Bonjour à tous ! Voici une petite histoire qui m’est arrivé il y a quelques temps. J’ai embelli certains passages pour le récit mais la trame s’est réellement passée ainsi.
Cela faisait quelques semaines que je sortais avec Caroline, une belle petite brune mince, une poitrine parfaite, un cul incroyable. Ajoutez à cela un visage d’ange innocent et vous aurez le fantasme de bien des hommes ! En bref, elle était parfaite. Sacrément coquine aussi. Deux jours après que l’on se soit rencontré, elle acceptait déjà de me sucer, et dès le lendemain on baisait comme des bêtes dès qu’on en avait l’occasion. Le seul problème, c’était que depuis quelques temps, elle voulait absolument que je rencontre ses parents. Elle faisait une sorte de fixette là-dessus, si bien que j’ai accepté, même si c’était un peu tôt d’après moi. J’espérais la mettre de bonne humeur et ainsi pouvoir enfin faire de l’anal avec elle, chose qu’elle me refusait systématiquement. Non pas qu’elle détestait ça, mais plutôt qu’elle n’avait jamais essayé et que ça lui faisait un peu peur. Du coup, je me suis dit que si rencontrer ses parents me donnait une chance de l’enculer plus tard, ça valait le coup. J’ai accepté.
On s’est donné rendez-vous devant chez ses parents le lendemain. Elle leur avait dit qu’elle passerait sans préciser qu’elle viendrait accompagnée (selon elle, ses parents risquaient de s’emballer un peu trop si elle les prévenait). Arrivé devant la baraque, on est allé ensemble devant la porte, qu’elle a ouverte sans même frapper (elle avait un double). La maison était étrangement silencieuse, et on a vite compris pourquoi : apparemment, sa petite sœur de 15 ans, que je nommerai pas, avait une compétition d’athlétisme, chose qu’ils avaient complètement zappé. Ses parents lui avaient donc laissé un message disant qu’ils seraient de retour vers 17h, et qu’elle pouvait soit les attendre à la maison soit repasser plus tard. Ça nous laissait trois bonnes heures à tuer…
Bien entendu, j’ai aussitôt eu des idées salaces en tête. En trois heures, on pouvait en faire des choses… mais apparemment on était pas sur la même longueur d’onde puisqu’elle m’a proposé : « Bon, du coup on se mate un film ? ». J’ai acquiescé, déçu, mais pas encore abattu. Je commençais à la connaitre, la Caroline. Il suffisait de la chauffer un peu pour qu’elle parte au quart de tour. On s’est assis dans le canapé et elle a lancé un film au hasard, un navet essayant vaguement de provoquer des rires. Plutôt que d’être concentré sur le film, je me suis concentré sur elle. Elle portait un petit chemisier blanc avec un jean serré, ce qui mettait en valeur sa silhouette de manière incroyable. Bien entendu, elle a fini par voir que je ne regardais pas du tout le film. Je me suis approché d’elle pour l’embrasser, tout en posant ma main sur son cul. N’y tenant plus, j’ai commencé à déboutonner son chemisier, ce qui m’a permis de voir son magnifique soutif rouge. Mais elle m’a dit :
« Arrête, on peut pas faire ça ici…
– Et pourquoi pas ? Tes parents ne seront pas là avant 3h minimum.
– C’est le salon familial. Si on fait l’amour ici, j’aurai cette image en tête à chaque fois que je reviendrai passer la soirée avec ma famille.
– Haha, et alors ? »
Tout pendant qu’elle parlait, j’avais entièrement déboutonné son chemisier. Le fait qu’elle proteste mais qu’elle se laisse faire voulait dire qu’une chose : je l’avais déjà chauffée. Je vous avais dit qu’elle partait au quart de tour.
« Allez, lui ai-je dit en l’embrassant de nouveau, ils ne le sauront jamais.
– Non, vraiment, je… (j’ai déboutonné son jean et glissé une main dans sa culotte. Elle était déjà trempée). Ah ! Attend, attend… ah…
– Avoue, ça t’excite hein ? De faire ça ici, où ton père, ta mère et ta sœur viennent s’asseoir ? »
Elle n’a pas eu besoin de me répondre, trempée comme elle était je le savais déjà. Quelle petite perverse ! Bon, bien entendu je suis pas mieux mais je ne m’attendais pas à ça. J’ai arrêté de la doigter, ai sorti ma bite et me suis assis sur le canapé. Elle ne s’est pas faite priée et s’est mise à genou devant moi. Elle m’a fait une fellation comme jamais. C’était vraiment une experte en ça, elle adorait passer sa langue sur ma bite, la lécher, la sucer. Le tout en me regardant droit dans les yeux, bien entendu. J’ai continué de parler car je voyais bien qu’elle était de plus en plus excitée.
« Alors, dis-moi, c’est la place habituelle de qui ici hein ?
– Hé’ cel’ de mon père, m’a-t-elle dit tout en continuant de me sucer, la bouche pleine
– Et qu’est-ce qu’il penserait ton père, s’il te voyait comme ça ?
– Que je ui’ une perv’se.
– Et tu l’es ?
– Voui. »
Elle m’a sucé pendant encore un moment jusqu’à ce que je n’en puisse plus et que je jouisse dans sa bouche. Je lui ai ordonné d’avaler, ce qu’elle fait avec un plaisir évident, mais non sans en lâcher un peu sur le canapé. Un tache de sperme venait d’apparaître sur la place de papa. Elle l’a regardé, horrifiée, mais je l’ai rassuré :
« Ne t’inquiètes pas, on a tout le temps pour nettoyer. Et si tu me faisais visiter les autres pièces de la maison ?
– D’accord, m’a-t-elle répondu après un moment d’hésitation »
Je lui ai enlevé son jean et sa culotte, mais lui ai laissé son chemisier ouvert et son soutif. La voir comme ça m’excitait beaucoup. Elle m’a emmené dans la salle à manger, où trônait une table en bois assez grande. Parfait. Je l’ai prise par la taille et l’ai assise dessus, puis j’ai entrepris de lui faire un cunni. Comme lorsque je la doigtais dans le canapé de ses parents, elle a commencé à protester verbalement mais ses gestes n’étaient clairement pas en accord avec ses paroles. Le fait que je lui lèche la chatte sur la table où toute sa famille mangeait, hum… je la sentais être encore plus humide que dans le canapé. J’ai continué mon petit manège un moment, lui arrachant des petits cris incroyablement excitant. Puis je l’ai relevé et on a continué l’exploration de ma maison. On est arrivé devant un couloir avec trois portes : son ancienne chambre, la chambre de sa sœur et celle de ses parents. Elle a essayé de m’emmener dans sa chambre mais j’avais d’autres projets. J’ai ouvert la porte de la chambre de sa petite sœur, qui était exactement comme on pouvait s’attendre de la chambre d’une ado de 15 ans : des poster de groupes éphémères sur les murs, quelques livres, une pile de CD… j’ai ouvert le tiroir sous le lit et j’ai rapidement trouvé ce que je cherchais : une boite dissimulée sous un tas de fringue, avec à l’intérieur un petit vibromasseur. Cachette évidente.
J’ai allongé Caro sur le lit de sa petite sœur tout en lui montrant le vibro. Trop excitée pour protester cette fois, elle s’est laissé faire. Elle tremblait littéralement d’excitation quand je lui ai finalement enlevé son chemisier et son soutif, la laissant nue sur le lit. Puis j’ai allumé le vibro (il avait de la batterie, ouf !) et j’ai entrepris de jouer avec son clitoris avec.
« Ça t’excite aussi hein ? T’es sur le lit de ta petite sœur et tu utilises son vibro pour te branler… tu aimes hein ?
– Oui… oui… m’a-t-elle dit, à bout de souffle
– Je me demande si elle l’a nettoyé après sa dernière utilisation… t’en penses quoi ?
– Je… je… je sais paaaas ! » a-t-elle répondu, atteignant l’orgasme à la fin de sa phrase.
Un petit jet de cyprine a jailli, tachant la couette. Caro n’avait l’air de pas avoir remarqué, aussi n’ai-je rien dit pour ne pas la faire paniquer. J’espérais qu’on allait trouver un bon détachant, parce qu’entre ça et le canapé, ça commençait à faire beaucoup. Mais cette pensée a disparu bien vite car j’étais moi-aussi trop excité. Je me suis entièrement désapé (enfin !), et on a quitté la chambre de sa sœur. Cette fois elle n’a pas essayé de m’emmener dans sa chambre. Après ce qu’on venait de faire, elle avait compris. On est rentré dans la chambre de ses parents.
Elle s’est posé sur le lit et je me suis jeté sur elle. On s’est embrassé puis, n’y tenant plus, j’ai placé mon sexe à l’entrée du sien et je l’ai lentement pénétrée. Elle poussait des petits cris de ravissements qui m’excitait énormément, et j’ai dû me concentrer de toutes mes forces pour ne pas jouir en elle sur le champ. Après tout ce qu’on venait de faire, hors de question de venir en 2 minutes ! J’ai continué d’aller et venir en elle, de plus en plus vite puis je me suis retiré et je lui ai dit de se retourner. Là, toujours sur le lit de ses parents, je l’ai sauvagement prise en levrette. Le lit grinçait à chaque coup de bassin, si bien que pendant un moment, j’ai eu peur que l’on casse une latte. Pour ne pas jouir trop vite, je me suis retiré et j’ai tapé ma bite contre son cul, lui donnant de petites fessés. Ce faisant, j’ai envoyé du liquide séminal un peu partout sur la couette mais j’étais beaucoup trop excité pour y penser. Pris d’une pulsion, j’ai posé ma bite à l’entrée de son anus. J’ai attendu sa réaction mais elle n’a rien dit, attendant que j’agisse. L’idée qu’elle se fasse enculer pour la première fois sur le lit de ses parents était extrêmement excitante et j’ai bien failli le faire, mais un petit éclair de raison est parvenu jusqu’à moi. Sans préparation, cette pratique ne laisserait que des mauvais souvenirs, autant pour elle que pour moi. Je voulais pouvoir la sodomiser plusieurs fois moi ! Je suis donc retourné dans sa chatte et j’ai recommencé à la pilonner.
« Alors, ça te fait quoi de baiser dans le lit de tes parents ?
– C’est… génial ! a-t-elle dit dans un souffle
– T’es vraiment une perverse. On pourrait même dire une petite salope, hein ?
– Oui oui oui !
– Je crois que je vais t’appeler comme ça maintenant, ça te va ?
– Ouiiii ! »
N’y tenant plus, je me suis retiré et je lui ai dit de se retourner. Un jet de sperme a jailli directement sur ses seins. Une bonne partie est retombée sur la couette. Oups. Ça, ça allait être dur à nettoyer si on laissait le sperme s’incruster. Caroline l’a compris et a aussitôt entrepris de récupérer le sperme sur sa poitrine pour l’avaler, puis s’est penché pour récupérer le sperme sur la couette. Après quoi elle devait être encore peu rassasiée car elle m’a nettoyé la bite avec sa bouche et j’ai cru que j’allais venir une 2e fois. Je me suis donc assis sur le lit, elle s’est remise à genou et m’a de nouveau sucé, jusqu’à ce que j’éjacule pour la troisième depuis que j’étais dans cette maison. Elle a avalé goulûment, toujours avec autant de plaisir apparemment. Ma petite salope chérie.
On a passé le temps restant à ranger et nettoyer du mieux qu’on pouvait. On a changé la couette du lit de ses parents contre une autre presque identique (malgré les efforts de Caro, c’était évident que quelqu’un avait baisé dans ce lit). On a rangé le vibro de sa soeur et nettoyé la tache cyprine sur sa couette à l’éponge (Caro est devenue rouge de honte en voyant ça, ce qui m’a donné envie de rire). On a nettoyé le canapé également, puis on a entrepris de récupérer nos fringues éparpillées un peu partout (salon familiale, salle à manger, chambre de sa sœur et chambre de ses parents). Ses parents et sa sœur ont débarqué à peine 20 minutes après que l’on ait terminé. Ils m’ont trouvé charmant, et je n’ai pas pu m’empêcher de faire des petites remarques tout le long de la soirée, du genre « c’est un belle table à manger que vous avez là ! Bien solide » ou encore « Oh pardon, c’est votre place de canapé ? Je ne savais pas ». A chaque fois Caroline rougissait légèrement. Pour finir, ils nous ont proposé de rester dormir dans l’ancienne chambre de Caro. J’ai regardé Caroline et j’ai accepté. Après tout, il y avait encore un lit dans cette maison dans lequel on avait rien fait…
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