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Chantal, la sœur de Marilyn. Ch. 6

Chantal, la sœur de Marilyn. Ch. 6



Chapitre 6 : Vite fait…bien fait !

Pendant qu’elle conduit, je commence à déballer le gode vibrant pour le voir de plus près et je pousse un grognement en m’apercevant qu’il faut des piles AA, non fournis.

Chantal me dit en riant et en dégrafant son chemisier.

– J’ai un couple de A…

Une fois de plus, je peux voir le profil complet de ses seins pendant qu’elle conduit. Je peux admirer sa petite mais belle poitrine, au longs tétons si délicieux à regarder et encore plus excitant de tenir en bouche et à grignoter.

– Tu t’arrêteras au magasin dans le village.

Je m’apprête d’ajouter qu’elle doit ajuster son haut avant d’arriver au magasin, mais je ne dis rien.

– Oh, on va perdre du temps. J’ai vraiment besoins que tu me prennes rapidement.
– je vois ça bébé !

Chantal se tortille sur son siège et j’ajoute

– C’est de savoir que le vendeur noir nous a regardé qui t’excite comme ça.
– Oui, répond Chantal, mordant sa lèvre et appuyant sur l’accélérateur.
– À mon avis, il nous a regardés tout le temps que nous étions dans la cabine
– Tonton…j’ai honte…mais c’est super excitant.
– Je parie qu’il m’a vu baisser ta jupe et t’asseoir sur ma bite toute tendue. Et qu’ensuite il a pris son pied en te voyant t’agiter comme une folle sur ma queue. Et probablement qu’il t’a regardé jouir comme une dingue.
– Deux fois, dit Chantal d’une voix tremblante.
– Les deux fois, corrigeais-je. Il t’a regardé me sucer et il roulait des yeux quand j’ai joui en crachant mon foutre dans ta bouche.
– Tonton ! Arrête !
– Voilà le magasin, ma puce.

Chantal est tellement occupée à frotter ses cuisses l’une contre l’autre et de s’agiter comme si elle avait des fourmis dans sa culotte, qu’elle s’arrête de justesse devant le magasin situé à 10 kilomètres de ma maison.

– Dépêche-toi, Tonton, m’exhorte Chantal en freinant et soulevant un nuage de poussière.
– Viens avec moi , lui dis-je. J’ai besoin de ton aide et verrouille la porte qu’on ne vole pas notre gadget.

Chantal gémit, fait la moue de la tête, mais elle sort de la voiture et viens avec moi, parfaitement inconsciente de son haut dégrafé.
Colette, ma vendeuse et caissière préférée, est de service et me fait signe lorsque j’entre dans le magasin.

– Salut M. Jacques, Que puis-je faire pour vous ?
– Bonjour Colette, c’est ma… petite amie, Chantal. Dis-je pour présenter ma nièce.

Les deux filles se salut et je vois le regard de surprise de Colette, presque choqué, qu’un vieux comme moi puisse avoir une petite amie aussi jeune.

– Il nous faut des piles AA.

Colette nous montre un présentoir contre le mur, et Chantal s’approche et att**** un blister. Je me sens coupable, car en faisant ce mouvement un des tétons de ma nièce s’échappe du chemisier et ça n’a pas échappé à Colette, qui la fixe des yeux.

– Il y a des packs de 4 et de16 me dit Chantal en attendant mon avis.
– Prends en 16 ma puce. Ça s’use vite si on s’en sert souvent.

Chantal rougit un peu et elle s’aperçoit que quelque chose attire l’attention de la vendeuse. À mon grand étonnement, après un instant d’hésitation, Chantal ne fait rien pour corriger le débrailler de son chemisier en revenant vers Colette.
Mais je la tire vers l’arrière du magasin en disant.

– Je pense que nous avons besoin d’une bouteille de soda.
– Tonton… mon décolleté est…

Je la coupe et dis.

– Oui, je sais…la caissière te mâte.
– Oui, comme le gars du sex-shop.

Un vieux du village essaye aussi de regarder les seins de ma nièce en passant à coté de nous avec son caddy et je le reconnais car il jouait au loto avec mon amie décédée.

– Hé, salut Jacques. Comment ça va ?
– Salut Léon, ça va et toi ?
– Je ne me plaint pas. Ma femme va bien. Votre amie doit vous manquer. Mais qui est cette jeune fille, ce rayon de soleil ?
– C’est mon amie, Chantal. Chantal, c’est Léon.

Chantal sourit et hochant de la tête, elle lève ses bras longs et minces pour balayer ses cheveux sur ses épaules. Cela contraint Léon à cesser de regarder ses seins pour jouir de l’intérieur blanc crémeux des membres levés de Chantal, qui contrastent tellement avec les taches de rousseur autour.

– Ma chérie, tu vas tous les rendre fous !

Lui dis-je en remontant l’allée.

– Je suis vraiment excitée, Tonton,

Dit Chantal en riant tout en regardant Léon rebrousser chemin vers elle en la regardant avec des yeux pleins de convoitise.

– Eh bien, nous allons sortir d’ici. Mais je lui suggère.
– Et fais plaisir à Colette en lui donnant un bel aperçu de tes seins, lorsque nous payerons.
– Oooh, Colette… toi et elle vous…
– Pourquoi tu me demande ça ?
– Je ne sais pas, je suppose car elle est très belle et attirante. Tu veux que je montre mes seins à cette fille ?
– Certainement.
– Si je le fais, tu dois aussi faire quelque chose pour moi.
– Et que veux tu, ma chérie ?
– Je lui montre si tu me promets de me baiser dès que nous serons à l’extérieur.
– Dehors ! Où ?
– Partout, n’importe où.

Dit Chantal, affichant un sourire sournois et diabolique qui ne prévoit rien de bon.

– J’en peux plus ! Je ne peux plus tenir !
– Avance. Dis-je sans rien promettre.

Chantal lentement se dirige vers la caisse et je suis à quelques pas, curieux de savoir ce qu’elle va faire. Après avoir regardé en arrière pour constater que je suis toujours là, et après avoir donné un coup d’œil rapide aux alentours pour s’assurer que personne ne la regarde, Chantal pose les piles sur le comptoir.

– Jacques va prendre ça.

Je suis soulagé qu’elle m’appelle par mon prénom.

Je pose la bouteille de soda sur le comptoir à côté des piles et quand je regarde ma nièce, elle est entrain de défaire le nœud derrière son cou qui retient le haut de son chemisier. Elle laisse tomber le devant du chemisier et expose ses mignons petite seins aux tétons si longs.

Il est quand même heureux qu’il n’y ait que nous et Colette pour voir cette chose scandaleuse pour bon nombre de personnes. Colette en reste la bouche ouverte jusqu’à ce que Chantal remette ses jolis cônes dans son chemisier et le rattache derrière son cou.

Je me penche sur le comptoir pour essayer de cacher la bosse dans mon pantalon, et j’observe la réaction de Colette. Chantal a les joues un peu colorées et Colette reste ahurie en regardant Chantal finir d’attacher son haut.

– Heuuu… c’est tout ce qu’il vous faut ?

Réussit-elle à dire en reprenant sa respiration.

Chantal n’a pas fait de l’effet que sur mon sexe. Sur Colette aussi, semble-t-il. Les tétons de Colette pointent fièrement sous son chemisier à travers son soutien-gorge.
Avant de sortir, Chantal c’est approché de Colette et lui murmure.

– Jacques, c’est mon Tonton d’amour.

Et elle file dehors comme une gazelle.

Je vais à ma voiture et je déverrouille la porte pour poser nos achats mais je laisse tomber le sac parterre. Je ne vois pas Chantal mais je l’entends pouffer de rire. Protégeant mes yeux du soleil je la cherche. Elle est sur le côté du bâtiment et en riant elle baisse sa jupe brièvement pour me montrer son buisson rouge flamboyant et à quiconque d’autre qui passerait par là.
Le magasin étant le seul sur cette route de campagne, je trouve la vue des plus charmantes et sans m’en rendre compte je me retrouve prés de ma coquine de nièce
.
Derrière le magasin il y a une benne à ordures et une petite palissade autour d’elle qui nous protège de la vue d’un éventuel passant. Il n’y a pas de fenêtres sur l’arrière du bâtiment et seulement une porte en acier qui est fermée.
Chantal se jette dans mes bras, m’embrasse comme une folle et sa main semble chercher quelque chose dans mon entrejambe.

– Oh Tonton, Tu bandes drôlement ! Elle est grosse !

Chantal halète déjà comme une petite chienne en chaleur et me tire vers la clôture sur le côté de la benne posée sur un socle en ciment.

Elle baisse de nouveau sa jupe qu’elle retire en levant un pied, puis elle monte sur la margelle en ciment, et s’appuyant sur la benne elle me présente son petit cul. Ces fesses pales écartées laissent apparaître une frange orange autour de son anus et je ne réfléchis plus…j’agis.
Un dernier coup d’œil aux alentours et je laisse tomber pantalon et slip sur mes chevilles. Je prends en main ma bite terriblement dure et je m’approche de Chantal. Celle-ci s’impatiente en tortillant du cul et notre différence de hauteur étant compensée par la margelle en ciment, je n’ai aucun problème à trouver sa chatte avec le bout de ma bite.

Sa chatte ruisselle pratiquement et je n’ai aucune difficulté à passer entre ses poils roux pour glisser ma bite en elle. Même le bruit d’un moteur d’une voiture qui démarre ne me dissuade pas de m’enfoncer dans cette gaine toute chaude.

– Ouiiiiii, gémit Chantal quand j’arrive au bout de ma course.
– Putain ! T’es vraiment gros Tonton !

Je commence à la baiser en la prenant par ses hanches et Chantal crie.

– AAaahhhh, ouiiiii, baise-moi bien. Et fort ! Enfonce-toi à fond. Ouiiiii…comme ça…je te sens bien !

Il fait chaud et en baisant ma nièce de toutes mes forces, je sens la sueur couler sur mes tempes. Cette position primitive, debout derrière une benne à ordures, au milieu de la journée, ma nièce penchée docilement devant moi et insensible à cet environnement, me fait penser à des bêtes sauvages qui s’accouplent pour le plaisir du mâle et le besoin de procréation de la femelle.

Je ne fais même pas attention au bruit métallique de l’ouverture d’une porte tellement je suis dans cette baise insensée. Tenant fermement Chantal, je la pilonne en giflant son pubis de mes couilles de taureau et mes grognements se mélangent avec les cris de Chantal.

Sa chatte se serre autour de ma bite qui crache mon sperme dans son ventre traversé de convulsions spasmodiques. Je me vide entièrement dans sa chatte qui me retient et, un peu étourdi, j’essaye de garder mon équilibre.

J’entends du bruit derrière moi. Je ne me retourne même pas de peur de savoir qui nous a vus en plein orgasme.

Chantal reprend son souffle, toujours penchée en avant, et je vois mon sperme baver sur le coté de ses lèvres de chatte puis couler le long de ses cuisses.

– Je t’aime mon Tonton,

Dit Chantal en se retournant et m’aidant à remonter mon pantalon sans oublier d’embrasser ma queue molle avant de la mettre sous mon slip.

Et j’entends encore ce bruit métallique de porte quand elle boucle ma ceinture.

– C’était bon Tonton…t’as bien joui toi aussi…

Et mettant son bras sous le mien elle me guide vers la voiture.

A suivre

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