Pour ma fête ; et après ces aventures tumultueuses et sportives en montagne, Alain décide de louer une moto et de n’emmener et de faire un trip dans les plus hauts cols Alpins.Je sais, c’est pas sérieux, mais je suis restée en short très court me rentrant dans les fesses, sans culotte. Je porte un débardeur qui dévoile mon ventre sans soutien-gorge et mes chaussures de marche aux pieds. Me serrant contre lui dans les virages et lors des freinages, Il devait bander en sentant ma poitrine s’écraser dans son dos. Je sais comme Alain apprécie de piloter sa moto avec une poupée comme moi à l’arrière. Je profite de toutes les occasions pour me coller dans son dos. Très excitée, mon short colle à ma chatte grisée par la sensation d’être sur cet engin vibrant et derrière mon mec adoré. Au sommet du col de Vars, Je propose à mon mari de boire un verre dans le bar d’altitude. En dégustant une bonne bière face à la montagne, Je lui confie :
« Je suis totalement mouillée. Ca te fait bander de me sentir derrière toi ? »
« Oui ma chérie. Heureusement que le réservoir est solide ! »
Comme j’ai mon permis également, Je lui demande :
Tu me laisse le guidon pour redescendre le col ? »
«Il réfléchit un instant et me dit :
« Oui pourquoi pas, je me tiendrais à tes seins. »
Nous voilà reparti et comme il me l’avait dit, Il exerce un pression plus ou moins forte sur mes seins dans chaque virages. Au bout de quelques kilomètres, je jute carrément dans mon short. Je repère un chemin qui part dans la foret et m’engage quelque dizaines de mètres dedans. J’arrête la moto. Le coin est calme. Il n’y a plus grand monde à cette saison. N’y tenant plus, j’embrasse avec une fougue amoureuse peu commune. Nos langues s’enlacent dans un balais langoureux. Il me pelote allègrement les seins et descend rapidement vers mon entrecuisse détrempée. Lentement, je glisse à genoux et délivre la tension qui règne dans son pantalon. Comme un beau diable son membre me saute au visage. Je malaxe ses couilles dures et pleine en donnant des petits coups de langue sur son gland turgescent. Puis, j’admire un instant cette belle verge dressée que pour moi et commence à la pomper avec une gourmandise non feinte. Alain gémit de plaisir et me tient la tête pour me contraindre à aller à son rythme et plus profondément dans ma bouche. J’aime qu’il me guide ainsi
« Ah oui c’est bon ! Tu es la reine de la pipe ma salope chérie ! J’vais te baiser sur la moto !»
Il m’allonge sur la scelle et ôte rapidement mon short pour se délecter de ma chatte juteuse. Quand sa langue fouineuse s’attaque à mon clito et je ne peu réprimer un feulement de plaisir en tendant mon bassin à cette délicieuse caresse. Je mouille tellement que la scelle est enduite de ma cyprine. Je lui demande dans une plainte de plaisir :
« Occupe toi de ma rosette chéri ! »
Il ne faut pas lui dire deux fois et en continuant à me bouffer la chatte, il enduit ses doigt de ma mouille pour me fourrer le petit trou. C’est si torride que je n’ai plus qu’une envie c’est qu’il me prenne sauvagement sur cette bécane. Je cris, je gémis et l’implore de me baiser. Mais il fait durer le plaisir. Alain brusquement quitte ma chatte. Il me regarde me languir sur la moto avec sourire généreux, luisant de ma mouille. Sa queue est raide comme la justice. Il me met les jambes sur ses épaules et me prenant les hanches, d’un coup de rein, il me pénètre jusqu’à la garde. La position est acrobatique, en équilibre sur la scelle. Puis il se met à me limer comme un furieux. Je me demande encore comment la bécane ne c’est pas dé-béquillée tant l’assaut est d’une rage démoniaque. Je lui cris :
« Oui elle est bonne ta bite ! Défonce moi bien haaaaa !!! C’est trop bon ouiii !!! »
Alain, en me perforant divinement mon vagin en feu, a un regard de démon. Nous sommes tout les deux comme possédé, en transe. Ensuite au bord de l’extase, Alain se retire et me dit :
« Descends de la moto ! Prends appui sur la scelle ! J’vais t’enculer en levrette ! »
Alain me retire mon débardeur et en me cambrant pour mieux lui offrir mon cul, il malaxe mes fesse et me donne une fessée presque salvatrice avant de me prendre par les hanches pour enfoncer doucement dans mon fondement étroit. Sa pénétration irradie mon corps et je suis prise de spasme annonciateur de mon orgasme. Ma chatte, sous ses coup de boutoirs coule dans un filet continue de cyprine. Je suis sa chose et il me sodomise maintenant à rythme d’une intensité diabolique.
S’en est trop et mon orgasme explose avec une v******e inouïe. J’ai envie de son sperme dans la bouche et de l’avaler pour le déguster avec gourmandise. D’initiative, avant qu’il éjacule, je me retourne et me jette à ses pieds, pour le sucer. Mon corps alangui par l’orgasme que je venais d’avoir me met comme sur une sorte nuage. La belle queue de mon homme dans la bouche, vibrante, au bord de sa jouissance éjaculatrice me fait le pomper de plus bel. Plantée entre mes lèvres, son pieux est pris de soubresaut et décharge répandant en longue giclées crémeuses son foutre dans ma bouche. Je me délecte de sa semence et dégluti avec passion le fruit de notre amour.
Cette virée en moto a été pleine de promesses. Nous sommes resté une bonne demie heure à rester nus, main dans la main, adossés à la bécane, sans rien dire en admirant le paysage. Une fois avoir repris nos esprits, nous nous sommes rhabillés. Mon mini short est invoyable tant il est trempé de mouille. J’ai encore les jambes qui flageolles et c’est Alain qui reprend le guidon pour rentrer au chalet.
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