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Derriere le lac 4 (suite et fin)

Derriere le lac 4 (suite et fin)



Je le regarde pour mieux le redécouvrir car notre première rencontre dans l’obscurité des taillis de m’a permis que de deviner sa carrure et de connaître son anatomie privée. Il est de grande taille je dirais dans les 1m85, carré, un visage tout ce qu’il y a de normal mais avec un regard perçant qui lui donne un charme particulier et une certaine assurance. Il est habillé très classiquement d’une tenue décontractée mais correcte.

Je finis par répondre à sa proposition par un petit « oui, je vous suis ». Nous nous mettons en route et prenons la direction du centre de la ville. Après quelques minutes son véhicule s’arrête sur le parking d’une résidence d’un quartier calme. Nous descendons et je le suis pour rejoindre un appartement au premier étage. Si des résidents nous ont vus arriver, ils ont pu constater que leur voisin avait une rencontre féminine avec lui.
L’appartement était soigné, bien rangé, propre, ce qui avait pour avantage de diminuer une peu les craintes que j’aurai pu avoir à me trouver pour la première fois chez un homme que j’avais rencontré dans des conditions assez particulières.

Il m’invita à m’asseoir dans un grand canapé au salon et me proposa un verre. J’avais besoin d’un petit remontant car je me sentais plutôt tendu. Un whisky devrait faire mon affaire et en dégustant nos verres nous avons échangé des banalités et la tension qui était la mienne commençait à fondre doucement.
Assis à mes côtés sur le canapé, sa main vint se poser délicatement sur ma jambe et son regard transperça le mien. Il me demanda si je me travestissais souvent et je lui racontais les raisons de ce déguisement qui bien que m’apportant quelque excitation m’était plutôt inhabituel.

Il m’engagea alors à me dévêtir devant lui pour retrouver ma vrai nature, et c’est un peu gêné mais plutôt consentant que je commençais à m’effeuiller. Telle une stripteaseuse j’ôtais un à un mes vêtements féminins. Ne voulant être en reste, il se mit à son tour à quitter ses vêtements et nous nous retrouvâmes très rapidement tous deux en sous-vêtements, boxer pour lui, string pour moi. Je pouvais à loisir admirer son corps musclé naturellement qu’une légère pilosité ombrait par endroit. La bosse qui déformait son boxer prouvait dans quel état d’excitation mon déshabillage avait pu le mettre.

D’une main assurée, me souriant, il me prit le bras pour m’entrainer vers une autre pièce qui s’avéra être sa chambre où un grand lit deux places nous attendait. Une fois dans la chambre, Il s’approcha de moi et se colla contre mon dos en m’enserrant de ses bras. Ses mains commencèrent à me caresser le torse en s’attardant sur mes tétons ce qui me fit frémir. Ses caresses devinrent plus précises en descendant sur mes anches car deux de ses doigts accrochèrent délicatement mon string qu’il me descendit et qui tomba à mes pieds. L’objet de sa convoitise était maintenant à nu, et il me caressa plus fermement les fesses dont la fermeté avait l’air de lui plaire. Il se recula un peu pour m’admirer de dos et me félicita pour la délicatesse de mon postérieur.

Je sentais son regard de braise sur le bas de mon dos et mes fesses qui étaient parfois secoués d’imperceptibles frissons dus à cette troublante situation. Je le sentis à nouveau se coller à mon dos, et je compris très rapidement qu’il avait quitté son boxer car sa verge pointait contre le haut de mes fesses. Je la sentais fièrement dressée et plaquée entre son ventre et mes reins. Je laissais faire conscient d’une suite qui me paraissait inéluctable et à laquelle je ne semblais pas m’opposer.

Tout en continuant à tendrement me caresser le devant du corps en s’attardant parfois sur ma verge et mes testicules, je sentis son corps se faire plus présent en me bloquant contre le lit. Ses mains rejoignirent mes épaules et d’une pression significative m’obligèrent à poser ma poitrine sur le lit, le fessier ben au bord. Mon manque de résistance était significatif de mon abandon. La raison et la prudence m’avaient abandonné au profit de l’inconnu.
J’étai là, à moitié allongé sur le lit d’un homme rencontré la veille, les fesses offertes à sa vue et vouées à son futur plaisir. Je n’avais pas de craintes pour la suite, seule peut-être une légère inquiétude compte-tenu de la taille de ce que j’avais pu avoir longuement en bouche la veille.

Mon attente dans cette position fut assez brève car je le sentis se reculer légèrement et se mettre à genoux pour poser ses lèvres sur mes fesses. En s’aidant de ses mains, il en écarta les lobes et commença à me prodiguer la caresse que j’avais découvert le soir précèdent grâce son ami.

Fermement sa langue joua avec la sensibilité de mon orifice m’arrachant quelques petits gémissements de plaisir, elle en humidifiait abondamment le centre tout en cherchant à le détendre et à l’assouplir.

C’est après quelques minutes de cette délicieuse caresse qu’il se redressa derrière moi et que je sentis alors quelque chose de plus volumineux s’appuyer contre ma rondelle. Il présentait son gros gland contre mon petit trou et sous sa ferme pression je sentais que mon anneau commençait à s’ouvrir doucement. Mais c’est alors que la douleur de la pénétration commença à se faire sentir, mon anus n’avait pas connu de calibre de cette taille lors de mes amusements et le gland avait du mal à franchir l’entrée sans me faire souffrir et ce malgré les mots apaisants de son propriétaire. J’étais puceau et pour ma première, le calibre choisit n’était pas commun.

Conscient de la douleur que cette première pénétration pouvait m’infliger, et de peur de ne pouvoir profiter pleinement d’un pucelage, il se retira et alla chercher un flacon dans le tiroir de la commode à la tête de lit. A plusieurs reprises et avec délicatesse il fit pénétrer dans mon orifice le liquide lubrifiant en l’appliquant avec l’un de ses doigts, sa verge fut à son tour enduite, et il représenta le gland contre mon orifice.

Le derrière bien relevé, les fesses ouvertes, je sentis le gland appuyer fermement sur mon petit trou dont la résistance était en train d’abdiquer. La pression permanente de la verge eut raison de mes sphincters et c’est accompagné d’un profond grognement et de grimaces de ma part qu’elle fit lentement, mais surement, son chemin dans mes entrailles. Il arrêta sa progression quand ses testicules furent contre mes fesses me laissant alors le temps de reprendre mon souffle et d’attendre un peu que la douleur s’atténue. J’avais l’impression d’avoir dans le ventre une barre de fer brûlante qui occupait mon boyau. La sensation n’était pas des plus agréables pour le moment, je ne savais pas si je voulais qu’il continue ou qu’il se retire tant la sensation était limite douloureuse.

Il me parla doucement pour s’enquérir de la situation, me rassurant sur une douleur qui devrait rapidement s’atténuer pour faire bientôt place à des sensations qui devraient me faire gémir de plaisir.

Quand il jugea que mon corps s’était suffisamment détendu suite à l’incursion de son pénis dans mon fragile conduit, il entama un léger va et vient. La douleur fit place à une sensation de brûlure très supportable. Les mouvements de la verge s’accentuèrent et la sensation devint de plus en plus acceptable voire même agréable, puisqu’un léger gémissement de ma part accompagnait chaque mouvement de la bite dans mon cul.

Conscient de la montée de mon plaisir, il accentua son va et vient me faisant profiter pleinement de toute la longueur de son sexe, en me couvrant le dos de baisers. Il me demandait si cela me plaisait, me disait qu’il avait pris la virginité de sa petite femelle. Ses mots m’excitaient et m’aidaient à m’abandonner complètement à cette bite qui vivait en moi.
J’étais heureux, le fondement occupé par ce sexe qui me faisait connaître des sensations inconnues mais extraordinaires. Je sentais le plaisir monter en moi sans même me toucher, je ne pouvais me maîtriser, accompagnée d’une succession de contractions de mon anus, ma verge se libéra en jets puissants sur le couvre lit, comment cela pouvait être possible une telle jouissance.

Mon partenaire, la verge bien enserrée dans mon conduit, commençait lui aussi à montrer des signes annonciateurs d’une prochaine jouissance. Dans un mouvement plus ample que les autres, je le sentis se bloquer bien au fond de moi et ses convulsions successives le firent se libérer de sa semence au plus profond de mon derrière.
Après ce bel orgasme, sa verge perdit rapidement de sa splendeur et abandonna son fourreau d’où un liquide blanchâtre commençait à ressortir.

Ce dépucelage fut pour moi une aventure dont je garde à tout jamais un souvenir privilégié et que je considère comme le plus beau de ma vie sexuelle.

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