Cette histoire est déjà présente sur mon blog mais je la poste également dans cette section afin que le plus grand nombre en profite.
L’histoire qui va suivre n’a rien d’inventé, c’est le récit d’une séance bdsm soft avec un de mes amis réels, membre également de ce site. Cependant, je respecte toujours la vie privée de mes camarades de jeu, surtout lorsqu’ils sont en couple, c’est pourquoi certains détails de notre séance sont modifiés ou occultés.
Quelques jours avant mon anniversaire, j’eus le plaisir de trouver dans ma boite mail personnelle un message d’un de mes amis avec le texte suivant : « Parce que je fantasme sur toi (ou vous ? je ne sais pas encore trop comment le dire) depuis longtemps et que je sais que ton anniv approche j’ai profité de ta liste pour te faire ce cadeau en espérant que tu en profitera avec moi. »
Lié à ce mail se trouvait une image en pièce jointe : un screenshot de la page amazon montrant la validation d’une commande. Le magnifique gode-ceinture de mes rêves allait bientôt être mien !
Je me dépêchais d’aller vérifier sur ma wishlist que cette histoire n’était pas du pipeau (si vous saviez ce que certains mecs peuvent me raconter pour essayer de me rencontrer…) avant de lui répondre, toute radieuse.
« Merci pour ce cadeau et cette déclaration qui me touche beaucoup mon mignon (même si je m’en doutais fortement). Je suis impatiente de recevoir ton cadeau et je te promets que tu sera le premier à y goûter, c’est bien la moindre des choses. Si j’ai bon souvenir de tes fantasmes tu ne sera pas déçu du voyage et moi non plus. »
Quelques jours plus tard, le paquet était dans ma boite aux lettres et un rendez-vous fut pris avec mon nouveau soumis pour une après-midi qui s’annonçait mémorable…. Je connais bien ce garçon pour avoir bossé avec lui pendant plusieurs mois et en dépit de l’atmosphère particulièrement misogyne de notre travail il avait toujours été très gentil avec moi, ce qui me donnait envie d’être « gentille » avec lui à mon tour en réalisant son fantasme. Je savais qu’il rêvait d’être traité en nana par une fille qui jouerai au mec face à lui. Envie qui ne peut que titiller un garçon manqué comme moi (et je soupçonne d’ailleurs qu’il ne me l’avait pas avoué par hasard…) et son cadeau complétait parfaitement la panoplie nécessaire à sa réalisation.
Je me suis donc retrouvée dans un charmant petit appartement qu’il partageait normalement avec sa fiancée (évidemment absente ce jour là) et je déballais sous ses yeux le contenu de mon sac de sport ce qui lui fit briller les yeux en comprenant ce qui allait se passer. J’avais ramené un uniforme d’écolière anglaise fort mignon qu’un autre soumis m’avait offert récemment, quelques sextoys et une cravache. Pour ma part, j’avais ressorti un de mes vieux uniformes militaires, rien de mieux pour jouer à l’homme face à ma petite pute chérie….
J’ai commencé par le faire s’habiller avec la tenue d’écolière, un peu juste pour lui au vu de notre différence de gabarit mais cela rajoutait au ridicule de sa situation, avant de faire des couettes à ses cheveux longs et de lui passer un peu de rouge à lèvres puis je lui ai ordonné de déambuler devant moi ainsi pendant que je profitais du spectacle, fort bien installée dans son canapé.
De ma voix la plus virile je lui donné divers ordres, profitant bien de la situation :
« va me chercher une bière chérie ! » « masse moi le dos petite pute, ma journée à été crevante » « danse pour moi et chauffe moi, je suis sûre qu’une salope comme toi sait comment bien me faire bander »
Je prenais un réel plaisir à le traiter en petite salope et je pouvais voir qu’il aimait ça aussi, la culotte petit bateau qu’il portait étant déformée par une bosse de fort belle taille.
Après ce spectacle de mise en train, je lui ai ordonné de se mettre à quatre pattes sur le sol devant moi et de ne bouger sous aucun pretexte puis je suis partie chercher les jouets que j’avais amené. J’ai baissé sa culotte sufisamment pour laisser apparaitre son petit trou que je testais d’un doigt.
« Tu es encore pucelle ? »
« Oui Mademoiselle »
Une violente claque sur les fesses est venue ponctuer sa réponse. « J’ai l’air d’une fille peut être ? Tu as demandé à obéir à un homme alors assume d’être un pd bouffeur de nœud et réponds moi mieux que ça ! »
« Pardon Monsieur… oui je suis encore pucelle Monsieur. »
« Bien, alors aujourd’hui est le jour où tu deviens une femme et on va faire ça proprement ! »
Je saisis un petit plug et je crachais sur sa pointe avant de la coller à sa rondelle et de pousser délicatement. Des gémissements fort évocateurs sortirent de la bouche de ma pucelle et elle se mis à dandiner du cul. « Et bien ! On voit que tu en veux toi ! Je titille à peine ta rondelle que tu couine déjà »
« Oui Monsieur, j’en rêve depuis trop longtemps, je veux être votre chienne, vous servir de vide-couilles, vous »
Nouvelle fessée.
« Ferme la pétasse ! Tu me gonfles à parler autant ! » Je le vis baisser la tête, honteux et je continuais à pousser sur le plug jusqu’à ce qu’il soit en place, bien au fond de son cul.
« Comment tu te sens salope ? »
« Bien Monsieur…j’aime sentir ce truc en moi. »
Je souris, contente de voir qu’il passait bien ce cap, j’ai connu bien trop d’hommes se disant open à tout et qui devenait frileux dès qu’on leur met un doigt.
Je me suis réinstallée dans le canapé, gardant tous mes petits jouets à portée de main et regardait ma chienne, à quatre pattes devant moi, dandinant ses fesses que mon plug préparait à la suite.
« Redresse toi et marche un peu, en roulant bien des hanches , ça aidera le plug à faire son travail et toi à bien le sentir. » Il se mit à l’œuvre, avec une magnifique démarche bien féminine. Soit il a ça dans le sang, soit il avait déjà essayé d’incarner un tel personnage auparavant.
« Tu sais que tu es bien mignonne comme ça ? Je connais pas mal de mecs qui banderaient en te voyant et qui me paieraient sans hésiter pour que tu vides leurs couilles ma belle… »
Ma remarque le fit s’arrêter et rougir, il me regarda avant de baisser les yeux et de baffouiller « je…c’est un de mes fantasmes Monsieur »
Son aveu me laissa bouche bée puis me donna un sourire particulièrement pervers.
« Et bien ma petite chérie, si un jour tu te retrouves seule et que l’aventure te tente réellement , je te transformerai en vraie petite pute, mais pour le moment nous avons mieux à faire. Mets toi à genoux. »
Je baissais mon pantalon de treillis et mon boxer puis pris le gode ceinture qu’il m’avait offert et je l’accrochais autour de ma taille avant de me rassoir confortablement. Il avait suivi cette opération avec un intérêt certain et pour cause, j’incarnais pour de bon le fantasme qu’il m’avait avoué quelques années plus tôt. Je lui fis signe d’approcher de moi et je caressais tendrement sa joue comme l’aurai fait un amant qui se veut rassurant avec une pucelle. « Suce moi princesse, montre moi comment tu te débrouilles avec une bite. »
Il se mordit les lèvres et fit oui de la tête avant de saisir la base du chibre de plastique. Sa bouche s’ouvrit et s’arrondit pour former un O parfait, se refermant sur le gland qu’il engloutit avec assurance. Je lui caressais toujours le visage et les cheveux, m’inspirant de ce que m’avaient fait les innombrables baiseurs que j’ai eu en bouche et je pus constater qu’il ne manquait ni d’envie ni de technique.
« Dis moi ma belle….c’est la première fois que tu suces ? »
Il me fit non de la tête, suçant toujours avec applicatation, grignotant peu à peu les centimètres qui le séparaient encore des couilles de plastique.
« Et bien j’en apprends de belles aujourd’hui décidemment… Et tu aimes ça ? »
Sa réponse fut affirmative, comme je m’y attendais. Je souris et m’installais du mieux possible pour profiter de cette pipe qui, indirectement me donnait du plaisir puisque ses mouvements faisaient remuer la partie du gode-ceinture qui se trouvait dans ma chatte . Je gémissais tranquillement, ma main toujours dans ses cheveux et je me disais que si quelqu’un nous voyait de loin il aurai réellement pu croire qu’une salope d’écolière suçait un militaire dans ce canapé.
Je ne souhaitais pas me reposer sur mes lauriers ni laisser croire à mon soumis qu’il allait s’en tirer avec si peu et je pris donc sa nuque dans ma main pour l’obliger à prendre entièrement son cadeau en bouche. Il eu le classique « gag-reflex » que les pratiquantes de gorge profonde connaissent bien, m’obligeant à appuyer de toutes mes forces pour le garder en place. Ma voix devint bien plus sévère et je me mis à crier : « suce à fond salope ! je t’interdis de reculer ! »
Il cessa de se débattre et je le regardais obéir avec satisfaction avant de le faire reculer, le tenant toujours par les cheveux. Le spectacle était magnifique, sa bouche était grande ouverte, dégoulinante de cette bave bien épaisse que seules les pipes profondes savent nous faire produire et il en coulait de son menton jusque sur sa chemise ouverte. Je me rapprochais de son visage pour lui rouler une pelle autoritaire, puis lui crachait au visage avant de rappuyer sur sa tête pour le forcer à prendre encore tout le gode en bouche. Je l’entendais gémir sur ma fausse bite et je savais qu’une bonne part de ses gémissements provenaient du plaisir terrible qu’il ressentait d’être traité ainsi. Je fis faire à sa tête quelques allers et retours plutôt violent puis lui ramena encore le visage devant moi. « Alors sale pute, tu aimes ça la bite ? »
Il avait du mal à parler, devant reprendre son souffle mais fit largement oui de la tête, les joues rouges de plaisir, ou de honte peut être ?
Je lachais sa tête et le laissais respirer alors que je le regardais en souriant.
« Comment tu te sens salope ? »
« Vraiment bien Monsieur ! »
« Prête à continuer ? »
« Oui monsieur, sans hésiter ! »
« Parfait, alors fais le mais sans que j’ai à te forcer cette fois. »
Le désir brillait dans ses yeux et je pouvais voir sa queue déborder de la petite culotte que je lui avais enfilé, il avait vraiment rencontré sa vocation de salope.
Il se réinstalla à genoux devant moi et repris le sexe en bouche, l’avalant de plus en plus et s’aggripa finalement à mes hanches pour prendre les derniers centimetres. Son ultime avancée fut même si forte qu’il m’arracha un hoquet de plaisir, mon côté du gode-ceinture remuant agréablement en moi.
Je le laissais faire ainsi plusieurs minutes, appréciant le spectacle de celui qui était mon ami depuis des années, un ancien collègue, devenant une vraie petite salope sous mes yeux. A plusieurs reprises sa pipe violente me fit pousser des gémissements de plaisir qui n’étaient pas simulés et je le remerciais mentalement de m’avoir fait cadeau de ce jouet.
Je finis par le stopper en glissant mes doigts sous son menton pour lui faire relever la tête et l’embrassait à nouveau avec fougue avant de lui cracher dans la bouche cette fois.
« Tu es vraiment une suceuse de premier ordre dis moi…. Tu as sucé beaucoup de nœuds ? »
« Quatre ou cinq monsieur… des travestis avec qui j’ai couché… »
« Ah ouais, je comprends mieux tes envies maintenant salope… Allez, debout et suis moi ! »
Je l’entrainais jusque dans sa chambre puis le poussait sur son lit, le faisant s’installer à quatre pattes, le cul bien dressé. Je lui fit retirer sa culotte, libérant son membre qui était aussi dur que celui de plastique que j’arborais.
« Quoi que je fasse maintenant, tu as interdiction de te relever ou de te retourner sauf si je te l’ordonnes, compris ma salope ? »
« Oui Monsieur »
Je saisis ma cravache et m’en servis pour caresser ses bourses et son cul. « Tu es sexy en fille, mais si un jour nous remettons cela tu devra te débarasser de tous tes poils, je te veux aussi lisse qu’une gamine… »
« Mais et ma copine je lui dis quoi ? »
Ma seule réponse fut un coup de cravache sur la fesse droite, le faisant gêmir fortement.
« J’ai même bien envie de te laisser un plug, pour que tu sois toujours prête à être baisée quand j’en ai envie…. »
Je m’attendais à une autre protestation de sa part mais rien ne vint, il avait compris la leçon, ou alors il assumait ses envies.
Je vins près de lui, assez pour que mon membre de plastique puisse froter contre sa propre bite alors que je lui caressais le dos avec la cravache.
« Tu aimes sentir une bite se coller à la tienne ? »
« Oui Monsieur »
« Tu aimerai que ça t’arrives plus souvent ? »
« Oui Monsieur »
« Avec de vraies bites ? »
Pas de réponse cette fois, je lui cinglai la fesse gauche.
« Réponds morue ! »
« Oui Monsieur, j’ai envie avec des vraies bites. »
« Si tu es bien sage, tu en aura… »
Je déposais la cravache bien en évidence près de sa tête puis m’intéressais au plug. Je le fis bouger doucement pour tester l’elasticité de son anus, ce qui lui fit pousser de nouveaux gémissements de plaisir puis commença a faire des cercles afin d’assouplir doucement l’entrée avant de le faire sortir lorsque je sus que le petit trou était prêt.
Je posais le gland de mon gode-ceinture sur son œillet et m’aggripait à ses hanches avant de lui demander « Bon…dernière chance pour toi de rester un mec… qu’est ce que tu en dis salope ? Je te dépucèle ou je me casse ? »
Il prit une grande inspiration et s’accrocha à son oreiller « Dépucelez moi, c’est ce que je veux… » On aurai dit une jeune mariée prononçant le « oui » fatidique.
Je suis entrée en lui lentement, usant des restes de salive qu’il y’avait encore sur le gode et en en rajoutant moi-même. Le but était surtout de lui faire aimer ce nouveau plaisir, pas de le violer et de l’en dégoûter. Son anus grignota doucement les centimètres de ma fausse queue et il poussait de longs gémissements. Je m’arrêtais plusieurs fois, m’assurant qu’il se sentait bien avant de reprendre mon avancée. Une fois au bout, je me suis immobilisée, le laissant reprendre son souffle et réaliser ce qu’il vivait. Un tel moment est toujours particulier pour une pucelle et il ne faut surtout pas lui gâcher. « Comment tu te sens ma belle ? »
« Ça fait un peu mal Monsieur. »
« Ça va passer, ne t’en fais pas. Tu aimes ? »
« Oui monsieur.. »
Je commençais à le limer en douceur, par petits mouvements, sans chercher à aller trop loin et j’eus vite ma récompense, je sentis sa douleur se transformer en plaisir, me permettant d’aller un peu plus vite.
Il jouit assez vite sur ses draps mais je ne m’arrêtais pas pour autant car je tenais à y avoir droit moi aussi. A mesure que je le sentais se détendre et m’accueillir de mieux en mieux, je devins plus forte, plus rapide et plus sauvage si bien qu’après un moment notre chevauchée devint particulièrement fougueuse.
Je voulais l’humilier encore une fois pour mon plaisir et le saisi par ses couettes pour l’obliger à se redresser et à venir contre moi pour pouvoir lui murmurer alors que je le défonçais : « Tu sais pourquoi j’ai choisi de te baiser dans ta chambre ? »
« Parce que c’est meilleur sur un lit Monsieur ? »
« Non, parce que désormais chaque soir, quand tu sera couché avec ta grosse et que tu essaiera pathétiquement de la baiser, tu repensera toujours à ce que je te fais, et tu saura que tu ne veux plus rien d’autre qu’être à nouveau ma pute ! » Puis je le repoussais violemment en avant, saisi ses hanches à deux mains et le baisa de toutes mes forces avant de jouir.
J’ai ensuite rassemblé mes affaires et me suis rhabillée normalement avant de laisser mon soumis seul chez lui, le cul ouvert et le mental bien secoué par sa nouvelle condition de pute. Il m’a recontacté depuis pour que je m’en occupe à nouveau, qu’est ce que vous aimeriez que je lui fasse la prochaine fois ?
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