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Belles jambes, Belle soirée PART 1

Belles jambes, Belle soirée     PART 1



On est dans le canapé en forme de L, on regarde la télé, programme sur les miss régionales…
On sirote un digestif, la bouteille posée sur la table basse devant nous.
Mon ami, son mari, est en week end avec les petites chez les oncles en bourgogne.
J’étais passé le voir justement, je ne savais pas qu’il était parti.
C’est elle qui m’avait ouvert la porte, avec le sourire, on était juste amis.
Elle était contente d’être enfin seule, d’avoir du temps à elle.
Elle m’avait proposé de boire une bière, elle n’avait rien de prévu ce soir.
Vu l’heure plutôt tardive, elle insista pour que je reste manger un bout.
C’était la première fois que je restais aussi longtemps seul avec elle.

C’est une femme grande et mince de mon âge, les cheveux noirs, mi-longs.
J’adore les filles plus grandes que moi.
Juppe courte extensible et serrée noir avec des collants noirs,un maillot gris assez ample.
Elle est en pantoufles roses, décontracte.
Institutrice pour les petits, elle n’est pas du genre à porter des tenues très osées.
Mais j’ai tout de suite remarqué ses collants qui mettent en valeur ses superbes longues jambes, son point fort.
Avec son joli petit sourire qui embellit ses trait fins et fait plisser ses deux yeux ronds aux pupilles noires,
elle me faisait passer un agréable moment que je n’avais pas envie d’interrompre.

La conversation très amicale et détendue nous fit continuer jusqu’au pousse café dans ce canapé.
Moi en position assise très décontracté et elle, allongée avec une couverture sur les jambes,
en gardant une distance assez longue entre nous pour se sentir à l’aise.
Personnellement, je la croyais plus froide alors qu’en fait, à mon grand plaisir, ça se passait très bien.
On avait parlé de tout et de rien et nous voilà devant la télé, en mode digestion,
à regarder une émission qui ne fait pas mal à la tête.

Les candidates défilaient et nous commentions leurs prestations.
Le genre de programme que je ne zappe pas uniquement parce que les filles sont belles.
Sûrement à cause d’un peu de jalousie ou de concurrence, elle était très critique envers les miss.
Mais on rigolait entre deux commentaires, impatients de voir la suite.
De voir toutes ces charmantes demoiselles et elle, allongée à coté de moi,je commençais un peu à monter en température.
Je z’yeutais de plus en plus ses élégants petits pieds fins entourés du joli collant noir, sortants de la couverture
dont les orteilles jouaient avec le bord des pantoufles qui s’étaient déchaussées à présent.
Ils étaient plus près de moi que sa tête dans le sens où elle était allongée.

Elle avait du discrètement voir que je les regardaient quand je tournais la tête pour lui parler,
ils sortaient de plus en plus et bougeaient d’une façon très élégante.
Je fis porter la conversation sur les jambes d’une concurrente d’une exclamation typiquement masculine, l’air de rien,
faisant semblant d’être innocent, mais en lui faisant comprendre que j’appréciait beaucoup cette partie du corps féminin.
Elle me proposa amicalement un autre verre.J’acceptai.
Elle souleva la couverture, fit passer ses deux jambes collées l’une contre l’autre devant moi pour se lever et me servir.
Elle en profita pour fermer le store du salon puis en discutant, posa les pantoufles restées coincées dans le divan et
s’allongea dans la même position mais cette fois, sur et non sous, la couverture.

Toute la longueur de ses jambes, le superbe collant noir à petits losanges qui n’est pas si fin tout compte fait.
On devine néanmoins la couleur de la peau. Je peux goulûment apprécier la blancheur de sa plante des pieds qui contraste
avec le reste, seulement assombrit par le tissu à formes géométriques.
Les courbes sont divines, les lignes s’élargissent progressivement et parfaitement jusqu’aux fesses, où je pense,
qu’elle à volontairement relevé de peu le bas de sa juppe, simulant une légère négligence dû à la fatigue.
Elle reste pieds tendus, elle crispe les orteilles en battant des jambes. Elle attire mon regard.
Nous continuons à parler mais sa voix est plus douces, plus câline.
Elle voit bien ce que je contemple.
Je ne me cache plus.

Très gênantes en général, ce genre de situations est ce soir, naturelle et agréable. Nous sommes en phase.
Je suis l’inverse de son mari. Lui est tiré à quatre épingle et ordonné. Moi je suis sauvage et imprévisible.
Elle le sait et doit apprécier ce changement de rapport, sans doute.
Mais rien n’a été dit et je ne sais ce qu’elle pense vraiment. Je ne veux pas faire d’erreurs.
Et puis tant pis, je me lance dans une approche.
Pendant que nous conversons doucement, je tends le bras juste au dessous d’un des pieds qui balancent.
La cheville me tape élégamment la paume de la main.
Elle ne s’oppose pas et continue son battement de jambes. La barrière du touché est passée.
Elle détourne son regard jusqu’à l’écran et se tait.

Je décale un peu ma main, c’est son pied que je sens frapper. Je referme les doigts, j’ai envie de jouer à présent.
J’essaye d’att****r ses orteils. J’entends un léger rire aigu. Elle aime. On s’amuse.
Elle est réceptive ce soir, à mon grand bonheur, je vais essayer de la caresser doucement pour qu’elle soit plus ouverte.
Je saisis le bout de son pied et commence tendrement à le masser.
Elle a stoppé ses mouvements et se laisse faire, je suis aux anges. C’est serieux maintenant, elle apprécie mes caresses.
Je ne sais pas jusqu’où on va aller mais je suis détendus, elle me plait, je me sens bien ici, je veux prendre et lui faire prendre
un maximum de plaisir et qui sait, si ça continu comme ça, peut être qu’elle voudra me faire éjaculer ce soir

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