Sophie et Jean avaient décidé tous deux de s’offrir une escapade en amoureux. Ils avaient pu bénéficier d’une belle opportunité, dans un lointain pays d’Europe du Nord.
Pour leur dernière journée sur place, ils s’étaient laissés séduire par l’idée de faire un spa, pour pouvoir profiter pleinement du sauna, spécialité du pays.
Après avoir trouvé l’endroit qui leur paraît idéal, Sophie et Jean pénètrent tous deux dans un établissement de grand luxe. L’accueil est chaleureux, et la barrière de la langue ne se fait guère sentir, tant l’ambiance paraît conviviale et simple. Pourtant, c’est avec surprise qu’ils découvrent que la tenue imposée est réduite au strict minimum… oui, les plaisirs et les bienfaits de l’eau et des vapeurs purificatrices se prennent nus. Sophie et Jean avaient oublié que les gens du nord étaient friands de naturisme et que vivre nu était apprécié et pratiqué.
C’est néanmoins nantis d’une petite serviette blanche que nos deux amoureux pénètrent au vestiaire. Ils se dévêtent rapidement, non sans se regarder avec avidité et concupiscence. Une légère érection anime le bas ventre de Jean lorsque Sophie noue sa serviette autour de sa poitrine. Le petit carré d’étoffe ne masque pas vraiment ses jolies fesses et sa petite chatte toute lisse. De même, celui de Jean est encore plus petit et ce dernier a du mal à dissimuler son érection naissante. La serviette nouée autour de la taille, telle un pagne court, ne dissimule pas grand chose et laisse une cuisse apparente.
L’établissement est très vaste, et les espaces saunas se décomposent en plusieurs parties séparées et isolées les unes des autres. Sophie et Jean comprennent vite que les chiffres digitaux inscrits au dessus des portes indiquent en fait la capacité d’accueil et le nombre de places déjà prises. Si les espaces duo sont déjà complets, certaines petites structures sont encore libres et Sophie et Jean optent pour un petit sauna de quatre places, inoccupé pour le moment.
La pièce est étonnamment grande, et un bassin jouxte la cabane du sauna. Au dessus de leurs têtes, le compteur digital affiche maintenant un 2/4.
Jean ouvre la porte du cabanon et laisse le passage à Sophie. Quatre larges bancs de hêtre clair se font face sur deux rangées. Le sauna est entièrement lambrissé de bois de pin sombre, ce qui créé une certaine intimité. En refermant la porte, la pénombre se fait plus dense encore, et c’est à peine si on distingue à un mètre devant soi. Les serviettes et les bancs se détachent ainsi et créent des points de repère visuels.
Finalement, Sophie et Jean décident de s’asseoir tous deux l’un à côté de l’autre, sur le banc inférieur de gauche et si, dans un premier temps, Sophie reste bien droite, Jean, lui, s’avachit quelque peu et laisse sa tête reposer sur le banc supérieur.
Tandis qu’ils commencent à transpirer, Jean effleure de sa main la cuisse de Sophie qui se tourne alors vers lui pour l’embrasser. Leurs lèvres se soudent, et Sophie laisse glisser ses doigts sur le torse de son homme. Elle lui sourit, et comme ils ne sont que tous les deux, elle s’allonge sur le banc et pose sa tête sur sa cuisse. Bien installée sur le dos, elle replie légèrement ses jambes, l’espace ne lui permettant pas de s’étendre totalement. La situation est propice aux caresses, et Jean profite de l’occasion pour caresser d’une main le ventre plat tandis que l’autre s’égare dans les longs cheveux épars.
La situation excite Jean qui commence à durcir. Sophie, qui sent la protubérance contre sa tête, lui en fait la remarque avec un petit sourire coquin qu’il devine plus qu’il ne voit.
Sophie se redresse légèrement en pivotant sur le côté, puis, d’une main, ouvre la serviette de Jean et laisse jaillir devant elle la queue gonflée. Elle fait glisser le bout de ses doigts, des couilles durcies au gland, en un geste très sensuel.
t’es bien gonflé dis moi…
tu m’excites… c’est normal…
mouais… c’est c’qu’on dit…
Et Sophie se réinstalle sur les cuisses de Jean, l’air de rien.
t’es qu’une garce…
t’aime ça…
Ce disant, Sophie tourne son visage vers Jean et, avec un sourire plein d’envie sur les lèvres, elle embrasse tendrement la base de sa queue.
Jean en profite et défait le nœud de la serviette qui cache encore la poitrine de Sophie. Il écarte fébrilement les pans pour mettre à nu la gorge de sa bien-aimée et effleure les tétons avec la paume de sa main. Il empoigne alors un sein pour le pétrir, avant de passer à l’autre. Sophie apprécie cette caresse un peu brute qui soulage la tension de sa poitrine. Elle gémit de contentement en tentant de prendre en bouche les couilles de son homme et effleure son gland du bout des doigts en le massant délicatement. Jean caresse alors les cheveux de sa belle d’une main, tandis que l’autre part en de sensuelles caresses à la découverte du ventre plat.
Et alors que Sophie suçotait tendrement les couilles de Jean et que sa main à lui venait d’accéder à son mont de Vénus, la porte s’ouvre soudainement pour laisser le passage à un homme. Précipitamment, et avant même d’avoir pu apercevoir le nouvel arrivant, Sophie referme les pans de sa serviette, essayant de la maintenir tant bien que mal pour dissimuler un peu sa nudité. Elle replie ses jambes vers elle, les serrant l’une contre l’autre, ferme les yeux pour cacher son embarras, mais reste allongée sur son mari qui lui, n’a pas bougé.
Dans la pénombre, Jean constate que l’homme vient prendre place sur le banc qui se trouve au dessus du leur, et qu’il s’allonge sur le dos. Pas un mot n’a été échangé.
Quelques minutes se passent, et malgré la situation, Jean a toujours la queue bien gonflée. Il faut dire que Sophie, toute honte première passée, s’ingénie à la caresser avec ses cheveux et sa joue. Elle prend un malin plaisir à jouer de la rigidité de son homme et lorsqu’il écarte sa serviette pour reprendre ses effleurements sensuels sur ses seins et son ventre, elle ouvre le compas de ses cuisses comme un appel à une caresse plus osée et plus directe. Sophie tourne à nouveau son visage et, étouffant un soupir de satisfaction, elle reprend en bouche les couilles biens aimées. Elle fait rouler les boules durcies une à une avec sa langue avant de venir lécher la base de la queue tout en reprenant sa légère masturbation du gland avec le bout de ses doigts. La situation les excite tous les deux et le gland de Jean laisse échapper quelques gouttes de liqueur. Sophie profite de ce lubrifiant naturel et avec son pouce, elle l’étale amoureusement sur le nœud gonflé, avant de suçoter avec délice son doigt souillé.
Jean n’est pas en reste puisque délaissant rapidement les seins au pointes durcies, il dirige sa main vers la chatte aimée qu’il découvre trempée. Son majeur s’insinue sans mal entre les lèvres intimes, ouvertes, ruisselantes, pour remonter aussitôt caresser le clitoris ultra sensible. Sophie écarte franchement les cuisses, et son genou entre en contact avec le banc supérieur. Elle étouffe un gémissement de plaisir et de satisfaction et colle sa bouche sur la queue raide qui se trouve devant elle. Jean fait glisser ses doigts le long de la chatte bien humide et les fait remonter, imprégnés de mouille, pour taquiner le petit bouton durci. Un léger bruit de clapotis se fait entendre. Sophie s’empêche de couiner alors qu’elle en meurt d’envie mais ne peut éviter les mouvements de son bassin qui cherche la caresse.
Le visage enfouit entre les cuisses de son homme, s’abandonnant au plaisir, la bouche pleine des couilles durcies, elle ne voit pas que l’homme installé au dessus d’elle s’est tourné sur le ventre et la regarde. Elle ne remarque pas non plus le bras qui pend soudain, comme par inadvertance, à proximité de sa cuisse. C’est donc surprise qu’elle sent la main de l’homme toucher sa cuisse. Elle se raidit un peu, mais un « profite » à peine perceptible et susurré par Jean la détend à nouveau. Sophie ne se pose pas de question et laisse l’homme faire courir ses doigts sur sa peau, le laisse caresser sa cuisse, du genou à l’aine, dans un geste très doux. Jean délaisse le clitoris et fait à nouveau glisser ses doigts entre les lèvres trempées. Il constate que Sophie mouille de plus en plus et introduit deux doigts en elle aisément. Sophie s’accroche à la queue qu’elle tient en main et entame une ample et lente masturbation.
Jean, qui regarde sa femme le branler en lui bouffant les couilles, caresse la chatte trempée, étale la mouille abondante sur les lèvres qu’il écarte, sur l’anus qui se dilate, et réintroduit plusieurs fois ses doigts dans le vagin accueillant. Un nouveau gémissement prolongé de Sophie, accompagné d’un mouvement plus ample du poignet sur sa queue, indique à Jean que l’homme est entré en contact avec le clitoris gonflé. Il lui laisse alors la place et vient prendre possession des seins de sa belle qu’il caresse, malaxe, presse avec envie. Les tétons de Sophie sont bien dressés et Jean les étire et les fait rouler sous ses doigts. Elle halète maintenant et recule sa tête vers les genoux de son époux. Elle incline sa queue pour pouvoir prendre le gland entre ses lèvres. Ses gémissements se font impatients. Jean regarde sa femme introduire sa bite dans sa bouche puis regarde à nouveau vers l’homme. Il devine plus qu’il ne voie les mouvements de sa main et les déhanchements de Sophie. Il entend que l’homme a bien pris possession de la chatte et qu’il s’en occupe avec soin. Écouter ce doux clapotis, ce bruit de chairs humides, ces mouvements de doigts mouillés qui s’introduisent, qui caressent, qui écartent, qui pénètrent, qui dispensent un bien fou à la chatte de Sophie excitent Jean au plus haut point.
Sophie est aussi très excitée puisque son bassin cherche la caresse et qu’elle pompe avec passion le gland qui lui déforme maintenant la bouche.
Mais soudain, la porte s’ouvre à nouveau, laissant le passage à une nouvelle personne. Sophie laisse échapper la queue de Jean dans un « pop » sonore, ferme le compas de ses jambes et remonte précipitamment un pan de sa serviette sur ses seins. Jean, la queue dressée sur son ventre, laisse sa main immobile sur la poitrine de sa belle. L’homme quant à lui s’interdit tout mouvement et abandonne son bras entre les cuisses de Sophie, sa main restant posée sur sa chatte.
Après un petit temps d’attente ou personne ne bouge, la personne constate que le sauna est maintenant complet et prend place sur le banc en face de Sophie et Jean. L’espace est restreint et ils pourraient se toucher s’ils le voulaient.
Sophie sent la queue de son homme qui est toujours dressée, à quelques centimètres de son visage. Elle ne sait plus quoi penser. La situation l’excitait fortement tout à l’heure, mais maintenant… Elle a faim de la bite de Jean, et sait que la réciproque est vraie. Mais cet(te) inconnu(e) qui vient de rentrer ? Que faire ? Alors, lorsque l’homme, du bout du doigt, effleure à nouveau son clitoris comme pour une demande d’invitation, elle ne se pose plus de question, desserre ses cuisses et s’offre à nouveau. Jean, qui a compris au même moment ce qui se passait, reprend sa caresse sur les seins et écarte la serviette. De son autre main, il prend sa queue en main et caresse sensuellement le visage de Sophie avec son gland. La caresse sur la chatte se fait plus précise, moins timide. N’y tenant plus et à nouveau très excitée, Sophie tourne son visage vers la queue qui l’effleure, sort sa langue pour goûter le gland où perle une goutte de pré-sperme, puis prend les couilles de son homme en bouche et sa bite bien dure en main. Elle le branle ardemment et se régale du jus savoureux de la bite luisante.
Jean regarde l’homme qui caresse la chatte d’une Sophie qui a franchement écarté les cuisses pour s’offrir aux doigts inconnus. Le bruit des chairs mouillées se fait à nouveau entendre, mais cette fois ci, de part et d’autre, les caresses sont lentes et empreintes de sensualité. Sophie se laisse doigter et embrasse la queue et le gland de son homme. Ils sont tous les deux très excités par la situation. Jean a la queue de plus en plus dure et de plus en plus grosse, pour le plus grand bonheur de sa dame. Sophie a les tétons qui pointent et qui sont de plus en plus sensibles, sa chatte dégouline, sa respiration se fait de plus en plus saccadée. Une plainte sourde et continue commence à se faire entendre. Il faut dire que Jean qui malmène ses seins, et l’homme qui investit de ses doigts ses deux orifices et qui agace son clitoris, la rende surexcitée. Elle en oublie presque la troisième personne pour se laisser aller au plaisir.
Jean remarque alors que la personne en face d’eux est un homme également. Il prend sa queue en main et tente de la retirer de la bouche de Sophie qui ne comprend pas et qui continue à téter le gland avec avidité. Avec sa main, Jean prend tendrement le visage de sa belle pour l’obliger à se tourner et à regarder le nouvel inconnu, pour qu’elle constate qu’il branle sa bite en les regardant.
Dans la semi obscurité, Sophie devine et découvre que l’homme a une grosse queue et un gros gland qu’il décalotte bien en se branlant. Lorsqu’elle comprend que l’homme est vraiment très bien membré, sa bouche s’arrondit en un « oh » de surprise et elle s’accroche des deux mains à la bite de son chéri. Cette vision d’une très grosse queue qui bande l’excite encore plus, et les doigts qui viennent dans sa chatte trempée, qui caressent son clitoris et pénètrent son cul, ses seins durs et tendus qui sont pelotés et pressés, et le gland de Jean qui bat contre sa joue, font qu’elle jouit instantanément. La jouissance de Sophie est longue, son ventre explose de mille papillons qui s’agitent en tous sens, et elle ferme les cuisses pour emprisonner la main qui continue ses mouvements dans sa chatte. Pour étouffer les cris de son plaisir, elle reprend en bouche la bite de Jean et s’en sert comme d’un bâillon.
Calmée, le corps détendu mais prompt à repartir à la moindre caresse érogène, Sophie relâche la queue de Jean, se redresse et se lève pour faire face à l’homme qui continue à se branler devant elle. Elle s’accroupit entre ses jambes et le regarde se masturber. Elle est étonnée par la grosseur de l’engin qui lui fait face et tourne son visage vers Jean, lui lançant un petit sourire mêlé de surprise et d’excitation. Jean lui rend son sourire et lui caresse tendrement les cheveux, alors qu’elle reprend sa contemplation. Comme hypnotisée, Sophie se penche pour embrasser le gros gland. L’homme, qui a toujours sa queue en main, se décalotte pour offrir un nœud bien luisant, bien épais. Le contact avec ses lèvres est soyeux, et Sophie a une très forte envie de goûter ce qui lui caresse la bouche. De son autre main, l’homme appuie alors sur la tête de Sophie. Elle comprend ce qu’il veut, ouvre ses lèvres au maximum et les laisse glisser sur la grosse queue, absorbant centimètre après centimètre cette trique géante et palpitante. Elle s’arrête au tiers, réalisant qu’elle risque de s’étouffer si elle veut en avaler davantage. Et pourtant, elle écarte les mâchoires autant qu’elle peut, mourant d’envie de prendre en bouche toute cette colonne charnue. Elle ne peut en avaler plus et se résout à prendre la grosse bite de ses deux mains pour l’entourer. Elle la branle lentement, et suçote le gland qui lui déforme la bouche. Le gland répond à sa succion et suinte abondamment permettant à Sophie de se délecter de cette liqueur. D’ailleurs, la sienne recommence à couler et inonde ses cuisses.
L’homme a repris la tête de Sophie entre ses mains et imprime des mouvements de va-et-vient avec son bassin. Sophie se laisse baiser la bouche par ce gros gland tout en gémissant de plaisir, puis après quelques allers-retours, elle se relève et retourne vers Jean, le regard fou d’envie.
Elle le découvre assis sur le banc supérieur, à côté du premier homme qui s’est assis également. Elle se met debout sur le siège du bas, et Jean l’attire à lui pour l’embrasser à pleine bouche. Sophie étouffe un gémissement de désir et se saisit de la queue bien gonflée de son mari et le branle à nouveau. Jean et Sophie s’embrassent en gémissant, se mangent la bouche avec passion et, tandis qu’elle le branle avec délice, il commence à la doigter avec volupté. Puis, alors que Sophie commence à nouveau à se tortiller sous l’effet du plaisir, l’homme assis à côté de Jean prend sa main et la pose sur sa queue bien bandée. Sophie quitte la bouche de son mari et regarde l’homme avec des yeux où se mêlent l’interrogation, la luxure et l’envie. Il guide sa main sur sa queue. Sophie se laisse faire et branle maintenant les deux bites en même temps.
Couinant sous l’effet du doigt de Jean qui fait rouler son clitoris, Sophie l’embrasse à nouveau, puis, tout sourire, elle s’installe, dressée sur ses genoux, le visage à hauteur de bites. Elle caresse les deux paires de couilles qui lui font face et qui sont bien gonflées sous l’effet du plaisir et du désir. Elle se mord les lèvres et regarde alternativement les deux queues qu’elle a repris en main pour les branler lentement. Elle se dit qu’elle a de la chance d’avoir ces membres bien dressés devant elle, qui bandent pour elle, et elle prend la bite de Jean en bouche pour entamer une pipe dont elle a le secret.
Jean est aux anges. La fellation qu’il reçoit l’excite tout autant que la situation. Il se retient de ne pas jouir, pour que sa belle profite au maximum et qu’elle prenne le plus de plaisir possible. Et pourtant, la langue qui remonte de ses couilles à son gland lui procure un bien fou. Les lèvres qui enserre son gland et la bouche qui le pompe lui donne envie de baiser cette gorge comme un furieux. Il a envie de prendre Sophie, de la faire hurler.
Mais Sophie doit le sentir, puisqu’elle abandonne la queue bien aimée. Elle avale et fait rouler sous sa langue les couilles de l’homme puis remonte sa langue le long de la queue gonflée pour le prendre en bouche et lui montrer ses talents de suceuse.
Sophie branle et suce les deux queues alternativement, en ondulant des fesses et en couinant comme une petite chienne en manque. C’est d’ailleurs ce qu’elle se dit, qu’elle est une vraie salope, et elle entend bien profiter pleinement des deux queues qui sont devant elle. Sous les caresses buccale et manuelle, Jean et l’homme grognent de plaisir. Ces bruits de plaisirs accompagnés de petits mouvements incontrôlés des bassins et ces deux queues qui coulent tant la tension sexuelle est grande mettent Sophie dans tous ses états. Elle couine d’excitation et bouge son petit cul comme si elle se faisait prendre.
Tout à son plaisir, Jean regarde sa petite femme s’exciter sur sa queue et sur celle de son voisin, puis voit l’homme d’en face se lever, la bite en main insolemment tendue vers le haut, le gland gonflé et bien décalotté. S’installant derrière Sophie, sa main se pose sur sa nuque puis glisse sensuellement jusqu’aux fesses. Surprise, elle arrête sa fellation et tourne la tête. Elle voit l’homme derrière elle avec sa queue tendue à quelques centimètres de ses fesses. Sa deuxième main la saisit à la hanche, pour l’amener vers lui, tandis que la première termine sa caresse en empaumant la chatte ruisselante, comme pour en tester l’humidité.
Jean bande encore plus fort, si c’est possible, en regardant l’homme qui fait glisser sa queue entre les fesses et les cuisses de Sophie. Malgré la pénombre, il constate que la queue est luisante de mouille. Sophie, elle, s’abandonne à cette nouvelle caresse en oscillant lascivement du bassin. Reprenant ses masturbations et la queue de son homme en bouche, elle constate que celle-ci coule beaucoup, preuve du plaisir qu’il prend. Elle s’abandonne alors totalement, continue à branler et sucer les deux queues et profite de la troisième qui lui écarte la chatte, lui effleure l’anus et lui caresse son petit bouton. Ces trois queues, dures et grosses à souhait, bien tendues, la rendent folle et sa chatte coule de plus en plus, trempant ses cuisses mais aussi la bite solide et les grosses couilles qui jouent avec son entrejambe.
Sophie est affamée, et le gland qui joue au bord de sa chatte ne fait rien pour la calmer. Aussi, lorsqu’elle sent ses chairs délicates s’écarter sous l’intromission du gland mafflu, elle arrête sa succion et profite pleinement de l’intromission. La grosse bite s’insinue lentement en elle, pénètre la chatte ruisselante. Malgré sa taille et son épaisseur, il la prend jusqu’aux couilles et entame une baise énergique. Les coups de reins sont violents, profonds. Sophie est projetée vers l’avant à chaque coup de queue, puis ramenée vers l’arrière par deux mains puissantes qui la tiennent aux hanches. Elle ne peut plus sucer correctement tant la baise est sauvage.
Jean et l’homme se mettent alors debout et, alternativement, la saisissant par les cheveux, ils lui baisent la bouche pendant que le troisième lui baise la chatte. Le bonheur de Sophie est total et elle jouit de manière répétée, toujours plus fort, toujours plus bruyamment. Le sauna est empli de bruits de baise, de succion, de grognements, de cris.
L’homme derrière elle la besogne vigoureusement, faisant de bons allers-retours dans sa chatte trempée, et Sophie se plaît à penser qu’elle est une belle salope qui se fait bien baiser. Elle pense à Jean qui lui baise la bouche et qui semble très excité. Elle savoure l’instant quand l’homme se retire soudainement, l’att**** par l’épaule et la fait se retourner. La queue en main, il se branle frénétiquement et explose sur ses seins en longs jets. Ce spectacle fait venir l’autre homme qui éjacule également abondamment sur sa poitrine et son cou. Couinant à chaque décharge, Sophie prend en main les deux queues jaillissantes et leur donne de petits coups de langue avant de les prendre en bouche pour les nettoyer.
Le regard halluciné, enivrée par l’odeur du sperme, Sophie se tourne vers Jean. Alors que les deux hommes quittent la pièce, Jean assoit Sophie, lui écarte les cuisses sans ménagement, et s’introduit en elle. Sophie hurle et serre sa chatte sur la bite bien aimée. Elle s’agrippe aux fesses de son époux et accompagne les coups de bassin. C’est une baise rapide, sauvage, violente mais passionnée. Sophie éclate dans une jouissance phénoménale, la tête lui tourne et des étoiles emplissent ses yeux.
Elle ne reprend réellement conscience qu’en se sentant glisser et se trouvant nez à bite avec la queue luisante de son aimé. Elle constate qu’il est très gros, prêt à jouir, et le prend en main tendrement pour entamer une nouvelle masturbation. Elle malaxe et presse ses couilles pour qu’il jouisse le plus de sperme possible et, sentant qu’il arrive, elle pose le gland hyper sensible sur ses lèvres entrouvertes. Dans un râle de joie, Jean déverse sa semence sur le visage de sa belle. Il jouit abondamment, longuement. Elle reçoit le foutre sur son visage, sa langue, prend le gland en bouche pour le boire, laisse la queue finir ses derniers spasmes sur son menton.
Jean et Sophie se regardent et se sourient. Elle a gardé sa queue dans une main et étale sa jouissance de l’autre avant de se pourlécher les doigts. Ému, Jean l’embrasse tendrement d’un doux baiser d’amoureux. Elle sourit à nouveau et reprend en bouche la bite qui n’a pas débandée pour la cajoler et l’embrasser.
Jean s’assied à côté de Sophie et la prend dans ses bras. Il l’embrasse tendrement sur les cheveux.
je t’aime.
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