parer à transpirer.
L’accès au hammam se fait par la piscine intérieure. Au fond de l’enceinte, une grande porte en bois, dissimule le lieu où les vapeurs exercent leurs pouvoirs bienfaisants. Je me suis fait une idée assez précise de l’endroit, d’après un film que j’ai vu. Un tas d’hommes discutant en sueur, dénudés, avec pour cache-sexe une serviette posée à l’horizontale sur le haut des cuisses. Mais en entrant, c’est différent. C’est une zone mixte. Pas de nudité, tout le monde en maillot. Un petit bassin rond qui fume au milieu de la pièce et des gens assis, adossés contre les murs en mosaïque autour de cette mare chaude. Je remarque au fond de la pièce, un petit renforcement. Je me demande ce que c’est et vais voir. Il y a un petit passage qui donne accès à un autre hammam, mais celui-ci est encore plus chaud. Il atteint les 50 degrés. Je le testerai une autre fois.
Je m’installe et ferme les yeux pour me détendre et me relaxer.
A moitié endormi, j’entends les allées et venues des touristes qui créent des appels d’air à chaque fois qu’ils ouvrent la porte.
– On se remet de ses émotions?
J’ouvre les yeux, nous ne sommes plus que deux.
– Pardon?
– Je vous ai aperçu dans le couloir cette nuit avec votre amie, ça avait l’air très chaud, me dit-elle avec un petit rictus.
Je ne la quitte pas des yeux car cette jolie blonde aux cheveux frisés à un sourire radieux. Son maillot de bain noir une pièce est très sexy et épouse parfaitement les lignes de son corps.
– Heu…ce n’était pas mon amie, juste un flirt vacancier.
– Un coup d’un soir, je vois. Et c’était bien?
– Oui, on m’avait dit que les britanniques étaient coquines, mais je ne m’attendais à ce point-là.
– Une anglaise?
– Non, une irlandaise qui est partie aujourd’hui.
– Et cela vous arrive souvent de flirter sans lendemain?
– Parfois, si une bonne occasion se présente.
– Je vois, vous êtes du genre queutard?
– Je dirais plutôt, épicurien.
– On aime profiter des bonnes choses.
– Oui, pas vous?
– Ca dépend de mon humeur.
Nous nous sourions, je ne peux m’empêcher de regarder sa poitrine et les quelques gouttes de sueur qui s’écoulent le long de son sternum.
– Vous êtes venue seule?
– Non, avec mon mari et un couple d’amis. Et toi?
– Je suis arrivé hier en famille.
– Hier? Et bien, tu n’as pas traîné. – Je ne suis pas toujours aussi rapide…
Elle me sourit à nouveau.
– Et qu’est ce qui la rendait si coquine comme vous dites?
– Vous êtes bien curieuse, dis-je en lui souriant.
– Oui, beaucoup, surtout en matière de sexualité.
Je suis abasourdi par cette trentenaire mariée qui s’intéresse à ma vie sexuelle. Je lui répond sans m’étaler sur le sujet:
– Disons qu’elle assumait son goût du sexe sans tabou.
– Je vois, dommage pour vous qu’elle soit déjà partie.
– C’est comme ça, chacun sa route.
Je décide de changer brièvement de sujet.
– L’hôtel vous plait?
– Oui, c’est magnifique, je ne pensais pas que ça puisse être comme ça à ce prix-là.
– C’est vrai que c’est génial, les infrastructures sont au top, surtout ce hammam, j’adore.
– Oui c’est extra, il ne manque qu’un salon de massage.
– S’il n’y a que ça pour vous faire plaisir, je veux bien me dévouer.
– Vous êtes toujours aussi direct?
– Non, seulement avec les femmes qui me plaisent beaucoup.
Elle rougit en baissant la tête, intimidée par mon rentre-dedans.
– L’eau est bonne?
– Je ne sais pas, je n’y suis pas allé.
Elle se lève et s’immerge devant moi.
– Tu devrais venir ça fait du bien.
Sa façon de me le dire est comme un appel à l’adultère.
Je la rejoins en me faisant tout un tas d’idée.
Nous bavardons un peu et faisons plus ample connaissance.
Valérie a 31 ans et vient de Thionville en Moselle, elle est caissière en grande surface. Elle a deux enfants.
– C’est la première fois que je pars sans eux, je compte bien en profiter.
– Et de quelle façon.
Sans répondre, elle me lance un sourire malicieux, se retourne et s’apprête à sortir du bassin par l’échelle.
Mais avant qu’elle n’atteigne les barreaux, je me colle derrière elle, glisse mes mains sous les bretelles de son maillot et j’empaume ses seins.
– J’ai trop envie de toi.
Elle se laisse faire, docile.
– Hum, enfin, je croyais que tu n’oserais jamais agir.
Elle se retourne, m’embrasse. Nous sortons de l’eau et on s’embrasse encore, nos langues tournent entre elles. Ses bretelles abaissées, je palpe ses seins libres et commence à bander. J’ai de plus en plus chaud, surtout lorsque Valérie glisse sa main dans mon short et tripote ma tige qui double de volume. Elle s’accroupie, sort ma queue.
– Hum, c’est un gros joujou que tu as là.
Elle me décalotte, titille, aspire et lèche mon gland. Je grogne de plaisir sous ses coups de langue. Elle tient mon sexe à la verticale et je sens sa langue passée entres mes couilles, remontée sur toute ma hampe, jusqu’au gland. Elle me suce ensuite goulument.
Je suis totalement excité par cette femme si classe, si élégante et pourtant si perverse. A cet instant, n’importe qui peut entrer dans le hammam, mais c’est le cadet de mes soucis. Je la regarde d’en haut, elle me pompe de plus en plus vite et me branle en tournant sa main autour de mon sexe rempli de sa salive. Je gémis de plus belle, je me crispe et éjacule puissamment dans sa bouche. Sous mes yeux, elle avale ma semence, je l’entends déglutir.
Elle se relève lentement, et réajustant son maillot, elle essuie sur la commissure de ses lèvres avec son petit doigt, la goutte de sperme égarée.
– Tu vois, il n’y a pas que les irlandaises qui sont chaudes, et ça ce n’était qu’un avant-goût…
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