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Une folle nuit d’étudiante

Une folle nuit d’étudiante



Cette histoire remonte à l’année ou je suis entrée en fac.
J’avais trouvé un appart dans une ville étudiante, petit studio de 16 carré, il se trouvait au ré-de chaussé d’un petit immeuble donnant sur court fermée par une porte cochère, je l’avais peu aménagé, j’avais juste mis un clic-clac, une télé, un petit meuble pour mettre mes habits, le resté était meublé.
Je me trouvais dans un quartier un peu pommé, mais c’était le seul trouvé pour un prix raisonnable.
Dans ce quartier ce trouvais beaucoup de sdf, je n’étais pas effrayée du tout et même parfois, quand je me faisais trop à manger j’en donné à un sdf qui squattait l’entré de mon immeuble. Il était toujours très reconnaissant de cette petite attention mais je trouvais ça normal même si pour moi c’était peu. Il s’appelait Michel.

Les semaines passèrent, et l’hiver arriva. Les températures baissaient et j’avais beaucoup de peine pour cet homme qui dormait dehors. Un peu par pitié je l’invitais souvent à manger avec moi, j’en parlais à personne car je savais que cela serai mal perçu par les gens qui sont souvent égoïste et qu’on m’aurait dit que j’étais folle de faire ça.

Un soir ou je rentrais je le voyais dans l’entrée frigorifié, en effet il faisait vraiment très froid, je lui proposais donc de venir manger avec moi ce soir, et encore une fois il était ravis. Il entra chez moi et même si ça faisait un certain nombre de fois qu’il était venu, il était toujours très timide et gêné.
Ce soir-là je lui demandais s’il voulait prendre une douche que ça le réchaufferai un peu, je le sentais gêné mais j’insistais je lui donnais une serviette et lui montrait la petite salle de bain, j’avais récupéré chez mes parents des vieux vêtements à mon beau père qu’il aller jeter, je lui donnais donc ils étaient un peu grand mais au moins ça serait très chaud et propre, il alla donc prendre une douche, ma salle de bain n’avait pas de porte c’était un rideaux. Il prit sa douche et ressortis propre et bien habillé, il n’arrêtait pas de me remercier pour ce que je faisais pour lui. À mon tour, j’allais prendre ma douche, je n’arrêtais pas de regarder le rideau au cas où, secrètement j’espérais qu’il soit un peu cochon et évidement comme tous les hommes c’était le cas, je voyais le rideaux bouger de temps et temps je fini par sortit de la douche et j’enfilais un bas de jogging un peu large et un t-shirt ample pour ce pas être trop à l’aise en sa présence.
Nos douches prise on mangea tout en discutant, il était peut-être sans abris mais il avait une conversation très intéressante, il était cultivé et vraiment sympathique. Une fois qu’on eut fini de manger, il allait partir, il me dit au revoir et ouvra la porte, je sentis le froid envahir mon studio, je ne pouvais pas le laisser dormir dehors ce soir-là, je lui proposais de dormir ici mais que s’il était d’accord il dormirait sur le tapis, je n’étais pas fière de lui proposer ca mais il me remercia encore une fois et qu’un tapis pour lui serait mieux qu’un carton dehors.
On débarrassa la table et il m’aida à faire la vaisselle. Après ça je sortis une couverture pour lui et pris la mienne sous le clic clac que je ne dépliais pas pour ce soir.
Nous nous couchions donc, le lendemain matin le réveille sonna, il était l’heure pour moi de me lever pour aller en cours, il se leva aussi je lui proposais un café et après ça il partit en me remerciant encore 1000 fois.
La journée passa très vite, la température resta négative toute la journée, bizarrement je pensais à cet homme et ce qu’il devait endurer. Le soir quand j’arrivais chez moi, il n’était pas dans la cours, je m’inquiétais un peu pour lui.
Je pris donc ma douche, ce coup si je pouvais me mettre à l’aise, j’enfilais donc un mini short et un petit débardeur. Après ma douche, je me fie à manger, avec mes moyens étudiant c’était encore pates jambon, mais ça me convenait, fini manger je m’installais tranquillement, déplia mon clic-clac et m’allongea pour me mettre devant la télé. Pendant que je regardais mon film, j’entendis la porte cochère s’ouvrir, je savais que ce n’étais pas mes voisins je les avais déjà entendu entrer.
Je regardais donc par la fenêtre, et je vis Michel qui c’était callait contre le mur recouvert d’un gros blouson en moumoute, j’ouvris donc la porte et l’invita une nouvelle fois à venir au chaud, Je vis dans ses yeux une reconnaissance énorme, après mille merci, je lui dis que ce n’était pas grand-chose.
Il entra, j’avais oublié ma tenue, et je vis ses yeux aller de bas en haut et de haut en bas, il rougit un peu en me disant que j’étais très belle, je souris légèrement et lui dit merci.
Je lui proposais d’aller prendre une douche, il y alla ce coup-ci sans hésiter, j’entendais l’eau de la douche couler, et je ne sais pas pourquoi, je regardais vite fait en poussant légèrement le rideau sauf que je fus griller directement, il m’avait vu, j’étais très gênée, mais j’avais découvert un bel homme, plutôt bien équipé.
Il sortait de la douche il avait remis ses habits plus au moins propre, je lui dis qu’il pouvait se mettre à l’aise s’il avait envie, il resta comme ça, peut-être un peu par gêne, il mangea les pattes qui me restait, pendant qu’il mangeait, je m’étais remise sous ma couette, une fois qu’il eut il débarrassa son assiette, et la lava. Je le trouvais très respectueux. Il resta sur la chaise pour finir le film que j’avais mis. Une fois le film fini je lui redonnais la couverture de la veille, il se coucha au bord du canapé et j’éteignais la lumière.

Une fois tout éteint et dans un noir total, j’entendais le bruit qu’il faisait, en fait après lui avoir demandé, il se m’était à l’aise pour dormir, il retirait son pantalon et son t-shirt. On ne dormit pas de suite, on discutait un peu, je l’entendais tourner, retourner, je savais que le sol n’était surement pas confortable alors je lui proposais de venir dans le clic-clac, il me demanda si j’étais sur de moi, je lui dis que oui, il arriva vite sur le matelas, on discuta encore, et au fil de la conversation il me demanda si je n’avais pas peur qu’il dorme avec moi, je lui demandais pourquoi cette question, il me répondit que j’étais une très jolie fille qui ne laissait pas les hommes insensible, je poussais le vis en lui demandant si lui rester insensible ou pas, il me répondit sans gêne, en posant sa main sur ma cuisse, « tu ne me laisse pas insensible du tout », j’aurais dû m’offusquer mais au contraire de ca je me rapprochais de lui et le remercia en lui faisant un smack, ce baisé déclencha une réaction et il arriva sur moi en une seconde et il m’embrassa direct, son corps posé sur le mien, je sentais son sexe durcir contre moi, je n’avais pas compris qu’il avait tout retiré tout à l’heure je sentais sa queue contre ma cuisse, il commença me retiré mon mini short, il le glissa le long de mes jambes pour me le retirer, il remonta sur moi et me retira mon haut, j’étais totalement à poils sous un sdf en chaleur, il commença à me doigter, tout en m’embrassant ce qu’il faisait à merveille, il me fallut pas longtemps pour être trempée, il amena son sexe contre le mien, je le stoppais, il me demanda si je n’avais pas envie, je lui dis que si j’en avais vraiment très envie, mais pas sans protection, je me levais donc, alluma la lumière, alla dans le tiroir pour prendre les capotes, il me suivit de près, j’ouvris le sachet de la capote lui glissa sur la queue grosse et raide tout en le fixant droit dans les yeux, pendant ce temps il avait empoigné ma chatte pour me doigter assez sauvagement, j’avais du mal à lui enfiler le préservatif, quand j’eu fini de lui enfiler je lui dit « c’est bon je suis à toi », il me retourna directement, sur la table me pencha, et glissa sa queue en moi, en me disant « je vais te défoncer petite salope » , je ne lui dis rien, je le laissais faire, il agrippa mes petits seins fermement et commença un pilonnage sur ma chatte, de grand vas et viens puissant cognant à chaque coup fermement sur mes fesses, je ne pouvais retenir mes cris, j’hurlais de plaisir, plus je gueulais plus il cognait, ma chatte était en feu, je sentais sa queue énorme me dilaté avec difficulté mais l’humidité abondante que je produisais aidé bien, mes seins était compressés un maximum, de temps en temps il serrait les mains encore plus fort me griffant au passage, il me baisa comme ça un court moment avant de me retourner de nouveau, m’asseyant sur la table face à lui, j’avais les seins rouge et l’intérieur des cuisses dans le même état, j’avais également les yeux rouges un peu au bord des larmes tellement cette baise était intense, il me demanda quand même si il y allait trop fort, je lui dis évidement que non et qu’il pouvait y aller sans soucis.
Il écarta alors à nouveau mes cuisses, repositionna sa queue à l’entrée de ma chatte et d’un coup sec et puissant s’enfonça en moi, j’hurlais un grand coup, nos yeux étaient fixés l’un dans l’autre, il recommanda une fois, puis une autre puis accéléra et me défonça sans ménagement jusqu’à m’en faire pleurer de douleur mélangé au plaisir, il profitait de cette position pour me manger les tétons de temps en temps en le mordillant, il me fit jouir à plusieurs reprise avant de lui-même lâcher la sauce dans un râle puissant en m’agrippant collant son corps au mien. On s’embrassa longuement avant qu’il se retire moi pour retirer sa capote pleine de foutre, sa queue se ramollie, devant ma chatte totalement rouge et gonflée.

Après cette baise puissante et fatigante, j’éteignis la lumière et nous allions nous recoucher, sans me coller spécialement à lui j’en resté assez proche comme attiré par son charisme. Il devait sentir que j’étais sous son emprise ce soir-là, lui se colla à moi et passa son bras autour de moi, mon petit corps serré au sien, au début juste pour un petit câlin mais je sentais son sexe gonflé contre mon dos, je ne disais et faisais rien, mais lui commencer à balader ses mains le long de mon corps, pendant que son sexe avait retrouver sa forme raide, sa main souleva légèrement ma cuisse et je sentis son gland pousser sur ma chatte sans me pénétrer, il me demanda à l’oreille s’il devait remettre un capuchon mais j’étais tellement prise par l’excitation que c’est moi qui poussa mon corps lentement contre le sien pour que sa queue s’introduise en moi, je le sentais glisser contre mes lèvres humide qui lui collait bien a son membre, il me traita de petite salope ce qui avait le don de m’exciter dans ce genre de situation, alors je lui répondu que oui j’étais sa petite salope ce soir, il n’en fallu pas beaucoup plus pour le mettre dans tous ses états il commença a me pilonner à grand coup de reins, me faisant pousser des cris non retenus et puissant j’étais proche de l’orgasme, je le sentais bien monter, je n’arrêtais pas d’exprimer mon ressentis en lui lançant des « j’aime comme tu me baise », « vas-y continue baise moi fort », ses doigts accompagnaient sa queue dans ma chatte, c’est à ce moment que je lui demandais de se stopper un instant, alors il se retira de moi, je descendis du canapé, alluma la petite lampe proche de nous, j’avais envie qu’il me regarde pour la suite, je lui demandais de se mettre sur le dos et de me laisser faire, il s’exécuta, alors je remontais sur le canapé, je me positionnais au-dessus de lui passant mes pieds de chaque côté de son corps, j’étais debout face à lui son sexe dressé comme une tour, je me masturbais quelques instant tout le fixant, il me regardait avec des yeux tellement gourmand que je ne restais pas longtemps comme ça, je posais mes mains sur son torse velu, posant ma bouche sur la sienne pour qu’on s’embrasse langoureusement, nos langues se mélangeaient goulûment, je commençais à baisser le bas de mon corps, approchant mon sexe trempé et gonflé sur son gland énorme et bien rouge, tout en continuant notre embrassade je m’enfonçais sur lui jusqu’à l’avoir totalement en moi, une fois son sexe introduit en moi je me reculais posant mes bras à l’arrière de mon corps lui offrant une vue direct sur ma foufoune, je commençais mes vas et viens sur toute la longueur de sa queue qui parfois échappée de mon entre, j’accélérai mes mouvements me baisant sur lui avec une vigueur telle qu’il était proche de l’éjaculation, il me le dit pour que je me retire mais non j’accélérai encore plus le mouvement, et dans un grognement puissant il lâcha toute sa semence dans ma chatte, je n’arrêtais pas pour autant mes mouvements ce qui laissait coulais le long de sa verge le sperme mélangé à ma mouille, après plusieurs aller-retour je m’échappais de lui, me retournant posant ma chatte sur sa bouche et prenant son sexe dans la mienne, je lui nettoyais jusque la dernière goutte ce qui pouvait coller sur toute la longueur, il fit de même avec ma chatte coulante de cyprine et de sperme à un détail prêt, il garda tout en bouche et m’embrassa juste après on se roula une galoche souillé par son sperme et ma mouille.
Après ce moment intense, nous nous couchions serré l’un à l’autre jusqu’à nous endormir.
Et ce n’est que quelques heures plus tard quand le réveil sonna et que je me réveillais le sexe encore humide et me rendis compte que ce que je venais de vivre n’étais simplement qu’un rêve érotique très puissant et réalise.

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