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Ladytv baisée dans une salle de gym

Ladytv baisée dans une salle de gym



Farid est un amant de ma Maîtresse Sonia, il ne m’a jamais baisée, je ne l’ai jamais sucé non plus, je le dégoûte et la seule chose qu’il fait lorsqu’il vient baiser Sonia en ma présence est de m’humilier verbalement et m’obliger à nettoyer maîtresse de son foutre. Il ne perd jamais une occasion de me rabaisser et me traiter comme une merde. Un jour pourtant Sonia lui dit qu’il fallait que je sois montée, que je prenne de temps en temps de bonnes queues dans le cul, que c’est dans ma nature et que c’est bon pour moi. Elle lui dit qu’elle avait besoin de lui, qu’elle avait du mal à m’en trouver ou du moins qu’elle commençait à se lasser de devoir participer à chaque plan, tous ayant plus envie de s’occuper d’elle plutôt que de moi. Farid eut alors l’idée de se servir de moi comme d’une pute et demanda à Sonia si elle l’autoriserait à me faire « travailler » pour lui s’il me trouvait des males. Quand Maîtresse après lui avoir fait promettre de respecter certaines limites lui a donné sa bénédiction, mon sang s’est glacé. Elle venait de m’offrir à un beur de quartier qui allait m’utiliser à son profit. J’étais morte de peur, dans quelle situation vais-je encore me retrouver ? Je me console en me disant qu’il est possible que rien ne se passe non plus…
Hélas le couperet tombe un vendredi quand Sonia m’annonce tout sourire que Farid passerait me récupérer à la nuit tombée pour le deal en question, ajoutant avec insistance de bien me préparer et me faire la plus belle possible pour mon maître/mac de circonstance. Pendant ma transformation, les allusions et les sous entendus de Sonia en disaient long sur ce qui m’attendait. Quand sa voiture se gare dans l’allée, maîtresse part l’accueillir et le fait rentrer un moment. Voyant que j’étais prête, Il me tend les clés et me dit avec sa gentillesse habituelle :
– toi la pute vas m’attendre dans la voiture j’arrive !
Une vingtaine de minutes plus tard, il me rejoint et à voir la mine réjouie et le baiser de maitresse sur le pallier il venait certainement de tirer un bon coup rapide. Elle me dit en partant que j’avais intérêt à être bien docile sinon qu’il m’en cuirait, que Farid serait mon maître pour la soirée, qu’il avait eu un rappel des consignes et que je ne risquais rien avec lui tant que je lui obéirais.
Pendant le trajet j’ai du mettre un vrai collier de chien en cuir noir avec sa chaine et je devais rester allongée sur la banquette arrière. Le trajet me paraît alors interminable, je me demande dans quoi je suis embarquée. Quand la voiture stoppe enfin j’aperçois une barre d’immeuble sombre avec quelques fenêtres éclairées par ci par là. Je suis arrivée, originaire d’un quartier de la banlieue toulousaine, Farid travaille dans le bâtiment et s’occupe bénévolement d’une salle de sport dans sa cité.

– ferme ta gueule et reste cachée, je reviens !

Il descend et j’entends discuter en arabe dehors pendant quelques minutes qui me paraissent interminables. La portière s’ouvre enfin et on me tire sur la laisse pour me faire descendre sans ménagement. On rentre vite dans la salle car ils tiennent tous à rester discrets, les grands rideaux en alu de la devanture sont baissés pour l’occasion et une fois dedans Farid actionne la fermeture de celui de la porte d’entrée.

– bon voilà, enfin tranquilles dit-il…

Je suis prisonnière et angoissée, j’ai peur mais je me rappelle des mots de maîtresse et je ne peux vraiment pas reculer. Dans la salle ils sont 7 à me dévisager de la tête aux pieds, quelques mots crus fusent en français et en arabe. Je ne comprends pas tout mais les quelques sifflets qui résonnent me prouvent que je dois leur faire de l’effet. Farid explique à tous les règles à respecter. Certains viennent d’un foyer de travailleurs, ceux sont eux qui ne parlent même pas français, d’autres sont des amis et voisins de Farid. Il leur confirme vite au cas où certains ne l’auraient pas remarqué que je une travestie soumise qui se laisse baiser sans problème et qui est là pour leur servir de vide couilles que certains doivent avoir bien pleines depuis le temps qu’ils n’ont pas baisé. En disant ses mots il me soulève ma mini jupe transparente qui ne cachait déjà pas grand-chose pour leur montrer la bosse que faisait mon string. Il y en a un qui s’excuse, il ne se sent pas capable et demande à Farid de partir; Pas grave me dis-je dans ma tête, au contraire j’en aurais un de moins à satisfaire. Mon maître d’un soir après avoir refermé la porte derrière eux revient vers moi, m’ouvre la bouche avec ses doigts et dit à ceux qui sont restés :

– « ça » c’est un bon réceptacle à foutre, faut pas hésiter à le remplir si vous voulez vous finir comme ça ! Elle n’avalera pas c’est tout…

Il sait que Sonia ne me fait jamais avaler mais elle m’habitue à recueillir le sperme des amants en bouche car une soumise dit-elle se doit de connaître le goût du foutre. Une gifle et Farid me rappelle devant tous que je suis sa soumise et que je dois lui obéir

– oui Maître lui dis-je.

Farid poursuit la présentation, il me penche en avant, écarte la ficelle de mon string et leur montre mon anus tout lisse en m’écartant le cul :

– vous avez là une grosse pute, elle a un cul aussi bon et aussi chaud qu’une chatte blanche et en plus elle est bien préparée, elle a l’habitude de prendre des queues alors n’ayez pas peur de lui éclater le cul avec vos bites ! N’est-ce pas salope dis leur ?
– oui maître, je suis une salope et je suis là pour satisfaire vos amis jusqu’au dernier avec mon cul et ma bouche.
– bien ! la seule chose que je demande c’est de vous protéger la queue ! alors si vous êtes toujours ok passez à la caisse et elle est à vous.

Comme convenu avec Maîtresse, Farid avait monnayé mes futurs services, je me demande bien combien il m’a louée ? Mais la seule chose que j’entends c’est que chacun disposerait de moi pendant 20 minutes. Si le compte est bon j’ai deux heures à tenir, j’espère y arriver…

Farid fait sortir tout le monde et me laisse seule avec le premier. C’est le plus âgé, 55 ans ou plus, il se déshabille, se couche sur le tapis de gym les jambes écartées et m’ordonne de venir le sucer. Son sexe est moyen mais avec un gros gland que je suce comme un bonbon ; il doit aimer car il je l’entend gémir. Je comprends vite que mon cul ne l’intéresse pas quand il me fait mettre à genoux et lui debout il se met à se branler énergiquement la queue sur ma langue en disant qu’il allait me donner son foutre. De temps en temps il la renfonce dans le fond ma gorge puis la ressort pour se branler à nouveau et ainsi de suite pendant une dizaine de minutes. Je comprends qu’il va partir quand il se met à trembler sur ses jambes et qu’il me tient fermement la tête enfoncée sur sa queue.
La vache ! Je reçois un bon paquet de foutre dans la gueule, j’en ai des hauts le cœur et je manque de m’étouffer avec. Il me laisse aller cracher tout ça dans le lavabo pendant qu’il se rhabille. Quand je reviens il est déjà parti et le deuxième est là, guère moins âgé, il me dit qu’il n’aime pas les « PD » mais comme je suis très féminine il a envie d’essayer pour voir. Il me fait pencher en avant, me claque sèchement le cul, écarte la ficelle de mon string me fait sucer un doigt puis me l’enfonce dans le cul sans ménagement. Puis j’ai droit à deux doigts qu’il ressort régulièrement pour me les faire sucer, malgré ça il me fait mal ce con mais il s’en fout royalement. Il me claque le cul en même temps, il n’est pas tendre avec moi il me tarde que ça finisse ; d’ailleurs il ne veut même pas jouir, il s’amuse à me martyriser l’anus et les fesses, il se branle un peu je le suce aussi mais il arrête vite et ressort de la pièce. Quand le 3ème entre, encore un beur, il me montre une belle queue en me narguant, il me la met de suite en bouche. Je croyais qu’elle n’allait jamais finir de gonfler, il apprécie, me dit que je le suce mieux qu’une femelle et qu’il va maintenant voir si mon cul est aussi agréable. Aïe je me dis ça y est mon cul va être à l’honneur, elle est grosse, vite je me remets du gel et m’installe à 4 pates le cul bien en l’air, la poitrine sur le tapis et les bras en arrière comme il me l’ordonne. Il se met une capote, il reste debout derrière moi les jambes fléchies et commence à forcer mon œillet qui palpite. Heureusement le plug anal que j’avais gardé tout l’après midi et le gel atténuent la douleur. Il n’est pas brutal tant mieux mais sa queue s’enfonce et me remplie le cul, j’ai l’impression de me faire fister tellement il est gros en moi. Après avoir enfilé la totalité de son engin il s’arrête quelques secondes pour me laisser souffler puis il commence ses va et vient en me tenant fermement par les hanches. A chaque coup de reins ses couilles touchent les miennes, il m’empale carrément le cul, ça me brûle mais je suis bien, je me sens femme et j’adore ça. Lui aussi visiblement, il se met à jouir en râlant et quand il se retire de mon cul sa petite claque sur mes fesses en dit long sur le plaisir que je viens de lui donner. Le troisième est bien foutu, baraqué et musclé, ce doit être un habitué de la salle de gym et je me dis que la tournure des évènements commence à me plaire; il parle français mais avec un accent, peut être un roumain. J’allais vite déchanter quand après l’avoir regardé il me dit en me giflant : baisse les yeux salope, tu vas voir comment je traite les putes dans ton genre ! S’asseyant sur une chaise il me dit :

– viens là salope je vais te fesser, te montrer qui est le patron !

Je m’allonge sur ses jambes, son bras gauche est enroulé sous mes bras et ma poitrine pour bien me maintenir, il me retrousse avec la droite et commence à m’administrer la fessée. Dès la première claque je comprends que je vais dérouiller. En plus je suis complètement immobilisée, les jambes coincées sous un banc de musculation, il tape fort, chaque coup me fait sursauter et mes fesses sont vite en feu, j’essaie de me débattre, je donne des coups de jambes sous le banc pour essayer de me dégager mais peine perdue, il est plus fort, je suis en larmes et je le supplie d’arrêter, je ferais tout ce qu’il voudra.

– Tout me répond-il ?
– Oui TOUT monsieur je vous le jure mais ne me frappez plus s’il vous plaît !
– Ok on va voir, tu as intérêt de tenir ta promesse sinon !

Il se met à poils et s’installe à quatre pattes sur le tapis

– Maintenant viens me bouffer le cul salope ? Fourre moi ta langue et caresse moi la queue aussi !

J’y plonge sans plus attendre ma tête et je crois que je ne me suis jamais autant appliquée à sucer un anus. Je le lèche le plus amoureusement possible redoutant une autre raclée. De temps en temps, je lui retourne la queue pour la sucer aussi.

– Enfonce bien ta langue sale pute et branle moi bien aussi !
– Humm oui oui hummm monsieur comme ça ?
– Oui putain c’est bon ça

Je m’éfforce le plus possible de le pénétrer avec la langue, le goût de son anus est amer mais je préfère cela à sa brutalité, je m’applique à faire rentrer et sortir ma langue de son trou du cul comme il aime en lui caressant les couilles et la queue par dessous. C’est d’ailleurs comme ça qu’il éjacule sur le tapis au bout qe quelques minutes. Sans doute un peu honteux d’avoir joui comme ça avec ma langue dans son cul il a voulu reprendre le dessus en m’ordonnant de lécher son sperme sur le tapis. En se rhabillant et tout en me regardant laper son jus il me dit qu’il va voir comment faire avec Farid ou ma maîtresse pour me faire faire le tapin dans son quartier aussi. Il sort et j’en vois deux qui entrent, ils ont demandé à Farid s’ils pouvaient me prendre à deux et rallonger ainsi le temps de baise à 40 mn ; bien sur non seulement ce dernier avait accepté mais il avait même décidé de les faire passer en dernier pour finir en apothéose. Il y avait là encore un beur et le seul noir de la bande, un ami de chantier de Farid qui était entré aussi avec son appareil photo car il comptait apporter quelques clichés à SONIA. En voyant mon état, le cul rougi et meurtri, mon maquillage qui a coulé il s’exclame :

– Et bien ma salope ils t’ont pas ratée ! allez va te remaquiller pour l’assaut final refait toi belle pour les deux derniers et pour les photos
– Oui maître

Je revient dix minutes après, fraîchement pomponée, mes deux baiseurs sont nus et allongés sur les tapis, leur grosse queue molassonne dans les mains. Je m’installe à quatre pates entre les deux et j’en pompe une et branle l’autre à tour de rôle pendant que Farid commence son mitraillage photographique. Le noir a un gland énorme, à lui seul il me rempli la bouche, l’autre a le bout plus pointu mais une hampe très large en son milieu, sa queue est bizarre, elle est presque ovale. Pendant que je suce l’autre, le noir en profite pour mettre ses mains partout, il me soulève ma mini jupe et en voyant mes fesses encore toutes rouges par la fessée précédente il me dit :

– t’as un beau cul de salope, il a été bien travaillé ce soir, tu as déjà connu la bite black ?
– oui monsieur, ma Maîtresse m’a déjà offerte à deux black, vous êtes le troisième…

Effectivement c’était mon troisième noir et sa queue est toute aussi impressionnante que les deux autres, au moins 22/23 cm, avec un gland énorme et piqué de trous, avec de grosses bourses velues. Il a raconté à Farid que les travestis l’excitaient mais qu’il n’a jamais réussi à en baiser un à cause de la taille de son engin. Bien sur, Farid a vu là une belle occasion, il savait que je pouvais la prendre même si j’en souffrirais certainement mais ce n’était pas son problème. C’est aussi pour cela qu’il passait en dernier, les autres avaient fait la place et quoiqu’il en soit Maîtresse voulait que je rentre avec le cul bien défoncé. Mais pour le moment, je suis allongée sur le côté en train de le sucer et c’est le beur qui me soulève une jambe et présente sa queue contre ma rondelle. Il force à peine et elle rentre de suite, il me félicite avec son accent

– pitain salope on voit ki t’as l’habitude toi, ti as pris toute la zob à Momo d’un coup !
– humm glup glup mmoui monsieur baisez moi !

Alors que j’essaie de ne pas m’étouffer avec la bite noire qui grossit encore dans ma bouche, je m’applique malgré la position inconfortable car on me ramone toujours l’arrière train. Au bout de quelques minutes, ils décident de passer à autre chose, Momo a envie de jouir et veut ma bouche, mon black bien sur veut essayer mon cul. Le beur s’allonge les jambes bien écartées, je me place en levrette entre ses jambes pour le sucer. Derrière le black met une capote, me crache sur l’anus encore entrouvert et s’amuse à le titiller et le forcer un peu avec son gland. Je me dis ma vieille attend toi à prendre chaud, celle là tu vas la sentir passer, je m’applique à bien pousser sur mes sphincters comme Maîtresse me l’a appris afin de faciliter la pénétration et avoir moins mal. Aouch ! Ca y est son gland vient de passer en entier ! Je ne peux m’empêcher de laisser échapper un cri étouffé sur la queue de Momo qui se moque de moi en voyant mes yeux grands ouverts par l’enculade :

– Hihi ti l’as dans le cul la bite africaine, allez suce, suce Momo il va ti donner sa bonne crème d’arabe lui
– T’avais raison Farid elle a tout pris, cette chienne blanche a l’habitude des grosses queues noires

Farid n’en perd pas une miette il me photographie sous tous les angles, il faut dire que le tableau vaut le coup d’oeil : un cul tout blanc éclaté par un gros boudin tout noir et une autre queue d’arabe dans la bouche en même temps. Combien aimeraient être à ma place me dis-je…
Aussi malgré la douleur j’essaie de profiter un maximum de ce moment, je suis en train de réaliser un fantasme, je suis en transes, hyper excitée et je leur dis :

– Ouiii hummm c’est bon d’avoir deux queues, je suis hummmm votre pute blanche, baisez moi, hummm c’est bon de se faire enculer, balancez moi votre foutre dans la gueule et dans le cul, je suis là pour ça, j’adore les queues, toutes les queues, bien grosses et bien juteuses !!
– Aaarrrhhh pitain ji vais jouiiiir, tiens prends le tout le sperme à Momo dans ta gueule aarrrhh

Je ne sais pas si c’est ma pipe ou mes mots crus mais Momo a craqué, beurk ! c’est écœurant tout ce foutre dans ma bouche, il m’a mis la dose ce salaud, Farid me fait ouvrir la gueule pour prendre la photo, y en a tant que ça dégouline de mes lèvres, je laisse tout couler sur le tapis de gym, d’autant plus que je suis toujours secouée par la queue black qui me défonce carrément le cul. Lui aussi a envie de jouir et il accélère sérieusement la cadence, il me donne de sacrés coups de butoirs, ça me fait mal quand il va bien à fond mais ça il s’en fout, il me tient bien fermement par les hanches et ne cherche que son plaisir. Je ne suis ni petite ni frêle mais secouée comme un prunier j’ai l’impression d’être un petit jouet entre ses mains. Heureusement pour mon petit cul ça ne dure pas je sens enfin ses contractions et ses tremblements ; par des coups secs et profonds, je l’entends gueuler sa jouissance. A la fin, épuisé, il s’écrase de tout son poids sur moi. Pendant qu’il récupère affalé sur mon dos, sa queue encore en moi, il me dit que c’était bon et qu’il y avait longtemps qu’il n’avait pas joui comme ça. Petit à petit je sens son boudin au fond de moi se ramollir, je pousse un peu pour faire sortir son gros gland et floc ! elle glisse d’un coup hors de mon trou. Je suis fatiguée, j’ai très mal au cul mais je suis heureuse, j’ai réussi à leur donner du plaisir. Farid aussi est satisfait de ma prestation, il n’y croyait pas et ça me rend encore plus fière, je pense à Sonia…

Il est presque 2h du matin quand Farid me raccompagne. Arrivés à la maison j’ouvre, Farid monte à la chambre de Maîtresse et lui fait un signe de la tête pour lui dire que tout s’est bien passé. Sonia à moitié endormie me félicite et m’envoie me reposer dans la chambre d’amis. Farid qui n’a rien eu de la soirée se couche avec elle pour avoir son dû en nature et moi je suis tellement crevée que je n’ai rien entendu des gémissements de Maîtresse et son amant.

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