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La petite nana qui avait une soeur

La petite nana qui avait une soeur



Mathilde était fille unique, mais ce jour-là, dans notre scénario, nous avons fait comme si elle avait eu une sœur cadette, dont elle joua le rôle bien entendu. Pour ma part, je suis resté moi-même. Je n’ai pas modifié mon âge. J’avais trente-trois ans. Mathilde baptisa sa sœur Lola, décida qu’elle avait vingt ans (douze ans de moins qu’elle) et qu’elles se ressemblaient beaucoup toutes les deux. L’idée me plut tout de suite, mais le contexte qu’on mit en place finit de me convaincre de mener ce scénario au plus vite.
L’histoire se déroula dans le chalet de campagne des parents de Mathilde, dans le courant de la soirée. Nous avions fait un feu dans la cheminée et déjà bu quelques verres quand on débuta notre jeu. Le contexte était le suivant : au terme d’un repas de famille, tout le monde était allé se coucher, sauf Lola et moi. Leurs parents étaient montés depuis un bon moment déjà, et nous avions dû aider Mathilde à gagner notre chambre, tellement elle avait bu. Puis nous étions redescendus dans le salon, Lola et moi. Nous avions beaucoup bu aussi, mais nous étions toujours bien lucides, en tout cas en mesure de parler. Et, dans l’histoire, Mathilde m’avait déjà avoué que sa jeune sœur avait un faible pour moi depuis le début de notre relation. Je plaisais à Lola et elle ne se privait pas pour me regarder souvent, notamment quand on était à table. Elle faisait toujours en sorte de s’asseoir en face de moi, ce qui avait d’ailleurs tendance à agacer Mathilde.
De Lola, elle m’avait maintes fois dit que c’était une petite allumeuse qui faisait tout pour se faire remarquer. Elle employait tous les moyens à sa disposition pour ça, que ce soit en présence de mecs de son âge ou d’hommes qui lui plaisaient. Elle l’avait vue faire d’innombrables fois et s’était même vue obligée de lui faire des remarques, du genre :
« Tu ne veux pas fermer un peu ton décolleté ? »
Ou encore :
« Ça t’amuse de montrer ta culotte à tout le monde ? »
Ce à quoi la jeune sœur répondait généralement :
« Je montre ce que je veux à qui je veux. »

Ce soir-là, Lola portait une jupe en jean noir délavé, très courte, un petit pull acrylique gris clair, moulant à col roulé, et des mi-bas en laine noire coupés juste au-dessus de ses genoux. Elle avait ôté ses chaussures dans le courant de la soirée et, aussitôt après avoir aidé Mathilde à monter dans sa chambre, nous nous sommes servis un autre verre de liqueur de poire.
Nous étions assis dans le canapé, face à la cheminée, Lola à ma gauche. Une petite table basse nous séparait des flammes et Lola me regardait.
« Il faut quand même que je fasse gaffe », dit-elle.
« Que tu fasses gaffe à quoi ? »
« A ne pas dépasser une certaine limite avec l’alcool. »
« Tu sentiras bien quand tu t’en approcheras, non ? » dis-je.
« Ben non, justement. Ça peut me prendre d’un seul coup. Ma vue se trouble et je deviens une vraie loque. »
« Une loque ? »
« Oui, je ne capte plus rien. Je m’affale, sans pour autant être malade, tu vois ? Je tombe et je ne comprends plus rien à ce qui se passe. »
« Ça t’arrive souvent ? »
Lola prit une gorgée de liqueur sans me quitter des yeux et dit :
« De temps en temps, dans des soirées avec des potes. La dernière fois, c’était il y a trois semaines, chez une copine de fac. On était quatre et ils m’ont vue vaciller. Il y avait deux mecs avec nous. Je suis restée comme ça pendant une demi-heure, à peu près, avec les yeux à moitié ouverts, mais incapable de dire un mot et de bouger. Une loque… »
J’ai pris une gorgée de liqueur à mon tour et répondu :
« Si je te vois tomber comme ça, je te monterai dans ta chambre. »
« Non, non, dit Lola, il faut juste que tu attendes que je reprenne mes esprits. Une demi-heure et ça va mieux. Je suis même capable de me remettre à picoler. Je ne suis jamais malade. »
« Tu fais bien de me prévenir », dis-je.
Elle me retourna un sourire et continua :
« La première fois que ça m’est arrivé, j’avais quatorze ans. C’était dans un camping, dans la caravane des parents d’un mec que je connaissais à peine. Les parents en question s’étaient absentés pour le week-end et le mec en avait profité pour faire une petite soirée alcoolisée avec moi et un autre mec. Ils avaient tous les deux dix-sept ans et, quand ils m’ont vue m’affaler, ils se sont d’abord inquiétés. Mais voyant que je respirais toujours et que je souriais vaguement, ils ont conclu que je faisais une espèce de petit c*** et qu’il valait mieux que je reste dormir dans cette caravane, plutôt que d’essayer de me raccompagner dans celle de mes parents, à l’autre bout du camping, dans la nuit obscure. Alors ils m’ont allongée sur un lit et ils m’ont déshabillée. »
Elle n’ajouta rien et je restai à la regarder pendant un moment, pensant que la suite allait venir, mais elle ne vint pas, alors je lui demandai :
« Tu veux dire complètement déshabillée ? »
« Oui, dit Lola. Ils m’ont tout enlevé. »
« D’accord. Et ensuite ? »
Elle répondit en souriant :
« Ensuite, ben, je ne sais pas trop. Je me souviens juste avoir repris mes esprits un peu plus tard, sur ce lit. J’étais à poil, couchée sur le flanc, et un des mecs était en train de me pénétrer par derrière. L’autre était assis sur une banquette, un peu plus loin, tout nu en train de fumer une cigarette. Il nous regardait. C’était cool. »
« Tu as trouvé ça cool ? »
« Oui, dit Lola, parce que c’était ma première fois et que les mecs ont été assez délicats avec moi. Je veux dire, je n’ai pas eu mal et c’était une chouette ivresse. »
« Mais ils t’ont prise tous les deux ? »
« Oui. Ils me l’ont dit au moment de me raccompagner vers la caravane de mes parents. Ils m’ont expliqué qu’en enlevant mes vêtements pour me coucher, ils n’avaient pas pu résister : ils m’avaient enlevé ma culotte et m’avaient fait plein de caresses, partout. Et moi, je n’avais aucun souvenir de douleur ou de mouvements brutaux. Je me sentais vraiment bien et ils étaient cools avec moi. »
« Et ça t’est arrivé d’autres fois, donc ? »
« Oui, plein de fois. »
« Et… » dis-je en observant son visage. »
« Et quoi ? » dit-elle.
« Tu t’es faite abusée d’autres fois ? »
« Presque à chaque fois, oui. Mais c’est cool. »
« Tu trouves cool qu’on abuse de toi dans ces moments-là ? »
« Oui. »
Je suis resté sans voix pendant quelques secondes. Mathilde me sidérait parfois de cette façon au cours de scénarios qu’on se faisait. Elle ficelait des idées dans sa tête et me les livrait sans m’avoir prévenu de rien. J’adorais ça. Et ce soir-là, elle jouait le rôle d’une petite sœur curieuse qui me confiait ces choses, tandis que le reste de sa famille dormait au-dessus de nous, dont sa sœur qui était ma compagne.
Je bandais.
D’autant qu’il en fallait peu pour que je distingue la culotte de Lola, à la jonction de ses cuisses, sous le niveau de sa jupe bien trop courte.
C’est elle qui a repris en disant :
« C’est pour ça que je te préviens. Si je m’affale à un moment donné, il ne faut pas t’inquiéter. Ne réveille personne et n’appelle pas les secours. Attends que je reprenne mes esprits. Ou alors, si toi aussi tu es crevé, tu m’emmènes dans mon lit et tu me déshabilles. »
« C’est délicat », répondis-je.
« Qu’est-ce qui est délicat ? » demanda naïvement Lola.
« Ben, tu es la sœur de ma compagne… »
Elle termina son verre en me regardant, puis elle le reposa sur la table basse. Elle vérifia le niveau du mien et dit :
« On s’en resserre un ? »
Je mis quelques instants à accepter sa proposition. Je vidai mon verre et le posai, puis Lola fit le service. Elle remplit les deux verres à ras-bord et me tendit le mien. On trinqua, on prit une gorgée, puis elle me demanda :
« Tu penses que ça te poserait un problème de baisser sa culotte à la sœur de ta nana ? »
« C’est possible », dis-je.
Elle haussa une épaule et dit :
« Dans ce cas, contente-toi d’enlever mon pull et ma jupe. Je peux très bien dormir en culotte. Par contre, je n’ai pas de soutif sous mon pull, donc tu verras mes seins, et je n’ai pas très envie de dormir avec mon pull… »
J’ai hoché la tête et répondu :
« Ce sera déjà plus raisonnable. »
Elle a souri et dit :
« C’est comme tu veux. Mais sache que ça ne me dérangera pas que tu m’enlèves ma culotte. J’aime bien que des mecs m’enlèvent ma culotte quand je suis dans cet état. »
« Et te faire abuser… » dis-je.
« Oui, dit Lola. Abuser ou juste câliner. Tu n’as jamais eu envie de me faire un câlin ? »
« J’avoue que je t’aime bien. »
« Moi aussi, je t’aime bien », dit-elle en portant son verre à sa bouche.
Elle but, garda son verre en main, puis elle changea de position dans le canapé, de sorte à se tourner mieux vers moi, sans me quitter du regard. Et je vis sa culotte cette fois-ci, sous sa jupe noire délavée.
Elle était rouge, en dentelle. Les flammes qui vivraient dans la cheminée accentuaient ce rouge.
Et moi je bandais à mort, car Mathilde jouait le rôle de sa jeune sœur imaginaire à la perfection. Ce n’était pas ma nana qui se trouvait à mes côtés dans ces instants, c’était sa sœur et je voyais sa culotte. Ses petits seins pointus tendaient très légèrement la matière de son pull et je sentais ma tête tourner un peu. Et même beaucoup.
Lola reprit alors :
« Cela dit, je peux enlever ma culotte tout de suite, ça t’évitera de le faire quand il faudra me déshabiller. »
Il me fallut un temps pour me remettre de cette suggestion.
J’ai répondu à Lola :
« Si jamais les choses tournaient de cette façon, je tiens à ce que ça reste entre nous, d’accord ? »
« C’est promis, dit-elle. Ma sœur m’en voudrait à mort de toute façon. Et elle t’en voudrait sûrement à mort aussi. Alors, tu veux que j’enlève ma culotte tout de suite, ou pas ? »
Un court silence s’écoula, puis je répondis :
« Je veux bien. »
Sur ces mots, elle a souri et s’est levée. Elle a retroussé sa jupe en jean, saisi l’élastique de sa culotte, puis elle l’a baissée. Je n’ai pas loupé une miette du mouvement. Elle a jeté le bout de tissu à un mètre de nous et a repris place à mes côtés, toujours tournée face à moi. Ses paupières mi-closes trahissaient son ivresse avancée. Je voyais sa chatte. Epilée au maillot, les poils coupés à deux millimètres. La chatte de la sœur de ma nana.
Elle m’a alors dit :
« Je crois que je vais tomber. »
« Là, maintenant ? »
« Oui… » dit-elle en posant une main sur ma cuisse.
Puis elle s’affala. Sa tête bascula vers moi et se logea au niveau de ma bite qui était raide.
Je n’ai pas bougé. Je lui juste caressé les cheveux. Elle portait un chignon et je suis ensuite passé à son épaule, puis à son dos. Puis au bas de son dos, là où le bas du pull révélait un extrait de sa peau, en lisière de sa jupe.
Lola faisait un petit c*** et mon gland était gonflé à bloc.
Alors j’ai soulevé son corps pour l’allonger sur le canapé. Je me suis mis à genoux sur le sol et j’ai glissé ma main à la jonction de ses cuisses, jusqu’au bas de sa jupe, au ras des poils de sa chatte. J’ai caressé sa toison, puis j’ai trouvé ses lèvres mouillées. Lola n’a même pas sursauté.
J’ai défait mon pantalon et j’ai sorti ma queue. Je me suis branlé pendant un moment, tout en gouttant la mouille de la sœur de ma nana, puis je me suis mis debout enlever tout ce que je portais.
Au-dessus de ma tête, tout le monde dormait : ma nana et ses parents qui nous avaient invités ce jour-là dans leur chalet de campagne. Je bandais et j’ai défait le bouton de la jupe de Lola. Ensuite, j’ai fait glisser la fermeture éclair, puis la jupe le long de ses cuisses, jusqu’à ses chevilles. Je l’ai jeté au sol et j’ai soulevé une jambe de Lola, de sorte à pouvoir passer ma tête entre ses cuisses, puis ma langue sur son entre-cuisses. Avec mon autre main, je me branlais toujours. Je regardais cette nana qui ne portait plus qu’un pull gris clair et des mi-bas en laine noire. Ses cuisses étaient grandes ouvertes et j’ai fini par reposer un genou sur le canapé et coller mon gland contra sa chatte trempée. Et je l’ai enfoncé dedans, délicatement. Sans avoir songé un instant à mettre de capote. J’ai pénétré la chatte de la sœur de ma nana, tout en lui cramponnant une fesse, fermement. J’ai enfoncé ma queue jusqu’au fond et l’ai retirée pour la renfoncer aussitôt, je ne sais pas pendant combien de temps au juste. Sans doute une demi-heure, puisqu’au bout d’un moment, Lola a rouvert les yeux et dit :
« Oh, j’aime bien que tu me baises… »
J’ai répondu :
« Moi aussi, j’aime te baiser, Lola. »
Elle s’est mise à se toucher le clito, puis elle a ajouté :
« Par contre, fait attention, je ne prends pas la pilule. »
« D’accord », dis-je.
Elle a gémi, puis ajouté :
« A moins que tu veuilles mettre enceinte la sœur de ta nana ? »
Je n’ai pas répondu. Je fixais son regard et elle se branlait.
Elle a continué :
« Mets-moi enceinte. Je dirai à ma sœur que c’est un autre mec qui l’a fait. Tu veux bien décharger au fond de ma chatte ? »
Je n’ai rien dit.
Je me suis contenté de mieux ouvrir ses cuisses, puis d’enfoncer ma bite le plus profond possible, de la retirer et de l’enfoncer encore.
On se regardait dans les yeux, sans se sourire.
Puis je sentis le sperme monter à toute vitesse, brusquement. J’ai collé mon gland au fond de la chatte de Lola, puis j’ai laissé gicler. J’ai alors levé les yeux vers le plafond et entendu la voix de Mathilde me dire :
« Oui, vas-y… Fais un bébé à ma sœur… Vas-y, oui, putain… »
La deuxième giclée a fini dans ses poils et elle l’a étalée vigoureusement en me disant :
« C’est trop cool… Elle est enceinte, cette petite salope… Continue de gicler sur sa chatte… La prochaine fois, je jouerai mon propre rôle, et toi celui du mec de ma petite sœur, tu veux ? Il me baisera pendant que tu dormiras à l’étage. Il me mettra enceinte et tu n’en sauras rien. »
Etourdi, complètement sonné, je lui ai répondu :
« Oui… Je suis d’accord… »
Et, vu que je n’avais pas débandé, elle s’est mise à me sucer, assise au bord du canapé, tout en finissant d’étaler le sperme sur sa chatte.
Elle a ajouté :
« Et le rôle du père qui baiserait sa plus jeune fille, tu le jouerais ? »
Je reprenais mon souffle.
J’ai répondu :
« Oui. »
Elle a soupiré, puis elle s’est remise à me sucer la bite.
On n’avait de moins en moins de limites, Mathilde et moi. Et ça nous convenait très bien, du moment qu’on ne faisait de mal à personne. C’était tout ce qui importait : qu’on se fasse plaisir au maximum, sans jamais blesser quiconque. Juste en jouant avec nos esprits et nos corps. A volonté.

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