Inutile de dire que la nuit fut longue, allongé contre le sol. Et ma condition de prostitué personnel de mon employeur commence a me pesé.
Il est temps que l’élève dépasse le maitre. Il est trop confiant avec moi et je vois des failles ce crée dans ce colosse. Mon mari a force de promotion est devenu le numéro deux dans son département, ce qui signifie que pour moi si il tombe je passerais de la gueuse a remplir de foutre a la nouvelle reine. Mais hors de question que je le fasse plongé pour une vulgaire affaire de harcèlement au travail. Il doit payer avec ce qu’il a de plus chère et pour lui c’est son pouvoir et son argent.
Le lendemain rendez-vous d’affaire avec un client. Je doit porté une tenu très décolleté assez pour que a chaque fois que je me penche le client puisse admiré ma poitrine.
Le rendez-vous commence, il parle de gros chiffre, je prend mon rôle de secrétaire très au sérieux, je vois en cela un moyen de le faire tombé.
Après plusieurs minute, de discutions tendu avec son client mon patron me demande d’allé chercher des cafés.
Je reviens avec deux cafés, il se tourne vers moi et me dit
– Nous venons d’arrivé a un accord, notre chère client et d’accord de signé le contrat si vous vous montrez docile avec lui, ce soir.
– Bien sur monsieur.
Me voilà donc partie avec le client pour ça chambre d’hôtel. Il se tourne vers moi.
– Il parait que vous n’avez pas froid aux yeux montré moi ça.
–
Je commence alors un strip tease présentant mes seins, mes hanches à lui. Je m’approche pour commencé une fellation je n’ai pas trop d’entrain après ma nuit difficile. Il a un regard assez doux. Me voyant sans passion il me fait me relevée.
– Désolé, monsieur c’est le décalage horaire.
– Je comprends allongé vous sur le dos, je reste un gentleman je ne peux vous laissé dans cette état.
Je m’exécute, cela fait longtemps que l’on ne pas pris en missionnaire. Et je dois avouer que son regard me fait fondre. Il se présente face a moi et toujours de manière très douce viens en moi.
Il fait des allé retour doucement et accélère de plus en plus vite. C’est divin. J’avais oublié cette sensation de se faire faire l’amour. Il se montre expérimenté avec une femme et viens souvent m’embrassé dans le coup ce qui monte mon extase a son paroxysme. Je hurle de joie de me faire ainsi prendre.
Je me sens parfaitement remise de ma dur nuit. Je monte sur lui et fait des allé retour. Il prend mes seins dans sa bouche. Je pointe et mouille abondement. Je voudrais faire durer cela durant des heures.
Lui aussi prend beaucoup de plaisir à me voir jouir de son pénis.
Il fini par se terminé avec plusieurs soubresaut en moi. Je m’allonge sur lui on reste ainsi durant plusieurs minutes.
– Mon patron est honnête ?
Il rigole.
– Non, c’est un enfoiré, la moitié va dans sa poche, c’est un voleur, mais on ne peut pas le faire tombé.
– Tu es sure ? Tu as une preuve ?
– Ouais pleins et je ne dois pas être le seul qu’il arnaque. Si tu a accès a son ordi perso tu prend sa comptabilité et il est mort.
Ca je peux largement le faire, maintenant plus cas détourné son attention.
En partant le client donne les contra et une enveloppe remplie de billet. Sur le retour je prends un disque dure assez grand pour copié tout son ordinateur.
Il m’attend en peignoir je lui donnes les contrats.
Il va aux toilette j’att**** sont ordinateur et commence a copié l’intégralité de son ordinateur, une heure vingt. Il va falloir que je l’occupe tout se temps.
Je me d’déshabille et me met a genou face a la porte des toilette, il ne faut pas qu’il regarde vers son ordinateur.
Il sort, je me précipite sur son pénis comme assoiffé de sperme. Il faut que ce soit long et intense.
Je le suce en m’étouffant, le prenant le plus loin possible dans ma gorge. Il prend ma tête et la colle contre son ventre.
– Tu en a pas eu encore assez, ma jolie.
Je reprend mon souffle et reviens à la charge, seulement dix minutes de passé. Ca va être rude pour mon corps.
Je me mets a quatre patte, il vient me doigté sans ménagement et son autre main viens s’abattre sur mes fesse. Dix minutes de gagné encore une heure.
Il att**** sa ceinture et l’abat sur mes fesses. La douleur est lancinante. Habitué du fouet je me rends compte que mon mari est très doux par rapport aux coups de mon supérieur. Il me relève pour venir s’occupé des mes seins. La douleur est affreuse mais je ne dois pas craquer c’est surement ma seul chance de gagné ma liberté.
Je reprends ma fellation pour épargner ma poitrine d’autres coups.
Il a l’air impressionné de mon endurance Mais le temps défile lentement en tout cas moins vite que ma volonté.
Je suis rouge de ses multiples coups, il me retourne et commence à me prendre dans le vagin avec vigueur. Il me traite de tous les noms. Je sens les larmes me monté aux yeux de ma faire ainsi humilier. Il glisse dans mon anus et viens me sodomisé violement. Les larmes coules et mon cerveau est éteins cela dure depuis une éternité.
Il éjacule dans mon anus. Je viens nettoyer son pénis. Je me sens soulagé de voir la fin de mon supplice.
Il sort pour prendre sa douche avec un air satisfait.
Miracle l’intégralité de l’ordinateur est sauvegardée. Il est fini. Cela me remet de mes émotions je cache le disque dur. Le voyage se termine enfin. Retour en France.
Bien sur sans quelque abus de pouvoir de mon patron. Mais ma vengeance est en route ce qui me permet de supporté ses assauts répété.
De retour a la maison, j’avoue tout a mon mari, lui montres les vidéo. Il est sous le choque. De voir ça. Mais se montre très reconnaissant. Je lui présente mon plan.
Après plusieurs recherches on constitue un dossier. On fini la soirée par un long cunie pour fêté sa futur promotion.
Le lendemain direction le bureau, j’ai pris quelque accessoire en plus de ma clé usb.
Mon patron n’est pas encore là. Je branche sur son ordinateur et met bien en évidence toutes les dossiers exels qui montre son détournement d’argent.
Il arrive avec ça démarche de coq, je le suis pour voir sa tête quand il s’assoie derrière son bureau.
Il devient de plus en plus pale au fur à mesure qu’il lit les fiches.
Je brandie la clé usb devant lui.
– Tu es foutu mon gros. C’est la fin pour toi mais je vais te faire payer ce que tu ma fais subir. Tu vas te mettre a quatre pate nu au milieu du bureau.
Il bredouille, c’est la première fois que je le vois perdre se moyens. Je sens une vague de sadisme me noué le ventre quand il s’exécute. Je sort alors une cravache et commence a le fouetté sans retenu. J’en pleur presque de joie. Je le bâillonne pour ne pas avoir a supporté ses cris.
Mon mari rentre aussi dans le bureau prend la cravache et lui donne de violent coup.
Il est rouge de tout nos coup et nous assez vengé.
Il a été renvoyé en trois jours, mon mari a pris ça place grâce aux excellents rapports écrit par mon patron sur lui.
Et moi maintenant je prends toujours beaucoup de plaisir a accompagné mon nouveau patron aux quartes coins de la terre.
FIN
Ajouter un commentaire