HISTOIRE DU NET
Le soir vint et, après avoir pris une douche, nous passâmes à table. Le dîner fut éprouvant car, assise en face de moi, ma tante, par sa seule présence me rappelait constamment ce qu’elle m’avait subir quelques heures auparavant.
Après le dîner, Donna déclara qu’elle souhaitait aller marcher pour digérer le repas.
— Yan, profites-en pour faire visiter les environs à ta tante, me dit ma mère.
Pour ne pas susciter de soupçons, je hochai la tête avec enthousiasme bien que je suspectais ma tante de savoir à l’avance que ma mère me demanderait de l’accompagner.
Après être allé me changer dans ma chambre, je sortis en compagnie de ma tante.
Après avoir marché sur plusieurs centaines de mètres, Donna me dit :
— Il fait plutôt chaud ce soir. Il y a une forêt pas loin d’ici. Si on y allait faire notre promenade ?
— Si tu veux.
Ma tante et moi prîmes donc la direction de la forêt. Une fois entrés dans le bois, Donna m’entraîna vers un arbre reculé du sentier pédestre.
— Tu te souviens de ce que je t’ai dit à la plage, mon neveu ?
— Oui, Tata.
— Je t’ai dit que je te donnerais une récompense et je tiendrai ma promesse.
Sur ces mots, ma tante commença à ôter ses vêtements pour se retrouver complètement nue face à moi. Elle s’approcha ensuite pour m’enlacer et me donna un baiser langoureux sur les lèvres en caressant mon sexe déjà durci par la vue de son corps dénudé à travers mon pantalon puis elle rompit le baiser.
— Hum… Tu es tout dur, mon neveu ! Montre ça à Tata Donna.
Ce fut avec un mélange de honte et d’excitation que je retirai mes vêtements à mon tour.
— Whaou !!! Quelle queue tu as, mon neveu ! Je te fais une petite confidence : je préfère les bites des petits jeunes parce qu’elles sont plus dures et plus grosses que celles des hommes de mon âge.
Je ne répondis pas à la remarque de ma tante bien que je brûlais d’envie de lui rétorquer « Pourtant, celle de mon père te plaît. » mais il me fallait éviter d’éveiller ses soupçons quant à la découverte de son secret.
Sans plus de cérémonie, Donna s’agenouilla devant moi en se saisissant de la base de ma verge et commença à faire coulisser ses lèvres sur toute sa longueur. Pas étonnant que mon père aime lui ait fait l’amour : ma tante s’avérait être une experte dans l’art de la fellation.
Après avoir recraché mon sexe, ma tante le lécha de la base jusqu’au gland avant de se redresser et de poser ses mains contre un arbre, me laissant une vue magnifique sur son fessier.
— Viens me prendre, mon neveu ! Fais-moi voir ce dont ta queue est capable !
Je m’approchai de ma tante et insérai ma verge dans son antre humidifiée par l’excitation. Dès que je me fus enfoncé au maximum dans le sexe de Donna, je fis de puissants va-et-vient, voulant en finir au plus vite.
— Oui, mon neveu, OUI !!! C’est bien ! Baise-moi bien la chatte !
J’accélérai mon mouvement, provoquant des spasmes de plaisir chez ma tante. Je posai mes mains sur ses seins et les malaxai avec frénésie.
Je forçais l’intimité de Donna tant et si bien qu’au bout de dix minutes qui me parurent être dix heures, je criai à ma tante que j’allais jouir.
— Jouis sur mon cul !
Je me retirai du fessier de ma tante et éjaculai sur son postérieur. Apaisés, Donna et moi nous revêtîmes et prîmes le chemin du retour vers la maison.
— Tu es plutôt endurant, mon neveu. La prochaine fois, je te laisserai prendre mon cul.
— Si tu recommences avec mon père, il n’y aura pas de prochaine fois, Tata, pensai-je.
Arrivés à la maison, ma tante s’empressa de prendre tandis que, de mon côté, j’allai dans la chambre de ma cousine. En me voyant aussi penaud, Lily me demanda ce qu’il y avait. Je lui racontai tout dans les moindres détails en commençant par l’épisode de la plage jusqu’à celui de la forêt. Ma cousine me prit dans ses bras pour me consoler.
— Ne t’en fais pas, cousin. Ce soir, ma mère sera out.
Je remerciai Lily de m’avoir écouté et allai préparer le matériel pour prendre mon père et ma tante sur le fait.
Une fois les outils de vengeance préparés, j’attendis que la nuit soit suffisamment avancée pour que mon père et ma tante croient la maisonnée endormie.
Vers 2h du matin, j’entendis des pas qui se dirigeaient vers la cuisine et des murmures excités en bruit de fond. Le moment était venu pour moi d’agir et de rétablir la vérité.
J’entrai dans la chambre de ma cousine pour la prévenir du fait qui allait se dérouler. Lily se leva d’un bond de son lit et nous marchâmes à pas de loup vers la cuisine.
Dès que nous eûmes entrouvert la porte de la pièce, mon père et Donna étaient déjà passés aux « choses sérieuses ». Comment prendre son temps lorsqu’on veut à tout prix éviter d’ébruiter une aventure extra-conjugale qui se déroule sous le toit du domicile conjugal alors que les cocus y sont présents ?
Pile au moment où mon père commençait à prendre ma tante en levrette, je mis mon téléphone en mode photo en prenant bien soin d’enlever le flash et pris un cliché plus qu’explicite de la scène. Je vérifiai la photo afin de m’assurer qu’elle ne soit pas floue et qu’on y distingue bien les deux protagonistes.
Une fois ces vérifications faites, Lily et moi retournâmes nous coucher en attendant le moment opportun pour dévoiler au grand jour la trahison de mon père et de ma tante.
Épilogue : Lily et moi réussîmes à révéler à ma mère et à mon oncle les activités de mon père et de ma tante. Profondément blessée par l’attitude de sa soeur et celle de son époux, ma mère finit par mourir d’une overdose d’anti-dépresseurs. À sa mort, ma soeur et moi touchâmes la totalité de l’héritage et ma tante divorça immédiatement de mon oncle. Elle lui proposa néanmoins de rester sa femme à condition qu’il se soumette à elle et à mon père mais, par fierté, mon oncle refusa et leur divorce fut prononcé. Prévenue de ce qu’il s’était passé, ma soeur décida de demeurer aux États-Unis. Quand à Lily et moi, nous mîmes le cap direction la Suisse, voulant fuir notre ville et nos mauvais souvenirs. Traumatisé par ce que j’avais vécu, il me fallut de longues années de thérapie et de soutien de la part de ma merveilleuse cousine pour pouvoir à nouveau faire confiance à une femme. Contrairement à ce que certains pensent, l’i****te ne fait pas du bien. Bien au contraire.
FIN
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