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famille en peril

famille en peril



byMaitrePol©
Une famille en péril.

Sandra venait d’avoir 38 ans, elle vivait seul avec ses deux ados depuis bientôt 6 ans. Elle avait surprit un jour son mari alors qu’elle lui rendait visite à son travail, il sortait du bureau de son patron, quand elle voulu l’embrasser une forte odeur de sperme lui monta au nez. Richard tenta d’expliquer la situation mais peine perdue, malgré sa bonne volonté, elle ne réussit pas à lui pardonner, l’image de Mr. Wilson remontant sa braguette demeurait imprégnée dans sa tête. Suite à cette trahison, un an après ils divorcèrent et bien entendu, elle obtint la garde des jumeaux Carol et Caroline. Le juge fut impitoyable envers son ex et lui accorda une pension la mettant à l’abrie du besoin.

Malgré tout, les dernières années avaient été difficiles, élever seul deux ados ne lui laissa pas beaucoup de temps pour elle même. Heureusement ils étaient très unis et le cocoon familial se resserra si bien que pendant que Carol tentait de jouer l’homme de la maison, Caroline de son coté, la surprotégeait. À l’aube de ses 40 ans Sandra réalisait que son corps lui insufflait des besoins qu’elle négligeait de combler, elle avait fait de ses jumeaux son seul univers.

Sandra appréciait leurs attentions mais dernièrement Carol se conduisait étrangement, il était devenu distant et passait la majorité de ses soirées dans sa chambre et ses sous-vêtements étaient souvent tachés de sperme. Sandra avait demandé conseil à sa cousine Mélanie, elle était conseillère auprès des jeunes. Son garçon grandissait, il parlait peu, seul Mélanie semblait réussir à entrer en contacte avec lui. Ils se voyaient une fois par semaine mais elle n’était pas plus avancée sur ce qui le dérangeait car Mélanie refusait de parler disant qu’elle était tenue au secret professionnel.

Les jumeaux étaient au CEGEP alors Sandra en profita pour faire un peu de ménage dans leurs chambres. À son grand étonnement elle constata que Carol avait omit de fermer son ordi. Le comportement de Carol l’inquiétait et elle voulait en connaître la raison. Sa curiosité l’emporta, hésitante Sandra fouilla dans l’ordi de son fils. Elle fut bouleverser, quand elle tomba sur l’historique, plusieurs sites à caractère sexuel en faisaient partie, elle cliqua sur le dernier site visité, Sandra se mit à pleurer quand elle réalisa le genre de site que son fils visitait. Méfiante, Sandra ne perdit temps et alla vérifier l’ordi de sa fille, heureusement elle ne trouva aucune trace de pornographie.

Carol avait fait l’erreur de sauvegarder le mot de passe et Sandra eu accès à sa messagerie. Pendant la semaine qui suivit Sandra vérifia les agissements de son fils sur le net. Un personnage étrange entra en jeu au milieu de la semaine qui redoubla la méfiance de Sandra. Carol semblait apprécier les échanges qu’ils avaient entre eux au grand désespoir de sa mère. Le vendredi matin, une surprise l’attendait. Elle sursauta quand une cloche indiqua la réception d’un email.

« Bonjour petit_curieux, tu n’oublies notre rendez-vous de ce soir, assures toi d’avoir mit une petite culotte de ta mère avant de communiquer avec moi, tu vas devoir me la montrer. As-tu visité le site que je t’avais recommandé? Pour t’encourager je t’envoie deux photos que tu devrais appréciées. Maitre W. » Sandra essuya ses joues avant de regarder les photos. Sur la première un jeune homme habillé d’une nuisette rose était à genoux devant un colosse noir et il suçait son énorme bite noire, sur la deuxième une grosse bite noire toute veinée luisante de sperme et de salive.

C’était signé Maitre W., folle de rage Sandra prit la décision de supprimer ce dernier email mais la peur que son fils sache qu’elle fouillait dans son ordi la fit changer d’idée, elle cocha message comme non lu, ferma la messagerie et l’historique et quitta la chambre de son fils. Mieux valait pouvoir continuer à vérifier quotidiennement les agissements de son fils.

Une discussion avec Carol s’imposait mais en attendant qu’elle en trouve le courage, Sandra s’assura que Carol n’est pas accès à ses sous-vêtements. Elle se sentait coupable d’avoir privé son fils d’une présence masculine, il était temps qu’elle remédie à la situation. Quand les jumeaux rentrèrent du CEGEP Sandra prépara le souper tôt leur offrant une soirée films et pyjama pour ce vendredi soir en famille.

Caroline prit une douche et descendit arborant une nuisette, Sandra remarqua à quel point elle était entrain de se transformée en une belle jeune femme. Quand Carol descendit pour le souper, Sandra remarqua une légère déformation au devant de son pyjama, il était évident qu’il était excité et qu’il avait du lire le email que ce trou de cul lui avait envoyé.

Sandra était contente d’avoir ramassé sa lingerie mais ce fut de courte duré quand Carol se pencha et qu’elle crut reconnaître la démarcation d’un string sous son pyjama, elle ne portait pas de string, elle en déduit qu’il devait porter celui de sa sœur. Elle monta à l’étage et alla vérifier dans le panier à linge, Caroline venait de prendre une douche, sa culotte devait y être. Aucun sous-vêtement, bouleversée Sandra redescendit au salon et s’assit au coté de son fils. Elle eu de la difficulté à regarder le film sachant que son fils blottit tout contre elle portait la culotte de Caroline.

Carol décida de quitter avant le début du deuxième film prétextant avoir des choses à faire, Sandra suggéra que tous montent se coucher mais Caroline insista pour que sa mère reste avec elle pour regarder l’autre film. Sandra n’avait aucune concentration, se doutant bien de ce que faisait Carol. Elle ne pourrait en avoir le cœur net que lundi matin. Cette nuit là elle eut du mal à dormir, les images se superposaient, celle du jeune homme en nuisette rose suçant cet énorme phallus noir, elle voyait son fils en string en faire tout autant mais la plus provocante était celle ou l’on voyait ces grosses veines irrigants cette énorme queue noire, un manque engorgea sa chatte.

Quand Sandra se réveilla au matin, sa chatte était poisseuse et elle ne pu résister et glissa une main dans sa culotte. Fermant les yeux elle caressa son clitoris, son orgasme vint rapidement plus intense que tout ce qu’elle avait connu jusqu’à présent. Il y avait trop longtemps qu’elle avait mit sa sexualité de coté. Sandra sortit du lit et alla prendre une douche. Quel ne fut pas sa surprise de constater que le string de sa fille était revenu dans le panier. Elle mit ses doigts dans ce qui semblait être du sperme, portant la culotte à son nez elle en eu la confirmation, sa chatte se contracta. Elle était honteuse de la réaction de sa chatte à sentir le sperme de son fils.

En attendant qu’elle puisse parler à son fils, elle ne devait plus laisser son fils se servir des sous-vêtements de sa sœur pour se soulager, si jamais Caroline s’en apercevait elle aurait une chicane de famille sur les bras. À moindre mal elle choisit de laisser sa culotte à la vue pour son fils. Cela n’avait aucun bon sens, elle réalisa qu’elle devait refaire sa vie, faire entrer un homme dans sa maison afin de donner une image de virilité à son fils, mais à 38 ans avec deux ados aux études il n’est pas facile de recommencer à sortir après un si long moment d’abstinence.

Sandra était à vérifier sur son portable les différents sites de rencontres quand Carol descendit et vint se tenir debout à ses cotés pour voir ce qu’elle faisait. Carol « Wow maman tu as décidé de t’inscrire sur un site de rencontres? / Oui mon fils, j’espère que tu n’es pas contre / Non mais soit prudente, il ne faut pas que tu donnes ton vrai nom / Ah non! Et pourquoi? / Tu ne sais jamais sur qui tu peux tomber. / On dirait que tu connais ça, as-tu déjà été sur un site de rencontres? / Non mais tout le monde sait ça. » Son fils lui mentait en pleine face et elle en était chagrinée.

Dans la liste Sandra reconnu celui de son fils, elle en visita un autre en premier puis attendant sa réaction elle cliqua sur le site maudit. Carol « Non! Non! Pas lui maman tu vois bien que c’est un drôle de site, / Ah! Pourquoi? / Une impression, on dirait un site pour ceux qui cherche surtout du sexe. / Oh! Ce serait bien pour moi, ça fait tellement longtemps que je n’ai pas eu d’homme pour s’occuper de moi. / Mais maman je suis là moi. / Oui mon chéri mais toi t’es mon fils ce n’est pas pareil. » Craignant d’avoir blessé son fils, elle le prit par la taille et le serra tout contre elle.

Une odeur de chatte lui monta au nez et la troubla, elle venait de prendre sa douche, ça ne pouvait être elle. Maintenant elle en était sure Carol portait sa culotte pleine de sa mouille. Un frisson la parcouru à l’idée qu’il allait la remplir de son sperme sous la directive d’un inconnu. Sans perdre temps elle monta à l’étage pour confirmer ce qu’elle pensait. Sa culotte avait disparu, elle rageait mais malgré elle, une sensation malsaine lui envoya des picotements dans la chatte.

Quand elle osa redescendre Carol lui avait trouvé un site de rencontre. « Je vais faire ça une autre fois, il fait beau je préfère en profiter pour prendre du soleil. » Mal à l’aise elle préféra s’éloigner de son fils. L’idée que le pénis de son fils baignait dans sa mouille la troubla toute la journée. Le lundi matin Sandra sortait de sa douche quand elle entendit la porte claquer, par la fenêtre elle vit les jumeaux quitter pour l’école. Elle ne perdit de temps et alla vérifier l’ordi de son fils, la messagerie était restée ouverte elle pu voir les échanges qu’il avait eu avec cet ignoble Maitre W.

« Bonsoir petit_curieux / bonsoir monsieur / Ouvre ta cam que je te vois / oui monsieur, » Sandra n’en revenait pas son fils faisait de la cam avec un inconnu. « Je vois que tu as un joli string, je suis surpris que ta mère porte ça, / Ce n’est pas à ma mère, c’est à ma sœur / Comment ça? Je t’avais dit une culotte de ta mère / je n’en ai pas trouvé d’utilisée et je n’ose pas fouiller dans sa chambre. / Pour ce soir c’est ok mais demain, débrouilles toi pour m’obéir. / Oui monsieur / Bien je veux te voir te caresser dans la culotte de ta sœur pendant que tu fixes ma queue. » Carol néo en relation sexuelle, était excité par l’érotisme que ce noir dégageait et son petit pénis ne tarda pas à vibrer sous la soie rose. « Monsieur je vais jouir / laisse toi aller petite salope et ouvre ta bouche que j’éjacule dedans. / Monsieur je vieeeeeeeeeeens haaaaaaaaaaaaaaa. / Plus grand petite chienne. »

Sandra était abasourdie, maintenant, à l’écran une main ornée d’une grosse bague en or, caressait une énorme queue noire qui crachait sa sève vers à elle. Surexcitée par l’image, sa main avait glissé vers sa chatte qu’elle malmenait en quête de jouissance, comme hypnotisée, elle ouvrit sa bouche en continuant sa lecture. « Bon petit_curieux pour ce soir ce sera tout, je t’attends demain soir dans une culotte de ta mère et emprunte lui sa brosse à cheveux, ne me déçois pas encore une fois sinon je te punirai. / Oui monsieur à demain. / Dorénavant je veux que tu fermes ton écran mais tu laisses ta messagerie ouverte ainsi que ta cam & son / mais monsieur c’est dangereux si quelqu’un voyait ça / peu importe obéit salope, je veux pouvoir te surveiller tout le temps. / Bien monsieur / je suis maitre pour toi maintenant / oui maitre »

Une frayeur s’empara de Sandra, ses yeux se remplirent de larmes, son cœur de rage, on l’avait piégée, elle n’osait relever la tête, soudain une voix basse dit : « Bonjour maman curieuse, ainsi on espionne son fils et on se caresse devant sa cam, c’est vilain ça. » Sandra était gelée, elle n’arrivait pas à dire un mot, « Surprise, tu n’as rien à dire maman salope, ce n’est pas grave, ton rôle est d’écouter, je vais te dire quoi faire à partir de maintenant et tu obéiras sinon ton fils sera mit au courant des tes agissements et je lui ferai voir l’enregistrement que je viens de faire. / Non! S.V.P. Monsieur ne faites pas ça, dites moi votre prix et je vous achète la vidéo. / Je ne veux pas de votre argent, avons nous une entente maman salope? » Jamais personne ne l’avait traitée de salope dans sa vie, le choc était énorme. « J’attends une réponse / heum sniff / Pardon! / Oui / Tu dois apprendre la politesse, on dit oui monsieur. / Oui monsieur. »

Sandra se mit à trembler. « Relève la tête salope, je vais te donner de bonnes raisons de trembler, je sais ce qui fait vibrer les petites salopes blanches de ton genre, tu vas aimer. » Quand elle regarda l’écran, elle s’écria : « Vous! Pourquoi? / Tu as mis sur la paille mon meilleur employé, il a mit 3 ans à s’en remettre et pendant ce temps il n’a pas été rentable et maintenant tu vas m’aider à récupérer mes pertes sinon je vais me servir de ton fils pour le faire et s’il le faut de ta fille aussi. / Noooooon pas mes enfants monsieur. / D’accord, as-tu un ordi à toi? / Oui! Monsieur, un portable / Bien, nous allons laisser l’ordi de ton fils tranquille et tu vas aller sur ce site de rencontre et te créer un profil sous maman_salope à partir de ton portable, grouilles toi chienne, je vais te contacter dans 20 minutes. Ne me fais pas attendre sinon tu t’en repentiras, »

Sandra était énervée, chienne le mot lui trottait dans la tête, les choses allaient tellement vite qu’elle avait perdu toute faculté à réfléchir. Elle alla dans sa chambre pour se couvrir d’une robe de chambre puis comme un automate se plia aux consignes du patron de son ex Mr. Wilson. Nulle en site de rencontres et pressée par le temps, elle fit erreur par dessus erreur si bien que lorsqu’elle réussit à activer son profil, 30 minutes s’étaient écoulées. Un email ne perdit pas de temps à rentrer, elle sursauta puis un deuxième suivit. Hésitante elle ouvrit le premier, « Ouff! » Ce n’était que le site qui la saluait et lui souhaitait beaucoup de plaisirs.

Elle le savait bien, le deuxième était de son maitre chanteur, mais avait-elle le choix, elle trouverait une solution plus tard, pour l’instant elle devait gagner du temps. Une boite clignotait, elle regarda le sujet « Maitre W désire être votre ami, acceptez- vous sa demande? » Un simple clic mais elle en avait bien peur, c’était un risque énorme mais refuser signifiait abandonner son fils aux mains de cet ignoble individu. Sordidement sa chatte se manifesta l’incitant à faire le geste fatal, l’image de ce phallus noir crachant sa sève lui revint en mémoire, un désir immoral envahit son corps.

Bien tapit dans sa chatte, le diable des sens lui dicta la bonne façon de le faire. « Nooooooooon, je ne peux pas faire ça. » Le souvenir de la jouissance qui l’avait traversé la dernière fois devint obsédant, une image de soumission forcée surgit dans sa tête, une force invisible effleura l’intérieur de ses cuisses et la fit ouvrir les jambes, sa chatte s’humidifia, puis suivant un ordre intérieur, elle glissa son majeur et index dans la mouille de son sexe puis les glissa sur la touche entrée. Son sort venait d’être scellé avec le jus de sa moule.

Sandra regardait la mouille sur la touche quand une voix menaçante gronda « Alors ma salope tu y as mis du temps, tu seras punies pour ça / pardon monsieur mais je ne suis jamais allé sur des sites de rencontres avant. / Qui t’a donné la permission de te vêtir, devant moi tu seras toujours nu. / Oui monsieur / on dit oui maitre / oui maitre / bonne fille, je déteste les poils alors tu vas aller te raser et tu le feras chaque fois avant de te présenter à moi. / Oui maitre / Quand ta chatte sera lisse tu reviendras te présenter à moi en donnant ton nom de soumise. Dans le panier à linge il y a ta culotte que ton fils a remplit de sperme frais ce matin, tu la mettras. / Oui maitre. »

Obéissante Sandra remonta à l’étage mais elle réalisa qu’elle avait omit de racheter des rasoirs pour elle et sa fille. Pendant un moment elle se demanda si sa fille se rasait la chatte, c’était l’usage en 2017 chez les jeunes filles. Une seul solution prendre celui de son fils, après tout s’il salissait sa culotte de son sperme, elle n’avait pas à se sentir coupable. Malicieusement après avoir obéi à la requête du maitre, elle laissa quelques poils sur le rasoir et sa chatte se mouilla à l’idée que Carol que se raserait avec. Sandra ouvrit le panier et y retira sa culotte, c’était bien la faculté de la jeunesse, du sperme il y en avait partout, elle présumait que ce ne fut pas le résultat d’une seule branlette.

Toutes ces années d’abstinence l’avaient mise dans un état de vulnérabilité face aux suggestions scabreuses qu’on lui dictait. Ce fut une sensation étrange quand sa chatte glabre vint en contacte avec la semence froide de son fils. Toute trace de dignité avait disparu, un besoin sexuel abject s’était emparé de son corps puis une laisse invisible reliée à son clitoris la força à avancer, descendre les marches, retourner à son portable, et taper: « Maitre, maman_salope est là. / C’est bien, tu apprends vite, tu as l’air bien agitée? / Je ne peux pas croire que je suis tombée si bas. / Salope, tu en es encore au sommet de ta descente, quand j’en aurai fini avec toi tu seras devenu une chienne obéissante comme ton ex. J’imagine que ta chatte est mouillée, bien sûr qu’elle doit l’être, les chiennes blanches ça jutent abondamment quand elles savent qu’elles vont bientôt avoir leur première grosse bite noire. » Sandra était dégoûtée par les paroles qu’elle entendait mais son sexe était désireux lui et elle baignait dans un désir sordide.

« Approches toi chienne si tu veux ma queue, c’est bien ça que tu veux? / Oui maitre / Montre moi ta culotte, écarte les jambes, plus large salope, masturbes toi / oui maitre. » Sandra était entrée dans une transe sexuelle. Une main glissa sur son sexe pendant que l’autre malmenait ses tétons. « C’est ça chienne, caresse ton clitoris avec le sperme de ton fils, suce tes doigts salope. » Oui à ce moment elle était sa chienne et elle exécuta toutes les saloperies exigées par son maitre.

La situation abjecte emporta Sandra qui éclata en jouissance, « Haaaaaaaaaaaaaaaaa Hoooooooooooooooooo Hoouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa je viiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeens Hooooooo mon dieu Haaaaaaaaaaaaaa ooouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je vais jouir eeeeeencooooreeeeeeee. / Tu vois salope comme c’est bon d’être prise en main par ton maitre, ce n’est qu’un début. Comme tu as été une bonne fille, tu vas recevoir une récompense, soit à mon bureau vendredi après midi à 3hres. Entre temps tu peux te caresser mais tu n’as pas la permission de jouir, abstinence complète jusqu’à notre rendez-vous. / Oui maitre. » La conversation se coupa.

Sandra n’en revenait pas de l’excitation qui l’animait mais elle était soulagée, elle avait 3 jours avant le rendez-vous pour trouver une solution à cet envie de débauche qui guidait ses pensées. Elle empoigna le téléphone pour communiquer avec sa cousine Mélanie, elles étaient très proche l’une de l’autre et espérait avoir un bon conseil de sa part. Mélanie était loin d’être une femme farouche, son goût pour le sexe sans tabou était légendaire, Sandra avait toujours été mal l’aise avec la sexualité de sa cousine mais elle savait qu’elle au moins ne la jugerait pas.

« Ma pauvre Sandra, tu es dans un drôle de pétrin, si tu appelles la police tu vas faire la une de tous les sites pornos interraciaux, et connaître la honte de ta vie. Dans le cas contraire tu vas faire la une de tous les sites pornos interraciaux mais connaître la baise de ta vie et crois moi, j’ai connu ça, il n’y aura pas de retour en arrière, ce noir va faire de toi sa chienne / mais je ne veux de ça Mélanie, je veux sauver mon fils de ses griffes. / Tu ne veux pas ça mais lui le veux et maintenant que ta chatte a mouillée juste à regarder l’image de sa queue, il n’aura pas de misère à prendre le contrôle. Heureusement il ne t’a pas encore baisé, mais dis toi bien que le jour ou tu lui ouvriras tes cuisses, que ta chatte sera bien huileuse et grande ouverte pour lui permettre d’y glisser son pieu, là tu s

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