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Celia

Celia



On vient de sonner à la porte d’entrée, c’est l’heure.
La Concrétisation d’heures de fantasmes… Enfin… Mon corps est tendu, mon cœur bat la chamade mais je dois me reprendre, ne rien laisser paraître, c’est moi qui domine la situation.
Tout à commencé il y a quelques semaines quand j’ai découvert ses histoires au hasard d’une fouille de profiles.
Son écriture, son expérience, les fantômes ressurgits du passé… Elle m’a fait fondre. Des heures à lire ses histoires, me remémorer mes propres expériences, me carresser, jouir…
J’ai fini par la contacter, lui décrire mon émoi, l’apprivoiser doucement…
Elle m’a finalement envoyé une photo d’elle… Nouveaux émois, nouvelles chaleurs, caresses humides…
Je ne vois pas son visage, son sexe est caché, juste des jambes magnifiques, des seins extraordinaires à l’air ferme qu’elle dit trop petits mais qui sont juste parfaits, une jolie tignasse que je veux tirer en arrière pour découvrir le visage qu’elle cache si soigneusement… Elle est assise sur une chaise, face au dossier, cuisses ouvertes…
À force de discutions, j’ai fini par la convaincre de venir chez moi.
Mon mari est parti pour une semaine de ski avec ses potes, les enfants sont chez les grands parents, elle sera toute à moi, soumise à ma volonté… Chez moi, dans un lieu que je maîtrise.
Et elle est là. Derrière cette porte que je me dois d’ouvrir.
Nous ne nous sommes jamais montré nos visages… Quelle inconnue… Mais nous connaissons nos esprits.
Je me positionne de façon à pouvoir entrer sans qu’elle ne puisse me voir.
Tout est prévu, j’ai ce grand foulard pour lui bande les yeux et masquer son visage.
Je l’ai parfumé avec Angel, réminiscence de mon passé, de cette fille à la fac que j’appelais « mon Paradis » car elle ressemblait tant à Vanessa, menue, boudeuse, si belle… Mais qui ne s’ est jamais offerte à moi.
Je prends soin de ne pas la regarder entrer pour ne pas voir son visage, le mystère doit rester entier…
Puis je la découvre de dos… Joli chevelure d’or, mollets sexies… Elle est bien robe d’été comme je l’ai demandé sous son manteau d’hiver, heureusement pour elle il a fait beau ce week-end.
Mais en ce début de soirée, la température a baissé, je le devine à la chair de son cou qui se hérisse.
Ou est-ce la situation ?
Je passe le foulard autour de son cou, le fais glisser doucement sur sa peau… J’ai envie de le serrer doucement… Pas maintenant, c’est trop tôt.
Nous n’avons pas encore échangé un mot… Je ne compte pas le faire.
Je positionne le foulard avec douceur sur son visage, seule sa bouche et son menton dépasseront. Elle peut s’ennivrer du parfum… Bien en place, confortable mais suffisamment serré pour éviter tout incident.
Elle pousse un soupir quand je serre le noeud. Nous y sommes.
Toujours dos à elle, je la débarrasse de son bagage puis de son manteau que je fais glisser doucement, découvrant ses épaules nues, soulignées des fines bretelles de cette belle robe blanche légère.
Je fais le tour de ce corps magnifique, observe ses courbes et lignes que cette robe transparente me fait découvrir au contre-jour de la lumière de la porte d’entrée.
Du bout du doigt, je dessine le creu de son cou, suis la ligne jusqu’entre ses seins… Je bouillonne intérieurement…
Elle a la chair de poule et mes yeux finissent par se poser sur ses tentons qui pointent fièrement au travers de sa robe…
À t’elle froid ma sudiste qui a traversé la France pour me rejoindre ou est-ce bien la situation qui la transporte ?
Je la guide doucement vers le salon en la prenant par le bras… Le contact de sa peau sur la mienne est comme un coup de foudre, une alchimie…
Au milieu du salon trône une chaise, ressemblante à celle de sa photo.
J’ai longuement réfléchi, hésité… Dans quel sens l’asssoir ?
Ce sera comme sur la photo, face au dossier, les fesses au bord de l’assise, leur rondeur offerte au vide, l’accès par derrière à son fruit défendu facilité.
D’une pression du genou, je lui fais écarter les jambes pour les passer de chaque côté de la chaise, hors de question de parler…
Une pression sur les épaules et je l’assoi.
Tout est prévu, réfléchi, l’ais je déjà dit ?
Je referme les cordes préparées sur ses pieds et ses mains.
Elle est maintenant fermement attachée au dossier par les mains et aux pieds… Par les pieds bien sûr.
Fermement mais sans douleur, j’aime la soumission mais pas l’inconfort, j’ai prévu des foulards sur les liens pour ne pas la blesser.
Je fais le tour de la chaise, l’observe, l’admire… J’aime comme sa poitrine se soulève.
J’ai follement envie me carresser… Déjà… Libérer cette tension qui me déchire…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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