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CAROLINE CHERIE

CAROLINE CHERIE



CAROLINE CHERIE
Lorsque j’ai donné naissance à un bébé noir, cela a causé des remous parmi nos proches.
Nous avions convenu de raconter que, suite à une beuverie lors d’une fête, on avait profité de mon inconscience.
Et que, lorsque je m’étais aperçue de ma grossesse, il était trop tard pour avorter. Mon mari s’est fait railler par ses collègues, nous avons perdu quelques relations qui me jugeaient mal, mais la plupart sont restés amicaux. Des copines m’ont posé des questions sur le sexe avec le père, la taille de son membre et si c’était agréable. J’ai été interrogée par des filles qui, je ne me serais jamais doutée, étaient intéressées par le sexe interracial ou extra-conjugal.
Je n’ai jamais raconté la vérité, à personne, car ils m’auraient traitée de salope, ce que je suis.
Le bébé avait déjà 6 mois, lorsque mon mari a réservé un séjour en Caroline. Je n’étais pas enthousiaste pour retourner là-bas, j’avais dit à mon mari que nous devrions sortir de ce scénario et revenir à une vie normale. Il m’a dit en riant que tout était arrangé et qu’il avait prévenu Davy de notre arrivée. A l’aéroport, Davy nous attendait et nous a emmenés à l’hôtel. Mon mari a prévenu Davy d’être correct devant nos enfants car ils ne devaient rien savoir de ce que nous avions fait. L’hôtel était bien et nous étions installés dans 3 chambres communicantes. Mon mari m’a dit que l’hôtel et le club appartenaient à Ali et que le logement était gratuit. Mes enfants blancs avaient leur propre chambre et mon bébé noir avait la chambre contigüe à la nôtre. J’ai trouvé que c’était génial.
Ils avaient des télévisions, vidéo et consoles de jeux dans leur chambre avec un réfrigérateur rempli de boissons gazeuses et de collations. Notre chambre était immense avec un grand lit KingSize. Davy et Phil sont passés dans la soirée pour vérifier que nous étions bien installés. Dès qu’ils sont entrés dans la pièce, ma chatte s’est humidifiée et je suis devenue salace en imaginant ces deux étalons me prenant sur le grand lit. Ils se sont assis pour discuter avec nos enfants et leur demander leurs intérêts, des choses à faire dans la région, etc …
En soirée, nous étions tous assez fatigués par le voyage, j’ai envoyé mes enfants au lit et j’ai couché le bébé.
20 minutes plus tard, Davy, Phil, mon mari et moi étions tous nus sur le lit. Mon mari me filmait avec une bite noire enfoncée dans la chatte et une autre dans la bouche. J’ai été longuement baisée dans tous mes orifices et je me suis endormie avec du sperme suintant de ma chatte distendue. Le lendemain, Davy est passé après le petit déjeuner pour nous dire que sa famille se rendait dans un parc d’attractions pour la journée et que nos deux grands enfants pouvaient les accompagner.
J’étais un peu réticente mais il m’a chuchoté qu’ils ne savaient rien de ma participation au club. Le parc était à une certaine distance, donc ils passeraient deux jours là-bas avec une nuit au motel. Nous sommes allés déjeuner au club avec Jim, Phil, Davy, John, Ali et le bébé. Pendant le repas, Ali a raconté aux étalons noirs du club qui étaient présents à mon insémination que c’était l’enfant de l’un d’eux. Ils sont venus bavarder et voir le bébé en début d’après-midi. Ils avaient prévu une baby-sitter pour s’occuper du bébé cette nuit afin que je sois leur salope au club. Ce soir-là, je me suis vêtue d’une mini robe blanche très courte et très décolletée, et nous sommes retournés au club. Ali m’a chuchoté qu’il avait une surprise pour moi dans la soirée et je ne doutais pas de ce que cela pouvait entraîner. J’avais fait provision de pilules, juste au cas où j’aurais décidé de ne pas tomber enceinte.
Au cours de la soirée, Ali nous a présenté un couple de jeunes blancs. Pour une fois, je n’étais pas la seule blanche livrée à cette horde de sexes noirs. Cette femme blanche était là pour être inséminée, soumise à une séance de sexe en masse, comme moi un an plus tôt. La femme m’a posé plusieurs questions sur ce allait se passer, combien j’avais apprécié avant qu’elle ne soit conduite par les reproducteurs dans la chambre des ébats qui m’était familière.
Davy nous a conduit dans une pièce équipée d’écrans afin que nous puissions savourer le spectacle.
Le mari reçu ses instructions, puis il disposa sa jolie femme blanche sur la table d’opération. Il sécurisa ses bras et ses jambes dans les étriers prévus à cet effet, puis lui donna un langoureux baiser avant que les reproducteurs noirs ne pénètrent dans la pièce. En file indienne, l’un après l’autre, les étalons noirs ont planté leur bite dans la chatte consentante, baisant la femme blanche sans s’occuper de ses cris ni de ses supplications, éjaculant de lourdes charges de sperme au fond de son ventre. À un moment, une sorte de mi-temps, son mari a été amené entre ses cuisses ouvertes et il a léché le sperme qui coulait de sa chatte béante, la laissant propre pour le prochain groupe. Je pense qu’elle a été baisée par une trentaine d’hommes en moins de trois heures.
Pendant ce spectacle, Jim, Phil, Davy et John sont entrés dans la pièce et m’ont baisée en levrette pendant que je regardais. Mon mari a été obligé de lécher ma chatte et quand l’une des filles noires a apporté des boissons, elle s’est agenouillée pour sucer mon mari. C’était la première fois que je voyais mon mari avec une autre femme et je trouvais ça excitant. Après, je suis allée libérer la femme blanche de ses entraves, l’aider à nettoyer le sperme qui coulait sur ses cuisses et me souvenir de quand c’était moi. Je regardais sa chatte béante dégouliner du sperme d’une trentaine d’étalons noirs. Elle a enfilé sa robe sur son corps gluant. Nous sommes retournées au bar vider quelques verres. Elle se sentait merveilleusement bien et était convaincue d’être enceinte. Elle frissonnait de bonheur à l’idée d’avoir enfin un bébé noir dans son ventre.
Peu après, nous avons retrouvé Jim, Phil, Davy, John, Ali et nos deux maris qui regardaient une vidéo de moi, lourdement enceinte, vissée par un gros chibre noir qui me distendait la chatte. Ses yeux s’agrandirent et elle me demanda si cela était aussi bon que ça en avait l’air. Son mari lui a demandé si elle voulait essayer et elle lui a répondu en riant que c’était trop tôt pour y penser. Ils ont tous ri et nous avons continué à boire et à parler. Ali m’a demandé si j’avais apprécié le spectacle ou si j’aurais préféré être l’actrice vedette. Mon mari et moi avons avoué que nous préférions que ce soit moi sur la table, plutôt qu’une étrangère. Ali nous a fait une proposition pour voir si nous étions intéressés.
Mon mari a accepté avant même que je réfléchisse et donc il a expliqué sa combine. Une prison-modèle à environ une heure de route au nord. Il connaissait le directeur qui lui avait fait cette proposition. Une cinquantaine de détenus, tous noirs, qui avaient besoin d’un soulagement sexuel. Il s’était assuré que les gardiens étaient dans la combine et qu’une femme blanche était autorisée à servir d’exutoire aux prisonniers. Une seule nuit. Il fallait arriver avant 20 heures et je ne sortirais pas avant le lendemain matin. Les gardiens assureraient ma sécurité mais je serais obligée de les éponger en premier. Mon mari n’était pas autorisé, mais comme tout était filmé, il pourrait voir l’action après. J’ai secoué la tête et dit non, je ne peux pas le faire. Mon mari a dit oui et a accepté toutes les conditions immédiatement.
Ali nous a suggéré d’y penser cette nuit et de lui donner la réponse le lendemain matin, comme ça il mettrait en place pour la nuit suivante.
Cette nuit-là, mon mari m’a fait l’amour en me suppliant d’accepter et, le lendemain matin, j’ai dit oui.
La nuit suivante, on m’a conduite dans une voiture fermée pour que je ne puisse pas reconnaître le chemin. Je suis allée à la prison pendant que mon mari restait à l’hôtel garder les enfants. On m’a emmenée dans la salle des gardes où se tenaient trois hommes noirs en uniforme. Sans aucun ménagement, ils m’ont saisie et couchée à plat ventre sur la table. L’un d’entre à soulevé ma robe pour ôter ma culotte pendant que les deux autres quittaient leurs pantalons. A tour de rôle, il m’ont pénétrée la chatte, la bouche ou le cul au gré de leurs envies. Après avoir utilisé chacun mes 3 orifices, les gardiens m’ont demandé si j’en avais assez et si je voulais aller avec les prisonniers maintenant. Je leur ai dit de me conduire et que j’étais prête.
Ils m’ont déshabillée et conduite nue à travers la prison. Des hommes nous regardaient passer depuis les fenêtres des bâtiments de style caserne. J’ai été conduite dans une grande pièce qui avait un couple de matelas jetés au sol.
On m’a allongée sans ménagement sur les paillasses. J’ai vu des gars équipés de caméscope qui filmaient. On m’a demandé si je voulais vraiment être baisée par la population carcérale. J’ai dit oui, la porte s’est ouverte et un flot de mecs noirs s’est précipité à l’intérieur. Ils ont commencé à jurer en ôtant leurs vêtements. Je me suis assise pour les regarder. Certains étaient équipés de bites énormes. Le premier mec qui m’a sauté dessus m’a couché à plat dos sur le matelas. Il a commencé à sucer mes mamelons tandis que ses mains rugueuses s’emparaient de ma chatte. Sans plus me chauffer, il glissa sa queue entre mes jambes et commença à me baiser à un rythme élevé. Il n’a pas duré longtemps avant que je sente son foutre inonder ma chatte. On m’avait prévenue avant que la plupart de ces gars n’avaient pas eu de femelle depuis quelques années alors je devrais être prête pour du sexe rapide et de grosses quantités de foutre. Les gars se succédaient à un rythme élevé avec quelques variantes, mais la plupart préféraient juter dans ma chatte. Certains ne pouvaient pas attendre leur tour et me prenaient à plusieurs, dans la chatte, dans le cul et dans la bouche, en même temps. Il y en a même un qui n’a pas eu le temps de me pénétrer et qui a balancé son sperme partout sur ma poitrine et sur mon ventre. Cela a continué jusqu’à ce que j’ai complètement perdu le compte de combien avaient été en moi.
J’étais couverte de foutre et ma chatte était béante. Je pouvais plonger la main dedans comme dans un sac à main.
J’ai été conduite dans une douche, une dizaine gars m’ont lavée avant d’être forcée à genoux dans la douche à les sucer en cercle. À minuit j’étais épuisée et j’avais l’impression d’avoir été baisée par un régiment. Les gardes ont interrompu leur manège et ils ont renvoyé les prisonniers dans leurs cellules. Ensuite j’ai été conduite dans un autre bâtiment ou il y avait des types plus dangereux. Ils ont ouvert une cellule et m’ont poussé dedans. Le mec m’a traîné dans son lit et m’a prise sur le dos immédiatement. Quand il a déchargé en moi, ils m’ont changée de cellule. Ce manège s’est répété pour chacune des cellules de ce bâtiment.
Les gardes m’ont ensuite conduite dans le bâtiment des prédateurs sexuels et tout a recommencé. Après, j’étais tellement fatiguée que je me suis endormie pendant qu’on me niquait. Je me suis réveillée au petit matin, prise en sandwich par deux mecs qui se partageaient mes orifices.
Les gardiens m’ont emmené vers sept heure du matin, vêtue d’une chemise de prisonnier qui descendait à mi-cuisses et m’ont sortie de la prison dans un camion de blanchisserie, planquée au milieu des sacs de linge. Après environ un kilomètre, le camion s’est arrêté et le conducteur et un autre gars sont montés à l’arrière pour me baiser à leur tour.
Arrivée au club, j’étais profondément endormie à l’arrière du camion. J’ai été traînée hors du camion et par l’entrée de service de l’hôtel jusque dans ma chambre. J’ai pris une douche brûlante pour laver le foutre des prisonniers de mon corps ravagé. Je suis allée chercher la «pilule du lendemain» dans mes bagages. Je ne parvenais pas la trouver et bientôt j’ai découvert que mon mari me l’avait subtilisée. Il m’a dit qu’il voulait que je sois enceinte à nouveau d’un bébé noir.
Je me suis disputée avec lui mais je n’ai pas réussi à le faire changer d’avis. Pour le reste de la journée, on m’a laissée tranquille car ma chatte avait besoin d’un repos bien mérité.
Mon mari a insisté pour que nous ayons encore une aventure crasseuse avant la fin des vacances. J’ai accepté et il a téléphoné à Ali. Ali a envoyé une limousine et une baby-sitter à l’hôtel ce soir-là. La voiture nous a emmenés dans la basse-ville, une impasse en forme de cour des miracles. Quand la voiture s’est arrêtée, nous sommes descendus pour attendre Ali. L’endroit était sombre et entouré de grands entrepôts. Au bout de quelques minutes, Ali nous a rejoint et nous conduisit à travers des bâtiments en ruine. Nous sommes entrés dans un bâtiment et aussitôt plusieurs ombres se sont jetées sur nous. J’ai entendu des grognements et des cris. Mon mari était maintenu par deux hommes noirs qui l’ont forcé à s’agenouiller. J’ai reçu le même traitement. Le noir en face de moi a sorti sa queue et l’a fourrée dans ma bouche. Du coin de l’œil, j’ai vu mon mari à genoux aussi avec une queue noire dans la bouche. On a arraché mes vêtements, des queues noires sorties du néant ont envahi mes orifices. Les queues se succédaient à un rythme infernal et, à un moment, j’ai vu mon mari nu, couvert de sperme, embroché dans le cul et suçant une grosse bite. Cette vision m’a remplie de joie et je me suis conduite en vraie salope avec tous les clochards qui voulaient me baiser. Puis Ali est réapparut avec une voiture pour nous ramener à l’hôtel.
J’ai vu que mon mari a été soumis par des clochards gays là-bas. Il a été forcé de s’agenouiller, de les sucer et de les prendre dans son cul. Il était moins enthousiaste sur ce sujet et m’a dit que les vacances étaient finies. Alors j’ai demandé à mon mari pour les «pilules». Il a réfléchi puis a refusé en disant «laissons faire le hasard»
Je suppose que je saurai bientôt.
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Publié par pompier37 il y a 1 an 3 006

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