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Une putain bien ramonée

Une putain bien ramonée



Ce jour-là je vins à accompagner mon oncle en sa tournée. Ramoneur de son état, il effectuait en cette mi-septembre la tournée des popotes. Il s’agissait de convaincre de ces messieurs et dames d’un ramonage ou examen attentif de leur chaudière. Nous rencontrions un succès mitigé et cependant les quelques courses couronnées de succès rapportaient bien. Je remplaçais pour quinze jours l’aide de l’oncle lequel s’était fait une entorse de poignet. C’était l’occasion de gagner un peu de sous.

Au bout de deux jours, nous tombâmes sur cette bicoque en bas de la rue. L’oncle me dit que c’était le pavillon d’un de ces copains et qu’à tout le moins on nous y offrirait un bon café ou l’apéro. Nous ne rencontrâmes que madame ce dont l’oncle semble-t-il était au plus ample informé. Je compris plus tard qu’il affectât de s’étonner de l’absence du copain et mari de madame. Celle-ci était une jolie femme d’âge mure et qui flegmatiquement nous reçut ce jour-là en petite tenue.

J’eus du mal à réprimer et mon étonnement et mon admiration ce qui à la fois suscitât le sourire de la dame et un coup de coude vicieux de l’oncle dans mes côtes. Il me souffla : « A croire que t’as jamais vu une gonzesse ! » N’empêche j’eus pu croire qu’elle aurait hâtivement jeté sur elle une robe de chambre afin de cacher la nuisette et la culotte si transparente qu’on lui voyait. Au contraire il était manifeste qu’elle se plaisait à émoustiller les deux mâles qui l’avaient surpris ainsi.

J’étais partagé entre la gêne et le vice. Je rougissais et baissais les yeux. Devinait-elle à mon air penaud que je bandais déjà irrépressiblement ? Il y avait vraisemblablement connivence entre eux. Il me parut bientôt qu’ils étaient amants et que l’oncle était venu à dessein ici. Aussi ne fus-je point étonné qu’il voulut se débarrasser de moi en inventant une course imaginaire. J’eus au moins le tact de jouer la dupe. Je trouvais dommage pourtant de renoncer au spectacle de la femme.

Celle-ci me rattrapa cependant au bas des marches me fourrant de force une boite de chocolat dans la poche. Elle était tout sourire et le parfum de sa chair me subjugua tout à fait. On voyait assez bien la pointe des seins darder sous la nuisette et sa culotte transparente trahir au moindre détail le dessein de sa chatte. On eût cru qu’elle avait voulu que je vis tout cela. Elle me souffla à l’oreille. « L’oncle a été un peu brutal. Je m’excuse pour lui. Tâche de revenir un coup mais tout seul. »

Ces paroles m’avaient transporté Je n’aurais jamais cru pouvoir mériter une telle bonne fortune. Je me gardais de rapporter cela à l’oncle. Je compris que ce devait demeurer un secret. J’avais peu l’expérience de ce genre de femme. Un de mes cousins, voyou notoire se tapait l’une de ses tantes et les voisines et amies de sa mère. Il disait en un style peu châtié : « A partir de quarante ans, ce sont toutes de grosses salopes ! » Cela m’avait fait rougir et j’avais occasion de vérifier.

Sur le chemin du retour, je songeais à ce que pouvait faire l’oncle et cette femme. Il ne fallait pas être nanti d’une vaste imagination pour se représenter concrètement la scène. La garce n’avait du se rhabiller. Au contraire. J’avais pu mesurer un instant en son regard tout le vice dont elle put être capable. Elle m’avait assez manifesté son désir pour moi. Notamment elle avait avec quelque indécence jeter un œil à l’endroit du pantalon où je bandais encore. Elle fut tentée peut-être d’y mettre la main.

L’oncle sursauta tandis que je lui rapportais que la course avait échoué du fait de l’absence d’une certaine personne. Manifestement cela lui était sorti de la tête ou plutôt tout cela était cousu de fil blanc. Je brûlais de lui demander si sa séance s’était bien passée ou plutôt si la chaudière de madame ne comportait aucune anomalie. Peut-être perçut-il mon genre de curiosité car il asséna goguenard : »T’as du taper dans l’œil de l’autre salope. Ne t’avise d’aller là voir. Elle croque les petits jeunes. »

Vous concevez qu’un tel propos ne tombât pas dans l’oreille d’un sourd. J’ourdissais bientôt d’aller visiter cette garce. Il fallait cependant se débarrasser de l’oncle et qu’il n’aille pas là-bas le même jour. En même temps je n’étais pas sûre qu’elle y fut aussi et sans son mari ou autre. Bref tel Christophe Colomb je partis ce matin un peu au pif et à l’aventure. J’inventais un conte que je devais faire tour à la FAC pour m’assurer de mes inscriptions. J’assurais être de retour dans l’après midi. L’oncle n’y vit goutte.

Il n’est point besoin de vous dire que mon cœur battait le tambour tandis que je dirigeais mes pas vers le fond de l’allée où demeurais la fameuse maison. Au dernier moment je m’avisais qu’on pouvait derrière les volets et rideaux m’espionner et rapporter à mon oncle ou autre ma présence ici. Il était de toute façon trop tard. Le sort en était jeté. J’étais pétrifié d’angoisse. Mes jambes flageolaient. On eût dit qu’on me menait au gibet. Tel un cadavre, je sonnais espérant qu’il n’y eût pas de réponse.

Je vis un rideau frémir. Soudain je me représentais que ce pourrait être le mari. Qu’allais-je bien pouvoir lui expliquer ?. Mille racontars tournaient déjà dans ma tête. Enfin et heureusement je vis paraître la jolie tête de la dame. J’étais libéré d’un grand poids. Tout sourire, elle me fit signe de venir et d’entrer plutôt par le derrière de la maison. Elle me reçut cette fois en peignoir. On devinait cependant dessous la nuisette de l’autre fois. D’un ton moqueur elle dit : « J’ai eu idée que tu viendrais ! »

Pour m’éprouver un peu et peut-être par cruauté, elle ajouta : « Je pense que ton oncle ne doit savoir ta présence ici ? » Je bafouillais en effet que je comptais sur son entière discrétion. Elle m’invita au salon et devant la télé où elle regardait une de ces séries américaines débiles. Elle remplit à ras-bord ma tasse de café. Elle était en face de moi enfoncée dans un fauteuil à moins de deux mètres de moi. Écartant subrepticement les pans de son peignoir, elle découvrit l’absence d’une culotte.

On lui voyait la chatte. Celle-ci était en tout point fidèle à ce que j’avais pu percevoir l’autre fois au travers d’une culotte transparente. Elle écartait ostensiblement les cuisses pour signifier que je devais regarder et me rincer l’œil. Façon de dire que tout cela était à moi. Que j’en pourrais disposer. Je bandais à un tel point. Son visage était barré d’un sourire triomphant. Son joli pied battait dans l’air. Ses paroles étaient indiscernables. J’opinais de la tête. Je voguais en une énième dimension. .

Je ne sais comment tel une chatte elle parvint à se glisser jusqu’à mon genou. En un éclair ma braguette fut ouverte et ma queue extirpée. Elle exprima un Oh de surprise qui n’était pas joué car je savais de réputation avoir la queue énorme et formidable. Elle ajouta, coquine : « T’es bien monté chéri. Tu pourrais en remontrer à ton oncle, ce vantard. ». Elle s’enquit après l’avoir branlé de sucer le nœud impressionnant. On ne m’avait jamais sucé de la sorte. Je fondais en sa bouche.

De temps en temps elle se hissait jusqu’à ma bouche pour la dévorer avec la sienne. J’étais chaud bouillant sur le point d’exploser.J’avais envie de foutre cette chienne. Prévenant mon envie elle se jeta d’un coup cuisses ouvertes sur mon pieu tandis que je demeurais assis dans le fauteuil. Elle me chevauchait ainsi se procurant à loisir du plaisir. Je palpais et dévorais ses seins mignons. Elle jouissait sans frein n’ayant cure qu’on l’entendit jusque dans la rue. Mon oncle avait raison qu’elle était salope.

Nous finîmes tels deux bêtes sur le tapis. Elle n’adorait rien tant qu’être entreprise en levrette. Besognant à fond je lui mordillais par jeu ses petites oreilles. Elle m’exhortait à la foutre fort. Enfin elle me cria : « Petit montre-moi ce que tu sais faire ! Encule-moi ! » J’étais peu averti en cet exercice. L’été dernier initié à ce jeu j’avais un peu raté une jeune femme en perdant tous mes moyens. Heureusement cette fois mon désir au comble m’offrit des ressources inespérés. Je lui enfonçais son cul.

Je lâchais tout mon foutre en saturant son anus. Elle se jeta goulûment sur mon sexe lécha,t pour léchant le gland comme pour le laver. Je n’avais jamais vu une dévergondée pareille. Le mot cochonne étant insuffisant. A cet instant un téléphone vibra. C’était le sien. Elle me dit signe d’aller me nettoyer dans la sale de bain. Elle entama une conservation dont je perçus quelques échos. Je devinais qu’il s’agissait d’un homme et manifestement d’un amant. Pouvait-ce être mon oncle ?

Toute sourire et pour provoquer, elle dit : « les affaires reprennent. J’attends tantôt un ami. Tu dois déguerpir ». Elle consentit cependant à ce que nous échangeâmes nos numéros. Je ne serais la prochaine fois obligé d’inventer un conte. Nous accorderions nos emplois du temps. Au pire j’aurais droit à la prendre dans sa voiture. Je me planquais peu après être parti. Je voulais savoir celui qui m’évinçait. Ce ne fut pas mon oncle. Je vis venir un voisin d’en face homme au cheveu blanc.

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