Crème de jour
Je me suis réveillée fatiguée ce matin. Petite nuit, pas mal de sorties cette semaine et surtout beaucoup d’alcool et de clopes.
Le miroir n’a pas été tendre avec moi. J’ai préféré ne pas lui poser de question, j’avais déjà les réponses. Je faisais vraiment mes 50 ans, avec des rides bien profondes et surtout une peau terne et sans éclat, presque grise.
De mauvaise humeur, je commençais à râler toute seule, je rejoins mon mari pour le café.
« Ça va pas, chérie ? »
« Mmmm…Nan… »
« Pas assez dormi ? »
« Mmmmm…je suis moche, j’ai une vilaine peau, j’ai envie de mourir »
« Tu es magnifique, juste un peu fatiguée peut-être… »
Heureusement il me trouve toujours belle, je ne sais pas comment il fait !
3 cafés plus tard, je reprends un peu d’énergie et décide de m’occuper de moi.
« Je vais me faire un masque, ça ira mieux après »
« Tu veux de l’aide ? »
Ce petit coquin ne perd pas une occasion pour me proposer ses services. On est tellement sortis cette semaine que l’on a pas trop eu le temps de baiser. Il doit avoir les couilles archi pleines.
J’ai lu dans des magasines féminins que le sperme est à ce point bon pour la peau que certaines marques proposent des produits à base de ce jus magique. Autant le prendre à la source, ça sera encore plus naturel.
« Tu ferais ça pour moi ? »
« Si je peux rendre service…. »
D’habitude il n’est pas du matin mais là, effectivement, une rapide inspection m’indique que le matériel est en parfait état de marche.
Il bande comme un turc dans son jogging et ses couilles sont gonflées comme jamais. Je baisse son survêtement et me mets à genoux devant lui, admirative.
Je sens déjà ma chatte qui commence à mouiller alors que mon nez s’approche de son gland. Ça fait bien longtemps qu’il n’a pas été aussi dur, je prends un malin plaisir à faire durer le préliminaires à ma pipe en le titillant du bout de la langue, en palpant ses couilles délicatement.
Son gland qui se décalotte est tout humide. Je le passe sur mes joues pour commencer le soin et enfourne sa queue dans ma bouche en me caressant doucement.
C’est toujours pareil, dès que j’ai une queue entre mes lèvres je décolle…la sienne est bonne, elle sent l’homme de cromagnon, l’urine. Elles est très salée, ça m’excite beaucoup qu’il ne se soit pas lavé, j’aime son gout sauvage, son odeur bestiale.
Je pompe,doucement, lèche bien toute sa queue pour la laver un peu avec ma salive, mange ses couilles gonflées dont le jus chaud m’est réservé. Mon dieu que j’aime les bites ! Celle de mon mari n’est pas la plus grosse ou la plus belle que j’ai croisé au cours de mes aventures sexuelles mais je l’aime beaucoup. Elle est élégante, raffinée, même si son gland pourrait être plus gros, elle décalotte à peine, gardant toute sa jeunesse, me donnant beaucoup de peau à déguster.
Il est déjà au bord de jouir. Je stoppe ma pipe.
« Viens dans le lit, je vais me caresser en te suçant »
Je l’emmène par la queue dans la chambre, il att**** son Ipad en passant et je m’installe sur le lit, une serviette sous mes fesses pour une éventuelle éjaculation de ma petite chatte.
« je vais faire un reportage sur la cosmétique bio… » me dit-il en me bandant les yeux et en venant se masturber au dessus de mon visage.
Je reprends les choses en mains pendant qu’il fait ses images, la main droite sur ma chatte qui baigne dans son jus, la main gauche qui le branle énergiquement pendant que ma bouche suce son gland.
Les yeux clos par le bandeau je peux m’imaginer que je suce un inconnu…je revois le bel homme que j’ai croisé hier à la station service. On aurait dit un explorateur, un grand voyageur, le visage buriné par les kilomètres parcourus à travers le monde, en jeep, en bateau, en avion.
Son image me revient avec précision pendant que je m’excite sur la queue de mon mari. J’aurais du le suivre quand il est allé aux toilettes, m’ approcher pour le regarder uriner, sans un mot, admirer sa belle bite qui a du se faire sucer sur tous les continents.
Avant qu’il ne referme sa braguette :
« Je peux vous la nettoyer un peu ? »
« Bien sûr »
Et je me serais mise à genoux devant cet inconnu pour gouter son sexe, le faire durcir dans ma bouche devant les urinoirs, dans l’odeur de pisse et de produit d’entretien. Je lui aurais montré mes talents de suceuse, de femme qui aime les queues bien sales, les hommes qui sentent.
Sa bite est bien plus grosse que celle de mon mari ! Son gland est généreux, bien décalotté, ma langue lui tourne autour pendant que mes 2 mains tourbillonnent sur sa hampe. J’ai envie de gouter son sperme pour savoir s’il a le gout de ses voyages, s’il va me transporter au fond d’un bordel de Medellin ou sur la grande muraille de Chine.
« Réclame.. »
Sa voix est douce…je ne sais plus si c’est mon mari ou mon bel inconnu…
« Donne moi ton sperme…donne moi toute ta sauce..j’ai soif de foutre…j’en veux partout sur mon visage…dans ma bouche…. »
Ma main s’affole sur ma chatte, je pompe à toute vitesse en continuant de me caresser, j’ai envie que l’on jouisse ensemble, qu’au même instant nos coeurs s’affolent, nos fluides se libèrent.
Mon bel explorateur n’en peut plus, il gémit…Peut-être suis-je la meilleure suceuse qu’il ait jamais rencontré, celle qui l’aura fait jouir le plus vite, lui offrant son meilleur orgasme…qui sait ? Qu’il se souviendra de moi jusqu’à sa mort, comme le doux souvenir d’un plaisir infini.
Ça y est je sens que son gland se tend à l’extrême, mon orgasme est tout proche, comme le sien, il couine fort, posant sa main sur mes cheveux pour que je n’en perde pas une goutte et déverse son jus tout chaud sur mon visage, faisant des sillages, des lignes de désir sur ma peau. Je le finis dans ma bouche et le gout de son foutre qui coule encore déclenche ma jouissance, comme à chaque fois, j’en crie, un son rauque et bestial sort de ma gorge au même instant où j’avale son foutre épais, copieux.
Je nettoie sa queue avec gourmandise, pendant que mon clitoris palpite de bonheur, je m’en mets partout, j’étale, je gobe, je lèche, je suis sur le Mont Blanc, dans l’océan pacifique, je me télétransporte dans les steppes de Sibérie, dans les plaines d’Argentine, heureuse, épanouie.
J’enlève mon bandeau. Le beau voyageur est parti, mon mari est à genoux, reprend son souffle. Je saisis l’Ipad et me redresse difficilement pour regarder les images.
Mmmm…. je sais ce que je vais faire ce matin…ce voyage mérite quelques illustrations…de belles cartes postales envoyées à mes amis…
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