HISTOIRE DU NET
Le lendemain, après une nuit plutôt agitée, je me levai pour prendre mon petit-déjeuner. À mon arrivée dans la cuisine, tous étaient déjà en train de manger.
— Voilà le flemmard, dit mon père d’un ton affectueux.
Je m’assis à la table en grommelant un « bonjour » et mordis dans ma tartine. Alors que nous mangions, ma mère demanda à mon oncle et à ma tante ce qu’ils voulaient faire de l’après-midi.
— J’ai appris récemment qu’ils ont ouvert une plage nudiste pas loin d’ici. Je propose que nous essayions. Ça pourrait être chouette, répondit ma tante.
— Mais enfin, Donna ! Les enfants sont un peu jeunes pour ce genre de choses, tu ne crois pas ?
— Ils sont majeurs, maintenant, Amélie. Ils peuvent décider pour eux-mêmes. Que décidez-vous, les jeunes ?
Mon regard croisa brièvement celui de ma cousine. Elle pensait à la même chose que moi.
— Nous pourrions essayer pour voir ce que ça donne, répondis-je.
La décision était prise : nous irions tous les six à la plage nudiste.
Vers 13 heures, après avoir mangé quelques sandwichs, nous partîmes en direction de la plage.
À notre arrivée sur les lieux, nous retirâmes tous les six nos vêtements et les laissâmes dans des casiers à l’entrée de la plage. Nous disposâmes ensuite nos serviettes sur le sable et installâmes notre paravent.
Une fois confortablement installés, mon père et mon oncle allèrent se baigner tandis que ma mère et ma cousine partirent marcher le long de la plage. Quant à moi, je restai avec ma tante pour bronzer et surveiller nos affaires.
— Belle journée, hein, Tata ?
— Oui, mon neveu. C’est une belle journée. Et un beau paysage.
— Oui, la mer, le sable… Un beau paysage.
— Pas seulement la mer et le sable. Tous ces gens nus, ça excitant, n’est-ce pas, mon neveu ?
— Oui, c’est vrai.
En parlant des corps nus allongés sur la plage, je me pris à contempler le corps de ma tante. Les traits fins de son visage la rendaient plus jeune qu’elle ne l’était et son cou gracile était celui d’une adolescente. Mon regard s’arrêta ensuite un long moment sur sa poitrine généreuse aux tétons durcis par l’excitation d’être nue puis sur son sexe parfaitement entretenu.
Donna changea de position pour se coucher à plat ventre sur sa serviette, m’offrant par la même occasion une vue imprenable sur son fessier ferme et sculpté. En voyant ma tante nue, inévitablement, les images de la veille me revinrent en mémoire. Je revis mon père sodomiser ma tante avec vigueur et entendis à nouveau ma tante gémir de plaisir. Mon esprit ne tarda pas à transmettre ses pensées perverses à mon corps, ce qui me donna une puissante érection.
Malheur ! Je ne pouvais cacher mon état à personne et ne pouvais pas non plus lui trouver une explication rationnelle. Soudain, misère ! Toujours allongée sur le ventre, ma tante tourna la tête dans ma direction et vit mon sexe durci. Elle se redressa et m’apostropha violemment.
— Qu’est-ce que c’est que ça, mon neveu ?! Tu bandes devant ta propre tante ?! Qu’est-ce que ta mère dira lorsque je lui aurai raconté ça ?
Colère !… Rage !… Frustration !…
J’étais en colère contre ma tante qui osait me menacer alors qu’elle et mon père avaient trompé ma mère sans état d’âme. J’étais enragé à l’idée de ne pas pouvoir lui répondre « Et qu’est-ce ma mère dira lorsque je lui raconterai que je t’ai vu coucher avec mon père ?». En effet, sachant ma mère très amoureuse de mon père, je savais qu’elle ne me croirait jamais si je lui racontais ce que j’avais vu sans preuve. Ces deux sentiments réunis finirent par me conduire à la frustration.
Devant mon silence, Donna ajouta :
— Si tu veux, nous pouvons régler cela entre nous et je ne dirai rien à ta mère. Cependant, je dois te punir pour avoir osé m’avouer des pensées aussi immorales. Allonge-toi.
— Mais, Tata Donna ! Si mon père, ma mère, George ou Lily nous voit…
— Ne t’inquiète pas pour cela, mon neveu. Ton père et mon mari sont très occupés avec les deux ravissantes jeunes femmes qui leur font la cour. Quant à ta mère et Lily, elles se trouvent à l’autre bout de la plage. Nous avons donc tout le temps de régler cette affaire.
Vaincu par les arguments massue de ma tante, je m’allongeai sur le dos. Donna se mit à califourchon sur moi et commença à me masturber calmement.
— Hum… Quelle queue tu as, mon neveu ! Si tu te montres sage, je te donnerai peut-être une récompense. Mais pour le moment, passons aux choses sérieuses !
Ma tante se pencha sur moi de manière à ce que ses seins effleurent mes lèvres.
— Tu les aimes, les gros seins de ta tante ? Réponds, petit cochon.
— Oui, Tata. J’aime tes gros seins.
— Alors, suce-les.
Donna se pencha davantage sur moi. Son sein droit toucha ma bouche. J’ouvris la bouche et gobai le sein offert de ma tante qui m’encouragea à continuer.
Après quelques minutes, ma tante m’ordonna de sucer son autre sein. Je répétai l’opération pendant quelques minutes encore et ma tante s’allongea sur sa serviette.
— Et la chatte de ta tante, elle te plaît ? Réponds, petit goret !
— Oui, Tata. Ta chatte me plaît.
— Alors, viens la lécher !
Je penchai mon visage en direction du sexe de Donna et me mis à le lécher. Ma tante plaqua ma tête sur son sexe d’une main tandis que de l’autre, elle se caressait un sein en gémissant de plaisir.
Après un moment qui me paraissait interminable et durant lequel je m’étais appliqué à procurer le plus de plaisir possible à ma tante, celle-ci repoussa ma tête et m’ordonna de me mettre à quatre pattes.
J’obtempérai une nouvelle fois et Donna sortit quelque chose de la poche du paravent.
— En général, j’utilise ce gode avec ton oncle. Mais vu la situation, je vais m’en servir sur toi cette fois.
Donna s’équipa du gode sans égard pour les regards suppliants que je lui adressais. En effet, je ne m’étais encore jamais fait sodomiser et savais par des témoignages de femmes recueillis sur la toile que cela faisait très mal la première fois.
Ma tante cracha sur son gode pour le lubrifier puis, sans crier gare, l’enfonça dans mon anus. Je voulus crier de douleur mais Donna avait eu le réflexe de mettre une main sur ma bouche pour étouffer mon cri.
Pendant une longue période de souffrance dont je croyais ne jamais voir la fin, ma tante m’enculait de toutes ses forces en gardant toujours une main sur ma bouche tandis que, de l’autre, elle m’administrait de violentes fessées.
Nonobstant cette souffrance, je vécus la pire humiliation de toute ma vie : les usagers alentour, croyant simplement avoir affaire à un gamin qui avait essayé de draguer une femme plus âgée que lui et qui se faisait finalement punir pour son audace filmaient la scène et s’en allaient en riant.
Puis, finalement, Donna émit un gémissement de plaisir et se retira de mon anus complètement dilaté. Elle retira ensuite son gode et le rangea là où elle l’avait pris.
— Comme tu as été très obéissant, tu auras droit à une belle récompense ce soir après le dîner.
Je ne pris pas la peine de répondre, trop humilié et trop souffrant pour le faire.
Vers 18 heures, mon père, mon oncle, ma tante et ma cousine revinrent et nous rangeâmes nos affaires. Nous récupérâmes ensuite nos vêtements dans nos casiers respectifs et rentrâmes à la maison.
La soirée ne faisait que commencer…
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