Le lendemain me permitde faire un bonne grâce matinée et un lever vers 11H, juste le temps de préparer un petit quelque chose pour le retour de maman à midi, prendre une petite douche et elle était là.
-Bonjour mon coeur, bien dormi ?
-Super.
-Moi aussi mais je suis quand même crevée de la nuit d’hier. J’ai eu Anne (sa grande soeur). Elle peut nous accueillir quand on veut, elle est super heureuse de notre venue. Je me suis arrangée avec mes collègues, nous partons jeudi
-A oui quand même ?
-Tu vas devoir me donner un gros coup de main pour les valises mon coeur. Ce soir je passe faire deux ou trois petites courses pour ne pas arriver les mains vides.
-Pas de soucis, et nous y restons combien de temps ?
-Environ 3 semaines nous aviserons sur place, de toute façon le repas d’anniversaire n’est pas ce WE mais le suivant alors on verra après.
-Parfait, et il y aura qui.
-Je t’expliquerai tout cela en route, nous aurons bien le temps.
Le repas fut rapidement avalé, maman repartit au boulot et je fus bon pour m’atteler à préparer ma valise.
Le soir elle revint après les courses chargée de différents petits cadeaux, produits régionaux et nécessaire de vacances (lait solaire……..).
Vu la nuit précédente, elle était complètement cuite et je lui proposai de faire des tas avec ce qu’elle voulait emmener et nous verrions demain. Elle était toute excitée à l’idée de revoir ses soeurs. Une fois le repas avalé, elle voulut aller regarder la TV pour se détendre mais au bout de 5 minutes elle s’endormait.
-Je vais t’abandonner mon coeur, je suis morte. Demain midi tu ne m’attends, je vais manger un petit truc au boulot pour rentrer de bonne heure et finir les valises.
-Bonne nuit maman, à demain.
Tranquillement je pris ma journée du lendemain pour finir les valises, charger la voiture et finir de ranger ce qui pouvait traîner.
Effectivement, elle ne rentra pas tard, il était 16H30.
-Bisous mon coeur, la journée à été bonne.
-Tranquille oui et toi ?
-Un peu chargée, boucler tout en speed avant de partir, j’espère que je n’ai pas oublié trop de truc…
-T’inquiète pas tes collègues sont là aussi.
-Oui je sais mais j’aime pas.
-Veux tu boire quelque chose ?
-Oui je veux bien un truc frais, petite pause avant d’attaquer les valises.
Maman prit 5 minutes pour souffler et boire son verre et s’engouffra à l’étage pour aller faire les valises.
-Mon coeur ?
-Oui.
-Viens voir.
Je montai à l’étage avec une petite idée de ce que maman cherchait ?
-Elles sont où les fringues ?
-J’imagine dans les valises ?
-Et les valises alors ?
-Et bien dans la voiture ?
T’es vraiment un amour.
Il ne reste plus que les dernières affaires de toilettes et nous sommes prêts à partir.
Elle rentra alors complètement dans la chambre, jeta un coup oeil au réveil et commença à dégrafer sa jupe et la laissa tomber au sol, laissant apparaître ses formes uniquement couverte par un mini string et le bas de son chemisier. Cette vue érotique donna de petit frisson à mon bas-ventre qui commençai à durcir.
Elle commença alors lentement à se diriger vers la salle de bain, et lança:
-Finalement tout est fait, ton père ne rentre que vers 18H, j’en profiterai bien pour prendre une petite douche.
-Si tu veux, pourquoi te me dis ça.
-Le gourdin dans ton short……
La vue de son cul n’améliorait en rien l’état de ma queue qui était maintenant bien dure. Je la laisser un peu tranquille attaquer sa douche, me déshabillais dans ma chambre et retournai finalement dans sa salle de bain avec le gourdin déjà au semi garde à vous.
Elle était en train de se savonner le corps, j’admirai quelque instants le spectacle ainsi donné. Je notai la pointe de ses seins bien gonflée signifiant son état d’excitation elle aussi bien avancée. J’entrai dans la douche. Sans plus attendre elle s’accroupit, saisit mon gourdin par la base et l’avala, elle allait et venait longuement sur mon membre, tandis que son autre main se dirigeait vers son intimité qu’elle commença à caresser. Quelques aller et retour plus tard elle se releva, se retourna et me tendit sa croupe.
-Enfile moi ton gourdin mon coeur et donne moi du plaisir.
Mon gourdin eut tôt fait de trouver sa vulve et s’y introduire jusqu’à la garde. Je lui attrapais le cou et commençai à la limer. Ses petites convulsions traduisaient son plaisir.
-Pas de quartier, défonce moi mon coeur.
Je la prenais alors par les hanches et intensifiait le pilonnage, chaque coup de bélier lui pilonnait aussi le cul.
-Vas-y encore continue mon coeur fais moi jouir.
Ses gémissements devenaient continus et je commençai à avoir beaucoup de mal à me contrôler aussi. Je lui déversai alors quelques jets de foutre dans la chatte qui la cambrèrent totalement.
Elle tourna alors le haut du corps et me dit.
-Sors pas mon coeur, reste à l’intérieur j’ai encore envie de jouir.
Je me penchais alors sur elle et nous avons échangé de fougueux baisers dont elle savait qu’ils stimulaient ma raideur. Le résultat ne se fit pas attendre.
-Va emmène moi au paradis mon coeur, fais moi encore jouir.
Je repris mes va-et-vient et ma queue reprit une complète rigidité qui lui pilonnait la vulve. Rapidement ses gémissements reprirent et elle commençait à onduler et se dandiner de plaisir. Le relation devenait alors bestiale et ses cris étaient en conséquence.
Je lui explosais alors une énorme giclée qui lui provoqua un orgasme du tonnerre, tout son corps tremblait, frissonnait. Chaque petit mouvement de ma queue la faisait sursauter. Je finis par sortir de son sexe, la pris dans mes bras et remis en route le jet de la douche. Au bout de quelques minutes elle retrouva son calme, se retourna, se colla à moi et me prit par la taille.
-Tu n’as pas honte de mettre ta mère dans des états comme cela.
-Autant que toi de te faire baiser par ton fils.
-Je vois, je vois.
Nous avons alors fini cette douche et sommes sortie pour nous préparer au retour de papa.
La soirée fut alors une formalité et je filais rapidement au lit car la route serait longue le lendemain.
Effectivement, nous prîmes la route vers 5H du matin, je commençais par conduire pour passer Paris, maman s’était calée dans la voiture et y finit sa nuit. Vers 8H je m’arrêtai sur une aire d’autoroute pour prendre un petit déjeuner. L’ambiance était joyeuse, nous étions tous les deux seuls sur la route des vacances.
Maman reprit alors le volant ce qui me permit de faire un petit somme. Vers 11H, elle avait son compte de conduite et je repris la route. Vers 13H la faim se fit sentir et nous nous arrêtâmes pour nous restaurer et souffler un peu.
-Mon coeur, tu te souviens de mes soeurs et de leurs enfants.
-Tu sais il y a pas loin de 10 ans que je ne les ai pas vus alors.
Elle me fit alors pendant le repas un résumé de la «situation».
Anne, l’aînée, avait aujourd’hui 45ans, elle était née d’un mariage précédent de sa mère avec un égyptien. Dans mes souvenirs c’était effectivement une femme typée oriental assez grande et fine. Elle était marié à un médecin qui passait une partie de sa vie dans des missions humanitaires (nous ne le verrions pas pendant les vacances d’ailleurs).Sa fille Zoé avait maintenant 23 ans, j’en avais le souvenir d’une petite fille mais, elle devait avoir bien changé aujourd’hui. Sa seconde soeur Hélène était du même père que maman, elle fêtait ses 40 ans et était donc encore aînée par rapport à ma mère. Elle était mariée à un cuisinier d’un beau restaurent du coin (donc en pleine saison).Hélène avait deux jumeaux de 20 ans Marc et Antoine (cela ne s’invente pas).
Il ne me restait plus qu’à mettre un visage sur ces personnes et nous verrions les vacances.
Après cette pose bienvenue je repris la route. Après quelques péripéties de parcours nous arrivions à destination vers 18H.
C’était une bien belle maison provençale. Anne sortit pour nous accueillir. Elle avait peu changé par rapport à mes souvenirs, peut-être un ou deux kilos de plus, c’était une belle femme, mature mais encore bien désirable.
-Comme je suis contente de vous voir, cela fait si longtemps.
Les deux tombèrent dans les bras et s’étreignirent chaudement.
-Toi aussi tu as bien changé.
-Tu sais Anne c’est un homme maintenant c’est plus mon bébé.
Cela les fit sourire.
Allez venez, on s’occupera des bagages après.
A peine entrée maman tomba dans les bras d’Hélène. Le moindre que l’on puisse dire était qu’elles étaient des copie conformes, une ressemblance ahurissante, même taille, même corpulence, des belles poitrines toutes les deux, fort bien conservée, seule la coupe de cheveux les différenciait.
Puis ce furent les jumeaux, avec qui je pensai devoir trouver quoi faire de ces vacances.
-Zoé n’est pas encore là, elle bosse mais elle ne va pas tarder, vous voulez boire quelque chose demanda Hélène.
-Avec plaisir lui répondit maman.
Les soeurs étaient parties à discuter et je pense que rien ne pouvait les arrêter, elles avaient quelques années à récupérer…….
Un quinzaine de minutes plus tard la porte de la maison s’ouvrit, c’était Zoé qui rentrai. Effectivement elle avait bien changé, elle était maintenant aussi grande que sa mère, aussi fine, typée, une petite poitrine mais une cambrure de reins que même ma fatigue ne pouvait ignorer.
Les jumeaux nous ont aidé à vider la voiture et chacun s’est installé. Maman avait une chambre d’ami avec sa salle de bain et j’avais hérité de l’ancienne chambre de Zoé. Cette dernière avait une nouvelle en la mienne et celle de maman.
Personnellement j’étais totalement crevé et cela se voyait.
-Penses tu pouvoir ne pas t’endormir ma lança Hélène.
-Je ne sais pas mais est-ce que je pourrai manger un petit truc et aller faire une bonne nuit.
-Pas de soucis, j’ai préparé deux trois trucs pour ce soir dans la cuisine, fais comme chez toi, prends ce que tu veux.
Alors que les discussions tournaient bon train je me faisais une petit repas au calme. Au bout d’une dizaine de minutes maman vint dans la cuisine.
-Ca va mon coeur.
-Oui juste mort.
Elle s’assit à côté de moi et me passa la main derrière le cou.
-Merci de m’avoir amenée là, tu sais pas à quel point cela me fait plaisir.
Elle me déposa un petit bisou sur les lèvres et retourna dans le salon. Je finis mon repas et filai me faire une bonne nuit.
Le lendemain, je me réveillais vers 10H, tout le monde était déjà debout. Je croisai en premier Hélène qui ne fit un bisou
-alors ça va mieux, remis de la route.
-Ca a l’air.
-Installe toi sur la terrasse je t’amène de quoi déjeuner.
Je sortais de la maison et découvris son extérieur, une magnifique terrasse mi ombragé, un coin avec des bains de soleil, sur le côté une belle piscine et un terrain complètement clos, le rêve quoi.
-Bonjour.
-Bonjour maman.
-Tu as vu c’est magnifique.
-Même mieux que cela.
Hélène et maman m’amenèrent de quoi déjeuner et je profitai de la quiétude du lieu. La journée passa avec différentes petites activités et Hélène expliqua un peu l’organisation prévisionnelle de chacun. Zoé travaillait la semaine, Anne et les jumeaux repartaient lundi matin pour revenir sans doute mercredi. Vendredi et samedi seraient sans doute un peu consacrés à préparer la fête de samedi soir où il devait y avoir une soixantaine de personnes. Dimanche tout les convives repartaient chacun à son horaire. Anne et les jumeaux restaient en suite jusqu’à la fin de semaine et nous nous repartirions en courant de la suivante. Le décors général était planté, à voir pour le concret.
-Au fait dit Hélène à maman, ça te dérange pas de partager ta salle de bain avec ton fils.
-Non t’inquiète pas on a l’habitude lui répondit maman avec un petit sourire que j’étais sans doute le seul à comprendre.
Arrivé le soir je prenais de quoi m’habiller et allai prendre une petite douche. Une minute après quelqu’un entrait dans la salle de bain et se planta devant la douche. Je faisais comme si de rien.
-Je suis quand même beau non ?
-Exagère pas mon coeur.
Maman était là dans son mini short en jeans et haut de maillot, elle me regardai me savonner.
Elle défit alors son jean, le laissa tomber et alla s’asseoir sur le rebord en face de la douche. Elle déposa un pied dessus et commença à se caresser.
-Continue mon coeur, finit ce que tu es en train de faire me dit elle, tout en continuant ses caresses.
Je finis donc tranquillement ma douche mais rapidement ma queue se mit au garde à vous. J’attrapais la serviette et me séchais un maximum puis sortais de la douche.
Maman se mit sur le bord du rebords, écarta largement les cuisses et me dit.
-Maintenant que tu as fini, je pense que tu peux me fourrer.
Je passai alors entre ses cuisses et lui enfonçais mon dard dans la chatte bien baveuse déjà. Je la défonçais tout de suite ardemment ce qui eut pour effet quelques râles un peu mal maîtrisés de sa part. Ses gros nichons ballotaient dans tous les sens et m’excitaient de plus en plus. Je finis par lui envoyer une salve de foutre dans la chatte pour son plus grand plaisir.
Elle m’embrassa alors longuement puis me regarda quelques secondes.
-Merci encore mon coeur.
Un petit peu rassasié elle partit prendre sa douche et moi me relaver la bite. Je n’habillais alors et sortis pour aller remettre mes fringues d’avant dans ma chambre. C’est alors que je tombais nez à nez avec Zoé. Aucun de nous ne bougeais. Par défi je lui lançais.
-Si personne ne bouge je vais devoir te passer sur le corps.
-Possible, mais pas tout de suite, tu n’est pas en état, euh je crois en retour.
-Tu vois ça comme ça ?
-Non j’ai la chambre d’à côté et deux oreilles.
Elle passa alors à côté de moi, fit quelques pas, se retourna et me lança.
-Au fait j’oublie pas ta proposition et elle fila vers la salle.
Le soir, je racontais ce moment à maman.
-Et bien finalement les vacances pourraient être plus amusantes pour toi que prévue, elle est mignonne Zoé j’ai vu ton regard sur son cul.
Je rougissais un petit peu mais la remarque de maman était vraie et bien plus qu’elle ne le pensait à ce moment là.
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