Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe à l'école

Chap. XV « Dressage de Viviane »

Chap. XV  « Dressage de Viviane »



=== Chap XV ===

C’est ainsi que commença la descente aux enfers…

C’est à la fin de cette semaine passée avec Viviane que débuta la véritable relation que j’eus avec elle. Avant c’était une belle histoire entre moi et elle. Je me serais bien satisfait de cette relation, sans doute aurions nous fais quelques frasques mais bien anodine au regard de ce qu’il allait advenir.

Avec Patricia, j’avais été soumis, j’avais apprécié les sévices qu’elle me faisait subir et qui décuplaient mon plaisir. Je devais maintenant quitter le rôle de soumis pour endosser celui du maître. C’était un véritable apprentissage, je devais acquérir les bons réflexes et c’était Viviane qui devait m’inculquer les rudiments, elle devait me guider, guider mes premier pas. Et au fond, dans toute relation de soumission, contrairement à ce que montre le jeu, le véritable maître du jeu n’est pas le dominateur mais bel et bien le/la soumis(e).

Il faut bien comprendre que ce genre de relation est toujours librement consenti, même si on arrive dans des extrémités qui confinent à l’horreur. Certaines actions destructrices peuvent survenir mais elles sont toujours acceptées par la soumise ou le soumis. D’ailleurs je ne prendrais aucun plaisir à forcer quiconque à une action non désirée, non acceptée. Dans ce monde curieux il existe une sorte de garde fou, que tout le monde accepte c’est le Safe Word ( mot de sécurité). C’est une convention, un mot que prononce le ou la soumise quand il ne peut, ne veut aller plus loin. Je n’ai jamais vu personne outre passer ce mot. Il est toujours choisi avec soin et il est en général étrange ou décalé. Pas question d’utiliser « Non » par exemple ou « pas çà » qui sont des termes qui montent aux lèvres dans le feu de l’action sans même y penser.. C’est à cause de cela que quand on assiste à une séance SM on peut avoir l’impression que l’esclave est obligée, forcée car on l’entend dire des choses comme « Non pas çà Stop » qui ne sont pas le Safe Word effectivement l’impression que l’on outre passe la volonté de l’autre est forte.. Mais si un mot est prononcé comme « canard, rouge, chine ou un autre mot anodin » c’est là que tout arrête.

La convention veut que si ce mot est prononcé tout s’arrête, cela met fin au rapport immédiatement. Parfois même celui qui domine attend impatiemment que son esclave prononce ce mot. En ce qui me concerne surtout au début, je priais pour qu’elle me dise « ROUGE » qui était notre mot..

Il y eut donc une première fois, je découvris que Viviane avait ce qu’il fallait comme matériel et que son appartement disposait des aménagements utiles à ces pratiques. Viviane m’avait longuement expliqué que plusieurs choses étaient nécessaires pour qu’elle soit pleinement satisfaite et qu’elle atteigne les sommets de la jouissance, je devais la considérer comme un jouet, ne plus lui laisser le choix, l’humilier était un plus, l’insulter également. Les coups mais aussi l’attente jouais un grand rôle, il fallait lui dire ce qui allait se passer et c’était son esprit qui accumulait la peur, le désir d’avoir mal anticiper ce qui allait se passer participait largement à son excitation. Se greffait bien sur les manipulations et pénétrations plus classiques.. Il fallait combiner tous ces éléments pour qu’elle atteigne le nirvana. Je devais me rendre compte rapidement que non seulement ces éléments étaient nécessaires mais encore venait s’ajouter drogue et alcool qui la mettait dans un état de réceptivité encore plus grand, voir avec certaines drogues elle atteignait un seuil élevé de tolérance à la douleur ce qui permettait des pratiques extrêmes.

Je n’oublierais jamais ce soir là, Viviane avait préparé dans la chambre sur le lit les instruments qui allaient me servir à là dresser : un martinet aux lanières de cuir, et dont le manche clouté pouvait servir de god, une cravache d’équitation longue et souple, un fouet souple assez court en cuir tressé, des pinces métalliques reliées par une chaîne en deux exemplaires, plusieurs gods, et vibros de tailles différentes, des liens,des chaînes, mousquetons et des menottes.

Tout cela était prêt à l’usage. Viviane m’avait demandé de rester habillé. Elle s’était éclipsée pour se préparer dans la salle de bain. J’étais fébrile, à la fois impatient et redoutant l’expérience. Je n’avais jamais eu à jouer ce rôle. Et au fond ce n’était pas dans ma nature (du moins j’en était persuadé) de faire souffrir une femme. J’avais bien sur mit quelques claques sur les fesses.. pincé quelques bouts de seins et tiré quelques chevelures un peu brusquement. Avec Patricia j’avais eu l’occasion de mettre quelques coups de martinets lors de nos soirées mais cela restait plutôt symbolique. Viviane m’avait en quelque sorte briefé, je ne devais pas m’inquiéter des marques qu’elle pouvait avoir et je lui avait promis que tant qu’elle ne me demanderait pas explicitement d’arrêter, que je la tourmenterais.

La lumière de la chambre était chaude, relativement douce mais ne laissais rien dans l’ombre. Je savais maintenant où je pouvais entraver « mon esclave » devant cette tenture rouge qui ne m’avait jamais choqué mais dont je comprenais maintenant le but. En haut et en bas des crochets était dissimulés, ils serviraient à entraver ma belle.

La porte de la salle de bain s’ouvrit sur une merveille, Viviane était superbe, sa longue natte ramenée sur son buste cascadait entre ses deux seins, son maquillage noir mettait en valeur le gris pale de son regard dont l’intensité était plus forte que jamais, intense et équivoque. Sa tête le menton incliné vers sa poitrine et ses yeux levés vers moi lui donnait une posture à la fois soumise et de défi. Sa bouche rouge vermillon, luisante avec cette langue rose qui passait et repassait sur ses lèvres était d’une sensualité intense. Ses seins, les pointes brunes tendues par son excitation était comme deux fruits offerts, soutenu par un soutien gorge sans bonnet, ce qui les remontait avec arrogance.

Sa taille ceinte d’une chaîne, son pubis rasé de frais, des bas noirs en soie accrochés à un porte jarretelle en cuir, gaînaient ses jambes au galbe parfait. Et ses escarpins vernis aux talons d’une finesse et une hauteur vertigineuse lui conférait une démarche affolante. Son cou était serré dans un collier de cuir clouté et une laisse y était accrochée.

Mon cœur battait la chamade et son apparition avait aussitôt provoqué une érection qui ne semblait pas vouloir passer de si tôt. Viviane approcha de moi, son déhanchement était affolant. D’une main elle me tendit la laisse, je la prit dans ma main gauche. Viviane rodée à ces jeux croisa ses mains sur sa nuque, écartant les coudes ce qui eut comme effet de remonter ses seins et de les offrir à mes mains.

Elle me regardait, toujours la tête baissée. Tout en tenant la laisse tendue, je pris en main la cravache. Viviane me regardait intensément, sa bouche entrouverte, son souffle un peu court faisait monter et descendre sa poitrine. Ses tétons étaient tendus. Le silence était impressionnant, pesant même. On n’entendait que son souffle, et le frôlement de mes vêtements. Elle était nue, moi habillé. Je savais les sensations qu’elle éprouvait. L’attente, le désir de sentir les mains s’emparer de vous, sentir la punition tomber, mais l’attente génère son poison, l’excitation qui monte, la peur qui s’insinue en vous.

Lentement je tournais autour d’elle, admirant ses formes, la cambrure de ses reins, je laissait la cravache se promener sur sa peau, dessiner le contour de ses fesses, le galbe de sa cuisse. Du bout de la cravache je suivais maintenant le contour de son sein, je levais l’instrument d’un geste brusque, Viviane se raidit, attendant le coup, ses lèvres avait exhalé un souffle infime avant de retenir sa respiration. Elle frissonnait, petit à petit le frissonnement se transforma en léger tremblement. Promenant le bout de ma cravache je descendais le long de son ventre, arrivant au triangle de son sexe. Je poussais le bout de la cravache entre ses cuisses.

« Écarte!! » dis-je d’une voix aussi dure que possible

Viviane obtempéra aussitôt et se campa sur ses jambes les cuisses le plus écartées possible. Son tremblement était encore plus sensible maintenant. Je promenais ma cravache sur la peau à l’intérieur de ses cuisses. Je tapotais une cuisse, puis l’autre du bout de l’instrument, puis je le faisais glisser vers sa fente, d’où pendait ses petites lèvres, crêtes brunes froissées qu’elle détestait souverainement.

Là ou se rejoignait les lèvres pour former un capuchon, son clitoris pointait, commençant à se montrer. J’avais connu peu de femme dont le clitoris était aussi charnu et visible. Ma cravache s’insinua entre les lèvres de son sexe. Je la manœuvrais, d’avant en arrière, frottant ce con visiblement déjà moite qui laissait une trace luisante sur le cuir de ma cravache. Viviane poussa un petit soupir quand eut lieu le premier contact. Puis quand je fis aller et venir celle-ci entre ses cuisses ses hanches accompagnèrent le mouvement.

C’est à regret qu’elle senti l’engin quitter cette zone oh combien sensible. Mais encore une fois, son tremblement s’accentua. Plus le temps passait, plus la punition se rapprochait. Pour ma part ce jeu m’excitais et je bandais de plus en plus. Mais j’avoue que je retardais le moment ou j’allais frapper. J’avais du mal à accepter cet augure, mais je savais que si je n’accédais pas à ses désirs, notre histoire ne pourrait durer. Le moment était important. Je devais me résoudre à la frapper, je n’avais pas décidé quelle partie de son corps j’allais meurtrir.

Viviane m’avait expliqué que je ne devais pas retenir mes coups et ne pas tenir compte des marques qui allaient naître sur sa peau. Pour commencer je ne voulais pas frapper un endroit très sensible.. Et je finis par me décider. Je tournais autour d’elle, laissant vagabonder le cuir sur sa peau, levant l’extrémité aléatoirement, ce qui ne lui permettait pas de prévoir quelle zone recevrait le coup.

Ce fut sa fesse gauche, je levais l’extrémité et d’un geste sec l’abattait sur sa fesse. J’avais frappé avec précision et force. Viviane poussa un petit cri et son tremblement s’accentua. C’était incroyablement excitant de la voir dans cette attente. Un second coup fut pour la fesse droite. Nouveau cri.

Maintenant je caressais son échine du bout de la cravache. Et je plaquais un coup sur son omoplate, le bruit était sec, je me rendis compte que je frappais bien plus fort que je ne l’avais pensé car ses fesses rougissaient. La marque de ma cravache naissait sur sa peau blanche. Je me souvint alors de notre discussion.

Je me mis face à Viviane, lui remontais le menton. Ses yeux étaient plein d’une flamme étrange. Ce regard était une invitation au pire. Elle tremblait comme une feuille. Je lui crachais au visage, ma salive arrivant pile sur sa bouche. Elle inspira profondément, rejetant la tête en arrière et fermant à demi les yeux. Elle fut parcourue d’un frisson intense. Viviane adorait l’humiliation. Lui cracher au visage ou dans la bouche faisait partie des rituels qui éveillait le désir en elle. Je la comblais en agissant ainsi. En fait l’exercice était plus aisé que je ne l’aurais pensé.

« Tu est excitée, salope!! je vais te dresser petite chienne!! » dis je d’une vois forte.

Ces paroles firent autant d’effet que 10 coups de cravache. Mon dieu ce regard, comment le décrire. Viviane avait la capacité ( comme toutes les femmes vraiment soumises) de susciter l’envie de la maltraiter. Un mélange de défi, de peur, de bête traquée en un seul regard. Je la giflais cette fois vraiment violemment, imprimant mes doigts sur sa joue.

Elle tituba, déstabilisée. Me jeta un regard qui me donna aussitôt le désir de faire mal. Je posais ma main sur son sein et prenant son téton entre mon pouce et mon index je serrais et tirait vers le haut la pointe tendre. Bouche ouverte, cri bloqué au fond de la gorge, Viviane me défiait toujours du regard. Je pinçais tournait, tordait le bourgeon.

Ma queue gonflait de plus en plus. Ce n’est que quand je lâchais la pointe qu’elle poussa un cri. J’avais fait mal, elle avait les larmes aux yeux. Je glissais une main entre ses cuisses, elle se cambra lançant son ventre en avant.. La fente était humide, ses petites lèvres déjà poisseuses de mouille.. Glissant mes doigts vers le haut de sa fente, j’atteignais le clitoris, dur tendu saillant sous son capuchon de chair. Quand je posais mes doigts sur la bille, Viviane poussa un petit cri et se mit à trembler de plus belle.

Empoignant la laisse, le la tirais vers le mur, contre la tenture rouge. Elle appuya ses mains contre le mur et cassant ses reins, se cambra, faisant saillir sa croupe rebondie, ses cuisses bien écartées mettaient en valeur son minou. Cette fois je pris le martinet. Je caressais son dos avec les lanières. Elle me regardait en coin. Le tremblement qui l’agitait s’amplifiait, sa respiration était courte hachée. Je levais le bras et abattait le martinet sur son dos. Les lanières firent un bruit sec quand elles heurtèrent son dos. Elle creusa le dos, faisant saillir ses omoplates en poussant un cri.

Rapidement les traces roses apparurent sur sa peau. Un nouveau coup, sur les reins. Viviane se cambre. Un autre sur les fesses, puis les cuisses. A nouveau sur le dos, clac, clac encore. Son dos est un entrelacs de marques rougissantes. Viviane crie a chaque coup. Je frappes, je retiens mes coups mais c’est fort. Elle souffle me regarde, attend les coups.

« Plus fort » souffle t elle.

J’abats les lanières sur son dos avec plus de force. Elle accuse le coup et cette fois des marques rouges un peu en relief naissent sur sa peau. Un autre coup sur la naissance de ses fesses. Elle creuse les reins se tord en criant. Une dizaine de coups tombent elle est rouge de la nuque au bas des fesses, les marques forment une résille rouge sur sa peau blanche. Une fine sueur commence à perler sur ses flancs sous ses aisselles.

Je ne reste pas insensible, ma queue est dure gonflée, mes tétons qui frottent contre ma chemise sont durs et sensibles. Son sexe m’excite terriblement, arc-boutée contre le mur, sa chatte est offerte. Elle baille, rose nacrée, humide je la vois palpiter. J’ai une furieuse envie de lâcher tout et de la prendre.

Je suis surpris, elle mouille abondamment rien que les coups la font ruisseler. Je n’y tiens pas et je glisse deux doigts dans cette fournaise, je les agite et quand je les ressort ils sont crémeux. C’est encore pire que je ne pensait. Viviane est excitée comme jamais. Je ne tiens plus.. Je la prend par les cheveux, je l’oblige à s’agenouiller, je sors ma queue et la plante dans sa bouche. Viviane est passive, elle accepte ma queue, mais ne prend pas d’initiative. Je pousse mon sexe au fond de sa gorge. Je maintiens sa tête d’une main et avec le martinet je lui frappes le dos. Elle s’étouffe, un haut-le cœur la secoue. Je ressors de sa bouche, ma queue luisante de salive. Elle à les yeux pleins de larmes, la bave coule sur son menton et goutte sur ses seins en traces nacrées.

« Debout putain!! » dis je en tirant sur la laisse.

Elle se relève, appuyant ses épaules contre le mur.

« Tes mains!! Salope!! »

Elle renoue ses doigts sur sa nuque. Elle est appuyée par les épaules, ses pieds son loin du mur elle est tendue comme un arc. Son sexe lancé en avant, son ventre et ses seins exposés. Elle me regarde ses lèvres luisantes de salive, la bouche ouverte sa respiration est saccadée. Elle regarde le martinet.. Elle sait, elle sent .. Je lève le bras et d’un coup sec j’abats les lanières sur son ventre. Un cri bref, aussitôt les marques apparaissent.

Cette fois le martinet tombe sur ses seins.. j’ai frappé fort..
Elle crie « Encore… »,
Nouveau coup .. « Plus fort »

Je continue et les coups pleuvent sur ses seins qui tressautent sous les coups. Dix coups pleuvent, ses seins sont rougis zébrés. Les larmes coulent entraînant le rimmel en longues traces noirâtres. Sa respiration hachée, elle me regarde, son regard implorant, je sais que ce n’est pas l’arrêt des hostilité qu’elle recherche mais un cran au dessus.

J’approche mon visage du sien. Elle tente de m’embrasser, je crache dans sa bouche.. Elle émet un soupir ses yeux a demis clos papillonnent. Elle savoure ma salive, passant sa langue sur ses lèvres pour ne pas perdre ce qui est resté sous son nez.

Viviane est méconnaissable. C’est une a****l, une bête aux abois. Mais elle est au bord de la pâmoison. Je retourne le martinet.. J’enfonce le manche entre ses cuisses, son sexe est tellement humide que la pénétration est facile. J’enfile le gode improvisé jusqu’à la garde. Viviane se cambre, gémissante elle va au devant de la pénétration. Le manche du fouet est planté en elle, je donne quelques coups butant contre le fond de son sexe. Chaque coup semble l’ébranler, elle me regarde bouche ouverte, ces yeux levés au plafond, ils sont à la limite de se retourner..

« Ah tu aimes çà Salope!! tu n’est qu’une truie.. tu mouilles en plus!!! »

Je ressort le manche luisant couvert d’une crème d’un blanc laiteux.

« Ouvre ta bouche . Allez suce!! »

Je lui enfile le manche dans la bouche. Elle suce avidement. Elle bave, tousse s’étouffe sur le gros engin. Je me rends compte qu’elle à la main entre les cuisses et qu’elle se branle le bouton..
Je retire sa main.. vivement.

« Salope!!! arrêtes de te branler.. tu n’a pas le droit de jouir!! »

Ses doigts qu’elle avait profondément enfoncé dans sa chatte sont couvert de crème.

« Lèche tes doigts!! Nettoie moi çà esclave!! »
dis je en lui prenant la main et lui forçant à prendre les doigts entre ses lèvres.

Viviane est dans un état second, chaque mot que je prononce semble lui faire l’effet d’un coup. Elle à les yeux hagards, son maquillage est un souvenir ses yeux son cernés de noir, de longues coulures marquent ses joues, son corps est rougis, striés par les coups de martinet. Sa chatte est ouverte,la mouille coule et poisse ses petites lèvres, de fins filaments pendent de son sexe. Ses seins sont durs et tendus.. Je la redresse.. debout les jambes écartées elle me fait face, je lui met les mains sur la tête. Elle est couverte de sueur, sa peau est luisante sous la lumière. Je suis entré dans son jeu et j’aime.. oh oui j’aime.. cette sensation de pouvoir.

C’est un jouet, mon jouet je peut faire ce que bon me semble. Lui donner du plaisir, être doux mais aussi être méchant, dur.. la faire souffrir.. crier.. et dieu que ses cris m’excitent, que son corps déjà marqué me met dans un état hallucinant. Ma queue est tendue, je n’ose pas la toucher de peur d’éjaculer aussitôt.

Je m’empare du fouet, c’est un fouet tressé en cuir il fait une peu plus d’un mètre de long. Je sent que c’est lui qui fait le plus mal. Et Viviane regarde l’objet avec intensité. Je lis la peur dans son regard, mais c’est si équivoque. Elle paraît à la fois terrorisée et impatiente.. J’avoue que j’hésite à me servir de l’engin. Au départ je voulais juste m’en servir comme un épouvantail. Je promène la lanière sur son corps. Mes sentiments sont mitigés.. totalement excité mais d’un autre côté je vois les marques sur son corps.. je n’y ai pas été de main morte. Les rougeurs sont devenues par endroit boursouflures, et là ou elles se croisent le rouge est plus intense.

Viviane doit sentir que j’hésite.. Elle me regarde par en dessous de ce regard de bête.. et elle prononce ces mots

« Cognes moi maître.. cognes moi fort »

C’est peut être le signe que j’attendais, si elle n’avais rien dit j’aurais sans doute reposé le fouet. J’arme mon bras et expédie un coup au mitan de son corps.. la lanière s’enroule un peu au dessus de sa taille.. souple le fouet fais le tour de son buste et l’extrémité vient claquer sur son flanc droit.. Instantanément ce n’est plus un cri mai un hurlement que pousse Viviane. Comme je tire pour réarmer mon bras la lanière tressée glisse sur sa peau, faisant comme une brûlure.

Viviane se plie sur ses genoux.. avant de se redresser vivement se mettant en place dans l’attente d’un autre coup. Les larmes ont jaillis de ses yeux et elle est tremblante et secoué de sanglots.. Un instant je pense qu’elle va prononcer le mot magique. Mais non.. elle me plante son regard entre les yeux et d’un petit mouvement de tête me signifie qu’elle attend de moi que je continue. La lanière siffle, s’enroule au niveau de ses hanches et l’extrémité viens exploser sur son pubis a quelques cm de son clito.

Elle se casse en deux les deux mais sur sa motte. Le premier coup à laissé une trace qui s’enroule juste en dessous de ses seins, elle gonfle a vue d’œil et par endroit on a l’impression que la peau est ouverte, en fait le sang afflue sur les bords de la blessure et reste sous la peau.

La marque sur ses hanches et sur sa motte suivent le même processus. Toujours pas un mot.. elle souffle, inspire et expire violemment comme pour diffuser la douleur. Je m’approche d’elle, je passe mes doigts au long des marques, sa peau est brûlante là ou son tombés les coups.. et je sent que mes doigts lui font mal. Je passe ma main sur sa joue, du pouce je chasse les larmes qui coulent de ses yeux.. Elle me regarde, un regard plein de gratitude.. elle me remercie de la souffrance que je lui inflige. Elle baise la paume de ma main. Je passe mon pouce sur ces lèvres elle le prend et le suçote .. Et d’un murmure rauque elle m’invite à continuer

« Encore… »

Et elle se redresse fièrement, mains sur la tête, redressant le buste, une invitation, une indication.. J’hésite quand même.. confusément je sais qu’elle attend que je frappe à la hauteur de sa poitrine.. mais si je me suis trompé.

Ses lèvres forment un oui silencieux. J’arme mon bras et lance le fouet La partie la plus large heurte son sein gauche pile sur le téton.. la lanière fais le tour du buste et l’extrémité arrive sur l’autre téton.. Cette fois c’est impressionnant. Elle hurle, les bras croisés sur la poitrine meurtrie, tombe a genoux sur le sol.. Je m’avance pour venir à son secours.. elle me regarde et vivement se relève se remettant en position. Le coup à porté. Une trace vermillon fais le tour de son buste, son téton gauche à gonflé la trace part fait le tour de son dos et fini plus fine mais plus profonde en une rigole au bords boursouflés sur son sein droit. En m’approchant je constate qu’une minuscule goutte de sang à perlé sur bout de son téton qui continue a gonfler.

C’est horrible, elle est cette fois vraiment marquée.. elle tremble sur ses jambes.. Mais je remarque que son clitoris est plus saillant que jamais , que la mouille coule le long de ses cuisses, et que de longs fils laiteux sont accrochés à ses petites lèvres.
Je balance nonchalamment le fouet.. je la regarde dans les yeux.. et lui dit

« Tu en veux encore? Ça te fais jouir espèce de pute!! Dis moi que tu en veux encore!!! »

Ses yeux ont les pupilles dilatées, ils sont fous.. hagards.. mais suffisamment clairs pour que je comprenne qu’elle va réclamer encore des coups.

« Oui… cognes fort »

Je balance la lanière et un coup sec elle frappe à hauteur des seins, le coup est fort, très fort, les deux globes de chair tendre accusent le coup, se creusent. Viviane ouvre la bouche dans un cri au début muet qui devient un hurlement déchirant, elle croise les bras sur sa poitrine meurtrie, tombe à genoux, puis s’écroule sur le côté en sanglotant.

Tout son corps est agité de tremblements, son ventre se creuse , palpitant. Ses cuisses s’ouvrent et se ferment, avant qu’elle ne se laisse aller sur le dos, les cuisses largement écartées la tête tournée vers moi sa poitrine martyrisée se soulève par saccade. Sur le visage ravagé de Viviane je vois une expression qui me sidère.. Elle est au bord de l’orgasme, les yeux révulsés.. palpitants..

Je délaisse le fouet et reprend le martinet. Viviane est écartelée sur le sol, ses seins portent les marques des coups, qui gonflent, son téton gauche est fortement gonflé. Jamais je n’avais pu envisager que je me trouverais dans cette situation.. Et mon corps, mon esprit se repaissent de cette souffrance.. ce corps martyrisé ces regards de bêtes traqués, d’a****l sacrifié tout çà me fait bander.. ma queue est dure, je mouille je suis au bord de l’explosion. J’en ai mal dans le bas ventre.

Je caresse le corps de Viviane avec le martinet.. Et je frappe, l’intérieur de sa cuisse droite, puis la gauche jusqu’à ce que ces cuisses soit rougies, striées.. Elle se tords sur le sol criant à chaque impact. Je m’empare des pinces sur le lit. Elles sont métalliques très puissantes.. reliées par une chaînette. Je m’agenouille, et passe ma main sur le ventre, sa peau est moite, brûlante là ou les lanières ont laissé leur marque. Viviane gémis de douleur quand mes doigts touchent un endroit blessé. Mais c’est un mélange de douleur et de jouissance.

Son sexe est béant, palpitant, de longues coulées de liqueur blanchâtre s’en écoule, formant des ruisseaux qui coulent entre ses fesses.. Son con fait des bulles quand la palpitation l’agite. Son clito est totalement sorti de son capuchon.. Je passe mon pouce dessus.. il est doux, gonflé.. humide Rien que l’effleurer, et Viviane se redresse puis jetant ses épaules au sol elle s’arc-boute lançant son ventre vers le haut.. pour retomber dans un cri..

Maintenant, j’ouvre la première pince, Viviane me regarde, ses yeux ont l’air affolés, c’est la pince qu’elle regarde avec insistance. J’approche la pince de son téton gauche, qui est gonflé je place les mâchoires de la pince sur ce bout de chair tendu et lentement je relâche la pression de mes doigts, la pince enserre le bout du téton, malgré les coussinets de caoutchouc ces pinces font un mal de chien, je le sais pour en avoir usé souvent moi même.

Alors que la pince se referme, Viviane pousse une sorte de ululement qui monte dans les aigus, tout en roulant des hanches mais elle n’essaie pas de se soustraire à la douleur. Elle me plante ses yeux dans les miens.. C’est affolant, elle arrive à communiquer par le regard.. Je lis toute la souffrance qu’elle endure mais aussi la gratitude qu’elle ressent.. Sa main agrippe mon poignet et me serre comme pour m’encourager.

A nouveau je recommence et place la seconde pince sur l’autre téton.. Même hurlement.. Viviane semble avoir du mal à respirer, elle s’oxygène bouche ouverte.. haletante, son visage est baigné de larmes, en sueur. Je me comporte en vrai tortionnaire.. je me surprend moi même. A peine ais je placé les pinces que le prend la chaînette entre mes doigts et la tire vers moi, lentement mais inexorablement. Les pinces se serrent d’autant plus que l’on tire sur la chaîne Les tétons se tendent, les seins se déforment Viviane se redresse sur les coudes pour suivre le mouvement.

Je la redresse jusqu’à ce que mon visage soit prés du sien et je pose mes lèvres sur sa bouche. Elle réponds à mon baiser.. Je donne des accoups sur la chaîne durant se baiser et je bois ses cris durant ce baiser. A cet instant je sent monter un afflux de liqueur dans mon sexe.. elle s’écoule doucement au bout du gland .. en un long fil.. transparent, je le recueille du bout des doigts en prenant garde de pas trop toucher mon sexe sinon je vais jouir. Cette liqueur est épaisse transparente.. J’approche mes doigts avec ces fils gras de la bouche de Viviane, elle sors sa langue et je dépose ma liqueur sur la pointe de sa langue rose.
Elle me lance alors un regard doux et suppliant..

« Alors esclave.. tu en veux encore? » dis je en montrant le martinet..

Ses yeux s’écarquillent comme envahie par la peur.. puis elle hoche la tête acceptant l’augure d’une nouvelle punition.

Je me place au dessus d’elle, mes pieds de chaque côté de sa tête. Instinctivement elle s’accroche à mes chevilles. Je promène les lanières du martinet de son pubis à ses seins. Puis d’un rapide balayage de gauche a droite je frappe ses seins. Elle hurle, car les pinces lui meurtrit les tétons. Je sent ses mains qui se crispent sur mes chevilles.. Alors je lève le fouet et plaque un premier coup sur sa chatte offerte.. Nouveau cri, plutôt hurlement.. Elle serre les cuisses instinctivement.. Ses hanches balancent de droit à gauche. Tout son corps est agité de tremblements, de soubresauts.. Son regard est de plus en plus fou, hagard.. Je suis sur le point d’arrêter.. Quand elle hurle

« Cognes moi!!! Cognes moi encore!! Démolis moi!! »

Mon cerveau est en ébullition.. une partie de moi commence à être horrifié par ce que je fais alors que l’autre en demande plus.. et mon corps la suit.. Mon sexe est tendu à mort.. j’ai mal.. Je frappe encore son sexe.. les lanières froissent les lèvres, s’insinue dans le con humide. Son clito à pris des coups il rougi. Viviane à maintenant la main entre les cuisses, elle se branle, tandis que je frappe son sexe.. sa tête dodeline a gauche a droite, elle crie .. je ne comprend plus ce qu’elle dit c’est bestial inarticulé.

Soudain c’est l’explosion… elle jouit, se relâche totalement.. elle hurle a m’en vriller les tympans.. Son sexe est gonflé, rouge. Ses doigts fouillent dans la grotte de chair. Femme fontaine elle gicle aux quatre vents. De longs et puissants jets.. tandis qu’elle est secouée de spasmes, de ses yeux je ne vois que le blanc, ils sont renversés retournés.. Je frappe encore comme un fou.. Je sent monter la jouissance en moi.. je lâche le martinet.

J’ai à peine posé ma main sur ma queue.. que je jouis à mon tour.. lâchant de grande giclées de sperme sur le corps convulsé de Viviane.. Sur sa bouche, son visage, ses seins.. je me vide sur elle.. C’est violent.. je tiens à peine sur mes jambes.. Et malgré l’orgasme je ne suis pas assouvi..

Je m’agenouille entre les jambes de Viviane qui est toujours parcourue de grands frissons.. Je l’attire à moi et je plante ma queue dans sa chatte béante et ruisselante. Je la pénètre d’un coup jusqu’à la garde.. ma queue est dure et douloureuse. Je la prend bestialement, comme si je voulais lui faire mal.. et c’est ce que je veux.. je veux qu’elle crie.. Son sexe est carmin, son bouton gonflé à du prendre des coups car il est presque violacé.

Elle et moi somme dans une mare d’urine. Son sexe brûlant palpite sur ma tige.. Viviane se redresse et me regarde cramponnée à mes avant bras.. tandis que je la prend comme un fou.. Je donne de grand coups de boutoirs.. Viviane crie, se débat presque. Son sexe meurtri lui fait mal, ses yeux hagards me scrutent, elle à la bouche ouverte respire difficilement. Elle est presque assise. Sa tête dodeline de droite a gauche au rythme de mes coups de boutoir.

Elle me lâche un instant et prend la chaîne des pinces dans ses doigts.. elle la tire et l’approche de ma bouche.. je comprend sans un mot.. Elle glisse la chaîne entre mes dents.. Il me suffit de lever la tête et j’étire douloureusement ses tétons.. Je la prend et je joue avec les pointes de ses seins.. La sueur baigne son visage.. Elle grimace et crie a chaque tension de la chaîne. Ce jeu m’excite .. Je tire de plus en plus fort sur la chaîne. Ma queue palpite.. je suis sur le point de gicler à nouveau.
« Pute!! Salope!! tu me fais gicler!! » criais-je malgré la chaîne entre mes dents, alors que je lâchais mon foutre dans sa chatte..

Elle jouissait à nouveau elle aussi et me gratifia d’une série de jets brûlants.m’inondant le bas ventre, ses cuisses et le sol. Alors elle me prit par surprise elle se laissait tomber en arrière.. Je n’eus pas le temps d’ouvrir la bouche .. la chaîne se tendait.. ses tétons écrasés par les pinces se creusèrent en un long sillon rouge.. les pinces ripaient.. lui infligeant une douleur intense.. qui si elle décupla sa jouissance et la mienne.. ne l’en laissait pas moins très marquée.. C’est un cri de bête.. blessée qu’elle poussa.. se laissant tomber au sol.. frissonnante.. totalement ravagées.. méconnaissable..

J’étais anéanti par ces deux orgasmes.. Viviane aussi.. il me fallu 10 bonnes minutes pour recouvrer un semblant de conscience.. J’étais au sol.. contre elle.. Elle sanglotais.. le dos tourné..

Je réalisais ce qui venait de se passer.. tout cela avait duré plus de deux heures.. c’était comme un rêve.. comme si j’avais assisté à tout cela de l’extérieur.. non pourtant j’avais été acteur.. tortionnaire.. C’est moi qui l’avais mise dans cet état.. J’étais sous le coup.. Viviane avait la peau rougi, tout son corps portait les marques du martinet et du fouet..

Pas seulement des marques rouges mais la peau avait cédé à quelques endroits et un peu se sang c’était accumulé dans les boursouflures.. bientôt ce serais des ecchymoses. J’étais sans voix, atterré par ce qui venait de se passer.. mais je me souvenais de la puissance des orgasmes que j’avais eu.. du plaisir trouble que j’ai ressenti à la torturer disons.. le mot..

Je posais ma main sur son épaule, et la tournais vers moi doucement. Je pensais qu’elle allait se détourner bien au contraire.. elle me prit par le cou, se serra contre moi en gémissant car elle était totalement endolorie.

« Je t’aime.. je t’aime.. je suis à toi.. rien qu’à toi.. ton esclave pour toujours »

Je ne savais pas quoi dire.. J’étais interloqué, jamais je n’aurais pensé que j’allais agir comme je l’avais fait.. je m’étais pris au jeu.. j’avais sombré dans le même délire que Viviane..
Je la soulevais du sol.. je la trouvais légère comme une plume.. Sa tête avait du mal à se tenir droite, elle étaient anéantie de douleur et de jouissance. Je voyais les grimaces de douleur quand mes mains se posaient sur elle.

Je l’emmenais dans la salle de bain.. la déposais dans la baignoire et fit couler l’eau.. assez fraîche Elle me regardait avec gratitude.. Ce regard me hante.. encore et encore..

« Pardonne moi..ma chérie.. J’ai… » commençais-je

« Surtout ne t’excuse pas!! »

Elle me lança pour la première fois un regard courroucé

« Je suis ton esclave … »

Je compris.. que j’avais mis le doigt dans un engrenage qui allait me broyer. Alors qu’elle me regardait, amoureusement. Je levais la main et lui assénais une gifle. Elle baissa les yeux me regardant tête baissé ses yeux timidement remontés vers moi.. et elle me sourit.. la complicité était installée entre elle et moi.

Je pris soin d’elle, la lavant doucement, je constatais l’étendue des dégâts.. ses seins avaient été gâtés.. ses tétons étaient gonflés et allaient devenir bleus.. quelques gouttes de sang séché constellait les mamelons.. et de grande griffes rouges striait les pointes là on les pinces avaient ripé.

Je vis en passant l’éponge entre ses cuisses que sa chatte avait bien écopé.. les petites lèvres étaient gonflées, le clito avait pris un méchant coup et était balafré d’une trace rouge presque sanglante.
Je voyais ses mimiques, maintenant que l’excitation était passée ne restait que la douleur.. Je connaissait cette sensation pour l’avoir éprouvée moi même quand Patricia me faisait subir sa loi. Je comprenais Viviane, je savais que le désir pouvait nous entraîner à demander bien plus que nous ne pouvions supporter.. Moi même j’avais déjà dépassé mes limites.. on le regrette quand les plaisir a reflué.. mais on recommence, voir pire la fois suivante.

Après ce bain.. nous nous retrouvions au lit.. Viviane était apaisée.. câline comme jamais elle ne l’avait été.. Elle me dit que j’avais comblé ses attentes.. Son plaisir avait été à la mesure de ce qu’elle attendait. Elle m’expliqua que çà faisait longtemps qu’elle attendait un tel moment.. Elle pensait que j’étais celui qu’elle attendait. Avant elle savait que son amour pour moi était réel mais elle ne savait pas encore si je pourrait devenir ce qu’elle attendait, un amant certes mais aussi un maître capable de lui donner la souffrance suffisante pour qu’elle la transforme en plaisir.

« Tu dois me trouver folle? Je suis comme çà je prend du plaisir comme çà »

Je lui expliquais que je pouvais la comprendre puisque je me trouvais aussi dans son cas.. la différence c’est que le plaisir que je prenais autrement me satisfaisait aussi.. ce plaisir trouble d’être soumis et torturé c’était pour moi un jeu.. un plus pas un besoin.. On se fait parfois de fausses idées sur nos désirs.. je l’apprendrait rapidement à mes dépens..

« Tu me trouve belle? J’aime quand je suis marquée comme çà.. çà prouve ton amour pour moi » dit -elle.

« Tu est belle … Excitante.. oh oui.. d’ailleurs çà se voit.. » dis-je en regardant mon sexe ..

Je bandais encore..

Viviane ne dit rien, posa ses mains sur mes épaules se redressa, m’enjamba.. et avec lenteur vint s’asseoir sur moi.. d’une main elle prit ma queue et la guida non pas vers son sexe mais vers son anus.. Et elle se laissa glisser s’empalant sur ma queue.. Je poussait un gémissement. Elle grimaçait quand mes mains parcourait son corps.. Instinctivement je lançais mes mains à l’assaut des ses seins.. mais voyant leur état j’allais retirer mes mains quand elle les prit.. les plaqua sur ses seins.. se mordant les lèvres pour ne pas crier.. Son regard.. me vrillait l’âme.. Je compris à cet instant que Viviane serait capable de tout accepter de ma part.. Quelle était belle, meurtrie, offerte elle souffrait, m’offrait sa souffrance, elle était à moi corps et âme. Elle avait ce qu’elle désirait les plus au monde.. devenir ma chose.. mon esclave..

Je venais de découvrir que j’étais capable de faire souffrir une femme dans sa chair et volontairement. Pire encore je comprenais que j’en tirais un immense plaisir.. jusqu’à l’orgasme.. je n’avais pas encore compris que j’étais capable de briser les chaînes et les garde-fous qui conduisait à des choses plus horribles.. Je ne savais pas encore jusqu’où cette folie allait m’entraîner. et que je ferais rien pour ne pas sombrer.. Comme si je choisissais le côté noir.. C’était le début de ma descente aux enfers.. descente consentie.. J’allais par palier atteindre des abysses que peu osent explorer.. J’ai bien failli ne pas en sortir.. Aujourd’hui plus de 25 ans plus tard.. j’en garde encore le goût de cendre.. et je crois que mon esprit est à jamais marqué d’un sceau indélébile.. Je ne suis pas croyant.. mais si le diable existe.. j’ai été dans son antichambre.

Je suis coupable, coupable d’avoir accepter l’augure de toutes ces folies, coupable d’avoir cédé aux pulsions de celle que j’aimais, coupable d’avoir été trop loin. J’ai pulvériser toutes les barrières, tous les garde-fous tout ce qui nous retient normalement de faire je ne sais comment nommer cela.. le mal? Des horreurs? Des folies? En tout état de cause j’ai été bien au-delà de ce que peuvent imaginer les plus pervers d’entre vous. Je n’ai pas envie de m’excuser d’avoir cédé aux plaisir des jeux sado-maso non cela j’assume parfaitement..

Que je soit celui qui punissait ou celui qui était puni tout à toujours été parfaitement accepté. Mais durant ces jeux ils y eu à plusieurs reprises des débordements qui sont inexcusables. Si je n’ai pas été la cause ou complice d’une mort c’est sans doute par chance. Je sais ce qui me torture le plus.. c’est le plaisir que j’ai ressenti dans les moments les plus horribles, dans les actes les plus terribles que j’ai commis.. Je le raconterais par le menu et en détail si j’arrive à le faire. Je ne me pardonne pas d’avoir connu la jouissance alors que je faisais ces choses absolument horribles.. Et ce qui me fait encore plus mal c’est que je sais que les raconter ne me laisseront pas indifférent.. Je le sais mon corps, réagira je ne peut extirper ça de ma tête.. ces exactions me feront bander comme elle l’on fait quand je les ai réalisées.. je sais que ce sera pareil quand je vais les écrire.. que sur le coup de devrais me satisfaire et après je serais malade.

J’ai sur moi dans ces moments là un regard terrible, je me demande pourquoi j’existe, pourquoi je suis comme çà.. pourquoi on me laisse vivre.. je me sent dangereux. J’ai peur qu’à un moment ou un autre je puisse refaire les mêmes choses. Ce qui me soulage un peu c’est que jamais.. jamais je le jure sur ce que j’ai de plus cher.. jamais je n’ai fait quoique ce soit qui ne soit pas librement consenti.. ce qui ne me dédouane absolument pas devant la loi.. ce que j’ai fait pourrait me valoir des ennuis plus que sérieux ( peut être pas au bout de 25 ans.. et encore..) mais devant les hommes j’ai vraiment du mal à porter cette croix..

L’homme est un a****l bizarre.. Comment peut-on être à la fois doux, gentil aimant et avoir été un monstre, dur, froid, implacable.. Je ne comprend pas.. je ne me comprend pas.. Sorte de Jekyll et Hyde.. Je suis dans le lot, personne ne peut savoir.. sauf moi.

Je comprend mieux ma peur quand j’ai compris que mon dernier amour risquait de m’entraîner dans cette voie à nouveau. La petite jeune fille fragile que j’aime aurait pu me prendre par la main et me faire refaire tout ce chemin à l’envers. Elle aussi l’âme meurtrie avait transgressé bien des interdits malgré son jeune âge. J’ai eu très peur quand nos jeux ont dérivés vers ceux que j’avais connus.. J’ai paniqué je me voyais dans cette nouvelle spirale.. Mais les choses ne sont jamais deux fois pareilles..

Elle n’était pas Viviane, et je n’étais plus l’homme de cette époque.. Mais pourtant je sent au fond de moi.. la bête est toujours là. Si les circonstances sont favorables elle se réveillera je n’y pourrais rien.. Tout ce qui va venir ensuite j’ai l’impression d’en avoir été spectateur, mais pas vraiment l’acteur.. sans doute un artifice pour que je puisse continuer à m’accepter.. Ceux qui me connaissent, même les plus proches.. ne peuvent pas imaginer ma souffrance, ce n’est pas quand j’y pense.. non c’est chaque jour, chaque heure qui passe je souffre, je paye cette période de ma vie.

Avec Viviane je venais d’avoir ce jour là la première vision de ce que serait notre relation. Car il était impensable pour elle de séparer ces jeux cruels de notre vie amoureuse. Elle avait comme elle me l’expliqua, tenter durant cette semaine de s’affranchir de ces jeux, de cette façon de prendre du plaisir. Elle avait essayé sincèrement. Mais elle avait compris que si elle voulait se sentir bien dans notre relation je devais me montrer capable d’assouvir ses désirs.. Être son amant et être son maître

Viviane me raconta qu’avec moi elle se sentait tellement bien qu’elle avait espéré un miracle, nos premiers ébats lui avait procuré du plaisir, mais au fil des jours celui ci s’affadissait tant qu’elle avait compris que ce n’était pas possible. Je devais donc entrer dans son monde.. C’était plus facile qu’avec un autre sans doute car moi même j’avais goûté .. comme soumis ces plaisirs défendus.. et il faut bien admettre que je m’étais adapté assez rapidement.. même si, et elle le disait elle même, nos premiers ébats SM était pour elle un cran en dessous de ce qu’elle avait déjà pratiqué.

Quand elle m’avait dit çà.. j’avais un peu accusé le coup.. pour moi j’avais largement dépassé ses espérances et désirs.. je m’attendais même à quelques reproches.. mais j’appris que j’avais été.. « gentil ».. çà donnait une idée de ce que j’aurais du faire pour être méchant.. Mais Viviane avait surtout compris que j’étais curieux, et que j’avais pris un plaisir peu commun à me servir d’elle. Elle était persuadée que je pouvais apprendre, évoluer et devenir un expert de ces jeux. Elle avait parfaitement raison, ce qu’elle n’avait pas prévu c’est que tout çà allait nous détruire à petit feu.. du moins elle avait au fond d’elle un désir de destruction qui ne se fit jour que plus tard mais de façon si évidente et explicite… Je n’ai pas pu, pas su la raisonner et j’ai commis l’erreur de l’accompagner dans cette voie..

Amoureux je ne pouvais pas l’abandonner, je ne pouvais que tenter d’accéder à ses désirs.. mais quand les désirs prennent cette tournure sombre.. il est difficile d’accompagner même.. alors les satisfaire.. Et au bout d’un temps on est imprégné, ce qui est anormal devient la norme. Jour devient Nuit. Bien devient Mal.

Je n’ai compris que quand on c’est quitté du mal que nous nous étions fait.. J’ai erré plusieurs mois à la limite des deux mondes.. n’arrivant pas à retourner à la normale.. replongeant dans les milieux les plus glauques.. n’ayant plus d’amour pour me soutenir c’est peut être le moment ou j’ai été le plus proche du fond.. Plus aucune estime pour moi, plus rien de me retenait.. j’ai accepté toutes les folies.. je me suis punis, prenant tout le malheur possible sur mes épaules.. Durant ces mois.. j’ai certainement frisé la destruction s’il n’en reste bien heureusement pas trop de marques dans ma chair.. c’est dans mon esprit que les blessures sont les plus ouvertes.. et douloureuses.

Même aujourd’hui je ne me considère plus comme un être humain normal.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire