Assis sur un canapé, sirotant un dernier verre à deux, ils recommencent à se toucher.
-« Aller, une dernière pipe et on y va!!! » lança-t-il à sa princesse.
Elle, à quatre pattes, lui assis, le pantalon sur les chevilles.
Une bonne fellation qui dure en longueur, autant d’images en tête, puis il se lève, la plaque au mur, et lui écrase les amygdales à grand coup de gland.
Soudain, un incroyable torrent de foutre vient lui taper le fond de la gorges. Après de longues secondes pour elle, il se retire. Lui totalement vidé, elle essoufflée, dégoulinante d’épais fil blanc, elle tousse le sperme restant.
Un léger malaise s’installe, tout le monde à les yeux rivé sur ce couple. Il est fier de sa prestation.
Épuisé de cette soirée, mais fier.
Un petit sourire sur le visage des spectateurs, mais le genre de sourire plus pervers, limite mesquin.
Comme s’ils savaient déjà ce qui allait se passer par la suite. Il commence à réagir voyant un mec fessant un clin d’œil, évidement il sait bien que ça ne lui est pas destiné. Sa femme l’air coquine sourit et rougit légèrement.
Tournant légèrement la tête il revoit ces 3 types.
Dès leur arrivées, il les avait remarqué. 3 noirs très bien, trop bien bâtis l’air arrogant qui parlaient entre eux dans une langue étrange.
Et si tout le monde se tut des qu’ils aient enfin quitté leur table, c’est que les habitué du lieu connaissaient leur manège.
Eux aussi sont des habitués, ils attendent la fin des nuits, pour finir les femmes seules qui ont trop bu, n’offrant aucune résistance.
Mais aussi les petites salopes bien usées et bien dilatées.
Sa femme avait aussi compris leur manège.
Voyant l’occasion de rendre son époux fou de jalousie comme jamais, elle le suppliât du regard.
Étrangement il accepte.
Un premier s’approche du mari, il lui fait comprendre que c’est ok.
L’homme commença rapidement à dilater sa princesse.
Comprenant qu’elle en aurait besoin, au moment ou le premier sorti sa queue encore molle qu’elle peiné déjà à lécher.
Au bout de 5 minutes elle dit d’une voix tremblante, l’air docile : -« J’ai peur pour ma chatte, je veux que sucer. »
-« Chuuuut, répond-t-il d’un ton calme. Je vais bien m’occuper de toi et tout va bien se passer. »
Se sentant rassurée, elle tandis sa chatte brûlante au premier.
Voyant l’explosion de mouille au moment ou le gland se pose sur la belle chatte de sa douce, à 4 pattes, son homme se place sous elle en 69.
Il pouvait ainsi lécher son clito pour facilité la perforation et avoir son visage recouvert de mouille.
Le tout pendant qu’elle hurlait la bouche déchirée et branlait son mari.
Elle hurlait, un bruit entre pleures et cris, seul sa mouille, qui coulait sans interruption certifier qu’elle adorait ce traitement.
L’énorme gland entrait et sortait la fessant déjà jouir.
Sa chatte rougit gonfla tellement qu’elle en expulsa le peu de queue qui parvenait encore à la pénétrer et un monumentale jet de mouille.
Quelques secondes s’écoulèrent, sa chatte béante, l’étalon derrière elle en profita pour entrer sa queue de toute sa longueur en lui arrachant un cris strident devant les yeux choqués du mari.
Profitant de cette vue encore quelques minutes, il décida de voir l’action dans son ensemble.
Le spectacle devant lui était… Marquant, incroyable, irréel.
Elle s’assit sur ce pieu, face à lui, et branle les 2 autres blacks avec vigueur, en ne quittant jamais du regard son époux.
Alternant ensuite les glands sur lequel elle pose sa langue, un peu à droite, un peu à gauche, ses seins sont luisant de bave, son regard toujours figer dans les yeux abasourdis de son cher et tendre malgré les coups de bite qui lui fit froncer ses sourcils avec force.
Puis elle se remit à quatre pattes, l’excitation à son paroxysme, le mari arrête de se branler, prêt à finir, il ne reconnait plus sa princesse tellement elle est déchaînée.
Elle crie :
-« J’adore me faire défoncer devant toi, sentir un gland s’écraser dans le fond de ma chatte pendant que tu me regardes ! »
Puis enfin elle se met au creux de ses bras, le temps de se faire baiser énergiquement , câliné par son mari pendant que les autres se dépêchent de la baiser pour la remplir de sperme.
Transformé en vrai sac à foutre, à présent seuls, elle jouit debout au dessus de son époux, le sperme enfoui au fond de son vagin, il s’en sert de lubrifiant (bien que facultatif) pendant qu’il l’a prends à son tour en levrette, se déversant à son tour dans sa chatte brûlante.
Une fois finit, elle lui demanda qu’il se met face à ses trous pour contempler l’énorme quantité de foutre blanc et épais s’écoulant de sa belle chatte.
FIN
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