J’avais trente ans quand j’ai décidé de passer le pas et tenter des jeux bdsm, parcourant les sites, j’avais trouvé une maîtresse de 65ans, ronde, qui souhaitait aussi du réel et avec un « novice »
Après plusieurs échanges, nous avions décidé de passer un week-end ensemble dans un gîte.
Après plusieurs heures de route, pour elle comme pour moi, nous nous sommes retrouvés avec le propriétaire du gîte le vendredi soir vers 21h00.
Après la visite des lieux avec le propriétaire qui est reparti, j’avais amené de quoi faire un apéritif dînatoire, et quelques bouteilles. Vu que nous étions en plein mois de janvier, pas de problème, le champagne était frais, nous nous sommes installés dans le salon. J’ai ouvert et servi le champagne.
– Nicole : « Alors, tu n’es pas déçu par moi, je ne suis pas trop vieille ?
– Moi : non du tout Maîtresse.
– Nicole : On va mettre tout de suite les choses au clair, je ne souhaite pas que tu m’appelles Maîtresse, Nicole suffira.
– Moi : d’accord, Maîtresse. Pardon Nicole.
– Nicole : ne fais plus l’erreur.
– Moi : c’est noté Nicole.
– Nicole : Si tu ne souhaite pas poursuivre et t’abandonner à moi car tu n’as aucune envie, je comprendrais et on passera le week-end tranquillement entre amis, par contre, sinon tu me devras service et obéissance. Alors que choisis tu ?
– Moi : allons y, c’est ce que nous voulions.
– Nicole : Ok, alors pour commencer, voici mes clefs de voiture, tu vas monter tout ce qu’il y a dans le coffre de ma voiture dans ma chambre.
– Moi : j’y vais Nicole, à tout de suite. »
Je suis allé chercher dans sa Mercedes break toutes ses valises : 2 très grosses valises et 2 gros sacs de voyage. Crevant, après la route, c’était pas facile, d’autant plus que l’escalier vers les chambres n’était pas pratique ainsi chargé.
– Nicole : « Tu es sûr d’avoir tout pris ?
– Moi : Oui bien sûr.
– Nicole : Il reste un objet dans le coffre.
– Moi : d’accord, j’y retourne. »
En effet en ouvrant la voiture, il y avait au fond du coffre une cravache à laquelle je n’avais pas fait attention les premières fois.
– Moi : « Tenez Nicole, j’ai trouvé ce qu’il manquait.
– Nicole : tu n’as pas respecté ma première consigne de tout prendre. Pour la peine, cambre toi contre le mur et baisse ton pantalon et montre moi ton cul. »
A peine en position, j’ai ressenti un coup de cravache violent contre mes fesses puis une dizaine à la suite. C’était vraiment désagréable, ça faisait vraiment mal.
– Nicole : « Maintenant tu sais à quoi t’attendre si tu ne fais pas ce que je te dis, allez viens t’asseoir, j’espère que pour commencer je ne t’ai pas fait trop mal »
– Moi : Non Nicole, ça allait », dis-je pour ne pas avoir l’air d’être trop sensible, mais ça m’avait vraiment fait mal et m’asseoir sur mes fesses n’était pas agréable.
– Nicole : « très bien, je pense aussi que ce n’était pas très fort. Alors je vais t’expliquer quelques règles que tu devras suivre, sinon tu connais la sanction et je suis intraitable là dessus. Pour commencer, bien évidemment tu me vouvoies. Ensuite, je veux que tu sois nu en permanence en ma présence, sauf si je t’impose une autre tenue, que je te mettrais. J’attends aussi de toi que tu me dises ce que tu ressens, si tu as mal, trop mal, si tu as du plaisir ou de la gêne, etc. Je ne veux pas de menteur, nous sommes des adultes responsables.
– Moi : Bien sûr Nicole, pas de problème.
– Nicole : Tu vois tout à l’heure, tu m’as dit que tu n’avais pas eu mal après la cravache c’était faux, je sais que tu as eu mal, alors je compte sur ta franchise et ta sincérité. D’accord ?
– Moi : oui Nicole, j’ai compris, c’est vrai que tout à l’heure, j’ai cru que si je disais que j’avais mal, vous ne voudriez pas de moi comme soumis.
– Nicole : Allez c’est oublié je compte sur toi. File dans ta chambre ranger ta valise et te mettre nu et revient qu’on continu cet apéro avec ton très bon champagne et tes autres bouteilles de Bordeaux. »
Je me suis dépêché de tout ranger dans ma petite chambre, de me mettre nu et de redescendre.
Nicole avait allumé la télé. A mon arrivée, elle coupa.
– Nicole : « Très bien, nu comme un ver, heureusement que le propriétaire avait mis le chauffage. Tu baisses les yeux et tu mets les mains derrière le dos, je vais t’inspecter. »
Je me suis exécuté, puis Nicole est venue vers moi, m’a regardé, puis caressé le dos, les fesses, les cuisses, le torse. Elle a pincé mes tétons, puis décalotté mon gland et tripoté mes couilles comme l’aurait fait un médecin. Évidemment, j’ai de suite bandé.
– Moi : « pardon Nicole, je n’arrive pas à contrôlé, ai-je dit en bredouillant.
– Nicole : T’inquiète pas, je ne t’en voudrais pas, je suis flattée, ne te force pas, c’est naturel. Je préfère voir une bite en érection qu’un morceau flasque. En tout cas, tu es épilé de près c’est très agréable. Allez penche toi en avant en écartant les cuisses. »
Nicole s’est mise derrière moi et je l’ai senti écarter mes fesses, les malaxer et bien écarter. Elle a ensuite mis son doigt dans ma bouche puis l’a glissé dans mon petit trou et à fait quelques aller et retours.
– Nicole : « Très joli fesses bien lisses, ta rondelle est très serrée, elle n’a pas dû beaucoup servir. Qu’en est il, tu m’avais dit être habitué ?
– Moi : c’est vrai, j’ai essayé quelques objets et godes mais rien de plus et rarement.
– Nicole : avais tu aimé ?
– Moi : au final oui mais pas toujours.
– Nicole : merci de ta franchise, une femme ou un homme t’a-t-il déjà mis un gode ou une bite ?
– Moi : non jamais.
– Nicole : donc tu m’offres ton dépucelage, merci beaucoup, c’est une belle surprise à laquelle je ne m’attendais pas suite à nos échanges. On verra si on y touche ce week end.
Le reste de la soirée, jusque vers 2h30, nous avons bu et parlé de tout et de rien, de nos vies, etc. Un peu sur tout ce qui touche nos envies, nos désirs. Au moment de se coucher, Nicole m’a posé un baiser sur mes lèvres. Elle m’a demandé de la réveillé à 9h00.
A l’heure désirée après une nuit très court, j’avais été faire des courses et je l’ai réveillé en douceur avec un petit déjeuner servi au lit.
Pendant son petit dej au lit, j’étais nu dans la chambre, yeux baissés, comme demandé. A la fin, j’avais préparé un bain chaud comme demandé. A ma grande surprise, elle m’a demandé d’être debout dans la baignoire et elle m’a lavé le corps des doigts de pied à la tête, s’attardant à mes parties, bite, couilles et anus. Je me suis même fait branler avec l’eau savonneuse, avec un doigt qui allait et venait dans mon anus. Ca a peut être duré quelques minutes tout au plus, mais j’ai adoré ce moment de sensualité qui m’a semblé passer très vite. Puis elle m’a rincé et essuyé. Elle m’a ensuite dit de la nettoyer de la même façon.
Je lui ai retiré sa robe de chambre, j’ai pu enfin voir ses formes de femme mûre. De magnifiques formes rondes, des seins lourds tombant, des fesses rondes et lisses. Je me suis amusé à savonner lentement profitant de chaque centimètre carré de sa peau. J’ai soulevé et soupesé ses seins pour bien nettoyer en dessous, son nombril, écarté ses fesses pour nettoyer sa rondelle comme elle avait fait pour moi. J’étais excité et ça se voyait. Je me suis laissé aller à lui glisser un doigt dans l’anus et chatouiller son clitoris.
– Nicole : « Stop !! T’ai-je autorisé à mettre un doigt ?
– Moi : pardon maîtresse, je croyais que vous aviez demandé comme pour moi.
– Nicole : deuxième consigne non respectée.
– Moi : oui pardon Nicole.
– Nicole : tu sauras que mon intimité m’appartient et tant que je ne te demande rien clairement tu ne dois pas y toucher. La tienne par contre m’appartient et je fais ce que j’ai envie de faire. Tu seras puni doublement. Allez finis a toilette.
– Moi : oui pardon Nicole. »
J’ai fini de la rincer et je lui ai mis son peignoir.
Elle m’a dit de rester dans la salle de bains et d’y faire le rangement / ménage.
Puis elle m’a appelé dans sa chambre. Ses valises étaient ouvertes et vides et elle avait mis sur le lit et sur le bureau tout un tas de sex toys et autres accessoires. Elle m’a attaché les mains dans le dos avec des menottes et m’a mis un bandeau sur les yeux. Sans la vue je me suis concentré à ressentir les bruits, puis je l’ai sentie contre moi se frotter, elle avait l’air nue, elle devait avoir retiré son peignoir. Elle a attrapé mon sexe et l’a branlé doucement. L’érection ne s’est pas faite attendre. J’ai senti qu’elle bougeait et qu’elle frottait ma bite à un endroit précis.
– Nicole : « Tu vois ton gland est contre mon anus, je suis sûre que tu aimerais le rentrer, je l’aurais bien fait mais tu as été dissipé dans la salle de bains. Tu y as déjà mis ton doigt et ce sera suffisant. »
A la suite de quoi elle a pris mon sexe en mains et j’ai reçu une violente douleur sur le gland.
– Nicole : « le coup de cravache sur le gland c’est pour m’avoir appelé Maîtresse »
Elle a repris mon sexe en mains, j’ai eu peur de la suite, je ne voulais pas d’autres coups sur le gland, ça faisait trop mal. Et là j’ai reçu un autre coup très fort sur mes couilles. Je me suis plié en deux et je suis tombé sur le sol, tellement ça m’avait fait mal.
– Nicole : « Ça c’est pour le doigt dans mon cul sans mon accord. Tu as dû avoir très mal, mais c’est mérité, j’espère que tu as compris la leçon.
– Moi : oui Nicole, je ne recommencerai pas, j’ai vraiment très mal »
Elle m’a détaché les menottes et retiré le bandeau et m’a pris dans ses bras. Elle m’a embrassé tendrement à pleine bouche. Ce réconfort était très agréable au regard de la douleur que je sentais encore dans le bas du ventre et jusque dans le dos.
Elle a ensuite pris un plug anal et a glissé un liquide froid sur ma rondelle qui devait être du lubrifiant, puis elle a mis le plug dans mon intimité. Elle m’a ensuite enfilé une petite culotte féminine noire et m’a mis un porte jarretelles noir et des bas noirs. Elle est partie dans ma chambre et m’a mis mon pantalon, une chemise et un pull.
Elle s’est habillée devant moi avec des collants et une jupe au genou. Puis on s’est couverts et on est partis se promener toute la journée comme ça. Comme des gens normaux. Voir comme un couple amoureux, parfois en s’embrassant, d’autres fois, elle frottait mon entrejambe et mon cul, à sa demande je lui rendais la pareille.
Quel sentiment étrange que de porter des sous vêtements féminins pour la première fois, la sensation du pantalon sur les fesses nues ouvertes par le string. La sensation d’être observé. Et puis cette relation de complicité s’installant. Pouvoir parler de mes fantasmes enfouis et cachés, se laisser aller à les vivre.
suite à venir
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