Je fus soudain prise de panique. Comment faire pour récupérer mon téléphone? Etait il vraiment dans l’appartement où je venais de passer ce merveilleux après midi? Ou l’avais je perdu ailleurs?
Et si j’appelais mon portable depuis le fixe de la maison? Peut être que quelqu’un me répondrai? Après tout j’ai enregistré le numéro à « domicile » sur mon répertoire. Peut être que si je l’ai laissé chez lui, il décrochera?
Toujours seulement vêtue de ma serviette, je me saisis du téléphone dans le salon, et je composai le numéro de mon portable. Une, deux, trois sonneries … une voix d’homme …. SA voix !!!
« allo » …
« Euh … bonjour … bonsoir … je … c’est moi … je… je crois bien que j’ai oublié mon portable chez toi »…
« J’en suis même sûr » me répondit – il avec un ton amusé …
« Je suis soulagée de savoir qu’il est chez toi et non pas perdu je ne sais où » …
Moi aussi j’en suis heureux … car cela va nous donner l’occasion de nous revoir très vite … Dis moi, ne l’aurais tu pas volontairement oublié chez moi?
… Non, non, pas du tout, je viens seulement de me rendre compte que je ne l’avais pas » …
« Je te taquine … je me doutais que tu ne tarderais pas à appeler, et comme tu es partie avant que vous ayons pu échanger nos 06 …..
« Oui c’est vrai, je suis partie assez vite, mais comprend moi je ne savais plus où j’avais la tête ….. et tu en es le seule responsable » …
« Tu m’en vois flatté. Remarque, tu n’es pas la seule à avoir cherché à te joindre … tu as un nombre incalculable d’appels manqués de « AMOURCEDRIC » c’est mignon comme tout !!! c’est ton mari? … Il doit se demander ce qu’il se passe le pôvre »….
« Oui, je m’en doute … je ne sais pas ce que je vais pouvoir trouver comme excuse » …. Est ce que tu vas te rendre à la gare demain? On pourrais s’y retrouver et ainsi tu pourrais me le ramener?
« Je pourrais en effet te rejoindre à la gare, mais j’ai une bien meilleure idée » …
« ….. Laquelle ? » …
Tu pourrais plutôt me rejoindre à la brasserie où nous avons déjeuner ce midi, et ensuite nous retournerions chez moi continuer ce que nous avons commencé … Il n’y a aucune chance que la panne électrique qui a touchée la gare soit réparée d’ici plusieurs jours …. rejoins moi dès demain matin, nous aurons ainsi toute la journée pour nous » …
« Je voudrais bien, mais je ne suis pas sûre de pouvoir … Je vais faire mon maximum » …
« Ok, je t’attend demain à partir de 9h … Je prendrais ton portable avec moi au cas ou tu aurais besoin de me contacter …. Je t’embrasse tendrement, il me tarde d’être à demain » …
« Moi aussi, je t’embrasse … A demain »
J’étais à la fois soulagée et inquiète. Il me fallait seulement trouver une excuse pour mon mari et une autre pour mon travail demain. Pour mon mari j’ai laissé mon téléphone dans le métro et une personne honnête (surement la seule de toute la région) l’a trouvé et me le ramène demain à la gare !!! Vu que je n’ai pas le smartphone dernier cri, cela pourra paraitre plausible, et d’ailleurs je me servirais de cet argument pour me moquer une fois de plus de lui, qui est accro au tout dernier modèle, mais qui ne le retrouve jamais lorsqu’il l’égare ou se le fait voler !!! Quand à mon travail, je me ferais faire un arrêt de travail par mon amie, gynéco et confidente, et le tour sera joué.
Le lendemain matin, mon mari partit tôt. Il avait plusieurs rendez vous et m’avait prévenu qu’il ne rentrerait pas de bonne heure le soir. Quelle chance pour moi !!! J’eus presque du mal à cacher ma satisfaction lorsqu’il m’a annoncé cela hier soir. Le destin me donnait la possibilité de vivre mon fantasme sans crainte de devoir écourter ma « journée » avec mon étalon.
Je me préparais comme la veille, joliment maquillée, de jolis dessous sexy, un petit chemisier sans manche et au décolleté audacieux et une petite jupe m’arrivant à mi-cuisse. Le soutien gorge que j’avais choisi remontait bien ma poitrine, et la naissance de mes seins était clairement visible. J’étais sûre de l’effet que je produirais sur les hommes que je croiserais aujourd’hui.
Je descendais jusqu’à la station de métro, et quelques minutes seulement après, je me retrouvais dans la rue, me dirigeant vers la brasserie d’hier. Il était à peine plus de 9h, lorsque je franchissais la porte, et immédiatement le serveur d’hier, m’adressant un magnifique sourire complice, m’indiqua la même table qu’hier midi, et m’annonça qu’il m’apportait mon petit déjeuner de suite. Je retrouvais mon amant attablé. Il se leva pour m’embrasser et en profita pour me prendre dans ses bras et me serrer contre lui. « Vous êtes chaque jour plus ravissante que la veille » me dit-il. Il me prit les deux mains et se recula d’un ou deux pas comme pour m’admirer !!! Son regard pétillait de désir. Celui de me savoir bientôt dans son lit. Le serveur nous apporta nos cafés. Notre petit déjeuner fût avalé rapidement, et nous nous retrouvâmes très vite chez lui.
Sitôt la porte refermée, il m’attrapa dans ses bras et me plaqua au mur de son entrée en m’embrassant fougueusement. Ses mains courraient sur mon corps frénétiquement, pétrissant mes seins, mes fesses, caressant mes cuisses pour remonter aussitôt vers mes seins qui visiblement rendaient fou mon hôte. Il m’embrassait toujours avec autant d’ardeur, passant de ma bouche à mon cou pour plonger dans mon décolleté. N’y tenant plus, il m’ouvrit sans ménagement mon chemisier, découvrant mon magnifique soutien gorge qu’il détailla quelques secondes avec un « hummm » admiratif, avant de libérer un premier sein sur lequel il se jeta à pleine bouche pour sucer le téton déjà durci tout en le pétrissant fermement.
Après quelques instant de ce traitement, il me prit par les épaules me retourna face contre le mur en me plaquant de nouveau contre celui ci. Il fit glisser mon chemisier et dégrafa mon soutien gorge qu’il m’arracha pour tout laisser tomber à même le sol. Le pétrissage de mes seins reprit de plus belle. Je sentais son sexe durcir au travers de son pantalon. Il se frottait contre mes fesses, me prouvant son excitation et son désir de me prendre comme une bête. Je me laissais faire, je n’avais d’ailleurs aucune envie de lui résister. L’idée même d’être prise comme cela, aussi fougueusement me plaisait je doit l’avouer. Je me cambrais même, prenant appui avec mes avants bras sur le mur afin de faire encore plus ressortir mes fesses et de les pousser encore plus fort contre son sexe. Cette manoeuvre l’excita encore plus. Il me prit par les hanches m’attirant ainsi mes fesses contre son énorme pénis, maintenant dur comme un roc. Je le sentis ouvrir son pantalon et sortir son arbre. Mon string ne resta pas longtemps en place et se retrouva baissé à mi cuisse, et tout en me maintenant d’une main derrière la nuque plaquée contre le mur, il dirigea son engin entre mes cuisses, contre ma vulve humide, et après deux ou trois caresses de son gland sur mes lèvres, il me pénétra sans aucun ménagement m’arrachant un long cri à la fois de plaisir et de douleur. Bien que ma chatte soit trempée de désir, son sexe hors norme me donna l’impression d’être transpercée. Son pieu raclait contre les parois et son gland tapait tout au fond de mon vagin. Exquise sensation de plaisir intense et de douleur. Chacun de ses coups de boutoirs étaient ponctués par un râle de plaisir a****l. Ses mains toujours accrochées à mes hanches rythmaient avec une lenteur toute calculée, la profondeur et l’intensité du va et vient de son membre à l’intérieur de moi. Il ne chercha pas à résister longtemps et seulement après quelques minutes de ce traitement, il jouit en poussant des cris de fauve en rut et en déversant un flot de sperme en moi, avant de s’effondrer contre moi, haletant et repus, incapable de tout mouvement.
Je me dégageais de son étreinte, et me retournant vers lui, je lui adressa un brin moqueuse :
« et bien dis donc, si nous n’avions pas fait l’amour hier après midi, je croirais que tu n’as pas touché une femme depuis des années !!! »
« je te prie de m’excuser, mais je n’ai jamais été aussi excité par une femme » me dit il encore tout essoufflé, « lorsque je t’ai vu rentrer dans le café ce matin, vêtue comme tu l’étais, j’ai eu immédiatement envie de toi. Je t’aurais volontiers fait l’amour sur la table de la brasserie si nous avions été seuls ».
« Heureusement pour moi, il y avait le serveur » lui fis je avec malice.
« Ce n’est pas lui à mon avis qui aurait empêché quoi que ce soit. Vu comment il te déshabillait du regard, je pense plutôt qu’il aurait préféré se joindre à nous !!! »
« J’espère que tu n’as pas l’intention de t’arrêter là » lui dis je provocatrice, « parce que je ne vais pas me contenter d’un petit coup vite fait dans l’encadrement de la porte. Je te préviens, tu as voulu que je vienne chez toi pour me rendre mon téléphone, il va falloir assurer mon chéri … c’est toi même qui m’a dit hier soir que nous aurions la journée pour nous, et comble de chance mon mari ne va pas rentrer de bonne heure ce soir, et mes enfants sont en vacances chez leurs grand parents !!!! »
Il me sourit et comme pour me rassurer se remit à m’embrasser en me prenant dans ses bras et en m’attirant contre lui.
Il m’amena au salon, m’invita à m’asseoir sur le canapé et me demanda si je voulais boire quelque chose. Il partit dans sa cuisine me chercher un verre d’eau. J’étais amusée par ma tenue. Je ne portais que ma jupe, mon string avait rejoins le reste des mes vêtements dans l’entrée et j’avais les seins à l’air, fièrement dressés, prêts à être de nouveau honorés par ces mains de mâle viril.
Il me rapporta mon verre d’eau et s’assit tout contre moi. J’affichai maintenant mon sourire le plus malicieux.
« est ce que tu comptes rester tout habillé alors que je suis quasiment en tenue d’Eve devant toi? »
Sans attendre une réponse de sa part, je me mis à lui déboutonner sa chemisette et à lui retirer, puis je m’attaquais à son pantalon que j’ouvrais. M’agenouillant devant lui, je faisais glisser pantalon et caleçon pour le débarrasser de ces accessoires devenus superflus, les jetant à mon tour par terre, au milieu de la pièce. Toujours agenouillée devant lui, je lui adressais un regard de chienne lubrique et saisissais son sexe dans ma main. Il poussa un soupir de plaisir s’enfonça dans le canapé dans une attitude de total abandon. Je caressais maintenant ce sexe à deux mains sans négliger sa paire de testicules. Je le massais et caressais le gland provoquant chez lui un début d’érection. Je continuais ainsi en passant lascivement ma langue sur mes lèvres et en le fixant droit dans les yeux. Il poussait des gémissements de plaisir. Lorsque son sexe retrouva une taille convenable, je me mis à le lécher. Juste le gland et seulement du bout de la langue.
« Ah tu as voulu me défoncer tout à l’heure, je vais te faire souffrir à ma façon maintenant. Je vais jouer avec ta queue, mais … à mon rythme!!! »
J’ai ainsi continué à le lécher sur toute la longueur de son arbre qui avait retrouvé toute sa virilité avant de me mettre à le sucer en commençant par le gland. Mais très vite j’ai eu moi même envie de prendre en bouche cet engin tellement énorme, de sentir cette virilité hors norme pénétrer ma bouche jusqu’à ma gorge. Tout doucement j’arrivais à l’avaler presque entièrement. Il voulut « m’aider » en me prenant la tête, mais je lui retirais les mains illico.
« pas touche, c’est moi qui décide toute seule. Toi tu subis sans rien dire ».
Il s’exécuta reposant ses mains sur les coussins et accepta sans mot dire la fellation que je lui imposais. Je continuais ainsi de longues minutes, arrêtant de le sucer lorsque je sentais qu’il était abord de l’explosion, le caressant seulement pour faire durer encore plus longtemps son supplice, puis le reprenant de nouveau dans ma bouche lorsque je le sentais « calmé ».
Et je recommençais ainsi ma fellation que je poussais le plus possible jusqu’à la gorge profonde, autant que je pouvais le supporter tout au moins. Cet exercice était habituellement plus facile avec mon mari qui était d’une taille tellement commune. Il m’apparaissait soudain que le pénis de mon mari, dont il était pourtant très fier, était d’une taille ridiculement petite, alors que celui ci, non content de m’exploser le vagin, me provoquait des hauts le coeur avant même d’avoir pu l’avaler tout entier.
Sentant l’orgasme de nouveau tout proche chez mon amant, je stoppais une nouvelle fois ma fellation pour le prendre entre mes seins et lui offrir une bonne branlette espagnole. J’approchais ma poitrine de son sexe que je coinçais entre mes seins et mes mains, imprimant des mouvements de haut en bas. Mon amant semblait apprécier ce traitement.
« Veux tu jouir maintenant? »
« Oh oui bien sûr, je n’en peux plus »
« Comment veux tu jouir? Entre mes seins ou dans ma bouche? »
« Peu importe…. comme tu préfères …. choisis … »
Je recommençais à la sucer jusqu’à le faire exploser dans ma bouche. Il tira plusieurs jets de sperme en se tordant de plaisir sur le canapé tout en gémissant et répétant sans cesse combien il était bon de jouir ainsi.
J’avalais sa semence en gardant mes yeux dans les siens, passant ma langue sur mes lèvres toujours aussi sensuellement afin de lui montrer que je n’en perdais pas une goutte.
Je me redressais devant lui, puis me dirigeais vers sa chaine pour mettre de la musique. J’étais debout lui tournant le dos en train de choisir quel cd mettre, lorsqu’il me rejoint m’enserrant dans ses bras et se collant contre moi., m’embrassant dans le cou et la nuque, en prenant de nouveau mes seins dans ses mains viriles pour les pétrirait jouer avec mes tétons toujours gonflés et durs. Il fit tomber ma jupe devenue aussi inutile que gênante, et caressait mon sexe entièrement épilé. Je me laissais faire, appréciant ce câlin sensuel. Il me laissa mettre la musique et m’entraina dans sa chambre cette fois ci, mais sans précipitation cette fois, avec une douceur apaisante.
Il m’amena jusqu’à son lit et m’installa confortablement, sur le ventre en disposant des coussins sous mon ventre. Il attrapa dans sa table de nuit un flacon d’huile de massage qui sentait délicieusement bon et il commença à m’enduire le dos et à me masser très délicatement. Je dois bien avouer qu’il était expert en la matière. Ses mains à la fois douces et viriles se promenaient sur mes épaules, mon dos, mes fesses, mes cuisses, mes jambes. Pas un centimètre carré de ma peau n’était oublié. J’étais merveilleusement bien. Je me laissais aller, je glissais vers un abandon total. Il me demanda ensuite de me retourner afin de continuer son massage sur l’autre face de mon corps. Je le fis volontiers, et le massage reprit, très sensuel sur ma poitrine, mon ventre puis insistant sur mes seins, jouant avec mes tétons avant de repartir vers mon ventre et de remonter sur mes épaules. Il s’était installé pour cela à ma tête, l’enserrant entre ses cuisses, m’offrant le contact de son torse puissant chaque fois qu’il se penchait pour atteindre mon ventre. Je devinais son sexe qui durcissait de nouveau. Il plongea bientôt sur moi, prolongeant son massage au delà de mon ventre pour atteindre mes cuisses qu’il écarta doucement. Il approcha son visage de mon pubis, le couvrant de baisers, remontant vers mon nombril et recommençant sa descente vers mon sexe lisse comme un abricot. Il se mit à l’embrasser puis à le lécher. Il me dégustait, prenant tout son temps cette fois pour m’amener à mon tour à l’orgasme. Je prenais à mon tour son sexe en bouche. Il était de nouveau fièrement dressé, gonflé et raide. Il m’emplit la bouche et cette fois, ma tête rejetée en arrière me permit de le gober entièrement. Lui continuait à lécher ma vulve qui était de nouveau gonflée de désir et terriblement sensible. Comme la veille sa langue experte me fit jouir intensément. Je fus secouée de plusieurs spasmes. Je jouissais tout en conservant son membre viril dans ma bouche qui étouffait mes cris de plaisir. Mon orgasme avait atteint une telle intensité que je me tordais sur le lit. Il continua sans tenir compte de mes râles et de mes cris, laissant sa queue toujours plus dure et gonflée au fond de ma gorge.
Je ne tenais plus. J’avais envie de lui, qu’il me prenne. Je me dégageais de son étreinte, pour me mettre à quatre pattes sur le lit. J’avais envie qu’il me prenne par derrière comme la veille. Il me laissa me mettre en position et il s’approcha de moi, se glissa entre mes jambes, saisit son gros pieu, et l’enfonça d’un coup dans ma chatte. Je sentis ma vulve ainsi que les parois de mon vagin se distendre autour de ce pénis qui me labourais. Je crus qu’il allait m’exploser tant je ressentais les coups de boutoir qu’il m’infligeait au plus profond de moi. Je m’accrochais aux draps, j’étouffais mes cris en enfonçant le visage entre les oreillers et en mordant le tissus. Je l’entendais pousser des râles de plaisir telle une bête en rut tout en me pilonnant sans ménagement. Je ressentis très vite monter en moi un nouvel orgasme, encore plus intense que les précédents. Toujours pas rassasiée, je me redressais et lui demandais de s’allonger car j’avais maintenant envie de le chevaucher. Il s’exécuta, s’allongea sur le lit et je vins m’empaler sur son sexe toujours aussi monstrueux. Je m’enfonçais jusqu’à la garde, me penchant en avant, appuyant mes mains sur la tête de lit, lui approchant mes seins au plus près de son visage afin qu’il puisse les sucer et les pétrir. Mon bassin ondulait, mon clitoris frottait contre son pubis, son sexe au plus profond de moi enserré dans mon vagin me procurait un plaisir toujours aussi intense. Un nouvel orgasme m’arracha des cris dont je n’étais pas coutumière. Je m’effondrais sur lui, secoués par les spasmes du plaisir mais incapable de bouger. Il me fit rouler sur le dos à côté de lui et me pénétra de nouveau. Cette fois c’était lui qui me dominait, qui m’entourait de ses bras. Son pilonnage reprit de plus belle. Je ne pouvais plus réagir tant j’étais épuisée par mes orgasmes successifs. Je ne sais pas combien de temps ont duré ses va et viens en moi, mais je sentais venir son orgasme. D’un bond sans que je puisse réagir, il sortit et s’approcha de ma tête. Tenant son sexe dans sa main droite, il me saisit par les cheveux de sa main libre et rugissant tel un fauve, lâcha sa charge sur mon visage en plusieurs jets. J’en prenais sur et dans la bouche, sur le nez, dans les yeux. Son sperme coulait dans mes cheveux et dans mon cou. Lorsqu’il eut fini il m’enfonça son pénis encore dur dans la bouche pour le nettoyer des dernières gouttes.
Il resta ainsi un instant, souriant de satisfaction à me regarder, le visage couvert de son jus, m’empêchant de m’essuyer.
« tu es magnifique» lâcha-t-il …. « j’adore te voir maquillée ainsi »
« je te plait … tu es content de toi … si cela te procure tant de plaisir de me recouvrir de sperme, pourquoi ne m’as tu pas demandé tout à l’heure lorsque nous étions sur le canapé, j’en aurais eu encore plus sur le visage et les seins!!! » lui lançais je provocatrice, passant ma langue sur ma bouche pour récupérer un peu de sa semence restée au coin de mes lèvres.
Je me levais et me dirigeais vers sa salle de bain pour me laver, l’abandonnant sur le lit……
(à suivre)
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