L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée il y a bien longtemps de cela.
Je vivais avec ma 1ère femme, Marine, une ravissante blonde de 25 ans à l’époque. Ce soir-là, je ne me souviens plus comment et pourquoi, nous nous trouvions chez Hector, un presque septuagénaire, ami de la famille de mon épouse. Il nous avait demandé de rester pour dîner avec lui, prétextant qu’il n’avait pas beaucoup l’occasion d’avoir de la compagnie. Il était sympa malgré ses regards indiscrets entre les jambes ou la croupe de mon épouse. Nous avons finalement accepté.
Les apéritifs puis le vin et enfin les digestifs aidant, la discussion a, comme souvent, dérivé vers le sexe. Ça m’amusait beaucoup de le voir dévorer des yeux ma jeune compagne car je me disais qu’un homme de cet âge ne pouvait pas être une grande menace, sexuellement parlant, même si je savais que mon épouse, pour sa part, était assez attirée par les hommes bien plus âgés qu’elle. La discussion est devenue de plus en plus hard.
C’est ainsi qu’il nous apprit qu’il avait toujours eu de gros besoins sexuels et que, depuis la mort de sa femme, il souffrait beaucoup de ne plus pouvoir satisfaire ses pulsions et les masturbations, quotidiennes auxquelles il se livrait, ne pourraient jamais remplacer le plaisir de pénétrer un sexe féminin, lécher une chatte, en sentir l’odeur et surtout, surtout la faire jouir car c’était ce qu’il aimait par-dessus tout dans le sexe.
Ma femme ne pouvait pas ignorer qu’elle l’excitait et bizarrement, ça avait l’air de l’exciter elle aussi. Je ne l’avais jamais vu se conduire de la sorte, se penchant ostensiblement pour laisser notre vieil ami plonger son regard dans son décolleté ou ouvrir ses cuisses bien plus qu’elle ne le devrait afin qu’il puisse lorgner sa petite culotte.
Je profitais alors d’une courte absence de notre ami pour réprimander mon épouse en lui disant que ce n’était pas sympa de l’exciter comme ça pour rien. Contre toute attente, elle me fit comprendre qu’elle avait envie de lui faire plaisir et que si j’étais d’accord, elle se sentait d’humeur à éteindre le feu qu’elle avait allumé.
J’avais, comme beaucoup d’hommes je pense, le fantasme de voir ma femme se laisser embrocher et jouir sous les assauts d’un autre mâle mais jamais je n’avais pensé à un vieux pour satisfaire ce fantasme. Ne sachant pas trop comment réagir, je décidais de prendre ce qu’elle venait de dire pour une plaisanterie de mauvais goût, aussi je lui murmurais le plus discrètement possible :
– Tu serais bien embêtée si je te prenais au mot !
C’est alors qu’elle me rétorqua, sûre d’elle :
– Arrange-toi pour nous laisser seuls. Je m’occupe du reste. Et ne reviens pas trop vite !!!
Se pourrait-il que mon vieux fantasme se réalise ? En tout cas, son aplomb m’avait déstabilisé. Avant que je ne puisse lui répondre, notre hôte était déjà revenu. La tête en pleine ébullition, sans savoir pourquoi, je trouvais un prétexte sans queue ni tête pour aller à la voiture stationnée dans un parking public à plusieurs minutes de là, et les laisser seuls comme me l’avait demandé mon épouse.
Je me levais et sortais de l’appartement rapidement en demandant à notre hôte si je pouvais prendre ses clés afin qu’il n’ait pas à se lever pour m’ouvrir lorsque je reviendrais. Je filais vers la porte en m’assurant qu’il ne me suivait pas puis, j’ouvrais et la faisais claquer afin de faire croire que j’étais sorti, puis je revenais, à pas de loup, dans le couloir jouxtant le salon pour essayer de voir ou au moins entendre ce qui allait se passer. Mon cœur battait la chamade tandis que mon sang, quant à lui, me semblait en ébullition partout dans mon corps.
J’approchais avec précaution de l’entrée du couloir quand j’entendis mon épouse demander à notre ami s’il la trouvait à son goût et si le petit spectacle qu’elle lui avait offert lui avait plu. Je tendais l’oreille pour entendre Hector lui répondre que non seulement ça lui avait plu mais qu’il aurait bien aimé pouvoir rendre hommage à tous ces trésors qu’elle lui avait si gentiment laissé découvrir. Je vous laisse découvrir alors, la conversation qui s’ensuivit :
– Mon mari ne s’occupe pas beaucoup de moi, vous savez. Et moi aussi, j’ai de gros besoins et ce que vous avez dit m’a beaucoup intéressée.
– T’as trouvé l’homme qu’il te faut ma chérie. Tiens, regarde ce que le vieil Hector a, à te donner !
– Waouhhhhhhhhhh ! Quel morceau ! Je n’en ai jamais vu d’aussi grosse !
– Tu peux toucher, tu sais, ça ne mord pas. Allez, prends-la entre tes doigts !
– Vous bandez ferme Monsieur Hector. Ça me fait mouiller ma petite culotte de toucher une aussi grosse bite.
– Branle-moi. Et soulève ta jupe pour me montrer ta jolie petite chatte sans poils.
– Comme ça, Monsieur Hector ? C’est ça que vous voulez ?
– Oui, c’est bien. Enlève cette jolie petite culotte et installe-toi sur le fauteuil pour mieux me montrer ton chaton.
– Vous m’excitez Monsieur Hector. Vous êtes un vieux cochon ! Regardez l’état de ma culotte !
– Allez, écarte tes cuisses. Oui, pose tes jambes sur les accoudoirs comme ça. Voilà, oui, ouvre-la avec tes doigts. Hummmmmm ! Ça m’a l’air d’être bien appétissant tout ça. Papa Hector va te manger le chaton, tu m’en diras des nouvelles.
– Oh oui ! Oh oui ! Avec la langue. Ouiiiiiiiiiiii !!! C’est trop bon !
N’en pouvant plus d’entendre et ne rien voir, j’approchais de l’entrée du salon pour découvrir ma femme installée dans l’un des fauteuils, les jambes largement écartées, crochetées au niveau des genoux sur les accoudoirs avec notre ami, à genoux, la tête enfouie entre ses cuisses. Ma femme était en train de se faire lécher la vulve par un vieil étalon en mal de baise et elle avait l’air d’aimer ce qu’il lui faisait, à en juger par les gémissements qu’elle laissait échapper à intervalles réguliers.
– Monsieur Hector, Monsieur Hector, je vais venir ! Je vais venir ! N’arrêtez pas ! N’arrêtez pas !
– Jouis ma chérie. Jouis. T’es trop bonne, je t’adore ma chérie !
– Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! Ça y est. Ça y est. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !!! Oh que c’est bon ! Oui ! La langue dans mon chaton, ouiiiii, comme ça. Aaaaaaaaaaaaahhhh !!!
Elle était en train de prendre un sacré pied, ma salope de moitié ! Je n’en revenais pas qu’elle se soit laissée culbuter aussi vite par ce vieux cochon d’Hector. Lui aussi avait l’air d’aimer ça. Il l’a laissée jouir, le nez enfoui entre les lèvres de ma chérie puis, tout s’est emballé. Il s’est relevé, le regard rivé sur l’entrejambe de Marine que je devinais bien ouverte et dégoulinante de mouille mais aussi de sa salive. Il a fait glisser son pantalon pour laisser apparaître un énorme zob surmonté d’un gland vraiment impressionnant. Je comprenais tout à coup les exclamations de mon épouse lorsqu’elle avait découvert le chibre du vieil homme.
– Tu me laisses te baiser maintenant, ma chérie ?
– Oh oui, Monsieur Hector ! J’ai envie que vous m’enfiliez votre gros truc dans la chatte. Il est énorme, ça m’excite. Regardez comme je mouille pour votre grosse bite Monsieur Hector !
– Hummmm !!! T’es une bonne salope ma Marine. Je sens qu’on va bien s’entendre tous les deux. Allez, écarte-moi cette jolie minette, ouvre-la. Oui. Oui comme ça. Montre-moi comme t’as envie de la grosse bite de ton vieil Hector.
– Venez Monsieur Hector. Mettez-la moi ! J’en peux plus. J’ai trop envie !
Il était déjà juste entre ses cuisses, la bite à la verticale. J’étais étonné à la fois par la grosseur de son sexe mais aussi par sa rigidité. Moi qui pensais que les vieux ne bandaient plus comme il faut, la vue de ce que proposait Hector à ma femme, m’a bien vite fait comprendre à quel point j’étais dans l’erreur. Je ne pouvais malheureusement pas m’approcher plus, au risque d’être découvert dans mon rôle de voyeur mais j’étais frustré de ne pas pouvoir assister au moment où la grosse bite allait s’enfoncer entre les chairs intimes de ma chérie.
C’est Hector qui me permit finalement de tout voir lorsqu’il demanda comment j’allais réagir si j’arrivais alors qu’ils étaient en pleine action. Marine lui avoua que je savais ce qui allait se passer lorsque j’avais prétexté devoir aller jusqu’à la voiture car c’est elle qui me l’avait demandé afin de les laisser seuls.
– Tant mieux car ça m’aurait ennuyé qu’il fasse un scandale.
– Ne vous inquiétez pas Monsieur Hector. Il doit être caché en train de nous regarder si ça se trouve. Il a toujours rêvé de voir sa petite salope de femme se faire mettre par une autre queue que la sienne.
– C’est vrai ? Hum !!! Moi aussi, j’aurais bien aimé voir ma Germaine se faire mettre par un autre mais elle n’a jamais voulu. Il a en de la chance ton petit mari et moi aussi du coup !
– Allez Monsieur Hector. Baisez-moi maintenant ! Fourrez ma petite chatte ! Vous devez en avoir sacrément envie non ? Depuis tout ce temps…
– C’est vrai. Ça fait tellement longtemps !
Sur ces mots, je sortais de ma cachette en lançant :
– Et ben Monsieur Hector, je vois que vous ne vous ennuyez pas ! En train de sauter ma femme dès que j’ai le dos tourné. Ce n’est pas très gentil ça, Monsieur Hector !
Hector leva ses yeux vers moi, ne sachant pas trop comment réagir devant mes propos, sa grosse tige à la main.
– Mettez-la moi Monsieur Hector ! Viens mon chéri, regarde comme il en a une grosse !
J’approchais du couple en commençant à libérer de son carcan mon petit sexe à l’étroit depuis déjà un bon moment.
Voyant que j’attendais moi aussi qu’il s’enfonce dans la chatte de ma femme, laquelle semblait tout à coup encore plus petite devant cette barre de chair. Marine s’était redressée pour mieux voir la bite la pénétrer, les yeux rivés sur son entrejambe, attendant impatiemment d’être perforée, elle encourageait de la voix notre vieil ami.
– Oui ! Oui ! Venez Monsieur Hector, vous allez me faire mourir d’impatience !
Le gland commençait en s’enfoncer en écartant résolument les lèvres intimes, la hampe maintenant suivait. Je levais les yeux vers Marine qui, la bouche grande ouverte, retenait son souffle en sentant son sexe s’écarter à l’extrême pour libérer le passage du monstre.
– Oh mon amour, je te fais cocu ! Il est énorme dans ma chatte ! Il va me défoncer ! C’est fou de sentir un gros truc comme ça s’enfoncer en moi. Je crois que je vais jouir mon amour !
En entendant Marine me dire ça, Hector s’enfonça d’un seul coup, d’un puissant coup de reins.
– Tiens ma chérie ! Sens ma grosse bite dans ta petite chatte !
Marine poussa un cri sous l’assaut tandis qu’Hector la saisit aux cuisses pour lui asséner rapidement deux ou trois énormes coups de reins, ce qui la fit partir aussitôt bruyamment.
– Ah, je jouis ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis mon amour ! Il me fait jouir déjà ! C’est trop !
Elle n’arrivait déjà plus à parler. Une de ses mains me saisit un bras en me plantant ses ongles dans la peau sous la puissance de l’orgasme. C’était la 1ère fois que je voyais ma femme jouir avec une autre bite que la mienne figée dans son ventre et surtout, jouir aussi rapidement. Ses yeux avaient basculé en arrière dans ses orbites pour ne plus laisser apparaître que le blanc comme lorsqu’elle jouit très fort.
– Branle-toi mon garçon. Branle-toi, ça ne t’excite pas ?
Oh que oui, ça m’excitait ! Mes doigts se mirent en mouvement mais le moins vite possible pour ne pas jouir prématurément et rester le plus longtemps possible dans cet état euphorique que procure une intense excitation. J’avais chaud partout, mon sang dans ma tête, était en train de bouillonner.
– Elle est belle ta femme. Tu en as de la chance d’avoir une femme aussi douée pour le plaisir !
Marine n’entendait déjà plus rien, emportée par les vagues qui lui parcouraient le corps. Elle semblait avoir carrément perdu connaissance. Hector, quant à lui, s’était maintenant allongé sur elle, son gros ventre appuyé sur celui si frêle de ma chérie. Je n’arrivais pas à détacher mon regard de ses fesses en train de s’activer d’avant en arrière dans une rotation du bassin des plus indécentes mais tellement excitantes. Je me déplaçais même pour mieux voir son sexe entrer et sortir de la fente. Les chairs écartelées à leur maximum, livides, semblaient sur le point de se déchirer à chaque assaut. Une folle envie de jouir me prenait aux tripes mais je réussissais néanmoins à ne pas céder pour profiter encore de ce plaisir inouï, incroyable de voir sa femme en train de jouir des œuvres d’un autre mâle.
En plus d’avoir été vraiment bien loti par la nature, Hector était aussi très endurant. Il attendait sagement que ma femme reprenne ses esprits en la limant lentement puis, il se retira afin de s’agenouiller entre ses cuisses bien ouvertes. Il plongea son nez dans la fente, entre les lèvres dégoulinantes des traces de sa dernière jouissance, tantôt pour la dévorer, tantôt pour sentir toutes ses odeurs de femelle en rut émanant d’elle. On aurait dit un a****l affamé, incapable de se maîtriser en face de cette fente grande ouverte, prête à reprendre le mâle.
La scène me semblait tellement irréelle que j’en avais même du mal à réaliser que ce qui se passait, en ce moment devant mes yeux, était tout ce qu’il y a de plus réel. Non, je ne rêvais pas. Tout cela était bien en train de se passer. Hector ce vieux coquin était bien en train de goûter aux effluves de ma chère Marine. Elle commençait à refaire surface. La bouche et la langue de notre ami faisaient leur effet si bien qu’elle se mit à nouveau à gémir de plaisir, en caressant la tête de celui qui était maintenant son amant.
– Oh oui, Monsieur Hector. Vous me faites du bien. Oui. Comme ça, sucez-le, il est gros le mien aussi ! Vous allez me faire venir encore !
Hector était aux anges. Il redoubla d’attention si bien qu’en peu de temps, je vis Marine se raidir, tendre son ventre vers la bouche en train de la sucer juste avant d’annoncer :
– Ouiiiii !!! Ça vient. Ça vient. Aaaaaaaahhhhh !!!
Et de se laisser emporter pour la 3ème fois par un nouvel orgasme un peu moins fort que les précédents mais bien réel. Tout de suite après avoir joui, elle dit à notre ami :
– Venez jouir en moi, Monsieur Hector, vous n’avez pas encore joui. J’ai envie de votre sperme dans mon ventre !
Le vieil homme ne se fit pas prier. Il se redressa puis fit mettre Marine à genoux sur le fauteuil, les reins bien cambrés, ses fesses offertes à la saillie puis, posa son gros zob dans l’entrée de sa vulve et d’un coup de reins, s’enfonça jusqu’aux couilles en arrachant un cri de douleur mais aussi et sûrement de plaisir d’être prise aussi puissamment.
Je me surpris à me remémorer le nombre d’orgasmes qu’elle avait déjà eus. Trois, trois en vraiment peu de temps ! Je n’avais, jusqu’à présent, jamais été capable de lui en donner autant. D’ailleurs, ma femme ne s’y trompait pas, elle le regardait maintenant avec des yeux de femme comblée, la tête tournée vers lui, prête à se donner, à tout lui donner.
Un petit pincement au cœur bien naturel se mit à me titiller tandis qu’elle était en train d’encourager Hector à prendre son plaisir dans son ventre et la remplir de son sperme, donnant des coups de reins pour aller s’empaler sur la colonne de chair. Hector se mit à accélérer encore en laissant échapper des sons rauques qui me firent penser qu’il allait bientôt jouir. Il tenta bien de ralentir et même de s’immobiliser mais Marine le supplia de continuer, qu’elle voulait son jus d’homme si bien qu’il finit par abdiquer en la besognant de plus belle, de plus en plus fort, de plus en plus profondément jusqu’à ce que l’orgasme l’emporte. Il s’immobilisa enfin au terme d’une course effrénée, libérant ses jets de semence à l’intérieur de ce ventre gourmand en criant son bonheur. Je regardais Marine, la tête toujours tournée vers son amant et je vis ses yeux basculer encore lorsqu’elle sentit Hector commencer à se déverser en elle. Elle jouissait. Elle jouissait pour la 4ème fois. C’en était trop, l’émotion, l’excitation me fit perdre pieds à mon tour. J’explosais en libérant de puissantes giclées de sperme qui s’étalèrent sur la moquette de ce cher Hector. C’était fini. La frénésie sexuelle, à laquelle nous avions tous les trois succombé, était en train de se dissiper lentement. Marine, la poitrine appuyée sur le bord du fauteuil, récupérait doucement. Hector, couché sur son dos, faisant de même et moi, les doigts couverts de sperme, toujours enroulés autour de mon sexe revenu à des dimensions bien plus modestes, je les regardais, partagé entre satisfaction d’avoir pu vivre ce fantasme vieux comme le monde et cette pointe de jalousie naturelle de voir sa moitié appartenir à un autre homme, fusse-t-il septuagénaire.
Nous sommes épuisés, il est tard aussi, Hector nous propose de rester dormir chez lui dans cette chambre d’amis qui ne sert plus depuis longtemps. Il ne serait pas raisonnable de prendre la route à cette heure et après avoir autant bu aussi, j’accepte sa proposition malgré une petite appréhension quand au déroulement de la nuit à venir.
——
J’essaie après la douche de discuter un peu pour évacuer ces pensées contradictoires mais Marine est vraiment trop fatiguée et ne comprend pas à la limite, qu’après avoir tant insisté pour qu’elle accepte de faire l’amour avec un autre homme, je ne sois pas complètement satisfait qu’elle ait fini par accepter. Bref, elle s’endort rapidement, me laissant un peu frustré de n’avoir pas pu parler avec elle de ce qui me préoccupait.
Je n’arrive pas trouver le sommeil à mon tour si bien que je finis par me lever pour aller regarder la télévision dans le salon à l’autre bout de cet immense appartement. Je m’installe dans le canapé qui a été, quelques instants plus tôt, le théâtre de la réalisation de mon fantasme, j’allume la télé sans vraiment suivre le film qui s’y déroule et je finis par m’endormir.
Quand je me réveille bien plus tard, les émissions sont terminées. L’écran noir est parsemé de milliers de petits points blancs et pourtant, des bruits à peine audibles parviennent à moi. Je réalise en prêtant l’oreille que c’est sûrement ce qui m’a tiré de ma torpeur. J’écoute plus attentivement et là, il me semble identifier la voix de mon épouse et une autre plus grave. Je me lève pour me diriger vers la source de ces bruits. Mon cœur bat la chamade quand j’arrive dans le couloir menant aux chambres. Une faible lumière sort de celle où j’ai laissé ma femme. J’en suis sûr maintenant, c’est bien elle, c’est bien la voix de mon épouse. J’avance encore et là, sur le lit, je la vois à genoux, complètement nue, ses reins bien cambrés, les fesses offertes au zob qui la pourfend. Hector est là, derrière elle, il la tient fermement par les hanches et l’attire vers lui en lui assénant des coups de reins tantôt lents et profonds, tantôt secs et rapides. La scène est d’une incroyable lubricité. Je ne sais plus si c’est l’excitation ou la contrariété de se faire cocufier qui prédomine. Les petits mouvements de son bassin tandis qu’il la pénètre me glacent le sang et m’échauffent les sens. Je le regarde, impuissant, prendre son plaisir dans le ventre de ma femme. Marine pousse des gémissements qu’elle essaie d’étouffer en mordant l’oreiller à pleines dents tandis qu’Hector l’invective. Elle secoue sa tête de droite et de gauche, abasourdie par le plaisir qui la transperce. Mon cœur va s’arrêter de battre devant ce spectacle torride offert par les deux amants.
– J’adore te la mettre ma chérie et toi aussi, t’aimes çà !
Marine ne parle presque pas. Elle vit, à cent pour cent, les vagues de plaisir qui la submerge. Seuls des « oui, oui Monsieur Victor » sort hachurés de sa bouche.
– Tu vas me laisser te baiser encore, n’est-ce pas ma chérie ?
– Oui, Monsieur Hector, oui ! Faites-moi jouir encore !
– Tiens, prends ça et encore çà, ma chérie !
– Oh oui ! Ouiiiiiiiiiiii !!! Ça vient !
Je n’en crois pas mes propres oreilles en réalisant qu’il l’a déjà fait jouir tandis que je dormais tranquillement dans le canapé et qu’il est sur le point de l’amener au plaisir une fois de plus.
Je ne sais plus que faire, comment réagir en regardant ce vieil homme honorer ma femme et la combler ? Je ne me sens pas le droit d’intervenir. Elle est consentante, il ne la force pas. Mon cœur bat en surrégime. Je vais faire un malaise tandis qu’enfin, Hector se raidit en ordonnant à ma femme de jouir avec lui.
– Oh Ouiiiiiiiiiiii !!! Je vous sens jouir dans mes fesses ! Ouiiiiiiiiiiii !!! Aaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!
Tous les deux se mettent à geindre de concert, emportés par un puissant orgasme. Je ne peux m’empêcher d’imaginer le gros sexe d’Hector déverser ses jets de sperme dans la petite chatte de ma femme. Il continue à la besogner jusqu’à ce qu’elle se laisse retomber, sans force, les bras en croix sur la couche, puis se retire et s’éclipse vers sa chambre. Je l’entends alors lui souffler avant de partir :
– Merci ma chérie. Ça faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort !
– Allez-vous-en Monsieur Victor, vous me faites faire des bêtises ! Ce n’est pas bien de profiter de la faiblesse d’une femme mariée !
Je suis vraiment cocu maintenant. La 1ère fois, c’était moi qui l’avais provoqué mais là, là ce n’était plus du tout le cas. Ma femme avait accepté qu’il lui fasse l’amour sans savoir si j’étais ou non d’accord et du coup, malgré l’excitation procurée par ce spectacle digne des meilleurs films porno, je me rendais bien compte que le sentiment qui prédominait était avant tout, l’angoisse de la perdre, la contrariété de voir ma femme se faire enfiler et jouir pour son propre plaisir et non pour me faire plaisir.
Je m’enfuis dans le salon où je m’allonge en faisant semblant de dormir paisiblement mais mes neurones travaillent à plein régime. Il me faut trouver un moyen de la satisfaire, de les satisfaire en gardant malgré tout le contrôle ou du moins essayer, sur ce qui va se passer. J’attends qu’Hector retourne dans sa chambre puis je rejoins ma femme. Mes mains courent sur son corps, caressent ses seins, ses reins, descendent vers ses fesses au galbe tellement excitant. Mes doigts cherchent sa fente, la trouvent, j’y glisse un doigt. Elle est remplie de son sperme. Elle se laisse faire en grognant, proteste quand j’essaie de la retourner pour la prendre à mon tour.
– Laisse-moi dormir, s’il te plaît ! Où étais-tu ? Hector est revenu me faire l’amour tout à l’heure. Je n’en peux plus. Il faut que je dorme.
Je suis bien obligé de me rendre à l’évidence. Ce n’est pas cette nuit que je me soulagerais dans le ventre de ma femme. Je suis contrarié mais, finalement, je m’endors au bout de la nuit.
Le lendemain, Hector est au petit soin pour nous et pour ma femme en particulier. Il apprécie beaucoup les talents culinaires de Marine qui n’hésite pas à se mettre au fourneau pour nous préparer un petit déjeuner comme elle sait le faire si bien. L’ambiance est chargée d’émotion lorsque nous prenons congé. Je sens que rien ne sera jamais plus comme avant entre ces deux êtres au simple regard qu’ils échangent en partant et au sourire que mon épouse lui adresse et au merci qu’elle lui glisse à l’oreille.
La vie reprend peu à peu son bonhomme de chemin. Mon épouse semble être redevenue celle qu’elle était. Le souvenir de ses ébats avec Hector commence peu à peu à sortir de mes pensées jusqu’au jour où Marine m’annonce qu’elle est allée rendre visite à Hector. Immédiatement, je lui demande s’ils ont fait l’amour. Elle hésite un moment puis me demande, à son tour, si ça m’embêtait qu’elle lui rende visite. Je lui assure que non, mais c’est vraiment contraint et forcé car, de toute manière, je sais que si je lui dis non, elle ira en cachette sans m’en parler. Elle me demande alors s’il peut venir chez nous de temps en temps, aussi je lui demande, à mon tour, si c’est pour faire l’amour. Elle hésite encore puis me répond que oui.
Elle s’assied alors et m’avoue qu’elle aime bien faire l’amour avec lui, que personne ne l’avait jamais fait jouir comme çà et que, finalement, elle ne regrettait pas d’avoir cédé à mes caprices de la voir s’offrir à un autre homme.
Un coup de poignard me transperce le cœur. Réaliser un fantasme peut avoir des conséquences inattendues et incontrôlables, la preuve !
Je sens qu’elle a envie de parler, de se confier et me dire à moi, son mari, ce qu’elle a sur le cœur aussi, j’essaie de la mettre en confiance en lui disant de tout me raconter, pourquoi était-elle allée lui rendre visite, ce qui s’était passé, qu’est-ce qu’elle comptait faire etc. etc.
Elle me regarde, les larmes aux yeux, avant de venir se blottir dans mes bras en me disant qu’elle m’aimait et que ce qui s’était passé avec Hector n’avait rien à voir avec nous, notre amour. C’était purement physique.
– Raconte-moi ma chérie !
Elle commence alors son récit au moment où, passant devant chez Hector, elle décide de s’arrêter pour lui rendre une petite visite, sachant que ça lui ferait plaisir mais en m’assurant ne pas avoir d’arrières pensés en se garant devant chez lui. Il est fou de joie en la voyant sur le pas de sa porte et, emporté par son élan, l’étreint dans ses bras en lui faisant deux bises bien sonores sur les joues. Ils prennent un thé tout en discutant, puis la conversation dévie inévitablement vers ce qui s’était passé ce fameux soir et là, Hector lui avoue avoir vécu sans doute la plus belle nuit de sa vie et que s’il ne devait y avoir qu’une seule chose à demander avant de partir rejoindre sa Germaine, ce serait d’avoir la chance qu’elle lui accorde encore une fois ses faveurs. Il la regarde avec des yeux tellement expressifs de chien battu que Marine, ne se sent pas le cœur à lui refuser ce que visiblement il meurt d’envie de lui faire. Lorsqu’il s’approche pour prendre sa main et l’embrasser, elle se laisse faire en lui souriant. C’est sans doute le signal qu’il attendait car aussitôt, il se met à genoux entre ses jambes. Elle est assise dans le fauteuil sur lequel il l’a déjà fait jouir. Ses mains courent sur ses jambes, remontent vers ses genoux, glissent vers l’intérieur de ses cuisses sans qu’elle ne réagisse négativement. Sa jupe s’est relevée, découvrant son bas-ventre et sa petite culotte. Il lui dit qu’il n’a jamais eu jusqu’à présent, la chance de voir et toucher une aussi belle femme qu’elle, qu’il adorait la douceur de sa peau surtout là, dans l’intérieur de ses cuisses où c’est si sensible. Il sait y faire et son attitude, ses paroles, la font fondre.
Les mains ont progressé sans trouver de résistance si bien qu’elles sont maintenant sur son sexe encore protégé par un slip transparent si petit qu’il ne cache rien de ses trésors. Hector semble hypnotisé par la vision de cette petite chatte tellement attirante, il tire sans hésiter sur le sous-vêtement pour découvrir complètement la vulve de ma chérie. Elle ne résiste pas davantage quand il appuie sur ses genoux pour les écarter et lui permettre d’accéder à son chaton. Son attitude, ce regard envieux posé sur sa vulve l’excite, pourquoi le nier ? Elle se sent d’ailleurs toute mouillée et Hector ne peut pas, ne pas l’avoir vu. Il glisse un doigt dans la fente, trouve l’entrée de la vulve, l’y enfonce.
– Tu es toute mouillée ma chérie ! Ça t’excite toi aussi !
– Oui mais vous devriez arrêter Monsieur Hector, on va faire une bêtise !
– Laisse-toi faire. Je vois bien que toi aussi tu en as envie ma chérie. Tu veux bien faire plaisir au vieil Hector, n’est-ce pas ?
– Je ne sais pas Monsieur Hector. Je ne veux pas tromper mon mari.
– Il a bien aimé la 1ère fois, non ?
– Oui mais il était avec nous tandis que là, c’est pas pareil.
Tout en parlant, loin d’arrêter son exploration, Hector lui glisse un deuxième doigt dans la chatte en commençant à les faire coulisser de plus en plus profondément. Marine ferme les yeux, elle sait que plus rien n’arrêtera ce vieux cochon d’Hector et puis, ses doigts lui font du bien d’autant qu’avec son pouce, il se met à titiller habilement son clitoris. Des gémissements incontrôlés s’échappent maintenant de sa gorge. Elle écarte d’elle-même plus largement ses cuisses pour permettre à Hector de s’installer entre elles. C’est le signe qu’elle accepte complètement ce qui est en train d’arriver. Hector se penche vers son sexe. Sa langue entre en action, s’infiltre entre les lèvres de sa fente, déniche son bouton qu’il fait sortir de sa gaine, le prend entre ses lèvres pour se mettre à le sucer comme une petite bite. Il la suce comme elle aime, ils sont au diapason si bien que rapidement, un orgasme monte de ses reins, la submerge. Les vagues de plaisir prennent possession de son corps tout entier. Elle jouit bruyamment pour le plus grand plaisir de son amant qui en profite pour se relever. Il est nu entre ses cuisses grandes ouvertes, son gros sexe fièrement dressé contre son ventre. Marine, sonnée par la jouissance toute proche, entrouvre néanmoins les yeux en sentant Hector poser son gland dans l’ouverture béante de sa fente.
– Oh ma chérie, tu es vraiment trop belle ! Laisse-moi te la mettre !
Elle n’a pas le cœur à lui refuser ce plaisir. Elle lui sourit en signe d’acquiescement. D’un coup de reins, il s’enfonce en elle sans le moindre effort. Ses chairs abondamment lubrifiées l’avalent goulûment, étreignant son phallus pour ne plus faire qu’un avec lui. Quand il commence à s’activer en elle, la sensation est tellement forte qu’elle ne peut s’empêcher de l’encourager.
– Oh ouiiiiii !!! Oui Monsieur Hector ! Plus fort ! Prenez-moi plus fort ! Vous me faites tellement de bien !
– Oh ma chérie….
– Ouiiiiiii !!! Encore. Plus fort. Oh mon dieu, mon dieu…
Le vieil Hector la possédait maintenant à grands coups de reins, faisant trembler sa croupe, la masse de son fessier à chaque fois que son ventre, ses cuisses frappaient l’arrière-train de ma chérie, la faisant monter rapidement vers les sommets du plaisir. Elle ne se contrôlait plus, plus rien ne comptait hormis ces ondes de plaisirs de plus en plus rapprochés qui augmentaient en intensité dans son ventre, ses reins. Le souffle court, elle se livrait maintenant de toutes ses tripes à la vague sur le point de la submerger. Ses muscles étaient en train de se tendre, son ventre et ses fesses se durcir, elle allait jouir d’une seconde à l’autre. Un dernier coup de reins plus puissant que les autres et la voilà, succombant à un nouvel orgasme.
– Aaaaaaahhhhhh !!! Monsieur Hector. Ouiiiiiiiiiiiii !!!
L’homme jubile intérieurement devant cette femme magnifique qu’il est en train de posséder et qu’il fait jouir si fort, si facilement. Il ralentit la cadence de ses va-et-vient pour ne pas jouir à son tour, mais tient à l’accompagner jusqu’au bout de sa jouissance. Il lui caresse le ventre, ses seins dont les tétons pointent vers le plafond. Il apprécie le spectacle de femme comblée, vaincue par le plaisir. Elle est tellement belle et excitante que sa seule envie est d’en profiter encore et encore. La fin de son orgasme se termine, elle récupère doucement, son visage, quelques secondes plus tôt déformé par le plaisir, est à nouveau éclatant de beauté, à peine marqué par ses deux jouissances. Elle ouvre difficilement les yeux, lui sourit encore tandis qu’il se repaît de la vision de son corps alangui, totalement livré à ses désirs. Elle est totalement détendue. Hector en profite pour se dégager doucement puis la prendre dans ses bras pour la soulever et se diriger vers sa chambre, étonnement à l’aise malgré son âge.
Marine est totalement consentante. Hector n’a pas joui et elle sait qu’il va encore la prendre. Elle se laisse faire tandis qu’il la dépose sur le lit, puis la retourne pour la mettre à genoux. Il veut la posséder en levrette. Il lui mordille les fesses, plonge son nez entre ses globes en léchant son anus tout en grognant d’excitation. Elle se sent inondée, sa mouille lui coule le long des cuisses, une odeur de femelle en chaleur monte à ses narines. Quand il se redresse derrière elle, c’est son sexe dur et doux à la fois qu’elle sent contre ses globes de chair. Elle les écarte d’elle-même, dans une invite sans équivoque. Elle a envie de se sentir sienne. Elle a envie de sentir l’homme faire d’elle sa femelle. Il a la même envie. Son gland s’enfonce en elle lentement, doucement jusqu’à buter tout au fonds contre sa matrice. Un long gémissement de satisfaction s’échappe alors de sa gorge quand elle le sent entièrement en elle. Elle le serre dans son fourreau, le masse, le suce même. Il aime çà et ne se prive pas de le lui dire.
– Oui, ma chérie, Ouiiiiiii ! T’es trop bonne !!!
Il se laisse faire de longues secondes puis commence à bouger. Des va-et-vient lents et profonds qui ne tardent pas à tirer de nouveaux gémissements de sa maîtresse. Ses doigts s’attardent sur les fesses, parcourent la raie jusqu’à ce que l’un d’eux s’attaque à la petite corolle brune, couverte des secrétions des précédentes jouissances. Marine aime bien que l’on s’en occupe aussi, rien dans son attitude n’empêche Hector de poursuivre ce qu’il a en tête. Le doigt bien lubrifié s’enfonce dans l’anneau dont les plis s’ouvrent facilement pour libérer le passage. Une phalange, deux puis le majeur tout entier coulisse dans le rectum de ma femme, lui procurant d’agréables sensations en augmentant celles déjà bien présentes du bâton de chair qui la pourfend de plus en plus puissamment. Les gémissements prennent de l’amplitude, un deuxième doigt dans son fondement rejoint le premier. L’entrée de son anus est maintenant bien ouverte. Marine se laisse emporter par la spirale du plaisir malgré l’appréhension sourde de la sodomie qui s’annonce. Elle n’est plus en état de réfléchir, de résister si l’envie de lui faire subir le dernier outrage le prenait. Je ne m’occupe pas très souvent de son anus, pas assez à son goût mais la taille du chibre n’est pas faite pour la rassurer. Les coups de reins qu’il lui assène lui font un bien fou. La tête lui tourne, elle a chaud de partout, les muscles de son bas-ventre, de ses fesses, de ses cuisses se tendent. Elle va jouir encore une fois tandis que les deux doigts entre ses fesses sont rejoints par un troisième. Elle se sent ouverte comme jamais elle ne l’a été. L’envie de jouir est trop forte, la vague qui monte en elle l’amène irrésistiblement au sommet du plaisir. Sa vision se trouble, ses pensées lui échappent, un nième orgasme l’emporte. Elle crie, hurle même sa jouissance en tremblant de tous ses membres. Elle jouit, jouit encore et encore, pleure presque de tant de plaisir. Hector se retire prestement de son ventre et, d’un coup de reins, s’enfonce dans cet anus qu’il a si bien préparé. Les sphincters ne résistent pas longtemps à la puissance du chibre au sommet de sa puissance. Ils cèdent pour laisser la verge s’engouffrer toute entière et prendre possession du fourreau de chair. La douleur est intense mais jouissive. Marine mord l’oreiller à pleines dents pour étouffer le cri qui s’échappe de sa gorge. Elle ne s’est jamais sentie aussi pleinement possédée.
– Oh Monsieur Hector, vous… vous…
Son amant s’est immobilisé, bien calé au fonds de ses reins. Il sait que quelques secondes seront suffisantes pour qu’elle s’habitue à son imposante présence. Il n’est pas pressé. Marine souffle, cherche l’air, elle se met à haleter comme un jeune chiot. La douleur est tellement forte qu’elle a l’impression que son anus va se déchirer. Heureusement, celle-ci s’estompe rapidement.
D’elle-même, elle commence à bouger son cul, avançant doucement pour faire sortir le pieu de chair puis reculant aussitôt pour se ré empaler. Le plus dur est fait, toute la longueur du chibre coulisse maintenant entre ses fesses. Hector la prends aux hanches, s’y agrippe et commence lui aussi à s’activer. La sensation est monstrueuse, jamais elle n’a été prise aussi puissamment. Elle ne sait plus qui de la douleur sourde, qui de l’énorme sensation de plénitude entre ses fesses prédomine. Son amant lui caresse les reins et les fesses. Il est aux anges de pouvoir sodomiser une aussi séduisante jeune femme. Une des ses mains passe sous son ventre, ses doigts filent vers sa fente pour s’attaquer à son clitoris pareil à une petite bite. Il le branle en le pinçant doucement entre ses doigts. Le plaisir revient. Ma femme se sent possédée comme jamais. La grosse colonne de chair entre et sort de ses chairs à une cadence de plus en plus rapide. Elle se surprend à donner elle aussi des coups de reins pour se faire embrocher le plus profondément possible. Sa voix est rauque comme à chaque fois que le plaisir est trop fort. Elle l’encourage, le supplie de la défoncer encore plus fort en assurant qu’elle aimait çà.
J’en suis tout retourné d’entendre de sa bouche le récit de cette sodomie. Je ne peux nier que ça m’excite mais savoir malgré tout qu’elle lui a offert son si adorable petit cul me fait quelque chose. La réalité dépasse parfois le fantasme et c’est bien ce qui est en train de m’arriver. J’imagine Hector, son gros ventre posé sur les fesses de ma femme et sa grosse bite en train de coulisser dans son rectum. Je bande, toujours partagé entre des sentiments aussi contradictoires qu’excitation, plaisir et jalousie. Une folle envie de profiter à mon tour des charmes de ma femme me tenaille. Elle sait ce à quoi je pense simplement en croisant mon regard. Sa main descend vers mon entrejambe, frôle ma queue déjà bien raide, à travers le tissu de mon pantalon.
– Tu veux que je te suce mon amour ? Ça t’a excité ce que je t’ai raconté, n’est-ce pas ?
– Tu t’es conduite comme une salope. Tu m’as trompé !
– C’est vrai mon amour mais regarde comme ça t’excite que ta petite femme se laisse sauter par le vieil Hector !
– J’en reviens pas que tu l’as laissé te prendre par derrière !
Tout en me parlant, elle a descendu la fermeture éclair de mon pantalon et sorti rapidement ma verge. Elle est déjà en train de me branler quand elle me dit :
– J’ai envie de te sucer mon amour. Je ne l’ai pas fait avec Hector tu sais ! J’ai envie que tu jouisses dans ma bouche pour me faire pardonner.
– Il t’a bien fait jouir ?
– Oui, il baise vachement bien ce salaud !
Ses lèvres se posent sur mon gland, l’enveloppent. Sa langue lèche mes couilles par en dessous. C’est divin. Je ferme les yeux, vaincu par le plaisir qui prend possession de mon bas-ventre.
– Tu aimes mon amour ?
– Oui mais t’es quand même une belle salope !
Elle me caresse les fesses en m’attirant dans sa bouche qu’elle ouvre au maximum pour me faire entrer dans sa gorge. Elle ne n’avait jamais fait çà jusqu’à présent. Elle veut se faire pardonner, c’est sûr. Elle se donne comme elle ne l’a jamais fait. Je sens mon gland serré dans son arrière-gorge, elle s’en sert comme de sa chatte et me fait aller et venir de plus en plus vite au risque de s’étouffer. De temps en temps, elle me fait sortir pour tousser une ou deux fois puis me reprend toujours aussi profondément. Elle veut me faire jouir. Je ne vais pas résister longtemps à ce traitement. Tous mes muscles se tendent déjà, j’ai chaud de partout, ma tête bourdonne, mes pensées se brouillent. Le plaisir est trop fort. Je lui crie que je vais jouir. Elle redouble d’efforts. Une vague plus forte que les autres et j’explose dans un énorme orgasme ! Mon sperme gicle. Un, deux, trois puis quatre puissantes salves que mon épouse avale sans broncher. Elle déglutit toute ma semence tandis qu’en ouvrant péniblement les yeux, je la vois en train de se repaître de moi en pleine extase. Elle a l’air de sourire malgré la barre de chair qui s’enfonce entre ses lèvres. Elle me boit jusqu’à la dernière goutte puis, lorsque c’est fini, elle pose sa tête sur mon ventre pour me laisser récupérer de ma jouissance tout en me caressant les cuisses et les bourses comme j’aime qu’elle le fasse.
– C’était bon mon chéri ?
Je suis encore sonné d’avoir joui aussi fort. Je lui caresse les cheveux en signe d’acquiescement mais je ne suis pas dupe car je sais que c’est un moyen efficace qu’elle a de se faire pardonner et surtout, obtenir ce qu’elle attend de moi comme, par exemple, ne pas essayer de l’empêcher de voir notre presque septuagénaire Hector.
——
L’excitation passée, nous avons longuement parlé de ce qui nous arrivait ou plutôt ce qui arrivait à mon épouse et de ses sentiments vis-à-vis de moi, d’Hector mais du plaisir qu’il était capable de lui donner surtout. Je comprends qu’elle y est devenue accroc et il me faut bien reconnaître qu’ils sont exactement sur la même longueur d’ondes pour les choses du sexe. Je suis tout à fait conscient de ne pas pouvoir rivaliser. Ma femme pourtant finit par me dire que si je lui demande de ne plus le revoir, elle le ferait car c’était moi qu’elle aimait.
C’est tentant mais ma décision est vite prise. Je ne peux me résoudre à la priver de quelque chose que je ne suis pas en mesure de lui offrir car je l’ai vraiment vu de mes propres yeux, s’éclater comme jamais avec lui. Je l’aime moi aussi et je ne pourrais lui faire l’amour en imaginant que, pour arriver à jouir, elle pense peut-être à Hector.
Bref, c’est décidé, Marine continuera à voir son amant avec toutefois la condition que cela se passe à la maison. En effet, j’ai peur que de fréquentes visites chez lui finissent par faire jaser et les langues de vipère ne manquent pas dans une petite ville comme la nôtre et puis, il faut me l’avouer, cela me permettrait, de temps en temps, de profiter du spectacle de ma femme en train de se faire mettre et jouir sous les coups de queue d’un autre mâle, ce qui malgré les sentiments contradictoires que je ressens, reste une puissante source prédominante d’excitation.
Marine modère bien évidemment sa joie sans doute pour ne pas me froisser mais je vois bien dans ses yeux qu’elle est vraiment contente de la décision qui vient d’être prise. Elle ne tarde d’ailleurs pas à venir m’embrasser à pleine bouche pour me remercier d’être un mari aussi compréhensif.
Je sais qu’Hector ne mettra pas bien longtemps à venir nous rendre visite. Ma prédiction se confirme lorsque je rentre le lendemain soir à la maison. A peine la porte ouverte, je reconnais la voix de ma femme en train de pousser des gémissements qui ne laissent planer aucun doute sur le type d’occupation à laquelle elle se livre. Mon bas-ventre réagit immédiatement car je sais pertinemment ce que je vais découvrir.
Les gémissements proviennent du salon, aussi je m’y dirige sans faire de bruits, ne sachant encore trop si j’allais me montrer ou simplement jouer les voyeurs. Le spectacle que je découvre est à quelques détails près, le même que celui que les deux amants m’avaient offert quelques jours plus tôt.
Ma femme est allongée sur le dos, elle tient ses jambes repliées sur sa poitrine dans une position d’offrande maximale. Hector s’appuie de tout son poids sur ses jambes, ce qui l’oblige à s’offrir encore plus à la possession de sa grosse queue bien raide. Je vois son gros ventre bouger au rythme des puissants coups de reins qu’il lui assène, faisant bouger tout son corps à chaque impact.
Je les découvre au moment précis où Marine explose dans un puissant orgasme. Elle essaie de déplier ses jambes pour donner libre cours à sa jouissance mais son amant la maintient pliée en deux, en continuant à s’appuyer de tout son poids sur ses jambes. Il ne s’arrête pas pour autant de la besogner, réussissant à la maintenir un long moment au sommet de la vague.
En me décalant un peu, je me rends compte que c’est dans son anus qu’il a planté son gros zob. Marine jouit en permanence puis, au bout du plaisir, elle se met à sangloter en murmurant :
– C’est trop fort Monsieur Hector, je n’en peux plus, vous me faites trop jouir !
Je réalise que le vieil homme doit être ici depuis un bon moment en entendant les dernières paroles de ma chérie. Il se retire doucement d’entre ses fesses et se dresse sur ses genoux pour lui présenter sa grosse queue à hauteur de son visage.
– Suce-moi ma chérie. A toi de faire du bien à ton vieil Hector !
Son sexe est toujours aussi impressionnant de par sa taille mais aussi sa rigidité. Le gland violet d’excitation disparaît rapidement entre les lèvres de son amante qui, docilement, se met à le pomper avant de commencer à lécher la hampe puis les couilles encore pleines de semence. Tout en le léchant, elle le regarde par en dessous prendre son pied.
– Oui, oui ma chérie. Suce-moi les couilles aussi ! Oui, comme çà. Hummmmmmm !! ! Tu suces aussi bien que tu prends ton pied, petite coquine !
Je n’en reviens pas à quel point ma chérie est maintenant sous l’emprise sexuelle de cet homme que je croyais totalement inoffensif. En fait, c’est un prédateur sexuel redoutable, capable j’en suis sûr de rendre n’importe quelle femme accroc à sa bite, accroc aux jouissances multiples qu’il sait si bien offrir.
Au bout d’un long moment, il se dégage de la bouche accueillante. Il n’a pas joui. Il se place derrière elle, la met à genoux sur la moquette, la poitrine appuyée sur le bord du canapé. Marine proteste mollement :
– Je peux plus Monsieur Hector. Laissez-moi maintenant ! Vous allez me faire mourir et puis mon mari ne va tarder à rentrer.
– Mais non ma chérie. On ne meurt pas de plaisir. Laisses-toi faire, allez donne-moi cet adorable petit cul !
Elle sait qu’il ne va pas la laisser tranquille avant d’avoir déchargé à son tour. Elle tend sa croupe en creusant les reins. Une seule poussée lui suffit pour l’emmancher jusqu’aux couilles. Elle pousse un long gémissement tandis que déjà, il recommence à coulisser dans son ventre. Il l’a reprise aux hanches et l’attire sur son pieu lentement. Marine ferme les yeux, elle accepte la possession, résignée d’avoir à jouir encore car elle le sait, il va encore la faire jouir. Elle est à lui, corps et âme, elle est devenue son jouet sexuel depuis cette première fois où je l’ai précipité dans ses bras.
Ses gestes sont tendres, ses mains courent sur ses fesses, lui caressent le dos, les reins. Je n’arrive pas de ma place à voir les deux sexes emboîtés l’un dans l’autre mais j’imagine assez facilement l’imposant bâton de chair ouvrir les chairs à chaque fois qu’il s’engouffre dans l’entrée de la vulve inondée de mouille. Rapidement, Marine se met à pousser des gémissements de plus en plus puissants tandis qu’Hector accélère ses coups de reins.
– Oh mon Dieu, Monsieur Hector, mon Dieu. Ce n’est pas vrai, ça revient…
Deux de ses doigts qu’il a au préalablement couvert de salive, exercent des pressions de plus en plus fortes sur la corolle de chair brune déjà bien dilatée par le précèdent assaut. Lentement mais sûrement, profitant des coups de boutoir qu’il assène à sa maîtresse, les doigts forcent facilement l’entrée du petit cul de ma bien-aimée. Elle n’a pas encore pleinement réalisé qu’il est à nouveau en train de la sodomiser. Tous ses sens sont tournés vers le pieu qui vient frapper sa matrice, déclenchant à chaque impact des spasmes de plaisir de plus en plus puissants. Son anus s’ouvre de lui même un peu plus à chaque spasme, libérant le passage aux doigts inquisiteurs. Le plaisir inonde tout son bas-ventre, monte vers ses reins, sa colonne vertébrale, se confond avec celui plus sournois de ces doigts dans son fondement. Ils sont complètement enfoncés dans ses entrailles, un troisième doigt les rejoint sans rencontrer la moindre désapprobation. Tous se mettent à coulisser dans son anus, s’enfonçant plus profondément à chaque aller-retour. Quand elle s’en rend compte, il est bien trop tard pour s’en offusquer d’autant que le plaisir est là, omniprésent.
Tout ce qui s’échappe de sa gorge ne sont maintenant que cris de plaisir, feulements, râles même. Elle est au bord d’une nouvelle jouissance. Elle explose quand un quatrième doigt rejoint les deux autres.
– Ahhhh ! Ouiii ! Je jouis. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis encore !!!
Foudroyée par un nième orgasme, elle se laisse choir sur le canapé en balbutiant des mots sans suite, incompréhensibles, presque inaudibles. Hector la besogne encore un peu puis se retire précautionneusement de son ventre pour poser son gros gland turgescent dans l’entrée de son anus complètement ouvert. Ma petite femme est complètement déconnectée du monde des vivants. Elle ne proteste pas. Je sors alors de ma cachette pour m’approcher du couple et mieux voir ce qu’il va lui faire. Monsieur Hector, sentant ma présence, se retourne mais je lui fais signe de ne rien dire en mettant un de mes doigts sur mes lèvres. Il comprend que je veux juste regarder et s’enfonce alors doucement entre les fesses de ma chérie qui a juste la force de dire :
– Oh non Monsieur Hector, pas encore, non, non, vous êtes fou Monsieur Hector !
– Laisse-toi faire ma chérie. Je veux jouir dans ton adorable petit cul.
Deux ou trois coups de reins lui suffisent pour l’embrocher jusqu’à la garde. Conscient du plaisir que j’ai à regarder ma petite femme se faire mettre par un autre homme, il écarte alors les fesses de sa maîtresse et commence à la sodomiser. Je me régale de voir cet énorme bâton de chair coulisser dans ce qui est normalement un tout petit anneau brun plissé. Ses mouvements lents et profonds au début, augmentent peu à peu en intensité jusqu’à devenir de plus en plus bestial. C’est une saillie à laquelle j’assiste bientôt. Marine se laisse sodomiser avec une étonnante passivité. Elle n’en peut vraiment plus. Je vois son corps accuser chaque coup de reins de son amant. C’est un spectacle d’une rare obscénité auquel je suis en train d’assister. Je bande comme un fou malgré ce sentiment toujours présent de jalousie mal placée. Monsieur Hector me regarde tandis qu’il accélère ses va-et-vient. Son regard tout à coup semble se perdre dans le vague, il a beau écarquillé les yeux mais rien n’y fait. Je comprends qu’il va jouir. Ses doigts se crispent sur les hanches de ma femme, un dernier puissant coup de reins, il perd pieds, l’orgasme est là, il jouit, lâchant toute sa semence dans les entrailles de ma femme.
– Ahhhhhhhhhhh !!! Tu me fais jouir adorable petite enculée ! C’est trop bon ! Ouiiiiiiiiiii !!!
L’excitation est tellement forte à ce moment précis qu’une simple pression de mes doigts sur mon sexe, à travers mes vêtements, que je jouis à mon tour. L’amant et le mari unis dans une même jouissance. Je ferme les yeux, savourant ce plaisir si particulier de jouir uniquement grâce au spectacle de voir ma femme appartenir à un autre homme.
Quand j’ouvre les yeux quelques secondes plus tard, Monsieur Hector est en train de se libérer de l’anus de ma bien-aimée. Il lui caresse les fesses tandis qu’elle reprend, peu à peu, ses esprits en ronronnant comme le ferait une chatte avide de caresses. Je m’éclipse rapidement tandis que Monsieur Hector m’adresse un dernier sourire complice. Ma femme ne s’est même pas aperçue de ma présence.
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