Je venais de perdre mon pucelage quand cette histoire m’est arrivée. Certes ce fut un moment spécial, mais le garçon avec qui je l’ai perdu n’était pas doté d’une grande expérience. Cela reste néanmoins un bon souvenir qui me fait sourire quand j’y repense. Cependant, c’est à l’été 88 qu’il m’est arrivée une vrai belle expérience. Mes parents étaient très amis avec Monsieur et Madame Michel (j’ai changé le nom) qui vivaient à 5 kilomètres de chez nous, à la campagne, dans les vignobles. C’était un couple ayant la quarantaine bien entamée. Monsieur Michel n’était pas spécialement beau physiquement, mais il avait du charme et de l’humour, ce qui me plaisait. J’avais remarqué depuis un petit moment qu’il me regardait avec envie et l’avais surpris à plusieurs reprise, lorgnant sur ma poitrine ou mes jambes. J’avoue que ça m’amusait et attisait en moi une certaine envie. Un après-midi, alors qu’i faisait très chaud, ma mère me demanda de porter à Madame Michel des conserves de légumes qu’elle avait confectionné. Le paquet bien attaché sur mon porte-bagage, je pris mon vélo et pris la direction de la maison des Michel. Une chance, arrivée là-bas, c’est Monsieur Michel qui m’accueillit. Sa femme était partit vire sa mère et rentrerait dans une heure ou deux. Voyant que j’avais chaud, il me fit entrer et m’offrit un verre d’eau fraîche. Monsieur Michel était un peu rondouillard, mais très grand, aux yeux verts et les châtains. On discutait de la chaleur, puis la discussion prit curieusement une nouvelle tournure.
« – Tu es très mignonne Julie.
— Merci.
— Tu as un petit copain ?
— Non, pas pour le moment.
— Tu es vierge ?
— Monsieur Michel, ça ne se demande pas des choses comme ça.
— Excuse-moi. »
Je savais qu’il avait envie de franchir le pas et n’attendais que ça. Moi-même je commençais à m’impatienter. Alors que je lui tournais le dos, buvant mon verre d’eau, Monsieur Michel passa ses mains sous ma robe et me palpa le bassin. J’ai posé mon verre et me suis retournée. On s’est embrassée et je me suis assise sur la table. Nous étions comme déchaînés. Il défit les boutons de ma robe et dégagea mes seins du soutien-gorge pour les embrasser et les caresser. En même temps, j’ai déboutonné son pantalon et sortit sa queue que je me suis empressée de branler toute ravie de voir un si bel objet. Il enleva sa chemise et nous voilà complètement nus en train de batifoler sur la table de cuisine.
« – Ca fait un moment que j’ai envie de toi Julie. Tu me plais tu sais. Hum, tu sens bon. »
Il s’est accroupit et commença à me lécher. Je n’étais plus vierge, en revanche c’est la première fois qu’on me léchait la minette. Couchée sur la table, je me laissais faire, couinant sous l’effet procuré par ses petits coups de langue.
« – Tu aimes hein ?
— C’est bon ce que vous me faites Monsieur Michel.
— Celle-là aussi tu vas l’aimer. »
Il s’est redressé et me présenta sa queue pour que je le suce. Là encore c’était une grande première. J’ai englouti maladroitement son sexe puis l’ai « relâché », surprise par la sensation. Puis, la surprise passée, j’ai recommencé tout en caressant ses bourses.
« – Tu fais ça comme une pro ma parole. C’est pas la première fois que tu suces ?
— Si.
— Et bien, t’apprends vite. »
Le silence revint. De temps en temps il appuyait sur ma tête pour me faire comprendre qu’il voulait que je l’avale jusqu’à la glotte. J’ai ouvert la bouche, tiré la langue et ai tapoté sa bite dessus en le regardant dans les yeux. Monsieur Michel me sourit :
« – T’es une vraie petite chienne toi. »
Je me suis relevée et tournée vers la table, lui offrant ma croupe. Il s’enfonça en moi sans mal et me se mit à me baiser vigoureusement tellement il était excité. Je criais à la fois de plaisir et un peu de douleur parce qu’il ne souciait que de son plaisir à lui. Il se mit à m’insulter :
« – T’aimes ça pouffiasse ?! »
Je ne répondis pas et criais. Il reprit :
« – Dis-le que t’aimes ça petite pute !
— Oui ! Ouiiiii ! »
J’ai ajouté :
— Faites attention Monsieur Michel vous allez me mettre enceinte.
— Mais non t’inquiète pas ma petite chérie. »
Il s’est alors dégagé de mon vagin et me fit m’accroupir pour que je le finisse à la main. J’ai saisi sa queue trempée de ma mouille et l’ai à nouveau sucée. Ma langue jouait avec son gland pour son plus grand plaisir tout en le branlant énergiquement. Il me gicla en plein visage. J’avais du foutre plein la bouche, sur le menton, dégoulinant le long de ma gorge. Monsieur Michel était satisfait et se rhabilla, me laissant sale. Puis il me tendit un billet de 100 francs.
« – Tiens, tu l’as mérité. Si tu veux qu’on recommence un jour, y’a aucun problème. »
Je ne répondis rien et restais immobile. Il finit par me tendre une boîte de mouchoirs en papier avant d’ajouter un peu gêné de son comportement :
« – Vas te doucher Julie. »
Une fois propre et rhabillée je sortis de la maison accompagnée de mon amant. On s’embrassait quand on entendit la voiture de Madame Michel qui tournait au coin du chemin. J’ai salué sa femme qui me fit un grand sourire et je partis sur mon vélo.
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