L’histoire que je vais vous raconter est véridique et s’est déroulé alors que je n’avais que 19 ans. Pour préserver un tant soit peu la vie privée de chacun, seul les prénoms seront modifiés.
A cette époque, je n’avais jamais connu de relation sexuelle. Pourtant, j’avais une copine, Ornella, que j’avais rencontré au collège mais on ne l’avait jamais fait car elle ne se sentais pas encore prête à franchir le pas. Du coup, jusque là je n’avais du me contenter que de quelques fellations et autre séance de masturbation de sa part.
Mais lors de l’été 96, on décida de faire une pause après 5 ans de relation de couple alors qu’on avait prévu quelques mois plus tôt de passer nos vacance ensemble. Etant par conséquent libre, je décida la mort dans l’âme de partir deux semaines avec mes parents en camping. Je ne le savais pas encore mais cette décision allait être l’une des meilleures de ma vie !
Ma déprime m’empêcha de profiter pleinement de mon début de séjour dans ce camping qui était tout ce qu’il y a de classique.
Mes journées se résumé à me lever vers 9 heure, à jouer un peu sur mon gameboy, et passer mes après-midi au bord de la piscine du camping.
Mais lors d’un matin, je constata que l’eau chaude n’était plus disponible dans mon bungalow. En ayant marre d’attendre que cela soit réglé, je décida de me rendre dans les douches communes, mais j’eus alors la désagréable surprise de voir que toutes étaient déjà prise.
Alors que j’attendais sagement mon tour, j’entendis une voix féminine s’adresser à moi.
– Vous attendez depuis longtemps jeune homme ?
Je me retourna et pu voir une jolie femme qui devait avoir la quarantaine, 45 grand max, de taille moyenne, et plutôt agréable à regarder.
– Une petite dizaine de minutes, mais je pense que les personnes dedans ne doivent pas en avoir pour longtemps.
– J’espère que vous avez raison car j’ai un repas à l’extérieur du camping avec des amis qui m’attend.
– J’espère également, j’ai une sortie culturelle cet aprèm.
– Avec votre copine ? Me demanda t-elle.
– Malheureusement non, répondis-je, j’ai rompu avec ma copine juste avant de venir ici avec mes parents.
– Ah mince, mais vous avez quel âge ?
– 19.
– Ah mais ça va, vous êtes encore jeune et plein d’expérience avec d’autres femmes à découvrir.
Notre discussion dura encore quelques minutes qui me permirent d’apprendre qu’elle s’appelait Françoise, qu’elle avait 44 ans, qu’elle était divorcé depuis 3 ans et qu’elle avait une fille d’une quinzaine d’année.
Puis, une douche se libéra enfin, en garçon bien élevé, je lui proposa de lui céder mon tour, elle apprécia ce geste de galanterie mais refusa. Après quelques secondes de discussion, elle me proposa de venir prendre ma douche en même temps qu’elle, prétextant que les cabines étaient assez grandes pour nous deux. Je finis par accepter cette proposition et me voilà maintenant dans une cabine de douche avec une femme qui pourrait être ma mère.
Je me déshabilla pour commencer à me doucher avant de m’apercevoir que j’étais le seul de nous deux à être nu comme un vers.
En effet, Françoise avait gardé son maillot de bain tandis que moi, n’étant pas venu avec mon maillot, j’avais enlevé mon short. Françoise s’aperçut rapidement de ma gène.
– Vous savez, vous n’avez pas à être gêné d’être nu devant une femme plus âgée, en plus vous n’êtes pas le premier homme à vous retrouver ainsi devant moi.
– Vous avez raison, lui répondis-je même si j’étais toujours très gêné par la situation.
Malgré tout, un silence pesant s’installa entre nous. Au bout de quelques minutes, Françoise brisa la glace en s’adressant à moi.
– Excusez moi, vous voulez bien me savonner le dos s’il vous plaît ?
– Euh… Oui… Bien entendu.
Alors que je commençais à peine à lui savonner le dos, elle m’interrompis très vite, je pensais qu’elle souhaitait s’offusquer du fait que je commençais à avoir une érection. Du coup, j’étais déjà rouge de honte mais heureusement pour moi cela ne fut pas le cas.
– Laissez moi juste le temps de retirer le haut de mon maillot.
J’étais quelque peu rassuré, et ni une ni deux, elle le retira. Mais à mon grand dam, étant dos à moi, je ne pouvais voir sa poitrine. Du coup, j’étais à la fois excité et terriblement frustré par la situation. Néanmoins, je décida de profiter un peu de tout ceci en lui faisant un massage. Au bout de quelques secondes, j’avais l’impression qu’elle aimait beaucoup ce massage. Ne me disant rien, je continua jusqu’au moment où, à ma grande surprise, elle prit mes mains pour les guider vers sa poitrine pour mon plus grand bonheur.
Une fois la surprise passé, je repris mon massage, sur sa poitrine cette fois-ci, tandis que mon début d’érection avait évolué en érection totale, j’avais l’impression que mon sexe allait exploser, je n’avais jamais connu ça même avec mon ex.
Mais j’étais très fier d’une chose, je sentais ses tétons se durcir signe que mon massage lui faisait le plus grand bien. Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin, Françoise finit par se retourner vers moi, signe que le massage était terminé, mais elle approcha ses lèvres des miennes et m’embrassa. Ce doux baisé n’avait dû durer seulement une petite dizaine de seconde mais elle embrassé si bien que j’avais l’impression qu’il avait duré une éternité.
– Je vous remercie pour ce très bon moment de détente, me dit-elle.
– Je pense qu’on peut se tutoyer après ce moment intime que l’on vient d’avoir.
– Oui, vous… Enfin tu as rais…
Elle ne put finir sa phrase car elle s’aperçut que je bandais très fort. Bizarrement, même si je venais de masser la poitrine d’une femme ayant la quarantaine avant qu’elle ne m’embrasse, le simple fait qu’elle regardait mon sexe en érection me gênait de nouveau. Par instinct, j’essayai même de le recouvrir avec mes deux mains.
– Tu n’as pas a avoir honte de bander, c’est quelque chose de très naturelle et même extrêmement flatteur pour moi. Et je dois d’ailleurs t’avouer que la situation m’excite beaucoup. Comme tu m’as donner du plaisir avec ton massage, c’est à ton tour d’en avoir.
Suite à ces mots, elle me fixa dans les yeux avec un sourire qui l’a rendait encore plus jolie qu’elle ne l’était, tout en retirant mes mains de mon sexe, elle le saisit très délicatement et commença un lent mouvement de va-et-vient. Je savourais cet instant, je n’avais jamais connu de masturbation aussi plaisante. Elle commençait même à me branler avec ses 2 mains, elle devait se dire, avec raison, que mes bourses avaient aussi besoin de caresse.
Elle les avait bien en main et s’amusait à les masser, toujours doucement. Cela se voyait qu’elle prenait elle même plaisir à me faire plaisir. En plus, elle me regardait de ses magnifiques yeux pour voir ma réaction à tout ce qu’elle me faisait et quand j’en gémissais, elle me gratifiait d’un grand sourire de satisfaction.
Tout à coup, elle accéléra la masturbation, au bout de quelques instants, je lâchais mon sperme mais Françoise continua comme si de rien n’était cette masturbation. Je me déchargeais de toutes mes forces. Pendant tout le temps que je me déversais entre ses mains, elle massait mes testicules à un endroit bien spécifique qui décupla mon plaisir.
Ce n’est qu’une fois certaine que je m’étais totalement vidé, que lentement, elle arrêta ses va-et-vient, elle prit alors une serviette et essuya mon sexe avant de s’occuper de ses mains. Jamais auparavant je n’avais éjaculé une telle quantité de sperme.
Sans nous dire un mot, nous pûmes alors reprendre ce pourquoi on était là initialement. Une fois notre douche terminée, elle s’approcha de moi, un baiser des lèvres, avec la langue cette fois-ci, nous unit pendant quelques secondes encore.
– Je te remercie pour ce moment extrêmement agréable, je ne pensais pas prendre autant de plaisir avec un jeune homme.
– C’est moi qui te remercie mais je ne te cache pas que j’aurais adoré aller plus loin avec toi.
Je me surprenais moi même en disant ces mots.
– Mais rien ne nous interdit d’aller plus loin lors des prochains jours. Juste comme ça, je suis au bungalow numéro 22.
Après ces quelques mots, elle remit son maillot de bain et quitta la cabine, me laissant seul avec des fantasmes plein la tête.
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