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La soumission de Michèle

La soumission de Michèle



Je vais publier une série d’histoire que j’avais écrite dans un autre site en 2017.
J’espère que vous vous régalerez.

J’avais toujours fantasmé sur des images de films dans ma jeunesse où l’on voyait des jeunes femmes attachées à des poteaux et livrée à des hommes.

Lors d’une réunion tendue pour obtenir un contrat, j’avais en face de moi, un homme, d’une quarantaine d’années avec beaucoup de charisme. Pendant toute la réunion je n’avais cessé d’être perturbé par son regard inquisiteur. A la fin de cette réunion, j’avais perdu le contrat. J’étais agacée mais bonne perdante, j’acceptais l’invitation à sabrer une bouteille de champagne. L’homme qui m’avait tant troublée lors de cette négociation vint vers moi pour me dire comment il avait apprécié la joute engagée avec moi.

« Nous nous sommes opposés pendant près de 3 heures, acceptez-vous de déjeuner ce soir avec moi pour parler de sujet plus légers que professionnels ? »

Un peu étourdie par l’alcool et l’ambiance, j’acceptai. Le soir, je m’habillais d’une robe noire assez moulante qui mettait bien en valeur mes seins, de bas noirs, et des dessous en dentelles. Je ne sais pourquoi mais j’avais le sentiment que la soirée n’allait pas ce terminer derrière une tasse de café pour moi. Le rendez-vous avait été pris chez lui. J’avais une certaine appréhension en sonnant, mais l’accueil fut très chaleureux et Gaby me mis tout de suite à l’aise. Je suis tout de suite attirée par des photos de femmes nues dans des poses très belles.

Le repas chez lui fut très agréable. Je découvris un homme charmant et très cultivé. Je sentais toujours se regard inquisiteur sur mon corps. Au café, je ne pus m’empêcher de lui posai une question sur ces photos. Il me sourit en me répondant et observant mes réactions.

«Je suis photographe à mes heures. Toutes ces photos sont de moi. J’ai des amies qui acceptent de servir de modèle. Venez, je vais vous en montrer d’autres puisque vous semblez intéressée. »

Il sort un album où sont regroupés l’ensemble de ses clichés. Parmi elles une me trouble particulièrement. Une femme nue, les yeux bandés, est attachée à une sorte de portique curieux.

En posant sa ma main fermement sur mon épaule et voyant mon trouble, il me dit :

« Si vous voulez, je vous fais découvrir mon studio où j’ai notament fais cette photo. »

Je ne peux résister à la curiosité et au charisme de cet homme. Il m’entraîne dans un escalier qui descend dans sa cave. Nous entrons dans une pièce, aux murs de pierre, à la lumière tamisée, décorée curieusement. L’ambiance est très médiévale. Des rideaux semblent cacher des objets ou des décorations. Des poutres pendent des chaînes et des cordes. Dans un coin trône ce fameux portique de la photo. Je suis surprise, angoissée, comme prise dans un piège. Sous le regard de Gaby, Je me dirige vers l’objet et, sans doute sous l’emprise de l’alcool, je me me met dans la position du modèle sur la photo.

« C’est bien ainsi qu’elle était. »

« Oui, mais elle était nue ! » Me répond-il en me regardant fixement.

Je rougie et ne sais quel comportement adopter et quoi répondre. Comme envoûtée par cet homme que je connais à peine, je me redresse, et, comme hypnotisée, je commence à enlever un à un tous mes vêtements. Une fois nue, je me remets dans la position initiale contre l’engin. Gaby, sans un mot, ouvre alors un placard, prend une chaîne, se dirige vers moi et m’attache à l’instrument. J’étais ainsi devenue sa prisonnière, comme dans la photo et mes fantasmes de jeunesse. Je ressens une excitation extrême.

Il prend alors une cravache et tout doucement commence à m’en caresser le corps avec le bout. Il joue avec mes seins, puis descend lentement vers mon nombril, et ma chatte. Il joue longuement à m’agacer le clitoris, me faisant gémir légérement. Je sens le plaisir monter en moi. Il se saisit d’ un appareil photo, et commence à me prendre sous tous les angles, de loin, de près, en gros plan. Il s’attarde sur ma chatte ouverte et luisante de cyprine. J’avais à la fois honte et une furieuse envie de me laisser faire. Puis il prit un foulard noir, me banda les yeux et continua ses photos car je n’entendais plus que le bruit du déclencheur. Soudain le silence.

Je sentis ses mains sur mes seins. Il me les pétrit et pinçât mes tétons puis descendit très progressivement vers mon pubis pour enfin, titiller mon clitoris qui devint un jouet sous ses doigts. Je sens ces derniers me palper, tirer mes lèvres et pénétrer lentement dans mon vagin, puis en ressortir brusquement et recommencer encore et encore. Le plaisir monte inexorablement en moi. Malgré ma position inconfortable, le fait qu’un quasi inconnu domine mon corps et en fasse sa chose comme jamais il n’avait été traité, le plaisir est extrême et je sens que je suis au bord de l’orgasme, j’ai le sexe totalement humide de plaisir.

Juste au moment où je sens que je vais exploser, il arrête tout, me défais le bandeau des yeux et me libère les mains. Je suis frustrée. Il m’invite à remonter dans le salon, mais sans me permettre de me rhabiller.

« Tu as de très bonne dispositions pour poser. J’aimerais continuer à faire des photos de toi nue. »

Trop excitée par l’idée, j’acceptais et je dus prendre toutes les positions qu’il m’ordonnait. Certaines étaient artistiques mais d’autres étaient plus osées sous son objectif implacable qui ne voulait rien ignorer de mon intimité. J’étais totalement soumise à ses ordres et mon corps était devenu un véritable jouet. J’étais dans un état second.

Puis lors de la dernière pose il me dit de me pencher en avant, jambes écartées, de façon à avoir les fesses ouvertes et offertes. Tout à coup je sentis quelques légers coups de cravache sur mes fesses. Je ne puis m’empêcher de tressaillir.

« Ne bouges pas ! Reste immobile ! » Me dit-il d’un ton ferme.

Rythmé par des petits coups, la cravache commença à se promener sur mon corps. Frappant et caressant alternativement ma chatte, mes seins, passant le long de la raie des fesses, glissant sur mes lèvres, pénétrant ensuite mon sexe. Je recommençais petit à petit à jouir.

Puis ce furent ses mains qui recommencèrent leur manège, me palpant partout, seins et sexe furent tout particulièrement sollicités. Je sentis quelque chose de chaud me pénétrer, s’enfoncer un peu et aller et venir. C’était son sexe, qui allait et venant de plus en plus vite et de plus en plus loin. Ses mains agrippèrent mes seins, à la limite de les arracher. Mon plaisir monta crescendo jusqu’au moment où je ne pus retenir mon orgasme. Je lui criais de continuer.

Il jouit en même temps que moi. Il se retira, m’ôta le bandeau, m’indiqua où était la salle de bain pour me laver et me redonna ma robe, mais sans les sous-vêtements.

Je ressortis au bout d’une dizaine de minutes propre, et nue sous ma robe.

« Tu es une salope extraordinaire ! Félicitation pour une débutante. Je te montrerai le résultat des photos. Si tu souhaites revenir chez moi après cette expérience, tu sera la bienvenue. » Me dit-il.

Puis nous nous séparâmes, lui avec un grand sourire, moi toute étourdie de cette première soumission à un homme, et pleine de plaisirs nouveaux et étranges. Cet homme m’avait comme envoûte et j’avais découvert des sensations étonnantes. Allais-je à froid le revoir ? Au bout de quelques jours je commençais à oublier mes aventures et à ne garder que le souvenir d’une soirée éphémère. Mais deux semaines plus tard je reçus un appel de Gaby au travail.

« Bonjour, Michèle, comment vas-tu ? »
« Bonjour, Monsieur ; bien et vous ? » Répondis-je troublée de nouveau.
« Es-tu libre demain après-midi vers 17 heures. J’aimerais t’inviter chez moi, et poursuivre notre aventure. Si tu ne veux pas, je comprendrai. Ah, un détail, si tu viens, je te veux dans la même tenue que lorsque tu m’a quitté l’autre soir et nue sous ta robe. A demain j’espère. »

Et il raccrocha. Le lendemain, comme mue par une attirance magnétique, et malgré ce que m’imposait ma raison, je me préparais comme demandé et me présentais au rendez-vous.

« Bonsoir Michèle. Merci d’être venue. Avant d’entrer chez moi, je souhaitais te faire un petit cadeau. »

Je le suivis donc et nous allâmes tout près de là, dans une boutique de vêtement anciens. Gaby dit au vendeur :

« Je cherche un corset pour mademoiselle. »

Vous imaginez ma stupeur, c’était donc cela son cadeau ? Le jeune homme lui présenta plusieurs modèles.

« Entre dans la cabine d’essayage. Enlevez ta robe ! »

Il me tendit un premier corset. Je me mis donc nue devant ces deux hommes et commençais à essayer ces corsets, écoutant leurs commentaires sur mon anatomie, mon tour de taille et la façon dont ces carcans de cuir mettaient en valeur mes seins et mon sexe. Je ne pouvais vraiment rien soustraire à leurs regards. Ils se mirent enfin d’accord sur un modèle en cuir, qui s’arrêtait juste en dessous de mes seins, les supportant légèrement, mais les laissant bien visibles, et dont le bas faisait comme une pointe vers mon pubis, m’obligeant à garder le ventre bien plat.

Je remis ma robe par-dessus, et nous sortîmes. J’avais du mal à respirer ainsi comprimée. Arrivé chez lui il me demanda d’enlever ma robe et devant une coupe de champagne, il me proposa de me montrer les photos de la dernière séance. J’avais honte de me voir ainsi exposée, mais j’avouais que le style du photographe donnait un caché artistique aux photos. J’allais ainsi devenir un spectacle pour tous ses visiteurs. Puis à ma surprise, il me montrât des photos d’une femme attachée dans diverses positions, debout, à une croix, sur une table, à genoux….etc.

«Si tu es d’accord, c’est le prochain épisode pour toi. Mais en plus cette fois-ci, tu t’exhiber devant mes invités.» Me dit-il, en reprenant son appareil et en me photographiant dans ma nouvelle tenue. Je ne dis mot et qui ne dit mot consent. Dans la salle à manger une table était préparée pour six personnes. Je revêtis de nouveau ma robe. Les invités ne tardèrent pas à arriver. Les hommes étaient vêtus de cuir noir, et les femmes de robes noires presque transparentes. Nous passâmes à table, et le dîner se passa très agréablement. Après le dessert Gaby me présenta.

« Je vous présente Michèle. Je pense qu’elle a une âme de soumise et qu’elle est très prometteuse. Je vais vous la faire découvrir plus en détail ce soir. »

J’avais un peu de mal à comprendre de quoi il parlait. Puis il se leva et nous demanda de le suivre à la cave. Je commençais à comprendre le lien entre les photos et sa « présentation en détail ».

Arrivé en bas, la pièce n’était éclairée que par un spot qui dessinait un cercle de lumière par terre.

« Mets-toi au milieu Michèle ! »

Sur un claquement des doigts, les deux autres femmes me prirent chacune un bras et me mirent au poignet des bracelets avec un anneau. On me prend alors les mains et attache les anneaux à un mousqueton. Elles tire sur la corde et me voilà les mains attachées, tirées vers le haut. Je suis toute offerte à leurs regards.

Je suis nue devant ces inconnus et de mon plein grès. Je suis folle. J’entends quelques compliments sur ma plastique dans des termes crus.on corps. Pendant ce temps les femmes se sont mises dans la même tenue que moi, et me caresse le corps toutes les deux, les seins, les fesses, le sexe…. Elles commencent aussi à me lécher partout et me sucer le bout des seins. Je suis totalement offerte, ouverte, ne pouvant rien cacher. Comme la dernière fois, j’ai à la fois honte et peur, mais je ressentais une formidable excitation dans mon corps. Je m’abandonnais pour le reste de la soirée à leurs mains expertes. Ce fut ensuite au tour des hommes de s’occuper de moi. Leurs mains, moins douces et plus fermes que celles de leurs compagnes, s’emparèrent de mon corps. Très vite ce furent mes seins et mon sexe qui devinrent leur lieu d’exploration favori. Je fus pénétrée sans ménagement, fouillée, devant et derrière. Plutôt que de résister, je les laissais faire en sentant monter en moi un certain plaisir. Puis vint le tour des « supplices ». Mes tétons furent l’objet de divers travaux à la main, tordus tirés, pincés, jusqu’au moment où je ressentis une sorte de morsure. On venait de me poser des pinces sur les tétons reliées par une chaîne et cela permettait à mes bourreaux de tirer dessus et de jouer avec mes seins.

Puis je ressentis le même pincement sur les lèvres de ma chatte. On venait de m’accrocher deux poids à chacune de mes lèvres. J’avoue que malgré l’excitation de voir mon corps devenir un objet de jeu, j’avais mal. Une des femmes se mis alors à genoux devant moi et me caressa le pubis, descendit un peu plus bas, atteignit le clitoris, et commença tout doucement à le lécher. Ma première réaction fut de recul, puis petit à petit cela me fit oublier la douleur des pinces. On me libéra enfin de celles-ci et je pus me concentrer totalement sur la langue de ma compagne qui allait et venait sur mon clitoris. Je sentais le désir venir en moi, je fermais les yeux et m’abandonnais totalement aux caresses. On me mit un bandeau sur les yeux. Je sentis alors d’autres mains venir me caresser les seins, une autre s’aventura entre mes fesses pour venir jour avec mon anus. Prisonnière je ne pouvais bouger. Un doigt me pénétra par derrière et entama un va-et-vient. L’orgasme montait en moi, et, possédée de toutes parts, je ne pus bientôt me retenir et mon corps se tendit dans uns orgasme fulgurant.

Je commençais à peine à me calmer, que je ressentis une blulure sur les seins, puis sur le ventre. Je réalisais que les hommes se mettaient à me fouetter. Sous les coups de fouet, je sentis que l’on m’introduisait un objet dans le sexe, qui se mit à vibrer. C’est ainsi que je jouis une deuxième fois.

On me détacha, toujours les yeux bandés, et on m’installa sur un curieux appareil. Cela commença par quelques coups de fouet sur le dos et les fesses, histoire sans doute de me montrer que j’étais devenue une esclave pour eux. Puis des mains, de nombreuses mains s’attardèrent sur mes fesses, mon ventre, mes seins, de doigts me fouillèrent le sexe et l’anus en même temps. Une bouche me suça les seins, une autre le sexe. On m’enfonça un gode dans mon orifice de derrière, puis je me sentis pénétrée par un, puis un deuxième et enfin un troisième sexe qui chacun allèrent et vinrent longuement en moi, pendant que leur possesseur me malaxait les seins. Ils jouirent longuement tous les trois en moi.

C’est alors que je fus libérée. On m’enleva le bandeau. On me conduisit dans une grande salle de bain pour une séance de massage et de lavage puis épuisée et secouée par toutes mes aventures de la soirée je ne tardais pas à m’endormir dans un lit douillet.

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