Je me suis dit que j’ai vraiment de la chance ou n’était-ce pas plutôt une malédiction de toujours tomber sur ces gamines. Quand je suis entré dans la salle, elle était là, adossée contre un mur. Elle avait l’air de s’ennuyer. Je la regardais quand tout à coup un type de deux fois son âge l’a abordée et ils ont commencé à discuter puis elle a suivi le type dans le couloir et j’ai hésité à les suivres. Dix minutes après la fille est evenue et elle s’est remise contre le mur mais elle a sorti un mouchoir de son sac à main et elle s’est essuyée les lèvres avant de reprendre son petit manège.
Je la regardais quand elle m’a vu et elle m’a fait un clin d’œil et je me suis demandé ce qu’elle peut bien me vouloir mais un autre type l’a abordée et comme avec le premier, elle a discuté avant de le suivre dans le même couloir et je me suis décidé à les suivre. Le couloir faisait un coude et je les ai perdus de vue mais j’ai continué et j’ai failli les bousculer. Le type avait fait tomber un gros billet et il m’a enguirlandé et la fille a ramassé le billet et je me suis éloigné dans le couloir et quand j’ai estimé que j’étais assez loin, j’ai fait demi-tour et je suis revenu et j’ai vu que le type se faisait tailler une pipe par la fille.
Je n’en revenais pas qu’une aussi jolie fille ait pu faire ça pour de l’argent. Il n’y avait aussi aucun doute que le type avait vu que je les regardais mais il n’a pas réagi comme si ça lui plaisait que je les mate puis il a joui. Je l’ai compris quand la fille a reculé sa tête puis elle a sorti un mouchoir et elle a craché dedans avant de se relever et elle a laissé le type sur place.
Le type était seul quand je l’ai croisé. Il n’y avait pas d’autre chemin pour retourner dans la salle. Il m’a attrapé par le bras et il m’a proposé de me sucer mais j’ai refusé et je me suis enfui à grands pas. J’étais inquiet parce que la fille n’était plus dans la salle. Sur la scène, une femme éructait je ne sais quoi. Quand elle s’est arrêtée, le public l’a applaudi. Qu’est-ce que je faisais là ? J’avais été invité par ma boîte mais ça ne m’intéressait pas. Tout à coup, la fille est réapparue. Elle n’était pas seule. La femme qui pérorait sur la scène était avec elle.
– Ça vous a plu, m’a demandé la femme ?
– Oui ! Oui, très bien, lui ai-je répondu !
La fille à côté d’elle m’a souri.
– Bon, lui a dit la femme, il faut que j’aille me préparer ! Est-ce que tu restes ?
La fille ne lui a rien répondu. Le type du couloir est venu vers nous puis il l’a prise par le bras et il l’a entraîné avec lui. Je les ai suivis dans un couloir en cul de sac.
– Tu m’as pris tout mon fric, lui reprochait le type ! Ce n’était pas ce dont nous avions convenu !
– Et alors, je t’ai vidé les couilles, lui a répondu la fille !
Quand il a levé la main sur elle, je me suis interposé et je lui ai tordu le bras et il est parti, me laissant seul avec la fille.
– Tu veux que je te fasse une pipe, m’a-t-elle demandé ?
Je me demande encore ce que je lui ai bafouillé comme réponse.
– Tu veux baiser, c’est ça, a insisté la fille ? Sors ta bite, ça sera gratuit !
J’ai sorti ma bite et je me suis enfoncé dans sa chatte avant d’avoir pu lui demander si elle est saine.
– Qu’est-ce que tu crois, m’a demandé la fille ? Il faut savoir prendre des risques et puis tu ne paies pas !
Elle avait raison. J’ai tiré mon coup et j’ai tout lâché dans sa chatte et ça m’a fait du bien. Je l’ai vu s’enfoncer un mouchoir en papier dans son trou puis elle a rabattu sa jupe et elle m’a repoussé pour pouvoir passer.
Quand je suis revenu dans la salle, la femme était à nouveau sur la scène à discourir puis elle a fait monter la fille à son côté et elle l’a présentée comme sa fille.
J’ai étouffé un rire. La mère qui fait le job pendant que la fille assure les rentrées d’argent. Je n’avais jamais vu ça.
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Ma fille
C’était au début de l’internet. Il n’y avait pas encore de ces sites en ligne où on peut se voir bouger chacun à un bout du monde. Il y avait des sites de chat où on pouvait mettre une photo et se faire passer pour ce qu’on n’était pas. J’avais essayé plusieurs fois en me faisant passer pour une femme mais je n’avais pas réussi à obtenir ce que j’espérais. Mon épouse passait presque tout son temps à l’hôpital et notre fille n’habitait déjà plus chez nous. Une fois veuf, je ne saurai jamais pourquoi, j’ai résolu de me trouver une femme en chattant sur le net. J’ai mis un faux nom et une photo trouvée dans une revue et je suis allé à la pèche. J’ai perdu mon temps pendant six mois puis un jour, j’ai rencontré quelqu’un qui m’a paru plus sérieux que tous les autres jusque là. C’était une fille. Enfin, c’était ce qu’elle disait mais j’avais envie de le croire. Nous avons discuté pendant plusieurs semaines et elle me plaisait de plus en plus puis je lui ai proposé un rendez-vous. J’ignorais où elle habitait et en plus elle a refusé et j’ai laissé tomber mais quelques semaines plus tard, c’est elle qui a envisagé un rendez-vous. Je suis tombé dans le piège. Je regardais sa photo en me mettant à espérer. Cette fille avait l’âge de ma fille et j’avais pensé que c’était trop beau pour être réel. Néanmoins, j’ai accepté son rendez-vous. C’était à une centaine de kilomètres de chez moi. C’était aussi un week-end. J’y suis allé. Je trouvais ça amusant que ce soit dans une ville où avait habité ma fille pour ses études. Je me suis présenté dans le café-restaurant et j’ai fait le tour des tables en espérant trouver la fille. Elle n’était pas là. J’avais imprimé sa photo sur une imprimante couleur mais je n’avais pas envie de montrer la photo à qui que ce soit. Je suis quand même allé au bar pour demander s’ils n’avaient pas vu une jeune fille brune, taille un mètre soixante-cinq, allure normale, assez joie. Le barman m’a regardé et il m’a répondu qu’il n’a vu personne comme ça puis il a ajouté que je peux toujours faire le tour de la salle pour vérifier et j’allais le faire quand j’ai vu entrer ma fille dans le bar. Il n’y avait aucun doute. C’était bien ma fille. Elle a fait comme moi, regardé autour d’elle comme si elle cherchait quelqu’un puis elle est allée demander au bar. Je m’étais caché derrière un pilier pour que ma fille ne me voit pas. Je ne sais pas ce que le barman lui a dit car elle s’est dirigée vers la porte d’entrée au moment où un jeune homme entrait et ils se sont sautés au cou.
Pour moi, c’était fichu. J’allais sortir à mon tour quand ma correspondante est entrée à son tour. Je ne pouvais pas aller la voir à cause de ma fille mais celle-ci est sortie avec son copain et j’ai pu y aller. Mon cœur battait à toute allure.
– Anna, ai-je demandé à la fille ?
– Ah, c’est vous, m’a-t-elle répondu ? Je suis en retard ! Vous n’êtes pas vraiment comme j’avais imaginé, a-t-elle ajouté !
Je lui ai offert de s’asseoir et j’ai commandé à boire. Cette fille avait bien l’âge de ma fille. Elle était sympathique et elle m’a pardonné ma supercherie parce que je ne lui avais pas menti sur mon âge. Je lui ai demandé si elle habite dans cette ville et elle m’a répondu qu’elle a fait deux cents kilomètres pour me voir. J’ai suggéré qu’on pourrait prendre une chambre à l’hôtel. Je pensais à deux chambres, une chacun pour nous mais elle a pensé que je voulais qu’on couche ensemble et elle a refusé et je lui ai suggéré de dîner ensemble. Il était tard. Elle n’a pas refusé. Pendant le dîné, j’ai remis sur le tapis la question de l’hôtel et elle a fini par accepter.
– Une chambre chacun, lui ai-je demandé une fois à l’hôtel ?
Elle m’a regardé et elle m’a souri et elle m’a demandé pourquoi on dépenserait de l’argent pour rien et nous avons pris une chambre pour deux. Je n’avais jamais connu de rousse et elle l’était vraiment de partout. Quand elle s’est déshabillée, elle m’a demandé si je veux qu’on couche ensemble et nous avons couché ensemble puis nous avons fait l’amour. Je la limais depuis un bon moment quand elle m’a proposé de se mettre dessus et elle m’a fait l’amour et elle m’a même dit qu’à mon âge, c’est pas mal de bander aussi bien. Je lui ai répondu qu’elle mérite une punition et je l’ai prise par derrière et je me suis enfoncé dans son anus. La fille s’est mise à pousser des cris puis elle a fini par se calmer. Après, quand nous nous sommes allongés sur le lit, elle m’a dit qu’elle ne croit pas que j’ai pu la sodomiser. C’était pourtant la vérité. Elle s’est mise à rire quand je lui ai dit qu’il n’y a pas de raison de ne pas faire ça dans cet orifice. Elle aurait pu me demander si je l’avais fait avec mon épouse mais elle ne m’a pas demandé. Deux heures plus tard, nous avons remis ça pour faire tout ce qu’elle m’avait raconté qu’elle avait déjà fait comme faire une pipe, une langue dans l’anus ou lécher une fille. Je lui ai répondu qu’à ce régime-là, elle va me tuer mais nous sommes allés jusqu’au bout une nouvelle fois. Le lendemain matin, je lui ai proposé de passer le prochain week-end chez moi et nous avons pris cette habitude et cela faisait bien une demi-douzaine de fois qu’elle venait chez moi quand quelqu’un a sonné à la porte d’entrée.
– Je vais voir, m’a fait ma copine en s’enroulant dans le drap !
Je me suis levé derrière elle.
– Bah, qu’est-ce que vous faites là, a fait la voix de ma fille ?
– Ah, vous êtes la fille, lui a répondu Anna ! Je suis la maîtresse !
– Mais vous avez le même âge que moi, a ajouté ma fille, visiblement vexée !
– Ça n’empêche pas votre père de m’aimer, lui a répondu Anna !
Ma fille lui a ensuite dit que ça ne se passera pas comme ça et c’est à ce moment-à que je suis intervenu. J’ai séparé les deux femmes et j’ai dit à ma fille que je suis veuf et que je fais ce que je veux.
– Tu veux te marier avec une pucelle, m’a lancé ma fille !
– Hé, hé, on baise, c’est juste ça, lui a répondu Anna !
C’était mal parti. Ma fille n’est pas restée très longtemps et elle est partie. Anna a terminé le week-end avec moi et nous avons convenu que j’irai chez elle à l’avenir, ce que j’ai fait puis elle a commencé à me demander de lui faire un enfant. Un enfant sans être marié. Ça aurait pu lui être facile si elle l’avait voulu car je me fiais à elle mais elle n’en avait rien fait. Un jour que j’allais chez elle, j’étais en avance et je l’ai vue. Elle était avec un homme de son âge et ils avaient l’air très proches, si proches qu’en se quittant, ils se sont roulé une pelle et ça m’a dégoûté pour toujours des rencontres improbables mais j’étais venu et j’ai profité de mon week-end en la baisant puis j’ai tout fait pour qu’elle me quitte.
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J’étais encore jeune homme, je veux dire que j’étais à peine majeur et j’avais cette habitude de me branler deux ou trois fois par jour et peu importait l’endroit. Je le faisais chez moi et aussi dans le bois derrière chez moi, dans les toilettes de la société où j’avais commencé à travailler.
Cette fois-là, je me branlais dans les toilettes, sur le coin d’une table quand la patronne est entrée. C’était une petite société et les toilettes étaient communes. Impossible de me cacher. Je suis resté avec la bite au bout du bras. La patronne m’a dit de passer la voir puis elle est entrée dans une des cabine pour faire son besoin et moi j’ai regagné ma place. J’étais à peine assis que mon téléphone a sonné. C’était la chef. Elle me convoquait dans son bureau. J’y suis allé. Que pouvais-je faire d’autre ?
– Inutile de vous faire un dessin, m’a dit la femme ? Vous êtes viré ! On vous enverra votre chèque !
J’ai récupéré mes affaires. Ma collègue m’a demandé ce que je fais et quand je lui ai dit que je suis viré, elle m’a dit que ça ne peut pas se faire comme ça mais je suis quand même parti. Trois jours plus tard, j’ai eu mon chèque. J’ai commencé à chercher un autre boulot. C’était à croire que mon ancienne patronne m’avait banni parce que personne ne voulait de moi.
Inutils de vous dire que je me branlait de plus belle. Un soir que je traînais dans les petites rues mal-famées de ma ville, j’ai vu une annonce dans un strip-tease. Ils cherchait un acteur pour faire le show. Je suis entré.
-Tu te branles le plus longtemps possible et tu jouis, m’a dit le manager ! Nos clientes ne sont pas des jeunes, a-t-il ajouté ! Est-ce que tu peux le faire deux fois dans la soirée ?
Je m’en sentais capable. Le type m’a fait visiter la scène. C’était tout petit et entouré de miroirs et j’ai dit que personne ne peut me voir mais il m’a répondu que ce sont des vitres sans tain.
J’ai commencé le lendemain soir. J’étais tellement intimidé que je n’arrivais pas à bander mais j’entendais la rumeur autour de moi et j’ai pu commencer mais ce que je voulais c’était jouir pour me soulager mais j’avais pour consigne de faire durer. Au bout d’une demi-heure, ne pouvant plus me retenir, j’ai laché la purée puis il a fallu que je nettoie le sol. Deux femmes ont pris ma place. Une heure après, c’était à nouveau mon tour mais ça s’est mieux passé mais j’ai eu du mal à jouir. Après avoir nettoyé, je suis sorti par les artistes. Les deux femmes fumaient une cigarette dans la cour. Elles m’ont dit que ça va s’arranger et que soir après soir, ça sera plus facile puis l’une d’elle m’a proposé de m’aider.
– Si tu veux, j’en parle au patron, a-t-elle ajouté ! Moi, ça ne me dérange pas de me faire baiser devant la foule !
J’avais dix-huit ans et elle en avait quarante. Une fois d’accord avec le patron, elle m’a présenté son programme : branlette, pipe, cravate de notaire, cuninlingus, sodomie, baise, éjaculation à l’extérieur. Pour moi, c’était une vraie découverte et mon éducation. Nous avons fait ça pendant plusieurs semaines puis la femme a arrêté parce que sa copine ne voulait plus.
– C’est dommage, m’a-t-elle dit, parce que j’aime bien quand tu m’encules !
J’étais d’accord pour reprendre la branlette mais le patron ne voulait plus de moi car il avait d’autres ambitions. Il m’a proposé la botte pour que je baise avec lui mais j’ai refusé et j’ai perdu mon emploi et j’ai pointé au chômage pendant deux ans.
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– A quoi tu pensais, m’a demandé la fille pendant qu’elle me branlait ?
Je l’avais retrouvée dans cet hôtel après l’avoir draguée pendant plusieurs mois sur un site de cul. Elle se disait de l’Europe de l’Est alors qu’elle avait fini par m’avouer qu’elle vivait en Belgique.
– A quoi tu pensais, a insisté la fille ? Tu te branlais en te disant que tu aimerais bien te taper cette fille ?
– Exactement !
Je n’avais plus de raisons de lui mentir. On avait déjà baisé dans l’après-midi et on baisait à nouveau après avoir soupé. C’était vraiment une belle fille avec de longs cheveux blonds et ce qu’il fallait dans le soutien-gorge. Je l’avais souvent payée pour qu’elle me montre ses seins en privé et elle avait joué avec mais j’avais pu voir qu’elle les montrait volontiers gratuitement à tout le monde puis j’avais payé pour qu’elle me montre sa chatte et qu’elle se baise avec un gode.
– C’était comme tu l’avais imaginé, m’a-t-elle demandé encore ?
Je lui ai répondu que c’est une vraie pute mais elle n’a pas aimé l’association.
– Ce n’est pas vrai ! Je ne suis pas une putain, a-t-elle insisté !
– Et qu’est-ce que tu fais là, lui ai-je répondu ? Je ne t’ai pas payée assez pour avoir le droit de te baiser ?
J’avais fait le compte de ce que je lui avais laissé même si la plupart de l’argent allait à son patron, celui qui tenait le site, une sorte de souteneur ou de maquereau qui dirigeait toutes ces filles. Je pensais qu’il leur faisait miroiter l’espoir de gagner des milliers d’euros alors que les meilleurs n’en gagnaient à peine un millier sans compter les filles en Europe de l’Est qui ne devaient gagner que des clopinettes.
– Je ne suis pas une pute, a insisté la fille ! Je montre mon cul et mes seins, c’est tout ! Toi, tu es une exception !
– Et qu’est-ce qui t’a décidé à me rencontrer, lui ai-je demandé ?
– C’est parce que tu m’as dit que tu veux m’épouser, a-t-elle ajouté !
Elle avait raison. Je lui avais promis ça mais c’était avant qu’elle me dise qu’elle veut bien me voir. Elle m’avait pris au piège et tout ce que je voulais, c’était tirer un coup avec elle.
– Tu vas bien m’épouser, a-t-elle insisté ?
– Je ne vais pas épouser une pute, lui ai-je répondu !
– Mais tu aimes bien les regarder et leur faire faire tous tes phantasmes, a ajouté la fille ! Si tu ne veux pas de moi, c’est que tu es un salaud !
Les femmes ! Soudain, je regrettait tout ce binz. Cette fille me dégoûtait. Elle s’est elevée du lit et elle est allée à la salle de bains. Je voyais son cul, ses cuisses, sa démarche et je me suis remis à bander. Quelle salope. Quand elle est revenue, elle m’a dit qu’elle n’a plus qu’à retourner chez elle. Je voyais bien qu’elle attendait une réponse.
– Je veux t’enculer !
– Voilà quelque chose de plus sérieux, m’a répondu la fille ! Tu veux m’enculer ? J’espère que ta bite est assez raide parce que je suis vierge de ce côté-là !
Elle s’est mise à genoux sur le lit et je me suis mis derrière elle et elle a hurlé pendant que j’essayais de pénétrer son anus puis je suis arrivé à m’enfoncer.
Le lendemain matin, la fille dormait comme une souche quand je suis parti. Elle ne s’était même pas lavée et elle sentait la chatte. En montant dans le train, je me suis dit qu’heureusement je ne lui avais pas donné ma vraie adresse et puis mon patron m’avait trouvé une place dans une usine à l’autre bout de l’hexagone. Là-bas, j’ai rencontré une veuve. Elle était jolie. Je l’ai draguée et nous avons couché ensemble. Le sexe ne semblait pas lui plaire mais une nouvelle fois, je me suis laissé piéger et j’ai fini par l’épouser. Quand on baisait, elle ne réagissait pas. Je lui avais même dit qu’elle pourrait faire semblait mais elle m’avait répondu qu’elle ne ressentait rien. Au bout de trois mois, elle m’a annoncé qu’elle était enceinte de moi. Je commençais à imaginer qu’on allait divorcer.
– Baise-moi !
C’était la première fois qu’elle réclamait.
– Tu es vraiment sûre ?
Elle était sûre. Elle s’est déshabillée et je l’ai suivie dans la salle de bains. Quand elle s’est penchée sur le lavabo pour se laver les dents, je l’ai pénétrée. Je ne l’avais jamais vue comme ça. Elle s’est mise à gigoter puis elle m’a dit qu’elle n’en pouvait plus de se retenir.
– Baise-là, ta salope, a ajouté mon épouse ! Tu vas voir qu’elle aime ça !
Après l’avoir fait avoir un orgasme, elle m’a expliqué qu’elle avait peur que je pense qu’elle aime trop le sexe.
-Ah, oui, j’aime le sexe, a-t-elle ajouté, et ce n’est pas à cause de la grossesse ! Je l’ai toujours aimé !
– Ah, oui, comment veux-tu que je te croie, lui ai-je encore demandé ? Raconte-moi ?
– Eh bien, j’ai déjà baisé avec des filles, a ajouté mon épouse ! C’étaient mes deux meilleures amies et ça m’a plu !
– Alors, tu es gouine, lui ai-je demandé ?
– Disons que je suis bisexuelle mais tu es mon premier homme, a-t-elle ajouté ! Je t’ai laissé faire tout ce que tu as voulu !
– Oui, j’ai bien aimé t’enculer, ai-je ajouté !
– Moi aussi, m’a répondu mon épouse ! J’aime tout ça et si tu veux que je fasse l’amour avec plusieurs, je veux bien !
– Plusieurs hommes, lui ai-je demandé ?
– Si tu n’es pas jaloux, oui, a-t-elle insisté ! Vous me prendrez dans tous mes trous !
-Et pourquoi pas un gangbang, ai-je ajouté ?
– Oui, si ça te fait plaisir, m’a dit mon épouse !
J’avais récupéré un vieux lit en bois chez mes grands-parents. Mon épouse était assise sur moi, empalée sur ma bite et elle se baisait quand elle m’a suggéré de s’empaler sur le gland du montant du lit. Le bout de bois faisait bien cinq centimètres de large sur vingt de long. Je lui ai dit que ça ne me dérange pas et elle s’est empalée dessus puis nous avons fait un gangbang. Elle avait trouvé ça sur un site et il y avait une vingtaine de types et j’avais participé avec eux mais j’avais fini par m’éclipser, complètement écoeuré par la scène puis ma femme a fait une fausse-couche et nous avons fini par divorcer
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