Je marchai les yeux bandés quelques mètres. Lorsqu’il me retira le bandeau je vis que nous étions dans une chambre à coucher.
Le pan de mur droit était occupé par une grande baie vitrée donnant elle aussi sur le jardin. Dans le coin gauche, se trouvait un lit en fer forgé noir avec une table de nuit, dans le même style.
Un miroir recouvrait l’intégralité du mur en face du lit et l’intégralité du plafond, donnant à la pièce un sentiment d’espace infinie. Un beau parquet sombre bien ciré ornait le sol. La chambre sentait une odeur de vanille sucrée. Mon estomac gargouilla.
Des étagères blanches à portes coulissantes étaient fixées sur le mur disponible, blanc lui aussi.
Un crochet pendait du plafond, et juste en dessous un autre sortait du sol. Devant la fenêtre, se trouvait un magnifique fauteuil Louis XV.
« Je veux que tu me suces, les fesses tournées vers le miroir » disent Ivan en me détachant.
Puis il s’assit dans le fauteuil qu’il tourna vers le miroir.
Je m’agenouillai devant ses genoux, le regarda dans les yeux et regarda la bosse dans son pantalon. Je défis les cordons qui resserraient le pantalon et dégagea son membre. Sa queue était imberbe, bien formée, très longue, et très épaisse. J’eus peur, comment ce truc pouvait-il me baptiser ?
Je commençai par le lécher sur toute sa longueur. Il n’avait pas de goût. Puis je pris l’extrémité du gland contre ma langue, et je l’enveloppai complément dans ma bouche. Je descendis cette chair au fond de ma gorge. J’eus un haut-le-coeur et ma bouche s’emplit de salive que je déposai sur la virilité de cet homme. Je la pris en main et entamai des va-et-vient. Il regardait le miroir en face et je devinai qu’il s’imaginait dans mon cul.
Je me résolus de lui rendre le plaisir qu’il m’avait donné. Aussi je pris tout mon temps, le dégustant avec délectation. La taille de son sexe m’étouffait, je ne pouvais le prendre en bouche complètement.
Au bout d’un long moment, un raclement rauque retendit dans la pièce. Il était dur comme la pierre, son gland était gonflé et rouge, prêt à exploser.
Doucement, Ivan me repoussa.
« Arrête-je vais jouir » dis il d’une voix grave et sensuelle. « J’ai envie de jouir dans ton beau cul, mais tu n’es pas prête. Me fais-tu un peu confiance ? J’ai envie de t’attacher »
Au mot « attacher » tous mes sens furent en éveil. Un frisson se répandit dans mon ventre.
Il rit de mon trouble.
Je me sentis gênée et honteuse. Il me pinça légèrement le téton.Ivan se leva, me tendit la main. Je l’attrapai et me levai. Il me passa le bandeau sur les yeux.
« À partir de maintenant c’est que du bonheur pour toi » me dit-il en me passant le bandeau sur les yeux.
Je ne sus comment il m’avait attaché, mais lorsqu’il me retira mon bandeau, j’étais dans une position étonnante.
Mes mains, mes poignets et mes bras étaient attachés à l’arrière de mon dos au moyen de cordes qui passaient autour de mes seins. Mes jambes étaient debout et tendues, mais mon buste était penché en avant de façon à cambrer mon dos. Un lien partait du crochet au sol et, fixé entre mes seins, maintenait mes épaules vers le bas.
Une autre corde soulevait ma taille et le haut de mes cuisses pour venir se fixer sur le crochet au plafond, laissant juste la pointe de mes pieds posés sur le sol. En face de moi le miroir renvoyait l’image d’une fille, les bras derrière le dos, le buste attaché au sol et les fesses relevées vers le plafond. Derrière moi Ivan me fixait. La petite table à coté de lui contenait une série de godes de toutes les couleurs et en toutes les matières.
« Tous ces objets sont pour toi » rigola-t-il en m’enduisant de lubrifiant.
Il me regarda dans le miroir et prit un objet. Je ne vis qu’un reflex argenté. Quelque chose se présenta contre mon anneau de chair. Je sursautai et gémis. J’étais exposée, immobilisée et offerte avec un objet dans le rectum. Je sentis une diminution de diamètre, puis une augmentation. Ivan m’insérait un objet de métal composé de boule d’un diamètre d’un oeuf de caille.
Je comptai quatre boules. À chaque passage, Ivan rajoutait un mouvement circulaire et ressortait l’objet. Je fermai les yeux. Je me trémoussais, excitée par mon reflet et le son de mes gémissements. J’étais là, à la merci d’un homme que je ne connaissais pas. Le cul écarté, attachée.
Je fermai les yeux, et laissai tomber ma tête. Il ressortit l’objet, je soupirai. Je m’imaginais les fesses ouvertes et le trou béant. Il appliqua de nouveau un gel froid. Je haletai et je sentis un diamètre plus important encore.
« C’est gros » dis-je écartelée par une boule en plastique de la taille d’un oeuf de poule.
Il ne me détacha pas, ni ne répondit, mais l’objet passa la barrière de mon cul. La boule me dilata, et je gémis. Il entra une deuxième bille. Et j’essayai de me débattre. Il entra une troisième boule et planta le gode profondément. Je criai à plein poumon d’inconfort.
Il ne le savait pas, mais j’avais toujours aimé lorsque mon partenaire me forçait. Ivan venait ainsi de réaliser le plus gros de mes fantasmes.
Il se mit à genoux puis s’appliqua à me lécher, il joua longuement à ressortir cet objet, m’enduire de salive puis à le replanter, déclenchant chez moi une série de gémissements et de cris.
Il semblait émoustillé par mes réactions. Mon amant retira son pantalon, frotta sa verge contre ma vulve.
« Tu es mouillée, veux-tu que je te possède ? » me chuchota-t-il à l’oreille
Je ne répondis pas, mais nous savions tous les deux que je le désirais ardemment.. Doucement, il s’introduit dans le creux de mon vagin. Sa queue m’écartait au maximum, allait au plus profond de mon ventre. Les bruits mouillés étaient bruyants, signes révélateurs de mon plaisir.
Mes cris résonnaient dans la pièce en concert avec le claquement de ses cuisses contre mes fesses. Être prise dans cette position, contrainte par ces cordes, avec les deux présences à l’intérieur de moi me rendait folle.
Je hurlai mon plaisir, proche du paroxysme, lorsqu’il sortit. Mon gémissement de déception retentit dans la pièce. Le rire d’Ivan était grave et doux à mes oreilles, je compris qu’il ne voulait pas que je jouisse de cette façon. Il se réservait pour d’autres moments plus intéressants.
« As-tu faim ? Moi oui » dit-il
Comme réponse mon estomac gargouilla. Il détacha les cordes rapidement et il me rattrapa avant que je ne tombe au sol. Il me tourna vers le miroir pour me montrer mon cul. Planté au milieu, un diamant rouge brillait.
« Regarde comme c’est beau ! Peux-tu le garder pendant le repas ? » me demanda-t-il
J’acceptai de la tête. Il ouvrit une étagère et sortit un vêtement blanc. La robe était en dentelle blanche, cintrée à la taille, elle s’ouvrait et laissait la poitrine nue. La longueur était juste suffisante pour découvrir le bas des fesses. Il me donna des bas blancs en dentelle ornés d’un gros noeud en ruban attaché devant la cuisse.
Mon amant sortit des clips à seins avec une perle en goutte, qu’il se chargea de me mettre. Puis il me passa, au cou, un collier en rangs multiples de perles munis d’un crochet ainsi que des bracelets similaires aux poignets.
Nous prîmes le déjeuner dans la salle à manger. À deux reprises, il m’allongea le visage contre la table. Ivan s’amusait à sortir le plug, le léchait puis me passait la langue longuement entre les fesses en poussant des gémissements de plaisir. Et enfin il remettait du gel et me remettait le gode.
L’objet n’avait plus aucune difficulté à passer mon anneau de chair. J’avais l’anus échauffé, le gode se rappelait à moi à chacun de mes pas.
Ivan le savait, et il me demanda gentiment de débarrasser la table. À chaque pas, l’objet me forçait, par sa profondeur, à espacer mes jambes et à me tenir droite.
La cuisine était équipée un bar avec des chaises hautes rouges. La table débarrassée, Ivan me demanda de m’assoir à l’envers sur l’une d’entre elles, de façon à ce que mes fesses soient dans le vide.
Avec des cordes il m’attacha, les chevilles aux pieds de la chaise, les poignets au dossier de celle-ci. Il sortit le plug, me banda les yeux, et me lécha le cul. Je râlai de plaisir face à la libération et à cette langue. Je sentis mon anus devenir très lubrifié par ces doigts. M’avait-il remis du lubrifiant ?
« Tu es prête maintenant, je te laisse le choix maintenant soit part, soit reste et assume jusqu’au bout » me dit-il
« S’il te plaît, baise-moi, je te veux depuis trop de temps maintenant » répondis-je
Je sentis quelque chose de plus gros que tout se pressa à l’entrée de mon cul. Je compris aussi tôt que j’allais avoir mal. Centimètre par centimètre Ivan s’imposa à moi. Mon anus s’élargissait à l’extrême. Je gémis de douleur.
« Attends, je ne vais pas pouvoir, tu es trop gros» dis-je
Je n’eus pas de réponse et il entra au complet. Chaque va et vient m’arrachait un hurlement, mon rectum déjà sensible me torturait. Sans pitié il approfondit ses coups de reins, me maintenant par les cheveux.
J’étais condamnée à subir cette v******e jusqu’à la jouissance de mon amant. Je me sentais soumise à cet homme qui me violait sans pitié. Il imprimait en moi sa trace.
Ivan prit son temps. Je ne comptai plus les coups de reins. Je faillis tomber dans les pommes mais fus réveillée par un coup plus brutal encore qui m’arracha un sanglot.Je pleurai, suppliai, mais Ivan fut sans pitié. Il ralentissait même pour profiter plus longtemps de mes suppliques.
Chaque coup était profond. Mon bourreau utilisait la longueur entière de son membre, ressortant à chaque fois, pour rentrer avec v******e.
Au bout d’un moment mes sanglots se transformaient en gémissements lascifs. Une chaleur m’emplissait la tête, mon rectum dilaté me faisait mal, mais me procurait un plaisir inconnu. Il posa main sur ma vulve. Un frisson me remonta au cerveau, m’arracha un halètement de plaisir. Puis une déferlante me contracta et je compris.
Me sentant jouir, Ivan redoubla de v******e puis se vida en moi dans un grognement. Il se retira de moi, me laissant ouverte et dilatée.Je sus que j’étais accro à cette pratique, à cette humiliation. Je savais que j’allais en redemander.Il me détacha. Me conduisit sans un mot jusqu’à la salle de bain.
Je me rhabillai, perdant une boucle d’oreille et je laissais la robe salie de sperme. Je sortis de cette maison presque nue et rentrai dans ma voiture titubante mais comblée.
Le portail vert était déjà ouvert. Je démarrai mon auto et je partis.
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