Une semaine s’est écoulée. Ma co-locatrice ne rentrant qu’à la fin du mois, je passe mon temps à faire le ménage et repeindre le salon, mais Sylviane m’obsède. Pas un jour sans penser à elle. Son gros cul, ses gros seins et sa bouche me font immédiatement bander. C’est décidé, je vais lui rendre une petite visite impromptue.
On est dimanche matin, je sonne à l’interphone de son immeuble. Pas de réponse. Je profite de ce qu’une dame sorte pour m’engouffrer dans le hall d’entrée. Sur son palier, je sonne à sa porte. J’entends bien des bruits venants du petit appartement, mais personne ne dédaigne m’ouvrir. J’insiste et je peux voir que quelqu’un m’observe par le judas. Des bruits de serrures. Sylviane m’ouvrent, enfin.
— Ah, c’est toi, mais que fais-tu là ?
— Je passais dans le coin (gros menteur) et je pensais que des croissants te feraient plaisir.
— Merci, dit-elle en se saisissant du paquet que je lui tend.
Une fois dans le salon, je suis ébahi par le bordel. Vêtements éparpillés, souliers en pagaille; papiers et vaisselles oubliés ça et là.
Dans cet immonde bordel, elle est là, l’objet de mes désirs, dans une robe de chambre sans nom. Les cheveux en bataille, elle m’apporte un café et dévore les croissants. Assis, plus ou moins confortablement dans son canapé, je la regarde. Elle n’est pas belle, on dirait une « ugly Betty », mais je bande pour cette nana. C’est dingue. Je vais la tester, je veux asseoir mon autorité.
— Tu as une demi-heure pour ranger ce foutoir. Je ne veux pas t’entendre, tu m’obéis et c’est tout.
À mon grand étonnement, elle se lève sans piper mot et commence à mettre un peu d’ordre dans son appart. Réaction étonnante, surprenante. Elle s’affaire docilement. Très vite, la pièce commence à ressembler à un salon. Je vais inspecter la cuisine, quelle pagaille. Des poêles non lavées, des assiettes dans le même état et une table dégueulasse. Ne parlons pas de la gazinière et du frigo. Il y a un laisser-aller plus que déplorable.
— Une demi-heure de plus pour me laver tout cela. Je vais aller voir ta salle de bain.
Elle est toujours à ranger le salon. Dans sa robe de chambre défraîchie, elle fait pitié. Je m’en amuse. Je vais la mettre plus bas que terre.
À mon grand étonnement, la salle de bain et le WC sont propres, je ne m’y attarde donc pas. Je me dirige vers une chambre, qui doit être la sienne au vu des vêtements et du désordre qui y règne.
— Pareil pour ta chambre… Dis-je en haussant le ton.
La deuxième chambre étant celle de ses deux filles, je ne m’y attarde pas, telle mère telle fille. Un désordre innommable.
Je retourne dans le salon qui a retrouvé un brin de fraîcheur.
— Dépêche toi, je n’ai pas toute la journée et enlève moi cette monstruosité que tu as sur le dos.
— Je suis nue dessous…
— Et alors, je t’ai déjà vu nue, tu te souviens et dorénavant ce sera ta tenue en ma présence.
Toujours si docile, elle laisse tomber son peignoir et va dans la cuisine. D’où je suis, je peux enfin la voir en plein jour.
L’autre soir la lumière tamisée et mon envie de la baiser m’avaient empêché de la détailler.
Petite, cela je le savais, car sa bouche arrive à la hauteur de mon torse. Détaille important pour la suite. Ses longs cheveux noirs lui tombent jusqu’à la raie des fesses. Ce qui me surprend le plus, c’est l’absence de cellulite, pour une ancienne obèse, elle est plutôt pas mal. Ses cuisses et ses fesses larges et dodues sont un appel à la fessée. Elle me fait bander. En passant dans le salon pour aller dans sa chambre, je la vois sous un autre jour, plus comme la petite garce que j’avais l’habitude de voir en ville mais une fille docile, fragile et soumise.
Je me lève et me déshabille. Elle regarde ma queue bandée avec l’envie d’une petite fille. Je souris. Je m’installe dans l’unique fauteuil de la pièce, face à la télé.
— Aller, sert nous quelque chose à boire, on l’a bien mérité.
Elle nous sert sert deux bières et s’installe sur le canapé.
— Non, non, non. Tu vas apprendre où est ta place. Accroupie face à moi, cuisses ouvertes.
C’est sans aucun signe de refus qu’elle m’obéit.
— Lèche moi, mais interdiction de prendre ma bite en bouche…et sans les mains.
Sa petite langue rose vient tout d’abord m’honorer les testicules, puis petit à petit, elle remonte jusqu’au gland. Elle s’amuse avec mon barreau, elle bave dessus plus que de raison. Je m’avance sur le bord du fauteuil, elle a compris, elle me fait une feuille de rose, elle me lèche l’anus. Divin.
Je sens sa langue tourner autour de mon sphincter puis elle commence à violer mon petit trou, Dieu que c’est bon.
— Oui, Sylviane, c’est bon ça… Continue… Arrête, Attends…
Je me lève et me positionne de dos à genoux sur les accoudoirs du fauteuil.
— Allez, continue… sans les mains.
La salope, je peux la voir me pomper le cul par dessous. elle ferme les yeux et semble y prendre du plaisir, tout comme moi.
— Putain, arrête, tu vas me faire jouir… mets toi debout les bras en appuie sur la table, oui voilà, comme çà…
Elle se positionne tout naturellement comme si c’était naturelle. Debout, bras tendus reposés sur la table basse et jambes écartées. Ma queue, largement lubrifiée, va se faire une joie de forcer le petit anneau qui palpite. Elle attend avec impatience mon arrivée. Je ne touche pas mon glaive qui est à bonne hauteur. Je pousse à peine que mon gland est absorbé, aspiré. La chaleur et la douceur de ce conduit sont une torture mais je progresse lentement. Elle souffle, respire par à coups. Chaque remontée de mon sexe et chaque descente sont accompagnées de soupir d’aise. Elle aime ça la salope. Je lui empoigne ses larges hanches et je m’engaillardis. Je sort à chaque fois mon gland, pour mieux replonger dans ses intestins. Elle hurle de plaisir.
— OUI….. ARGH…. c’est bon… J’AIME….
Sous ces encouragements, je la pistonne comme un fou. Elle jouit, elle expulse sur mes cuisses, sur la table des jets de cyprine. Ses jambes tremblent. Je la sent défaillir, je me sens venir. Je me retire et c’est dans sa bouche gourmande que je vais me finir.
Elle avale tout, déglutissant entre deux giclées. Pas une once ne sort de sa bouche. Elle tombe à genoux et sur les coudes. Elle est en nage, moi aussi. Je lui caresse la joue. Elle me regarde et me sourit.
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