JOHANNA une vie de putain 12
C’est le premier jour où elle se retrouve à faire le trottoir, Johanna est satisfaite d’avoir fait ça presque naturellement avec son premier client.
Avec le dressage que son maître lui a fait subir peu de choses peuvent maintenant la perturber.
Son cerveau est conditionné pour obéir sans états d’âme à Harold et ce que lui veut elle le fera.
Il ne lui manque plus que de la pratique pour devenir une bonne prostituée.
Adossée à un mur elle relève et replie un peu une jambe dans le but que sa mini-jupe se relève et mette en valeur ses cuisses et afin de montrer beaucoup sans être trop vulgaire.
Il ne lui faut pas attendre longtemps avant qu’un jeune homme ne l’aborde.
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Elle lui donne le tarif qui semble lui convenir puis il la suit jusqu’à sa chambre.
Il sort les billets de sa poche et les donne à la prostituée.
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Il s’exécute puis s’assoit sur le lit.
Johanna se met à genoux en face de lui puis après lui avoir mis un préservatif elle caresse le pénis qui ne bande pas correctement.
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Elle le masturbe jusqu’à ce qu’il aie une bonne érection.
Puis après avoir un peu léché la queue, elle lui fait une fellation en triturant en même temps les testicules.
Elle fait varier la vitesse et l’amplitude des aller-retour de sa bouche sur le membre.
La tapineuse cesse de sucer et tourne la tête vers son client.
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Elle reprend la fellation et rapidement le jeune homme se raidit et elle ressent dans sa bouche les soubresauts de la verge qui répand des giclées de sperme dans la capote.
Elle se relève, tend un morceau d’essuie-tout à son client.
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Rapidement ils regagnent la rue.
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Il s’éloigne pendant qu’elle retourne tapiner.
Pendant la journée les clients se succèdent, les males sont attirés par sa jeunesse et sa beauté et même certains hommes qui ne faisaient que passer dans la rue pour se rendre ailleurs se laissent tenter.
Ce qu’elle trouve vexant ce sont les phrases et sourires moqueurs des hommes quand ils sont en groupe ou aussi de couples ou de femmes.
Deux femmes qui passaient à côté d’elle ont dit:
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C’est vrai qu’avec son physique Johanna paraît très jeune heureusement pour son mac que sa fausse carte d’identité au prénom de Nadia lui donne dix neuf ans.
Elle a une belle paire de seins et des fesses à damner un saint, sans parler de ses jambes qu’on ne peut qu’admirer.
Des hommes de son village disaient d’elle: elle a une bouche et des lèvres à tailler des pipes ce qui était un compliment.
Le soir son maître, qui est devenu son souteneur, vient la chercher.
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Elle lui répond.
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En voiture après avoir emprunté quelques rues ils s’arrêtent devant un immeuble de construction récente.
Johanna suit son mac et prenant l’ascenseur ils montent au quatrième étage et entrent dans un appartement simplement mais correctement meublé comprenant une salle, une chambre et une salle de bain.
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<<ça ira maître, en fonction de ce que vous m'avez dit je vais savoir me débrouiller>>.
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Elle fouille dans son soutien-gorge et en sort des billets qu’il compte.
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Elle est surprise, est ce qu’il veut lui faire l’amour?
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Une fois qu’elle est nue Harold inspecte les vêtements puis lui demande de bien écarter les jambes, avec ses doigts et s’éclairant avec une lampe de poche il fouille dans sa chatte.
Elle doit se pencher en avant, il en fait de même pour l’anus.
Satisfait il lui donne une tape sur les fesses.
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Il lui tend quelques billets pour qu’elle aille s’acheter du manger.
Avant de partir il lui dit:
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il sort de l’appartement.
Johanna enfile uniquement un jean et un blouson puis sort pour faire des courses, bien conditionnée à aucun moment elle ne songe à se sauver.
Sa vie liée à Harold est maintenant toute tracée et axée sur la prostitution.
Le lendemain Harold vient la chercher, elle retrouve son coin de trottoir.
Décidée à faire plaisir à son souteneur elle en fait beaucoup (même trop) pour attirer les hommes avec des sourires, des clins d’oeil, des mouvements du corps ainsi que des paroles sans équivoque invitant les passants à une relation intime avec elle.
Jeune et jolie comme elle est c’est sans peine que les hommes se laissent tenter et l’accompagnent dans sa chambre.
Faire des pipes ou se retrouver avec une bite dans la chatte l’amuse maintenant.
Quand un client veut qu’elle dévoile son corps, elle se déshabille après qu’il aie payé un supplément, elle se dit que se montrer ne peut que fidéliser ses clients et lui en amener d’autres par le bouche à oreille.
En début d’après-midi deux tapineuses, une black qui a environ la trentaine et une Française brune un peu plus âgée et le visage déjà marquée par le métier, viennent la voir et parlent avec elle.
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Elles lui apprennent qu’elles aussi travaillent pour Harold qu’elles surnomment « le gigolo sans coeur ».
Elles sont passées par « la ferme des horreurs » comme elles disent.
Elles préviennent Nadia, puisque c’est comme ça qu’elle s’appelle dorénavant sur sa carte d’identité et que sur celle-ci elle est vieillie pour éviter certains problèmes, que si elle se relâche leur mac ne lui fera pas de cadeau.
Elles retournent arpenter leur morceau de trottoir
L’homme qui aborde Johanna a une mise très négligée et ne sent pas bon.
Elle n’ose pas le rabrouer.
Une fois dans la chambre il demande à la voir nue, pour éviter cela elle lui demande un gros supplément qu’il lui donne sans discuter.
Une fois nue après lui avoir mis un préservatif elle s’allonge sur le lit et écarte les jambes, il se met sur elle mais bande mollement.
Elle le masturbe vigoureusement et elle s’active pendant un moment avant d’obtenir une érection plus satisfaisante.
Il la pénètre et commence à donner des coups de reins, elle est incommodée par l’odeur qu’il dégage.
Voulant en terminer vite elle fait bouger son bassin en cadence avec lui mais le temps passe sans qu’il n’éjacule.
De nouveau elle le masturbe puis c’est elle qui le chevauche et après un temps qui lui a paru interminable il se soulage dans la chatte de la putain.
A cause de la forte odeur que son client dégage elle est au bord de la nausée.
Ils quittent la chambre et en descendant l’escalier l’homme lui dit:
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Johanna comprend que les autres prostituées lui ont fait une vacherie et ont voulues la dégoûter.
Les heures passent, elle est contente de sa recette.
Harold vient la chercher et la ramène chez elle.
Il compte l’argent qu’elle lui remet puis la fouille après qu’elle se soit déshabillée.
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Il s’assoit sur le lit.
A genoux à côté de lui elle dégrafe sa ceinture, ouvre son pantalon et sort la queue qui est déjà en érection.
Elle caresse puis embrasse longuement le membre ensuite le lèche partout.
Elle lèche, suçote le gland avant de l’aspirer.
Ensuite elle prend la verge dans sa bouche dans laquelle elle le fait entrer presque entièrement.
Peu pressée les aller-retour de sa bouche sur le membre sont d’abord lents puis deviennent rapides pendant un petit moment, ensuite elle fait varier la vitesse en fonction des réaction du corps de son maître.
Il a du avoir un rapport sexuel avant de venir la chercher car Johanna doit s’employer pendant un bon moment.
Enfin le corps de Harold se crispe et ses mains viennent appuyer sur la nuque de la fille qui se retrouve le nez dans les poils du pubis de l’homme.
La queue s’agite dans sa bouche et du sperme y coule qu’elle avale sans difficultés car il n’est pas abondant confortant Johanna dans l’idée qu’il a déjà baisé avant de venir.
Elle suce encore puis lèche pour rendre propre le pénis qui rétrécit rapidement.
Elle le remet dans le pantalon qu’elle reboutonne puis elle s’occupe de la ceinture.
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<<à partir de demain tu iras travailler à pieds, ce n'est pas loin, soit à l'heure qui sera toujours la même que ce matin>>.
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Il s’en va après lui avoir caressé une joue.
Johanna vient à peine de dîner qu’on sonne à l’interphone.
Elle décroche tout en regardant sur l’écran.
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Quelques minutes plus tard l’homme bien sapé qui pénètre chez elle n’est pas très grand, il n’a plus beaucoup de cheveux mais il n’est pas vilain à regarder.
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