Nous étions à Rome ma femme Carole et moi depuis deux jours, avec un couple d’amis qui découvraient comme nous les charmes de la ville . La nuit était sur le point de tomber,en cet instant si délicieux ou succède à la chaleur étouffante de l’été, cette atmosphère adoucie par une brise légère… Nous étions assis tous les quatre à la terrasse d’un restaurant.
Ce qui dominait c’était ce calme serein, notre attention était à peine distraite par le murmure des conversations autour de nous.
Nos deux couples se faisaient face.
Nicole , la collègue de bureau de ma femme était tout à fait ravissante, le teint cuivrée en cette fin de vacances, elle semblait véritablement rayonner, le visage balayé par la lumière chaude de la bougie posée devant nous.
Son charme singulier n’avait guère à envier à celui des belles romaines. Elle semblait d’ailleurs chez elle ici. Ses yeux discrètement maquillés offraient à ma vue cette intense profondeur qui distingue les regards noirs intenses associés à une lueur secrète, ambiguë … Celle d’un visage irradié par la quête même du regard de l’autre.
Cette attention portée à mon propre regard si souvent posé sur elle ne pouvait pas m’échapper. Il y avait peu de moments où je ne vis ces yeux esquisser un mouvement en ma direction.
Ce petit manège avait débuté en début d’après-midi, lors de la visite d’un musée . J’osais au début à peine y croire, d’abord gêné par la présence de son mari.
Son audace à me regarder brièvement mais de façon soutenue, esquissant même quelquefois un léger sourire, contribua à me faire exprimer l’attention que je lui portais avec moins de retenue. Ainsi ce petit jeu prit une tournure nouvelle, tant nous nous habituions alors à chercher mutuellement nos regards.
Une complicité secrète s’était au fil de la journée insinuée entre nous à l’insu de nos mari et femme respectifs.
Nicole poursuivit ses avances par un jeu subtil auquel j’étais le seul sensible. Ainsi lors de la longue promenade qui s’en suivit alors que notre conversation s’animait à propos du statut respectif de la femme dans l’antiquité et aujourd’hui, et que son mari Edouard philosophait avec ma femme, tour à tour elle s’approchait et s’éloignait de moi, me gratifiant d’effluves parfumées qui agaçaient mes sens.
Tantôt elle me regardait avec plus d’insistance encore alors que son mari nous tournait le dos… Puis elle me frôla la main de la sienne, de ses doigt si délicats parés d’un verni rouge intense .
Elle me devançait, me laissant à loisir observer sa silhouette sensuelle, féline, moulée dans une robe de satin bleu fendue sur le coté, découvrant par moments le pli de sa jambe et le bas de sa cuisse. La beauté de celle-ci était tout à fait remarquable , à la fois musclée et élancée je rêvais déjà de pouvoir y appliquer d’attentives caresses…
De même lorsqu’elle ondulait devant moi son fessier magnifique révélant une féminité conquérante, je me voyais pétrir ses fermes globes du plat de mes mains.
Elle fut un temps portée à plus de discrétion, car nos mari et femme s’étaient à nouveau rapprochés de nous.
Mon attente aussi d’un signal venant d’elle provoqua bientôt chez moi de sourdes inquiétudes. Après tant d’attention je crus discerner comme de l’indifférence. Il me semblait même, maintenant que son mari s’était placé entre nous, qu’elle avait choisi de m’ignorer ne m’adressant plus de signe d’encouragement…
Le temps me parut soudain bien long, et cette ville majestueuse sous la chaleur étouffante, brusquement si triste…
Cette femme qu’il y a deux jours je connaissais à peine, qu’hier encore je ne percevais que comme la meilleure des amies collègues de mon épouse, m’apparaissait aujourd’hui comme la femme la plus désirable qui soit, irradiant une puissance érotique qui emprisonnait mes sens…
Avant ce jour, je n’avais pas envisagé de tromper ma femme, si ce n’est dans l’expression d’un fantasme fugitif… Maintenant il fallait que je possède cette femme, et je me sentais prêt à toutes les folies pour arriver à mes fins…
Peu à peu l’attention d’Edouard s’était relâché sur sa ravissante épouse qui m’adressa enfin un coup d’œil sans équivoque.
C’était une bien ravissante complice qui s’était donc assise ostensiblement face à moi à la terrasse du restaurant.
Outre la beauté de son visage, je discernais une partie de son anatomie que l’insistance de ses regards ne m’avait pas laissé le loisir ou le courage d’observer. Maintenant qu’elle était en face de moi, c’était presque l’inverse. L’intensité de ses yeux noirs portés sur moi sans retenue, alors même que mon épouse à mes cotés aurait pu la percevoir, loin de m’intimider , m’encourageait désormais à explorer du regard ses appâts les plus secrets.
Ainsi ma vue s’offrait des vas et viens entre les contours de son visage et ceux plus avenants encore de ses seins dont une partie se dévoilait généreusement par le décolleté avantageux de sa robe.
Son vallon de tendresse était des plus exquis et c’est avec volupté que j’imaginais y plonger mon visage… Elle me sourit alors comme si elle lisait mes pensés…
A cet instant je sentis sa cheville caresser doucement la mienne. Son pied dénudé glissait bientôt , longeant l’intérieur de ma jambe, remontant doucement du mollets à la cuisse…. Je sentais mon sexe se tendre contre le tissus trop serré. Elle me regardais fixement et je soutenais ce regard, comme un appel limpide à assouvir un désir sauvage…
C’est son mari qui d’une parole distraite brisa cet instant magique, au moment même où le pied de Nicole appliqua une légère caresse le long de mon sexe tendu. « Que diriez-vous de venir prendre l’apéritif chez nous ? »
Ma femme et moi, après nous être regardé brièvement en avions conclu que c’était une idée séduisante…
Bientôt nous marchions tous les quatre au travers de ruelles obscures.
La vue du déhanchement félin de Nicole associé aux effluves capiteuses du parfum dont elle venait de gratifier son cou gracile de quelques gouttes, provoqua chez moi un mouvement incontrôlé de ma main qui vint caresser les fesses de ma femme. Celle-ci ne repoussa pas mes avances et sembla même y prendre goût, serrant son bras autour de ma taille et blottissant sa tête contre mon cou…
Je me sentais un peu coupable de ce désir irrépressible qui ne s’adressait pas à la femme qui était auprès de moi . Mais en même temps je me voyais libéré de toute contrainte, comme hors du temps, ne vivant que dans le but de tendre vers l’assouvissement de mes désirs, un peu comme si j’étais retourné à l’état sauvage. J’avais le sentiment même qui me glaçait le dos que s’il avait fallu tuer quelqu’un…
Mais bientôt nous arrivions devant le porche de leur location.
C’était une maison cossue, du siècle dernier typiquement romaine à la facture classique, belle sans ostentation. Bientôt nous pénétrions dans l’édifice, et c’est cette même impression d’élégance et de simplicité qui nous charma alors. Tout manifestait ici l’expression d’un confort discret qui mettait immédiatement à l’aise.
Nicole nous invita à nous débarrasser d’une partie de nos vêtements.
Mon épouse portait elle même une tenue très élégante, long fourreau de satin noir qui moulait à ravir ses seins menus dont on devinait le dessin de l’aréole au travers du tissus , ainsi que sa taille fine et son fessier charnu.
Notre hôtesse quant à elle était partie se changer et réapparue plus ravissante encore dans une tenue extraordinairement sexy. Elle portait désormais une courte robe blanche qui lui arrivait à mi-cuisse. Ses jambes superbement galbées étaient recouvertes d’un collant blanc de soie très fine qui éclaircissait légèrement son teint hâlé. Elle portait des souliers d’une pareille blancheur aux talons élevés attachés par de larges bandes qui nouaient ses chevilles. La cambrure de ses reins s’en trouvait ainsi accentuée, et sa poitrine mise en valeur s’imposait alors fièrement, visiblement libérée de toute autre contrainte sous la robe légèrement transparente .Sous celle-ci je croyais deviner de sombres mamelons dont le dessin s’offrait plus évident encore que ceux de mon épouse.
Toute autre femme , y compris ma compagne aurait parue vulgaire dans une telle tenue. Je ne sais par quel miracle, pour elle il n’en était rien. Elle parvenait à garder un air de dignité indiscutable et la beauté de ses formes offertes de façon impudique aux regards, lui semblait comme une parure élégante associée avec gout au naturel de son attitude, si familière et chaleureuse par ailleurs…
Curieusement la notion de désir purement sexuel s’atténua même chez moi quelques instants. Je la perçus alors comme la sœur que j’aurais voulu serrer dans mes bras avec tendresse…
Son attitude bientôt pourtant à nouveau troubla mes sens, et me fit la désirer plus intensément encore… Elle me servit un apéritif de sa composition en plongeant son regard velouté dans le mien, profitant de l’inattention de nos époux respectifs occupés à l’introspection de la maison pour poser sa main sur la mienne. La douceur et la chaleur de celle-ci m’électrisa littéralement et j’eu du mal à contrôler mes gestes.
J’étais assis profondément dans un fauteuil et quand elle se redressa je ne pus qu’être fasciné par le sombre triangle de son sexe qui discrètement transparaissait au travers de sa robe et du collant diaphane…
Je ne pus alors étouffer un murmure: « Je n’en peux plus, j’ai tellement envie de toi ! » Elle me répondit par un sourire de contentement, puis se pencha vers moi pour chuchoter à mon oreille: « Dés que cela est possible… » Mais elle du s’interrompre pour ne pas nous trahir, alors qu’ Edouard et Carole revenaient en riant.
« J’aimerais vous faire visiter le jardin! » dit-il alors d’un ton enjoué. Je prétextais un léger mal de tête pour décliner l’offre, que mon épouse accepta après s’être enquie de mon état.
A peine la porte refermée j’entendis Nicole fébrile: « Ne restons pas là! »
Elle me pris par la main et m’entraîna à monter les escalier en courant avec elle. Elle se précipita avec moi dans une petite pièce qui servait de débarras. Elle sauta alors littéralement à mes genoux extirpant avec avidité et dextérité mon sexe bandé jusqu’à la douleur pour me prodiguer bientôt une caresse buccale des plus exquises. Elle s’affairait, tout en me palpant délicatement mes couilles, à me sucer la bite frénétiquement d’un mouvement langoureux. Elle continuait sa besogne avec application tout en massant langoureusement mon anus.
Je pensais ne pas pouvoir me retenir quand elle se retira soudainement. Elle se redressa pour offrir à ma bouche un téton dénudé libéré de sa robe… Je l’engloutissais, le suçais, le malaxais , l’aspirais, le mordillais tout en pétrissant fermement d’une main libre l’autre sein.
Ses mamelles en forme de poire se dressaient plus nettement encore, leurs bouts sombres aux cercles généreux réclamaient toutes les attentions . Bientôt je les fis rouler de toutes mes forces entre les doigts. Elle se cambra brusquement , étouffant avec peine un soupir d’abandon…
Alors je fis glisser ma main à son entrecuisse, et massais bientôt de façon douce et ferme à la fois avec ma paume, sa chatte soyeuse que je sentais humide et moite au travers du collant.
Je léchais le liquide onctueux qui poissait sur mes doigts et introduit ma main au contact direct de sa moule baveuse.
Bientôt je sentis son fourreau poilu engloutir ma main . Sa bave tiède de femelle en chaleur enveloppait celle-ci jusqu’au poignet. Je la fourrageais en tous sens , insistant à agacer de mes doigts son point le plus sensible. À la fois c’est moi qui la massait, la malaxait, la pétrissait, à la fois c’est elle qui me branlait la main par les ondulations et les mouvements saccadés de son corps, jusqu’à engloutir mon avant-bras.
Je fourrageais jusqu’à ses entrailles lorsqu’elle me supplia de la pénétrer par l’anus….
Elle s’appuya d’une main contre le mur en me tournant le dos, retroussa sa robe jusqu’à la taille, puis dénuda son cul superbe brillant de sueur pour le plaquer contre mon sexe encore luisant de sa salive.
Un instant ma bite coulissa le long de la raie de son cul. La respiration de Nicole s’accélérait et s’intensifiait. Bientôt mon gland heurta l’étroit passage, massant bientôt la rosette délicieusement ornée dans ses replis d’un petit grain de beauté.
Devant ce qu’elle pris pour de l’hésitation la femme d’Edouard me supplia encore « S’il te plait encule moi… je veux sentir ta bite dans le trou de mon cul… s’il te plait, baise-moi l’anus… »
Cette fois -ci, Nicole avait perdue toute dignité, jusqu’à l’humiliation, sa beauté abandonnée s’offrait à moi toute entière. Sa croupe ondulait devant moi exhalant des odeurs félines. Sa féminité se dévoilait toute entière dans les courbes lascives de son corps parfait.
C’est sans aucune retenue que je m’empalais dans son postérieur , limant avec vigueur sa part la plus intime, mes couilles claquant au creux du cul en saccades régulières.
Son corps dont je malaxais les seins maintenant dans chaque main, ballotté d’avant en arrière était secoué de spasmes et de soubresauts. Ma bite brûlait de jouissance et de douleur en frottant violemment sa gaine de chair, et bientôt je lâchais ma semence dans son boyau fessier, le flot visqueux emplissant ses entrailles…
Il y eu un bref moment de silence .. Je plaquais mon torse contre son dos… La sueur collait nos vêtements l’un à l’autre…
Et puis un bruit dans le jardin nous intima de nous redresser et de gagner au plus vite le salon…
Arrivés au bas des marches la porte s’ouvrit: Nicole et Edouard discutaient botanique…
C’est alors qu’un détail m’interpella .
La robe de satin de Carole était froissée vers le bas, et un fil trahissait une légère déchirure en haut de la fente latérale qui dévoila sa jambe… Mais ce qui me troubla plus encore c’est ce que je distinguais sur la surface du tissus noir près du bas-ventre de mon épouse… une auréole luisante à la forme précise dont la raison m’apparut d’évidence.
J’étais interloqué et ne pu sans doute dissimuler un sentiment de stupeur car les joues de ma femme se mirent à rosir alors qu’elle baissait ses yeux face à l’insistance de mon regard.
Je m’avançais alors vers elle, sortant de la pénombre… À nouveau elle leva les yeux vers moi…
Son expression ainsi que celle d’Edouard changea alors brusquement. Je croyais y voir un mouvement de stupeur.
C’est alors que je vis à mon tour la raison de tout cela.
Sur ma chemise et le haut de mon pantalon de larges bandes de sueurs, dessinaient distinctement telle une empreinte, le contour des fesses et des reins de Nicole…
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