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nostalgique de ne pas être une fille …

nostalgique de ne pas être une fille …



Depuis quelque temps, il m’arrivait souvent de regarder les filles en short ou en jupette
(nous étions en été!) marcher sur le trottoir en se dandinant des fesses et je regrettais
avec nostalgie de ne pas être une fille; Puis un jour, dans une revue spécialisée,
je tombai sur l’annonce suivante: « je cherche jeune minet à transformer en minette ».
Très attiré, je répondis à cette annonce. Quelque temps après, je reçus une réponse
me fixant rendez-vous dans un endroit isolé pour une première rencontre.
Je devais être en short.
Je m’y rendis et me trouvai face à un homme d’une quarantaine d’années, grand et musclé qui,
après s’être assuré que j’avais bien compris les termes de l’annonce, me fit ôter short, slip
et chemisette, jambes écartées, mains sur la tête pour examiner mon corps totalement nu.
Je lui obéis avec une certaine hésitation. Il examina ma bouche, soupesa mes couilles et
ma queue bandée, introduisit un doigt dans mon anus, puis il me dit:
– Je crois que nous pourrons faire affaire. Es-tu prêt à m’obéir? Si oui, appelles-moi Maître!
– Oui Maître!
– Désormais, interdiction de te branler.
– Oui, Maître!
– Je confisque ton slip: désormais, plus de sous-vêtements!
Je dus renfiler mon short et le coincer dans ma raie pendant qu’il prenait ma chemisette et
en arrachait tous les boutons puis me la faisait enfiler.
– Tu te présenteras à cette adresse demain soir, vêtu dans cette tenue. Bien entendu,
tu seras progressivement traité en femme puis féminisé, tes seins et tes tétons seront traités
pour te faire une vraie poitrine de femelle. Outre ceci, tu seras en permanence
mon vide-couilles et mon vide-vessie. Maintenant, pars et reviens demain soir avec fesses,
cuisses et sexe rasés.
Je rentrai chez moi jusqu’au lendemain soir et me rendis à l’adresse indiquée.
Selon les instructions reçues, je rentrai. Sur une tablette dans l’entrée je vis une paire
de menottes et un mot m’enjoignant de menotter mes mains dans le dos après m’être déshabillé.
Je me mis donc à poil et attachai mes poignets comme indiqué. L’homme entra alors et me dit:
– Mets-toi à genoux devant moi!
Quand ce fut fait, il baissa son pantalon et son slip, sortant une queue de bonne taille surmontant
deux boules bien pleines.
– Ouvre la bouche et ne bouges plus. Je ne veux pas que tu me suces, mais je vais baiser dans ta bouche.
Il introduisit sa queue au fond de ma gorge et commença son va et vient, maintenant ma tête avec ses mains.
Assez vite, je sentis un liquide gras et épais envahir ma bouche. Ma tête, maintenue, je ne pus que tout avaler.
– Demain, ce sera ton cul qui sera sailli. Je dis bien « sailli » car tu ne seras qu’un a****l femelle
dont j’userai à ma guise pour le baiser dans le trou que je choisirai!
Il me fit alors descendre dans sa cave où il m’attacha les couilles avec un lien qu’il relia à un anneau et
m’abandonna ainsi pour la nuit.
Je passai la nuit ainsi. Ne pouvant pas m’étendre, je ne pus évidemment pas dormir.
A chaque mouvement que je pouvais faire, mes couilles étaient tirées.
Le matin, le maître vint détacher mon sexe, me fit mettre à quatre pattes, prit position derrière moi.
Je sentis immédiatement sa queue prendre position à l’entrée de mon trou qui fut forcé avec peine
car j’étais étroit. Lors de la pénétration, je hurlai de douleur et fus immédiatement baillonné,
puis je fus pénétré de plus en plus profond. Selon la cadence, je sentais ses couilles heurter mes fesses et
son sperme se lâchant d’un seul coup dans mon cul.
Après m’avoir fait nettoyer sa queue avec ma langue, il me déclara:
– Tu as vu de quelle utilité tu peux être pour moi. Toute la journée, tu me serviras de vide-vessie.
Ce soir et les suivants, tu seras attaché de façon à ne pas dormir, car j’ai décidé de te priver de sommeil
pendant plusieurs jours pour bien te réduite à l’état de lope avant de te transformer en minette.
Quatre anneaux se trouvaient fixés au sol auxquels je fus attaché écartelé.
Un entonnoir fut fixé à ma bouche avec une bande collante. Je restai toute la journée ainsi,
recevant de temps en temps la visite du maître qui urinait lentement dans l’entonnoir,
me forçant à tout boire et m’ayant précisé que, si je ne me montrais pas docile,
il viderait aussi ses intestins dans ma bouche.
Quand il vint le soir, il attacha mes bras à un anneau du plafond, mes pieds touchant terre et
une autre longue nuit commença. A un moment je me suis assoupi un peu juste au moment
où le maître revenait. Avant que j’aie pu me réveiller, il ôta sa ceinture et m’asséna plusieurs coups
sur les fesses puis s’en alla, me précisant que, conformément à ses dires,
il m’utiliserait au matin de nouveau pour vider sa vessie .
Le matin, n’ayant toujours pas dormi, j’étais de plus en plus fatigué et incapable d’avoir une réaction;
je fus détaché de plafond et étendu de nouveau à terre, écartelé comme la veille.

– Ce soir, je reçois des amis pour dîner. Tu seras exposé sur la table, yeux bandés, et ficelé comme
une volaille prête à être consommée, ce qui sera le cas puisque tu seras rempli dans ta bouche et
dans ton cul par les convives qui t’arroseront aussi de leur jus. Ils s’amuseront également
à te fouetter et à te torturer: fessées, fouet, travail de tes couilles, etc….
Il prit un crayon gras indélébile et inscrivit sur ma poitrine: « trou à bite », avec une flèche dirigée
vers ma bouche. Puis, m’ayant retourné, la même opération fut répétée dans mon dos,
la flèche dirigée vers mon anus. Il marqua ses initiales sur chacune de mes fesses et m’abandonna
jusqu’au soir où il vint me rechercher, m’emmena dans la salle à manger, me fit monter sur la table,
fesses posées sur mes talons et buste replié en avant. Je fus ficelé dans cette position à la vue
des convives que commençaient à arriver et me voyant ainsi, demandèrent au maître de me mettre
aux enchères pour savoir lequel m’enculerait ou baiserait dans ma bouche le premier.
Après cette soirée ou je fus pris par tous les trous , mon Maître m’a épilé et tondu intégralement,
sourcils retracés au crayon et cils remplacés par de vrais cils de pute , lèvres et ongles garnis
d’un rouge agressif. Je fus hormonée afin d’avoir une poitrine de femelle bien formée.
Je devais vivre ainsi fesses à l’air sous une mini jupe , avec un corset mettant bien en valeur
ma nouvelle poitrine. Je portais une cage de chasteté en permanence , mon anus avait été élargi
au maximum à l’aide d’écarteurs et de plug de plus en plus gros.
La journée , durant l’absence de mon Maître , j’étais baillonée et enchaînée au fond d’une armoire.
Dès son retour , il me faisait faire son ménage , sa cuisine , me prenant recto ou verso
quand il le souhaitait. Une fois par semaine , j’avais droit à une traite , ensuite je devais bien évidement
boire mon jus.
Lorsqu’il avait de la visite professionnelle ou familiale , je me retrouvais à la cave , collier relié à un crochet
par une chaîne tendue de facons a avoir à peine pied avec mes escarpins , baillon boule , pluggées , mains attachées
dans le dos , jambes ficellées , face au mur et lumière éteinte durant tout le temps de ces visites .

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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