Il faut que je vous parle de ma copine Céline. On s’est connu un peu par hasard, lors d’une manifestation où, passionné de vidéo, j’enregistrais le concert en question. Elle est apparue dans le camion régie un peu avant le début du spectacle, s’occupant elle-même de l’organisation en général. C’est une belle femelle, tout comme il faut, avec des yeux à faire péter les braguettes et un cul, mais un cul à faire bander un mort ! De belles jambes misent en valeur avec des escarpins à talons haut et une jupe à ras du boule ! Une poitrine relativement petite, mais j’ai souvent remarqué que chez ce genre de femme peu développée sur le plan mammaire, elles sont incomparablement bonnes dans la manière de se servir de leur cul et de leur entrecuisses ! En pour couronner le tout, une voix d’un timbre inexplicable mais qui rehausse encore le désir.
A la fin de cette soirée ou nous avions bien sympathisé, elle me propose d’échanger nos numéros, souhaitant voir l’enregistrement réalisé. Elle me contacte trois jours après et je lui demande donc de passer dans mon studio de montage pour lui présenter la vidéo. Elle arrive, elle est encore plus bandante que l’autre soir. Avec son blouson de cuir assez long, j’ai l’impression qu’elle est à poils dessous. Non, c’est simplement que sa mini-jupe n’est pas plus longue faisant cet effet et je la soupçonne bien sûr de le faire exprès, histoire d’exciter les mâles. Elle est perchée sur des talons assez hauts, les jambes gainées de bas à résille très fine. Une bonasse comme on en croise pas souvent et son arrivée me déconcentre particulièrement. Nous regardons ensemble cette vidéo, donne un avis favorable au travail accompli, puis me demande une cigarette. Ses jambes sont croisées, ses belles cuisses saillantes m’émoustillent. Je suis hypnotisé, je n’ai pas du tout l’esprit au sujet qui nous réunit. Je ne pense qu’à ses cuisses à quelques centimètres de moi et je m’imagine qu’elle les écarte pour m’offrir sa vulve. Je sens monter en moi une excitation rare, tellement elle dégage un parfum de baise. Comment attaquer un sujet pareil ?
– Tu m’offres une cigarette ? me dit-elle.
– Bien sûr.
Je lui tends mon paquet ouvert, elle prend une cigarette, puis j’approche ma main avec un briquet vers elle pour lui allumer. Elle prend ma main de manière sensuelle et accompagne mon geste. Le contact de sa main est doux, chaud me transmettant un certain feeling de désir de sa part.
Elle tire sur la clope, recrache une fumée épaisse et ses yeux se pointent sur moi me jetant un regard indéfinissable. Je suis figé ! Elle est envers moi comme un prédateur sur sa proie hypnotisée avant de la bouffer. Tout à coup, son regard se baisse pour se poser sur mon bas ventre et laisse tomber :
– T’as une grosse bite toi ? me demande-t-elle !
Il faut que je me réveille, je dois être en plein rêve ! Je me mets à bégayer :
– Heu…. Bah..! Je dirais normale… heu… dans la moyenne quoi !
– Allonges toi là, parterre, j’ai envie que tu me lèche, me dit-elle d’une voix lascive.
Je m’exécute, me voilà étendu au sol. Elle m’enjambe et je vois sa chatte à l’air, pas de culotte, puis s’accroupit face à ma bouche.
– Lèche-moi ! Me dit-elle en basculant sa tête en arrière.
J’aime ces femmes qui prennent les devants, direct. Elle a envie de baiser, donc elle le fait sans se poser de questions ! Un peu comme quand on a faim, on ne cause pas 2 heures à un casse dalle avant de le bouffer !
Cette position face à ma bouche me remplit de désir. Ma queue double de volume en un instant. Sa vulve est magnifique, ma langue se fraie un chemin entre ses belles lèvres longues. Je lape de bas en haut, elle remue au rythme de ma langue et déjà un liquide chaud se fait sentir. Sa chatte à un goût délicieux, qui m’enivre et m’excite encore plus.
– Ohhh ! T’as une bonne langue de chien, toi ! lâche-t-elle entre deux râles !
Je lui att**** le clito entre mes lèvres et lui masse doucement tout en aspirant. Elle largue une nouvelle dose de cette cyprine au goût exquis tout en respirant et râlant de plus en plus fort.
– Humm !! Continue comme ça ! Ouiiii … !
Je me délecte de cette chatte brûlante. Elle aime ça, je m’applique. Tout à coup elle se relève, passe sa main entre ses cuisses et se lèche les doigts, puis ouvre mon pantalon, extirpe avec bien du mal ma queue gonflée et s’empale dessus. Direct ! Elle ne prend même pas la peine de retirer mon pantalon ni d’enlever sa jupe ! Elle est accroupie sur ma bite et reste comme ça le vagin remplit, ne faisant que des mouvements latéraux. Ma queue est à son maximum, distendue tellement elle m’excite ! Je vais pour lui ouvrir son chemisier et lui att****r les seins, mais elle prend ma main et me dit :
– Chut ! Laisse-toi faire, touches à rien, c’est moi qui commande maintenant !
Elle danse doucement sur mon sexe, toujours en tournant, ses seins pointent d’excitation et elle m’expliquera plus tard que lorsque ses tétons durcissent comme ça, c’est que sa chatte réclame. Elle se retire, me mets un grand coup de langue sur le gland, efface mon chibre dans sa bouche et se le remet bien au fond. Je suis fou, ma queue est prête à envoyer un litre de jus ! Moi qui ai déjà des éjaculations hors normes, je crois qu’elle va me faire battre des records ! Soudain, elle m’envoie un regard de chienne en rut comme je n’ai jamais vu et me dit :
– Je vais te branler avec ma chatte, tu veux ?
Incroyable ! Elle a le chaudron magique ! Elle me branle avec les muscles de sa chatte, monte puis redescend sur ma bite me faisant l’effet d’une main mais avec la douceur et la chaleur d’un vagin. Le plaisir est immense, intense, elle a toujours ses yeux plantés dans les miens et me dit :
– Crache tout, allez vas-y, envoie tout dans ma chatte !
Plus possible de retenir quoi que ce soit ! L’éjaculation est là, je sens le jus monter, la jouissance est profonde, démesurée, je l’inonde de ma semence brûlante et je ne peux m’empêcher de hurler un cri de bête. Elle se retire doucement, sa chatte dégouline de mon foutre.
– T’as pas baisé depuis des semaines vu la dose !
– Non, non, j’ai toujours eu de grosses doses comme ça, tous les 2 ou 3 jours en moyenne. Mais là tu m’as tellement excité que ça doit être un peu plus que d’habitude, surtout avec ton vagin aspirant ! Elle se met à rire.
On fait un peu de ménage et discutons. Le sujet est sur ce que nous venons de vivre. Elle me dit :
– Excuses moi mais depuis ce matin j’ai envie de baiser et j’étais sûre que mon fessier ne t’avais pas laissé indifférent, alors comme je devais venir te voir et que je te sentais réceptif, j’ai un peu bousculé les choses. J’aime bien faire bander les hommes et j’aime quand ils bandent pour moi. J’adore les attaquer bille en tête sans chichis, même si parfois ça bloque certains. Moi j’adore le cul sans limite, j’aime baiser n’importe quand, n’importe où, avec n’importe qui, j’aime être prise comme une chienne sans tabou et plus c’est hard et crade et plus j’aime ça. Tu comprends ?
– Oui, oui, très bien ! Il n’y a pas assez de femmes comme toi ! J’ai de la chance de t’avoir rencontrée. Rare sont les femmes qui assument une sexualité comme toi ! Toi t’es comme un homme, quand tu as envie de baiser tu ne te pose pas de question. Avec l’avantage que pour une femme c’est plus simple ! La plupart des femmes se font tout un film avant de pouvoir baiser et c’est rarement l’éclate. Bien souvent je baisse les bras et je préfère m’astiquer devant un film de cul avec des bonnes salopes en chaleur qui se font défoncer dans tous les sens.
Notre conversation se poursuit sur le sujet, Céline me confie quelques-uns de ses fantasmes. Elle rêve de se faire prendre par des bêtes humaines, des mecs hyper baraqués, des méchants, mauvais garçons, des malfaisants avec de longues bites énormes et des couilles de taureaux qui la traiteraient comme une esclave sexuelle. Dans ses rêves ils la défonce tour à tour, se vident dans sa bouche, sa chatte et son cul.
– Si tu aimes ce type de mec, il faut que je te présente Isid’ !
– Isid’ ?
– Ouais, Isidore, un black d’origine Africaine, une bête ! Il a une vraie tête de vilain, le genre que personne n’aimerais croiser la nuit dans un endroit sombre, sauf toi peut être ! C’est un pote à moi, il est gentil comme tout mais il a une tête qui ne respire pas la sympathie, un faciès de méchant. Si tu ne le connais pas il fait assez peur comme ça. Un bon mètre quatre-vingt-dix, des mains deux fois comme les miennes et une troisième jambe entre les cuisses. Une bête quoi !
– Humm, rien que de t’entendre en parler tu m’excites ! Je veux le connaître.
– Pas de problème ma belle, il bosse sur des chantiers dans le bâtiment. Je me rencarde et je t’emmène le voir. Il aime bien les beaux culs bien rebondis comme le tien.
On se quitte et l’idée de contacter Isid’ pour lui présenter Céline m’excitait terriblement. Je ne cache pas mon côté voyeur et j’avoue que la voir se faire ramoner par ce beau black, voir son pieu d’ébène dans son cul de déesse, me plairait beaucoup.
Évidemment il ne s’est pas fait prier !
– Elle est bonne ta copine ? Raconte !
– J’ peux pas t’expliquer, quand tu la vois, ça te pique dans le froc, tu ne penses qu’a la baiser ! Elle a les yeux qui sentent le cul, elle dégage des effluves, des vapeurs, des envies de baise que je n’ai jamais ressenties auparavant. Elle te masse la bite avec son greffier, elle a un cul incroyable, avec elle pas besoin d’aspirine bleue, bonne, bonne, bonne !
– Bah, amène la.., je sais pas moi, Vendredi si tu veux, je suis toujours dans la baraque ou tu m’as vu la dernière fois, j’ai pas fini avant au moins une semaine. Si elle si chaude que ça, je la fait sur place au milieu des gravats, ah, ah, ah ! Et il se met à rigoler comme une baleine.
Bien sûr, Céline attendais mon appel.
– Vendredi, pas de problème, tu passes me chercher ?
– Ok je suis chez toi pour 15H. Je t’emmène voir le sujet.
J’arrive chez elle et finissant de se préparer, me dit :
– Tu aimes ça ?
Elle s’était mis un juste au corps résille avec une ouverture entre les cuisses ! Ses tétons qui passaient au travers étaient déjà tout durs ! Une mini-jupe, son blouson par-dessus et la voilà prête.
– Faudrait être malade pour ne pas aimer ! Tu ferais bander un régiment !
On y va. Dans la voiture elle se redessine les lèvres avec un beau rouge, la rendant encore plus désirable. Sa belle bouche de suceuse était encore plus attirante et rien qu’en la voyant faire, elle me faisais déjà bander. Puis en roulant, elle écarte ses cuisses et s’enfile deux doigts qui font un léger bruit humide.
– Humm, je suis déjà trempée rien qu’à l’idée de voir ton pote. J’espère qu’il n’est pas timide.
– Lui ? Timide ? Aucune crainte, tu verras.
Elle était conditionnée pour une bonne partie de baise, elle a dû en rêver toute la nuit de ce chibre hors norme qui va lui remonter les organes !
Arrivés sur place, je lui donne la main car le terrain n’est pas très adapté aux talons hauts. Je la remorque jusqu’à la maison en chantier où un mec de type Marocain les yeux écarquillés nous regarde arriver, se demandant si nous n’avions pas fait une erreur. Évidement il reste rivé sur le cul de Céline, qui rien qu’en marchant, énerve tout mâle normalement constitué.
– Bonjour, Isid’ est là ?
– Oui, oui il doit être en haut avec mon collègue.
Nous montons l’escalier, je passe le premier laissant une belle vue sur le cul de Céline à celui qui était en bas et qui a dû avoir une belle demie molle dans son froc ! Une fois là-haut, Isid’ nous accueille et du haut de son mètre quatre-vingt-dix, analyse la femelle. Il fait assez chaud et il est en short et t-shirt qui le moule et fais ressortir ses pectoraux. En voyant le bel étalon black, Céline se pince les lèvres sans le quitter des yeux devant se dire : « Oh putain, la bête ! »
– Sympa ta copine ! Elle se perd souvent comme ça sur les chantiers ? Tu sais que jamais une femme vient nous voir en général. Ça fait plaisir.
– Ouais, mais Céline ce n’est pas une femme ordinaire, c’est une machine à baiser !
Isid’ ouvre de grands yeux, étonné que je mette tout de suite les choses au clair. Bien que le ton soit donné, il n’ose pas attaquer direct et se met à rire de ses belles dents blanches. Mais Céline, elle, prend tout de suite les devants. Elle avait devant elle une bête humaine qui ne demandait qu’à la défoncer, comme dans ses rêves, elle n’avait qu’à se servir ! Isid’ se retourne et dit à son collègue de descendre et d’aller aider Kader en bas.
Sitôt descendu, Céline qui avait déjà repéré la bite du beau black en travers du short, lui chope et balance direct :
– T’as envie de baiser ? Sort ta bite ! Je veux la voir !
Le black s’exécute aussitôt, il baisse le short et le caleçon, balance le tout et prend sa queue en main. Au repos, il dépassait encore 15 bons cms de sa main. Une belle bite de cheval longue et trapue ! La salope s’accroupit et att**** le membre de ses deux mains tel un objet rare, gobe le gland et commence à pomper doucement. Elle y met du cœur avec ses belles lèvres rouges de suceuse, respire fort et des bruits d’aspiration retentissent. Elle m’excite avec ses lèvres rouges autour du pieu tout noir. Elle lui chope de temps en temps ses grosses couilles qui pendent, lui malaxe, il prend sa tête entre ses mains. Sa queue est maintenant bien raide, elle s’acharne dessus se délecte de l’outil précieux, balance des grands coups de langue de bas en haut. Soudain elle retire la bite de sa bouche et s’écrie avec son regard si singulier qui est le sien :
– Elle pue ta bite, ça m’excite, j’aime ça les grosses bites pas propres !
Puis elle renfourne le jouet. Comme un chien avec un os, si quelqu’un s’approche pour lui prendre, elle est capable de mordre ! Les grosses couilles d’Isid’ pendent de moins en moins, elles se contractent avec l’excitation que lui procure cette chienne en chaleur. Moi je suis déjà trempé dans mon froc. Cette chienne m’excite au plus haut point, je pense que je ne vais pas tarder à déballer pour me branler.
Céline se lève, retire son blouson, elle ferait bander un cimetière complet avec son accoutrement de salope en rut ! Puis elle se met à plat ventre sur une sorte de petite estrade bien à la hauteur de la bite d’Isid’, elle écarte les jambes et affiche un cul dément ! L’ouverture de son ensemble résille laisse voir sa belle moule humide qu’elle fait bouger par de petites contactions. Elle est prête ! Je ne peux m’empêcher de passer ma langue entre ses fesses, de sa chatte à son petit trou plusieurs fois. Puis dans un râle ordonne à Isid’ les dents serrées :
– Empales moi, défonces moi !
Tout de suite sans se faire prier, il l’enfourne jusqu’à la garde, elle se tord dans un hurlement de bête, relève la tête :
– Ahrrrgg !! Vas-y lime salaud, éclate moi la chatte ! Arrrrgghhh ! T’es une vraie bête toi ! Claques moi le cul, fais-moi souffrir !
Le sexe énorme d’Isid’ est déjà tout luisant de cyprine, tellement elle était excitée de se faire prendre comme une chienne. La chatte de Céline est totalement remplie, elle balance son cul en arrière au même rythme que les coups de reins de l’étalon black, comme pour en accentuer l’effet.
Avec ses grandes battoires de mains, il lui assène des claques sur le cul, qui très vite devient rouge, tout en lui donnant de grands coups de bite de plus en plus forts qui la font hurler. Moi j’ai sorti ma queue, toute raide, le gland tout rouge d’être resté emprisonné avec celle folle du cul sous les yeux. Je m’astique doucement, c’est bon. Soudain elle tourne la tête vers moi et crie :
– Va chercher ses copains, je veux sucer leur bites, plein de bites ça m’excite !
Je descends à moitié l’escalier, et demande aux gars du bas de monter. Arrivés à mon niveau, je leur explique qu’il faut baisser leur bénard pour régaler la salope qui hurle de plaisir. Un joli sourire se dessine sur leur face et bien sûr arrivés en haut ils ont déjà la bite à l’air et en l’air.
– Regardez-moi cette chienne ! ça fais un quart d’heure que la démonte et elle en veut encore ! On va se vider les couilles les mecs !
Les deux nouveaux arrivants sont presque aussi bien équipés qu’Isid’. Le premier s’approche et lui claque la figure avec sa belle queue. Elle est aux anges, râle de plus en plus fort entre ce pieu énorme qui lui dilate la chatte et celui-ci qui la cogne dans la figure. C’est la grosse baise dont elle rêvait depuis longtemps. De plus ils ont des tronches de méchants, se servent d’elle comme vide couilles. Tout ce qu’elle aime. Isid’ se retire, puis ils la soulèvent à deux, cuisses ouvertes à fond et le troisième l’enfile. C’est un nerveux, il la lime comme un fou, à chaque seconde il fait trois ou quatre aller-retour, les coups de butoir font, « flac, flac », tellement elle mouille la cochonne. Sa chatte est inondée de plaisir, elle s’abandonne à eux dans son délire sexuel, elle n’est plus là et ce n’est pas fini. Chacun d’eux compte bien la limer et se vider. Une chiennasse pareille ça ne court pas les rues, ils en ont une sous la bite, ils vont lui faire sa fête comme il faut !
Ils la repose sur ses jambes, la couche sur l’estrade et le troisième se met en place. Il a une bite moins longue mais plus grosse, le gland comme une ampoule.
– Viens toi, mets moi là ! Grommelle t’elle comme un ordre dans son excitation.
Il l’emmanche d’un coup, elle lâche son cri de chienne en rut puis att**** la queue d’Isid’ dans sa main qui a du mal à en faire le tour. Elle secoue le membre, le regarde avec ses yeux de salope et lui dit :
– Craches, vas-y, craches ton jus dans ma gueule !
A peine 10 secondes, Isid’ lui envoie un flot de sperme énorme. Au moins quatre ou cinq gros jets de sperme épais giclent à travers sa petite gueule de pute. Elle ouvre toute grande sa bouche et lui gobe le gland, suce les quelques gouttes restantes tout en gémissant sous les coups de butoir de celui qui s’acharne toujours autant. Elle se redresse, se tient avec ses coudes, le regarde et lui dit :
– Je vais te faire juter dans ma chatte toi !
Je la vois contracter son vagin, elle lui fait le coup du chaudron magique et dans les 15 secondes il largue tout dans sa boite à bonheur ! Personne ne peut résister à ça ! Entre son regard de chienne en rut et les contractions de son vagin sur la queue, impossible de ne pas envoyer dans les secondes qui suivent. Trop bonne cette salope !
La voilà debout, s’essuie comme elle peut le trop plein de sperme puis se retourne penchée sur l’estrade. Son fessier magnifique est bien rehaussé par ses talons, ses jambes bien écartées, faites au moule s’évasent vers son cul qui en redemande.
– Humm, ça m’excite de présenter mon cul comme ça à plusieurs bites bien raides !
– Ah t’en veux encore ma salope ! Lui dit Isid’, t’aimes ça les queues de rebeu. On va-t’en donner t’inquiète !
Elle trémousse son arrière train, Isid’ s’approche, lui écarte le fessier et lui pose le pieu devant son petit trou. Il crache dans sa main, se mouille le gland et commence à l’enfiler. Il pénètre doucement, elle se redresse en lâchant toujours ses gémissements :
– Ahhhh ! Gros salaud, tu vas m’éclater l’anus avec ta bite d’âne ! Vas-y j’aime.
Il efface la quasi-totalité de sa bite dans son anus et lui prend les cheveux à pleine main en lui tirant la tête en arrière.
– Et là grosse pute, t’es bien remplie ? Tu sens mes couilles qui claquent ta chatte ?
– Arrrr…Ouiii…, continue déchire moi…, Ohhrrrhhhh… !
Elle en bave de désir ! Voir ce membre énorme planté dans son petit cul rebondi tout écartelé, est une montée d’excitation générale. Son anus moule la queue bien raide. On a tous la bite à la main, Isid’ qui lui tient toujours les cheveux tout en la ramonant, lui dit :
– Suces la bite de mon pote chiennasse !
Puis, Isid’ la relève et passe ses mains sous ses cuisses. Elle se retrouve embrochée sur la bite de l’étalon black, les jambes en l’air et la chatte ouverte vers nous. Aussitôt, Kader qui a déjà retrouvé sa forme, lui enfile la chatte ! Ça rentre tout seul tellement elle est lubrifiée par l’excitation. La voici maintenant avec deux énormes queues plantées dans le bas du ventre. Elle halète, de plus en plus fort, c’est l’orgasme de sa vie, physique et cérébral, elle est partie sur la planète du plaisir, les deux bêtes qui l’ont attrapée ne sont pas prêts de lâcher le morceau, ils lui lime le vagin et l’anus tout à tour, en rythme, elle coule de la chatte, les bites sont huilées de par ses secrétions abondantes, jamais elle ne s’est sentie prise comme ça sans pouvoir bouger, ne pouvant qu’attendre que le manège s’arrête ! Moi je n’en peux plus, j’aurais aimé qu’elle me fasse gicler dans sa chatte, mais je ne peux plus retenir l’éjaculation. Je sens monter la pression du fond de mes couilles et les jets arrivent, le plaisir est énorme et intense en la voyant totalement en transe. Le troisième larron s’y met aussi et balance tout dans le vide.
Ca fait bien 5 minutes maintenant qu’elle est remplie par les deux pieux. Elle n’en peut plus. Elle est essoufflée, prends sa tête dans ses mains, se pince les seins, elle ne sait plus ce qu’elle est, ce qu’elle fait, ou elle est ! Kader se retire, Isid’ la repose par terre, elle est sur ses jambes qui peinent à la soutenir, elle titube un peu. Isid’ la fait mettre à genoux, prend son gros chibre en main et se masse le gland, il lui ratt**** les cheveux avec sa grosse main, lui pose ses couilles de taureau sur le nez et se branle comme çà. Elle lui lèche les bourses essaye d’en gober une de temps en temps, puis Isid’ poussant un cri bestial lui envoie une nouvelle dose dans sa belle petite gueule de salope. A peine à t’il terminé que l’autre étalon arrive et lui assène la même pénitence. Elle est là au milieu de nous quatre, à genoux soumise et heureuse, souillée du foutre de ces bêtes de sexe. Elle a encore la force d’att****r les bites et de les laver du foutre encore pendant avec un bon coup de langue.
– Vous êtes des bêtes sexuelles comme j’aime ! En plus baiser comme ça sur un chantier, ça sent la transpiration, la bite mal lavée, j’ai dû foutre partout, tout ça m’excite ! C’est trop bon !
– Pas de problème ma belle, tu reviens quand tu veux, lui répond Isid’. Nous on aime bien les petites salopes comme toi.
– Et toi, dit-elle au troisième qui s’astiquait encore, tu veux que je t’aide ? Viens voir là, penche-toi en avant.
Elle le fait mettre debout les jambes écartées face au mur. Elle lui écarte les fesses, lui fourre sa langue dans l’anus et se met à le branler avec ardeur.
– Humm, t’as un beau petit cul ! J’adore les mecs avec des petits culs et des grosses queues !
A peine deux minutes comme ça, il crépissait le mur de son foutre épais en serrant les fesses et en hurlant de plaisir. Elle est contente, elle n’as pas son pareil pour vider les couilles d’un homme.
Elle devrait ouvrir une école de baise, elle ferait fortune.
En tout cas, Céline se rappellera de sa première réunion de chantier ! Je la soupçonne même de passer de temps en temps, dès que sa chatte la chatouille !
Nous repartons, nous arrivons chez elle et me dit :
– Tu viens boire un coup et prendre une douche ?
– Ok on y va.
Arrivés sous la douche, elle n’a pas pu s’empêcher de me saisir la queue et de se l’enfiler. Elle me tournait le dos, s’appuyait sur le mur de la douche et faisait un va et vient en remontant son cul fabuleux tout en m’aspirant la bite dont elle seule possède le secret.
– Je sens que tu vas juter, je le sais ! Vas-y vides toi dans ma chatte!
Avec cette façon de présenter les choses, ses mots crus bien ciblés, son excitation à faire jouir un homme, aucune retenue possible, je suis obligé d’exploser dans son vagin magique.
Après Céline, beaucoup de femmes vont me paraître fades ! Je n’ai pas fini de m’astiquer je crois !!
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