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Vacances marocaines

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Vacances marocaines

Si vous le voulez bien, plantons d’abord le décors. Elle, Isabelle, 55 ans, blonde avec de belles formes, très gourmande. Moi, Patrick, 54 ans, petit sexe (9cm en érection et à peine 3 au repos) et ayant du mal à tenir une érection à cause du diabète.
Depuis ces problèmes de santé, il nous a fallu trouver des palliatifs pour satisfaire la gourmandise d’Isabelle. Nous en sommes venu aux sextoys et autres vibromasseurs. Pour remonter ma libido, elle s’inventait des aventures qu’elle me racontait en me caressant. De plus, tous les deux adeptes de lingerie sexy, il m’arrive souvent d’en porter dans l’intimité. Sa dernière trouvaille, me faire porter une cage de chasteté pendant que je lui prodigue de longs cunnilingus.
Bref nous avons trouvé un nouvel équilibre sexuel qui nous satisfait tous les deux.

À l’arrivée du printemps, nous avons décidé de partir une semaine dans un hôtel luxueux de la palmeraie de Marrakech.
Elle m’a dit qu’elle avait l’intention de se lâcher, et je m’attendais au pire, tout en étant très excité.

Après un voyage sans histoire, nous avons pris possession de notre chambre, très luxueuse et spacieuse, avec une belle terrasse au rez de jardin donnant sur un magnifique parc. Une fois les valises défaites, il était l’heure du déjeuner.
D’un ton sans équivoque elle me dit :
« viens ici p’tite bite ! C’est comme ça que je vais t’appeler tout le séjour. Déshabille toi ! »
J’obéissais en rougissant. Elle avait sorti de la valise ma cage de chasteté, qu’elle m’enfila.
« voilà, maintenant les vacances peuvent commencer »
Et à ma grande surprise elle souleva sa robe légère et ôta son string, avant de partir déjeuner.
Tout le repas je me sentais très mal à l’aise; non seulement tout le monde pouvait deviner ma cage sous mon short, mais au moindre faux mouvement, Isabelle pouvait laisser voir sa chatte fraîchement rasée. En même temps, ***** m’est de reconnaître que c’était extrêmement excitant.
Finalement le repas se passa sans encombre.
Puis vint l’heure de la piscine.
J’allais enfiler mon short de bain, quand d’un ton sec elle me dit :
« non ça c’est pour les vrais hommes. Toi tu mets ça ! »
Horreur… Elle venait de sortir un slip de bain bien moulant, qui ne laisserait aucun doute sur la faible taille de mes attributs et le port d’une cage de chasteté taille xs. La honte totale.
La traversée de l’hôtel jusqu’à la piscine fut une véritable épreuve. J’avais l’impression que tout le monde remarquait mon entrejambe et se moquait de moi…
Enfin arrivés au bord de la piscine, Isabelle jeta son dévolu sur un transat un peu à l’écart et m’ordonna de m’installer à 5 ou places d’elle. Je ne comprenais pas pourquoi, mais très vite cela devint une évidence, elle voulait se faire draguer dès le premier jour.
Je m’éxécutais penaud et frustré.
À peine 5 minutes après notre arrivée, un bel homme d’une quarantaine d’années s’approcha d’elle et lui demanda l’autorisation de s’installer près d’elle. Elle accepta avec un grand sourire. La salope ne perdait pas de temps.
J’avais du mal a entendre leur discussion, mais je pu voir que son maillot de bain avait l’air bien rempli…
Du coin de l’œil je voyais l’homme faire son grand jeu de séduction. Elle souriait, riait à gorge déployée, et ne semblait pas insensible à son charme.
Ils partirent se baigner, et là surprise… de loin, je les vit, accoudés au bord de la piscine, s’embrasser à pleine bouche. Les mains d’Isabelle avaient disparu sous l’eau, certainement afin de caresser l’objet du délit.
Je me sentais terriblement jaloux et terriblement excité. Ma petite queue était à l’étroit dans sa cage, et je la sentais couler dans mon maillot.
Après quelques minutes de bain, il ressortirent de l’eau, et je vit que le maillot de l’homme affichait une bosse impressionnante.
Ils ramassèrent tous les deux leurs effets et se dirigèrent vers l’hôtel, main dans la main, sans un seul regard pour moi.
Mon dieu, elle allait se faire baiser en me plantant là….
Je restais là bêtement sur mon transat les regardant partir, à l’étroit dans ma petite cage. J’avais un nœud dans l’estomac, jalousie et excitation mêlées me retournant les boyaux.
J’ai dû attendre plus d’une heure avant d’avoir des nouvelles d’Isabelle.
Juste un SMS : viens cocu !
Je quittais la piscine pour rejoindre notre chambre le ventre noué.
En entrant dans celle-ci, je trouvais Isabelle allongée sur le lit, yeux mi clos, jambe écartées. Sa chatte béante dégoulinait.
Sans même un regard vers moi elle me dit sèchement :
« t’attends quoi cocu ? Lèche ! »
En m’accroupissant entre ses cuisses je sentis d’abord l’odeur âcre du sperme. Puis je vis que *** anus aussi était dilaté. La salope, je n’avais jamais eut le droit de passer par là.
Je m’appliquais à la nettoyer avec ma bouche, envahit par un double sentiment de dégoût et d’excitation. Dans la chambre je n’entendais que le bruit de succion et les gémissements d’Isabelle qui semblait apprécier. Je mis un bon moment à tout nettoyer, et elle eut deux nouveaux orgasmes.
Une fois que j’eus terminé, elle me raconta son escapade.
« il s’appelle Gilles, et habite à 4 km de chez nous. C’est drôle non ? Il est monté comme un âne et tu n’as pas idée du plaisir qu’il m’a donné. Ça me change de ta petite bite molle. Lui au moins il bande. D’ailleurs on remet ça ce soir. Il y aune soirée dansante à l’hôtel, j’y vais avec lui. Toi tu resteras sagement ici. »
« mais chérie, tout le monde va te voir ! »
« et alors, c’est toi qui va passer pour le cocu de service, moi j’assume ! »
Il était évident que je devais me résigner et accepter mon sort. Je devais me rendre à l’évidence, elle n’allait pas me libérer de ma cage, et avait décidé de s’amuser.
Après un dîner sans histoire, où malgré tout je sentais quelque regards se poser sur nous, il était temps pour Isabelle de se préparer. Et ce fut pour me moins rapide, des bas, un porte-jarretelles, des escarpins et une robe légère, rien de plus. Elle retoucha son maquillage et sa coiffure, se parfuma, et en quittant la chambre me dit :
« garde ton téléphone près de toi, quand nous rentrerons, tu iras sur la terrasse et tu refermeras la porte fenêtre. Je ne veux ni te voir, ni t’entendre. Compris Cocu ? »
« oui chérie » dis-je en baissant les yeux.
Elle quitta la chambre vers 22h30. Je restais dans celle-ci a me morfondre, en l’imaginant s’amuser et flirter avec *** amant. Et moi qui attendais sur le lit comme un bon petit cocu soumis, en nuisette transparente, enfermé dans ma cage de chasteté.
Vers 1h30 je reçu un SMS :
« Sur la terrasse petite bite. Tu tires le double rideau et refermes la porte fenêtre derrière toi. Tu peux laisser entrebâillé si tu veux entendre. »
Je m’exécutais rapidement, et pris place sur une des chaises de jardin de la terrasse. Il ne me restait plus qu’à attendre et subir.
5 minutes après j’entendis la porte de la chambre s’ouvrir et se refermer.
Isabelle riait…. Puis très vite les rires laissèrent place à des soupirs, des gémissements et des commentaires…
« Hummmm elle est belle ta queue, j’aime la sucer… Oui tu vas me faire jouir chéri… »
Puis ce ne fut plus que des soupirs et des gémissements de plus en plus forts. Elle semblait apprécier ce que lui faisait Gilles.
Ma ridicule petite queue serrée Dans cette cage commençait à couler un peu. J’étais fou de jalousie et d’excitation. Une véritable ******* qui dura plus d’une heure. J’entendis Isabelle jouir 3 fois. Mon dieu ce type était une véritable bête de sexe.
Finalement, ils se calmèrent, et après quelques longues minutes j’entendis la porte de la chambre claquer.
À travers la porte fenêtre entrouverte j’entendis Isabelle m’appeler.
« rentre cocu ! »
Je me précipitais le cœur battant la chamade.
Elle était étendue à travers le lit, la mine défaite, les jambes écartées. Sa chatte béante dégoulinait.
« que c’était bon… Jamais tu ne m’a fais jouir comme ça !
Alors t’attends quoi ? Nettoie petite bite, et applique toi ! »
Je m’approchais de sa chatte….
À suivre…

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