Voici ma septième expérience forte vécue avec Pascal, celle-ci découle d’une petite punition, même si en lisant mon récit que ce n’en ai pas vraiment une. Cela fait bientôt un mois que nous correspondons.
Je suis certes motivée mais je n’étais pas sûre de mes capacités et en proie aux doutes. J’ai progressé, gagné en confiance mais je dois encore avancer.
Voici le rapport que je lui ai fait, mot pour mot:
J’ai pris le tram pour aller dans mon magasin favoris et je me sentais monter tout doucement, je suis arrivée à 11h20. Je ne savais pas encore quels mots j’allais utiliser pour toute les questions que je devais poser. Aucune phrase toute prête, juste quelques mots clés, réfléchis et retenus avec soin.
Je suis rentrée et c’était la même vendeuse, je ne sais pas si elle m’a reconnue en entrant.
J’ai regarder différents modèles de redresse sein, mais j’avais vu sur le site un qui me plaisait bien et pas trop cher, j’étais seule dans le magasin et elle m’a demander si j’avais besoin de conseil. Je lui répondu que oui. Je lui ai demander que je cherchais quelque chose de coquin pour faire plaisir à mon partenaire et avec un budget pas trop élevé, quelle évidence en y repensant. Nous avons vu mes gouts et m’a proposé deux modèles avec les strings assorti. Celui que j’avais vu étais parmi eux. Elle m’a proposer d’essayer pour voir le rendu. Je suis partie dans la cabine. j’ai posé ma veste, mon pull et mon chemiser en les pliants correctement. J’ai ôté mon soutien-gorge et j’ai mis le redresse sein. j’ai fais exprès de mal le mettre, l’émotion justifiera ma maladresse. Elle était à coté et je l’ai appelée pour lui dire que j’avais une gène dans le dos et j’ai entrouvert le rideau, j’étais face à l’ouverture.
J’étais toute rouge et j’avais les tétons tendus en vrai petite coquine.
Elle m’a vu dans cette tenue sans équivoque et m’a souri, je me suis retournée pour exposer l’endroit de la gène et m’a juste dit que je n’avais pas mis correctement la bretelle. Je me suis excusée. Et j’ai refermé le rideau pour mettre le redresse sein correctement.
Pour essayer le string ouvert. Le collant n’est pas adapté pour les essayages, je devrais aviser pour des bas la prochaine fois. Je les ai enlevé et la jupe aussi.
Ma culotte n’était que légèrement humide et j’ai enfiler le string par dessus. La glace dans la cabine me renvoyait le reflet de mes inscriptions aux aines. J’ai craqué. Je l’ai prise.
Je me suis rhabillée avant de passer aux questions.
Premièrement le gel clitoridien chauffant: qu’avez vous en gel chauffant pour stimuler le clitoris? (j’ai bien dit LE et pas MON car moi, je suis sage :D). Nous nous sommes dirigées vers le rayons des gels et lubrifiants. Il y a tout ce qu’il faut pour moi et elle m’a simplement proposer deux gels. J’ai opté pour un petit tube de 30ml que l’on peut glisser dans son sac à main. D’après vous, pourquoi ne faut il jamais regarder dans le sac d’une femme ? C’est là que la vendeuse a fait le lien avec la semaine passée où j’ai acheté mon plug, elle m’a demandé si j’en étais satisfaite. Adjectif très neutre pour me demander, si j’avais rempli mes fesses avec et pris du plaisir. C’est avec les échanges avec ses clients qu’elle peut mieux les conseiller.
Deuxièmement les petites pinces à tétons à porter sous le soutif, en journée :
Qu’avez vous en pinces pour les tétons à porter en journée? (là c’est pour moi). Elle m’a dit qu’elle voyait ce que je voulais mais qu’elle ne pensait pas avoir ce que je voulais. Elle n’avait de disponible que des modèles vibrants assez gros pour un usage en privé . C’est trop cochon ce que je recherche ? Mais la vendeuse ne me juge pas et si elle le fait rien ne transparaît, elle est toujours très polie et souriante.
Troisièmement les petites pompes à lèvres : mon compagnon voudrait que j’essaie le pompage de mes zones érogènes? (avouez que c’est bien dit et en plus le cochon, c’est mon compagnon). Elle a un large sourire et me dit quelle a une gamme de produits adaptés aux attentes de ces clients. Elle maintient une certaine distance avec ces mots, je suis toute rouge, elle sait parfaitement que ce sera pour moi et que j’ai honte de demander. Je suis encore jeune pour venir seule me renseigner et acheter des produits. Elle est très rassurante, en tant que vendeuse je dirais même très professionnelle. Elle me montre très rapidement un pompe qui englobe toute la chatte puis me propose un modèles aux petites cloches qui peuvent rester en place après l’aspiration. Elle me dit que c’est à cela que mon compagnon pense. A quoi pense-t-elle? pourquoi mon compagnon n’est pas avec moi pour faire ces achats intimes où l’on jouera à deux ou que j’ai inventé mon compagnon parce que je ne m’assume pas? En tout cas, ce n’est pas donné mais ça me fait encore envie. Mon budget d’étudiante n’étant pas extensible. Je mémorise ce produit pour une prochaine fois.
J’ai rajouté un point qui n’était pas prévu mais j’en restent un manque. J’ai besoin d’avoir la chatte remplie et lorsque je vous avais demandé pour des boules de geisha vous me l’avez refusé sous prétexte que cela ne me suffirait pas. J’ai donc demandé à la vendeuse un équivalent aux boules mais en plus gros car mon compagnon m’avait dit que les boules non sont pas assez pour moi (j’avoue ici être une cochonne de façon très directe, et ça me fait un bien fou dans le bas du ventre). Il m’a parlé d’un oeuf ou d’un mini gode? Elle me fais voir un petit gode dur à se mettre où vous savez et maintenu avec un petit harnais, j’ai fondu, c’est un peu cher mais je sens au fond de moi qu’il est fait pour moi. Ce sera l’occasion de revenir…
Sinon, il y a un oeuf vibrant avec une télécommande pour l’allumer discrètement. ce n’est pas trop cher, cela me fait aussi envie, je le prend, dès que je rentre des cours j’y goutte.
Les échanges avec la vendeuse sont assez complexes à décrire, j’ai fais de mon mieux. D’un coté c’est très intime, privé même. De l’autre elle fait un travail de commerce et me conseille d’un point de vue professionnel. Elle a aussi une vie intime qui ne transparais pas, ne renvoie aucune image de jugement, neutre est le bon mot il me semble. Je repense à mon approche pour qu’elle voit mes seins; elle sait forcément que je l’ai fais exprès, c’était cousu de fil blanc. En plus d’être une cochonne, je suis aussi exhibitionniste. Cela va de pair, me direz vous.
Je n’ai pas osé poser des questions sur les ustensiles pour me punir. Ce n’étais pas à l’ordre du jour mais nous en avions parlé. Ce sera pour la prochaine fois car je suis bien chaude déjà. Au moment où j’écris ce rapport complet je sais que la prochaine fois je devrais en acheter. Que me demanderez-vous de plus?
Je suis passée en caisse. J’ai eu la vendeuse pour moi toute seule. J’ai mis tous les articles dans un petit sac que j’avais prise et le tout dans mon sac à dos, je n’ai pas fais la même erreur que la dernière fois d’autant plus que j’ai encore des cours cette après-midi.
Lors du passage en caisse, la vendeuse me propose une carte de fidélité. cela me permettra une réduction à partir d’un certain montant. Elle pense me revoir. peut-être la semaine prochaine, qui sait…
J’ai pris le tram pour retourner à la fac. J’ai repensé au magasin et aux délices de l’essayage et des questions que j’ai du poser à la vendeuse.
J’étais debout face à la vitre, j’ai pris mon sac à dos à la main et je l’ai écrasé contre mon pubis encore endolori par les expériences de la veille.
Les contractions qui ne m’ont pas quittée et la pression du sac m’ont provoquer un grand plaisir. Je n’étais pas sûre que ce soit un orgasme, les miens lorsque je me touche ou me maltraite sont plus violent. Ici c’était très doux, presque continu avec des contractions incontrôlées de mon bas ventre et j’ai dû me retenir de ne pas gémir. L’après-midi relaxée me confirmerons que s’en était bien un et vous aussi.
Arrivée à la fac, je suis partie manger et lors de mon passage aux toilettes, j’ai testé le gel sur mon clito et ma vulve et j’ai remis du gel anal. J’ai bien chaud à la chatte et aux fesses. J’étais très tentée de mettre le redresse sein mais je me suis ravisée. je testerai le soir même à la maison.
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