Chapitre 45-Marquée
Maîtresse Sandra était bien trop occupée, pour penser à Géraldine, s’étant mise à aider Maîtresse Maryse pour fixer les pinces sur sa nouvelle progéniture.
La pauvre Slutty gémissante de douleur, qui portait déjà presque tout le contenu du seau, peu d’endroits de son corps avaient été épargné.
Ses jambes en portaient chacune 5 rangées qui partaient de son pubis, sa poitrine était quand à elle bardée de pinces en 2 cercles par sein, mais son ventre en était également garni, ses aisselles semblaient être la fin du cycle des bras.
« 220 !heureusement il en reste vingt pour le principal, petite couineuse !Après, on te laissera un peu mijoter ! »
Dit Maîtresse Maryse, en empoignant les testicules et le clito bagué de Slutty.
» – NANNNN !!! A’ETEZ !!! S’OP !!! ‘PI’IE ,MAI’RESSE!!!!!! AAARRRGHHH !!! «
Supplia la pauvre Slutty, malgré sa langue douloureuse sous l’effet des trois pinces qui la lui mordaient et l’empêchait de la rétracter dans son ring-gag.
« Ne t’inquiètes pas pour la suite, petite pleurnicharde….Cela ira plus vite à enlever ! »
Rétorqua Maîtresse Maryse à la supplique de la soumise, avec un sourire pervers, en trouvant encore un peu de place pour mettre la dernière pince sur une des testicules déjà bien fourni de la pauvre Slutty, en larmes, et l’abandonnant ainsi bardé de 240 pinces à linges noires, qui tranchaient avec la peau blanche de la soumise.
» – NAAAANN !!! S’I OU’ PLAI, MAI’RESSE!!! PI’IE !!! NAAAANN !!! ”
Supplia la pauvre Sissy, qui venait de comprendre ce à quoi servait les cordelettes qui reliaient les pinces entre elles.
Slutty essaya de chercher du réconfort dans les yeux de sa Maîtresse, où d’autres soumises .
Mais tout le monde était très occupé.
Maîtresse Sandra était reparti s’occuper de Tammy, et commençait de lui pratiquer un fist-fucking, toute surexcitée par l’effet du cocktail qu’elle découvrait, n’ayant pas eu la chance d’en profiter à son époque, faisant que c’est elle qui s’empalait sur le poing, plutôt que le contraire.
La bourgeoise au visage maquillé, maintenant totalement décomposé, était en train d’être abondement abreuvé de cocktail par son Maître, avec l’entonnoir rentré presque au fond de sa gorge, mais Maître Erik n’avait pas pour autant arrêter son affaire de pénétrer sa vulve grande ouverte maintenue par 6 pinces, qu’il tirait en alternance.
La soumise en shibari était maintenant détachée, et massait ses membres encore douloureux , qui reprenaient une couleur normale, seuls ses seins étaient encore entravés et étaient horriblement durs et violacés, tandis que son Maître lui plaçait sur chacun de ses mamelons, une pince japonaise.
» – Mmmpphh…Me’ci, Mai’resse ! Mmmpphh… ”
Soupira la soumise dans son bâillon, en se remettant à genoux, tout en plaçant ses mains dans le dos, en position d’attente de servir de nouveau au plaisir d’un des dominants présents .
« Tu as encore la langue bien pendue, petite gémisseuse ! Je t’entends couiner de la cuisine ! »
Dit Maîtresse Elsa ,en s’approchant doucement de Slutty, et commençant à faire boucher les pinces à linges avec ses mains, ainsi qu’avec des petits coups de cravache.
» – NANNNN !!! A’ETEZ !!! ‘PI’IE ,MAI’RESSE!!! AAARRRGHHH !!! NANNNN !!! « Couina la pauvre Slutty, sous les viles caresses de l’amie de sa Maîtresse.
Mais en réponse, Maîtresse Elsa empoigna la langue sortie et bardée de pinces de la Sissy Slut, et la bloqua un peu plus avec un système de baguette japonaises et des élastiques, empêchant cette fois tout mouvement de la langue quelque qu’il soit
» – NANNNN !!! AAARRRGHHH !!! NANNNN !!! «
Se mit à déglutir Slutty, sous ce nouvel effet d’étirement et d’immobilisation de sa langue annelée, tandis que Maîtresse Elsa continuait de jouer avec la multitude de pinces qui bardaient son corps entravé, à la merci de ses dominants pervers .
Elle ferma ses yeux remplis de larmes et essaya de nouveau à penser a son amie Géraldine.
Géraldine, qu’en a elle, ne pensait à rien d’autre qu’a cette douleur intense, qui irradiait dans chacun de ses mamelons étirés par les lourds grelots, qui s’étaient balancés inlassablement pendant le galop des pouliches.
La courte pause au manège n’avait rien changé, à part le fait que le large gode qui l’empalait par des va et vient à grande vitesse, avait cessé un moment de la pénétrer dans la position la plus profonde de son intimité dégoulinante de plaisir.
Elle fut soulagée d’entendre le moteur de la voiture de golf se couper, annonçant la fin de son galopant supplice.
« Alors cette balade en temps que driveuse t’a plu, petite Géraldine ? Ou tu préfères être une petite pony ? »
Demanda Maîtresse Marina à la pauvre Géraldine, en se mettant à faire se balancer les lourds grelots accrochés au bout des chaînes des pinces.
» – MMMMMMMPPHHH!!!AAARRRGHHH !!! ‘’ONY,MAI’RESSE!!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Couina Géraldine, pour qui la position de driveuse n’avait pas plu plus que cela , entre ses mamelons étirés, soit par les rênes, soit par les grelots, et ce gode énorme, qui vu la fréquence qu’avait été les va et vient subi par le galop, et qui lui enflammait maintenant son anus dilaté.
« Parfait ! Ta Maîtresse va être contente ! »
Dit La Maîtresse écuyère, en retirant également les pinces aux grelots, tout en prenant soin de malaxer généreusement les mamelons meurtris de la driveuse impuissante.
» – MMMMMMMPPHHH!!!AAARRRGHHH !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Geignit la soumise, en mordant son gag-ball, essayant dans un espoir indicible d’échapper à cette main bien trop câline.
« Je vois que tout c’est bien passé pour mademoiselle ! »
Ironisa Maître Laurent, en détachant les jambes de Géraldine, tout en poussant au passage le gode dégoulinant du mélange de gel lubrifiant et du liquide de son plaisir anal.
» – MMMMMMMPPHHH!!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Soupira la pauvre Géraldine, sous cette dernière poussée, et sous ces mamelons sensibles toujours aux mains de Maîtresse Marina.
Maître Laurent retira la cagoule de Géraldine,qui fut éblouie par le soleil, qui commençait à baisser.
Puis , lui laissant ses bras entravés dans son armbinder, il la souleva du sulky dans ses bras à la musculature saillante, l’entraînant vers un haut et large poteau muni de plusieurs anneaux.
Après lui avoir mis un solide harnais de tête muni d’un large gag-ball, il attacha solidement l’armbinder de Géraldine dans une position, d’où la soumise se retrouvait pliée pour offrir ses fesses, fixant également l’anneau du harnais de tête au poteau, tandis que ses ballets-boots étaient cadenassées l’une à l’autre et raccordés à un anneau dans le sol, limitant ainsi fortement la capacité de mouvement de la soumise.
« Comment vas notre petite Géraldine, depuis tout a l’heure ? Vous ne comptez pas la laisser si vide en attendant ce soir ? «
Demanda Maîtresse Xaviera , en s’adressant au Maître du chenil, tenant en laisse la nouvelle élève de l’école à qui elle faisait visiter les lieux, comme à son habitude, entravée dans une nudité complète et bardée de petits mots très subjectifs.
« Non, bien sur ! »
Répondit Maître Laurent, qui montrait le large plug gonflable, rapidement promis à une exploration de l’intimité de la soumise à sa merci, dont l’anus était encore béant du gode du sulky. Il caressa l’anus offert de la pony, l’enduisant de gel lubrifiant, et y glissa le plug, qu’il gonfla allégrement sous le regard satisfait de la Directrice, et celui angoissé de son accompagnatrice.
» – MMMMMMMPPHHH!!! HAAAANNNNNNN !!!MMMMMMMPPHHH !!! »
Couina Géraldine, en se tortillant, sous l’effet de son anus de nouveau dilaté par le plug gonflable, en essayant par curiosité, de voir qui était la soumise qui accompagnait la Directrice du coin de l’œil, mais en vain, vu sa position.
« Toujours aussi curieuses, ces soumises ! »
Dit Maîtresse Xaviera, à laquelle la curiosité maladroite n’avait malheureusement pas échapper, tout en s’approchant avec sa soumise en promenade, dont elle accrocha la laisse au poteau de Géraldine, qui regardait de nouveau le sol, ne voyant que les orteils vernis de la soumise.
» – HAAAANN !! HAAAANN !! ”
Couina la Sissy Maura, quand sa laisse fut fixée au poteau, étirant douloureusement toutes les pinces à laquelle elle était reliée.
Sa langue, ses mamelons et ses testicules étaient fraîchement annelées, de même son petit clito inutile et flasque, tandis que chaque traction de la laisse devenait de plus en plus insoutenables, la Directrice ne manquant pas d’en faire le plus possible avec un sourire fourbe, tout en narguant la soumise humiliée.
La Directrice prit un épais masque de cuir à sa disposition pour en masquer les yeux de Géraldine, raccordant ensuite une paire de pinces japonaises aux mamelons encore douloureux de leur récent traitement, en prenant soin de faire passer leur chaînette derrière les genoux de la soumise en offrande, prenant ensuite un duo de martinets.
» – MMMMMMMPPHHH!!!AAARRRGHHH !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Gémit Géraldine, comprenant son erreur, quand elle sentit la chaîne se tendre au premier de ses mouvements, pour se tortiller sous les coups du duo de martinet, que la Directrice faisait tourner en moulinet dans un rythme soutenu.
« Ça va te préparer un peu a la chaleur de ce soir ! «
Dit Maîtresse Xaviera, sur un ton ironique en continuant d’assener avec régularité ses coups de martinet sur les fesses offertes de Géraldine, qui prenait une teinte de plus en plus rouge.
» – MMMMMMMPPHHH!!!AAARRRGHHH !!!S’I OU’ PLAI, MAI’RESSE !!!PA’DON, MAI’RESSE !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Geignit la soumise, dans sa position qui offrait tant de possibilités à la Directrice qui lui cinglait les fesses sans relâche, se mettant à penser au soir qui n’allait pas tarder, et où elle verrait de nouveau sa Maîtresse.
Maîtresse Sandra était prête à tirer sur sa cordelette, tout comme Maîtresse Maryse et Maîtresse Elsa, qui en possédait une également. Elles en avait compter 10 au total ,et Maîtresse Sandra en avait annoncé le nombre à l’oreille de sa soumise, avec un plaisir sournois .
» – NANNNN !!! ‘PI’IE ,MAI’RESSE!!! S’I OU’ PLAI, ‘AS CA !!! NANNNN !!! »
Suppliait la pauvre Slutty , dont tout le corps était déjà secoué de spasmes, mélange de peur de la douleur qui allait être, ainsi que de celle déjà présente par la multitude de pinces qui la bardait, de grosses larmes coulaient le long de ses joues, faisant dégouliner un peu plus son maquillage décomposé.
Les trois Maîtresses se regardèrent et tirèrent en même temps leur cordelette respective, arrachant avec vigueur les pinces fixées à l’intérieur des bras de la pauvre Slutty, tandis que sa Maîtresse lui faisait sauter celles du ventre.
» – AAARRRGHHH !!! NANNNN !!! A’ETEZ !!! S’OP !!! ‘PI’IE !!! AAARRRGHHH !!! » Hurla la pauvre Sissy, au visage décomposé de douleur par l’arrachage brutal des pinces, se débattant sur la table, en vain, tandis que son corps redoublait de tremblements.
Mais déjà, les trois Maîtresses empoignaient de nouvelles cordelettes, comprenant que ses suppliques étaient inutiles, Slutty ferma ses yeux en larmes, et pleura son désarroi.
Les cordelettes s’étirèrent sèchement, entraînant les pinces des seins annelés et du reste des pinces qui bardaient les bras de la pauvre Slutty.
» – AAARRRGHHH !!! NANNNN !!! AAARRRGHHH !!! »
Déglutit la pauvre soumise, hystérique de douleur, son corps semblant comme possédé et incontrôlable.
Mais sans lui laissé reprendre son souffle, Maîtresse Maryse tira les deux rangées de pinces qui sévissaient à l’intérieur de ses jambes.
Il ne restait plus que les cotés extérieures des jambes et l’intimité prisonnière de la pauvre Sissy Slut, psalmodiant ses suppliques inutiles et inaudibles entre ses pleurs.
Les trois Maîtresses tirèrent en cœur leur dernière cordelette.
Maîtresse Sandra se faisant le plaisir de faire sauter la totalité des pinces qui bardaient les testicules et le clito de sa Sissy Slut.
» – AAARRRGHHH !!! NANNNN !!! AAARRRGHHH !!! »
Hurla de nouveau la pauvre Sissy Slut, dans un seau de larmes, son corps s’arque-boutant malgré ses entraves.
« Tu aurais pu rester avec ça toute la journée, petite Sissy ! Heureusement que nous étions là pour te venir en aide ! »
Dit Maîtresse Sandra sur un ton ironique, en secouant au-dessus du visage décomposé de sa soumise le dernier lot de pinces arraché à ses testicules.
» – Hannnn …..Me’ci, Mai’resse !Hannnnn… ”
Soupira la soumise dans son bâillon, le corps toujours secoué par des spasmes sanglotant, mais se rassurant par la main de sa Maîtresse, qui glissait maintenant sur sa peau nue et marquée des traces des pinces dans des caresses rassurantes.
Ce fut Maîtresse Maryse qui prit congé la première, suivi par les jumelles qui s’en allèrent avec le Maître de la bourgeoise, qui fut pour son retour au bercail, jetée nue et solidement entravée dans le coffre de la voiture de son Maître.
Le Maître shibari, qu’en a lui, emmena sa soumise, en position fœtale, après l’avoir solidement entravée par des liens savamment posés qui empêchait tout mouvement .
Les derniers à partir furent Maître Erik et Maîtresse Elsa, accompagnés de Tammy, encore sous l’effet du cocktail, et qui allait passer une partie de la nuit de travailler à la maison close, où elle avait une chambre attitrée.
« Enfin seules ! «
Dit Maîtresse Sandra, en s’approchant de Slutty, toujours entravée sur la table, et dont le visage au joli maquillage de début de journée ne ressemblait plus à rien, étant en plus de ses pleurs, maculé des sperme séchés des dominants, qui avaient finis par se soulager sur elle.
« -Haaaannnnn ! »
Soupira doucement la Sissy Slut, sous la caresse de sa Maîtresse, qui explorait de son ongle long son corps entravé.
« Tu vas te remaquiller, et coiffure de ton choix…..Par contre tu restes nue, juste des ballets pour ton retour à l’école ! Compris petite couineuse ! »
Ordonna Maîtresse Sandra en s’emparant d’une des pinces à linge, qui était resté accrochée au mamelon de sa soumise, et lui détachant une de ses entraves de poignets.
» – Hannnn …..Me’ci, Mai’resse !Hannnnn… ”
Couina la soumise, dans des mouvements lascifs, tout en s’abandonnant sous l’exploration intensive de sa Maîtresse, qui la mettait en émoi, mais qui s’en alla trop vite, pour se préparer.
Après s’être détacher du reste de ses entraves, Slutty se mit pour la première fois un large plug seule, que son anus à sa grande surprise avala comme un vulgaire suppositoire, puis elle se remaquilla, comme prévu, s’appliquant à se positionner un large ring-gag entre ses lèvres qu’elle avait maquillé de sombre. Elle se coiffa d’une perruque carré court brune avec une courte frange, et se chaussa ses pieds de ballets-boots, comme le lui avait ordonné sa Maîtresse, qui entrait dans sa chambre.
Elle s’était habillée d’un tailleur cintré noir et impeccablement coiffée d’un chignon banan, et portait à la main une malle-caisse munie d’un trou, qu’elle posa sur le sol en l’ouvrant.
Maîtresse Sandra coucha Slutty dans la boite, et lui entrava ses poignets au crochet au dessus de sa tête, puis elle agrémenta ensuite chaque mamelon de sa nouvelle soumise d’une pince japonaise munie d’un lourd grelot, et après un vile sourire pour sa Sissy Slut, elle referma la malle, emprisonnant ainsi le haut du corps de sa soumise dans une angoissante obscurité.
» – NANNNN !!! ‘PI’IE ,MAI’RESSE!!! NANNNN !!! »
Suppliait Slutty , en se retrouvant emprisonnée dans l’angoissante obscurité de la caisse, en débâtant ses jambes libres.
Maîtresse Sandra fixa le haut de la malle par une chaîne à un palan, et souleva la malle-caisse avec la télécommande, forçant ainsi sa soumise à se mettre debout, pour lui enchaîner ensuite ses ballets -boots avec une très courte chaîne.
Elle fixa une laisse au centre de la malle, et entraîna ainsi doucement sa soumise vers sa voiture, avant de la pousser sans ménagement dans le coffre.
» – NANNNN !!! AAAHHHH !!! NANNNN !!! »
Couina la Sissy Slut, quand elle atterrit dans le coffre de la voiture de sa Maîtresse, qui déjà lui repliait les jambes pour les lui cadenassées à la caisse.
Slutty se mit à repenser au confort de l’aller, d’où elle avait été emballé pour sa Maîtresse dans une boite de poupée, habillée de sa tenue de la soirée vente, mais peu lui importait le confort, elle retournait à l’école, et allait retrouver Géraldine, qui lui était depuis le début de sa soumission son seul et unique réconfort, par ses sourires et ses regards de soutien permanents.
La nuit commençait de tomber, quand Géraldine entendit les pas de plusieurs personnes qui s’approchaient .
Ses bras étaient douloureux, et ses fesses étaient en feu et d’un rouge vif, et elle sentait depuis peu la chaleur d’un barbecue qui commençait à chauffer prés d’elle, la réchauffant en ce début de nuit fraîche.
« Je vois que vous avez placé ma petite pony dans une position idéale pour son affaire ! »
Dit Maîtresse Sandra, en caressant la croupe offerte de sa soumise, se mettant à jouer avec le plug gonflable qui lui encombrait son anus dilaté.
» – MMMMMMMPPHHH!!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Gémit la soumise, dans sa position inconfortable qui commençait à être très douloureuse, mais si heureuse d’être de nouveau la proie de la main de sa Maîtresse.
« S’il vous plaît, Clara, pouvez vous ouvrir la boite de ma Slutty ? Qu’elle puisse jouir du spectacle de ce que va subir mon autre soumise !«
Demanda Maîtresse Sandra à l’infirmière en chef, en retirant le masque de Géraldine, et détachant ce qui retenait le harnais de tête au poteau.
» – MMMMMMMPPHHH!!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Couina Géraldine, inquiet de ce que venait de dire sa Maîtresse, tout en tournant un peu la tête ,pour découvrir les observateurs présents .
La Directrice accompagnée d’Alice fumait une longue cigarette, déposant sa cendre dans le cendrier que lui tendait la French maid .
Clara venait d’ouvrir une malle qui enfermait tout le tronc de Slutty, qui semblait resplendissante de son week-end.
Maîtresse Marina était là également, ainsi que Maître Laurent, qui s’occupait d’un brasero et non d’un barbecue.
« Marquée-la ! »
Dit Maîtresse Sandra, en s’adressant à Maître Laurent, tout en passant devant sa soumise, pour lui caresser sa tète glabre entravée.
» – MMMMMMMPPHHH!! ‘PI’IE ,MAI’RESSE !!! S’I OU’ PLAI !!!‘AS CA !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Supplia la pauvre Géraldine dans son bâillon, en se mettant à pleurer, comprenant à quoi servait le brasero, et venant de s’apercevoir de la tige métallique qui en dépassait, cherchant d’échapper aux mains de Maître Laurent qui bloquait ses fesses dans un carcan spécial, lui empêchant tout mouvement.
Slutty regardait la scène avec des yeux plein de larmes de compassion pour celle qui était sa seule amie, mais regardait aussi leur Maîtresse qui caressait avec affection le crane de Géraldine.
Maître Laurent prit la tige muni d’un « S » de fer rougi par la chaleur du feu.
» – MMMMMMMPPHHH!! ‘PI’IE ,MAI’RESSE !!! PI’IE !!! MMMMMMMPPHHH !!! » Implorait Géraldine, entre ses pleurs, en voyant le Maître du chenil s’approcher d’elle avec le fer pour la marquer telle une vulgaire jument.
« Soit fière d’être la première de porter ma marque ,ma petite Pony ! »
Répondit Maîtresse Sandra, en essuyant de sa main gantée un larme de sa soumise.
» – MMMMMMMPPHHH!!! AAARRRGHHH !!! MMMMMMMPPHHH !!! »
Hurla la Pony-girl, mordant son gag-ball à en imprimer ses dents, quand le fer rouge embrassa la chair de sa fesse.
Épuisée par sa journée, Géraldine perdit connaissance sous l’intensité de la douleur.
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