L’été est torride. La chaleur est quasi insupportable même dans la maison de campagne. Pourtant je décide d’aller faire une longue balade en forêt espérant trouver de la fraîcheur et observer quelques oiseaux avec mes jumelles. Ma femme préfère rester. Elle est en maillot de bain deux pièces (un modèle bien sage) et pense lire à l’ombre du tilleul. Je pars seul donc, un petit sac à dos sur l’épaule.
Sur la petite route, je croise le fils du fermier juché sur son tracteur. C’est un gaillard d’une vingtaine d’années, solide et plutôt beau gosse, surtout quand il est torse nu. Il m’annonce qu’il va faucher le champ à côté de chez nous et notre pré si on le veut. Je lui dis de voir ça avec ma femme et continue mon chemin. Après quelques minutes, un pressentiment étrange m’arrête net. Je reviens par la lisière du bois et m’approche du bas du pré. Je vois que ma femme lit sous le grand tilleul, allongée sur une couverture bleue. Le tracteur arrive au bord du champ et s’arrête à sa hauteur. Ils échangent quelques mots, puis l’engin redémarre. Il commence la fauche du champ sur toute sa hauteur.
J’observe ma femme à la jumelle. Elle enlève son haut et se fait bronzer les seins au soleil avec une certaine impudence. Après deux aller-retours, la machine revient et oblique à gauche pour entrer dans notre pré. Juché en hauteur, le gars a une vue parfaite sur les formes généreuses de mon épouse. Pourtant il ne s’arrête pas et fait des ronds concentriques pour couper l’herbe. Le travail est vite fait car la surface est assez petite. A la fin, ma femme s’approche du tracteur, ses grosses miches à l’air et les mains sur les hanches, franchement provocante. Elle semble proposer quelque chose et part vers la maison. Deux minutes après, elle apparaît avec un plateau, une bouteille de rosé et des verres. Mais surprise ! Elle a enlevé son bas et se trouve totalement à poil !
Tous les deux se retrouvent sous le tilleul un verre à la main et trinquent. Ils parlent, ma femme devant expliquer qu’il fait vraiment trop chaud pour supporter le moindre vêtement. Le jeune mec sourit et n’arrête pas de mater les gros nichons et la chatte fournie de cette mature qui pourrait être sa mère. Depuis mon point d’observatoire, je vois qu’une bosse dans son short trahit son excitation. Durant la discussion, ma belle se rapproche progressivement jusqu’à toucher notre apprenti fermier. D’un coup, leurs bouches se collent. Ils se roulent une longue pelle tandis qu’il commence à lui tripoter le cul. Je me surprends à bander …
Soudain ma femme s’agenouille et baisse le short de l’homme. Elle empoigne le membre en semi-érection, décalotte le gland, crache dessus plusieurs fois et commence immédiatement à le sucer. Elle pompe avec vigueur la belle queue bien droite. Toute la bite disparaît presque dans sa bouche. Elle qui prétend ne pas aimer du tout faire des fellations ! Elle s’attarde longtemps sur le gland, lèche la tige avec gourmandise et avale les boules l’une après l’autre. Le gars apprécie visiblement de se faire bouffer les couilles. Il trique comme un âne et moi aussi ! Ma femme se relève, le type se met à lui téter les pointes des miches goulûment. Puis elle prend appui sur le tronc de l’arbre et lui offre son cul rond tout frétillant. Aussitôt le mec se baisse et lui fouille la moule et la raie des fesses avec la langue, en même temps qu’il la pénètre plusieurs fois avec les doigts.
Puis il enlève son short, il cherche l’entrée de la chatte et enfile doucement mon épouse. Ses mouvements deviennent ensuite plus rapides et plus profonds. Le visage de mon épouse montre son extrême plaisir. Elle doit crier. Il la bourre maintenant avec v******e. Ses loches se balancent en rythme des coups de reins. Il la défonce sauvagement pendant un bon moment, puis s’arrête net. Il lui crache dans la raie puis cherche une autre entrée. Il lui met un doigt dans l’anus et avec une grande douceur l’encule !
Ensuite il lui lime le fion régulièrement, méthodiquement, lui tirant sur les seins en même temps. Au début, ma pauvre épouse couine de douleur et de plaisir mélangés. Quelle découverte ce doit être pour une femme mariée vierge du cul ! Les deux amants sont déchaînés : ils baisent comme des animaux en rut. Ma moitié semble frôler l’évanouissement. Progressivement elle se détend et sourit d’extase … Elle encourage même son jeune amant à continuer sa sodomie profonde.
Soudain le mec semble éjaculer. Ils restent coller un long moment savourant leur jouissance, puis il se retire. Ma femme passe sa main entre ses cuisses et suce avidement ses doigts. Encore excitée, elle se jette sur la queue ramollie et la nettoie en la suçant. Elle se lèche les lèvres. Puis ils s’embrassent à nouveau avec fougue. Je me dis que j’ai une vraie salope ! A force de m’astiquer la nouille, j’ai juté sur mon bermuda …
Enfin le baiseur remet son short, il remonte sur son tracteur et reprend la fauche du champ. Moi, je fais une mini-balade et me retrouve sur la route. Je croise notre fermier qui me fait un franc salut et un large sourire presque triomphant. Il s’arrête et me dit : « C’est bon pour le pré. Madame a été très contente ! Et très très sympathique aussi … »
Je rentre à la maison plein de pensées contradictoires. Ma femme m’accueille avec encore un peu de sperme sur les lèvres. Je questionne : « Tu as vu le fils du paysan ? ». Elle me rétorque : « Ne m’en parles pas ! Il a fait tellement de bruit avec son engin que je n’ai pas pu lire ! Une vraie horreur … ». Je reste sans voix, stupéfait ! Plus tard, découvrant mon bermuda tout taché, elle me gronde en me disant que je ne peux pas rester propre. Je ne réponds rien. Beaucoup de cocus honteux préfèrent rester silencieux …
Deux jours après, le jeune fermier et un ami à lui sont venus pour fignoler la coupe de la périphérie du pré. Depuis l’orée du bois, j’ai pu mater ma femme totalement à poil sucer deux bites, se faire bouffer la chatte puis prendre en double sous le grand tilleul …
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