Au terme de mon divorce, je m’étais inscrit sur un site qui m’avait permis de rencontrer une femme de temps en temps. Je n’envisageais pas du tout de me remettre en couple, seulement de me changer les idées. Parmi ces femmes, il y eut Carine. Elle avait trente-sept ans et vivait seule avec sa fille qui était au lycée. J’avais alors quarante-six ans.
J’ai dialogué quatre ou cinq soirs de suite avec Carine sur Internet, avant qu’on décide de boire un verre dans un café.
En la voyant arriver, j’ai tout de suite su que j’allais bien m’amuser. Elle était telle qu’elle s’était décrite sur le site de rencontres : brune à cheveux longs, grande et mince. Une très belle femme, élégante et souriante. Elle aussi était divorcée, depuis plus longtemps que moi, et elle ne souhaitait pas se remettre en couple non plus.
Juste passer du bon temps.
C’est ainsi qu’elle m’avait décrit sa recherche.
Ça me convenait.
Nous avons pris un verre et discuté assez longuement. Carine travaillait dans une agence de voyage. Elle aimait lire et aller au ciné, voyager et sortir.
Sa fille s’appelait Jennifer. Elle allait entrer en terminale à la rentrée. Quand Carine me montra une photo d’elle sur son téléphone, la ressemblance me frappa. Jennifer avait les mêmes traits que sa mère, les mêmes yeux et les mêmes cheveux ; grande et mince elle aussi.
Nous avons pris un deuxième verre.
On s’entendait bien et il me sembla vite évident que Carine avait la même idée que moi en tête : s’envoyer en l’air le temps d’une soirée.
Je lui plaisais et j’en étais ravi.
A la fin du troisième verre, on décida de se revoir dès le lendemain soir, un vendredi.
Chez elle.
Au cours de la conversation, quelques allusions m’avaient mis en appétit. Notamment ces paroles de Carine :
« Je suis très ouverte d’esprit et j’apprécie que mes partenaires le soient aussi. »
Ouvert d’esprit, il me semblait que je l’étais, et les choses se présentaient plutôt bien avec Carine.
Elle avait des petits seins et un cul magnifique. De longues jambes et de grands yeux marrons. Une peau très claire. Je l’avais dévorée du regard au cours des deux heures qu’on avait passées dans ce café bruyant.
A mon retour chez moi, je n’avais pas pu me retenir de me masturber en l’imaginant à poil.
Le lendemain, je fus ponctuel. Carine vivait dans un appartement situé en centre-ville, au premier étage d’un immeuble ancien. J’avais emmené une bouteille de vin rouge et deux parts de pâtisseries.
J’ai sonné à l’interphone et, quelques instants plus tard, une fréquence m’a indiqué que je n’avais qu’à pousser la porte pour entrer. J’ai gravi des marches en bois et, sur le palier du premier étage, la porte de gauche s’est ouverte. Carine avait noué ses cheveux en palmier. Elle portait une chemisette couleur de cendre et un pantalon moulant noir.
Nous avons échangé deux bises, puis je l’ai précédée dans son salon.
C’était la quatrième femme que je rencontrais grâce à Internet, mais Carine était de loin la plus séduisante. Des trois précédentes, il y en avait une que je continuais de voir, une fois par semaine, et j’avais un rendez-vous le lendemain avec une nouvelle inscrite qui me plaisait bien, qui se prénommait Charlotte, âgé de trente-trois ans, apparemment mariée.
Carine m’a informé que sa fille Jennifer était au téléphone dans sa chambre avec une copine, et qu’elle avait prévu d’aller au ciné ensuite. Je distinguais effectivement de la musique en sourdine quelque part dans l’appartement, et par moment une voix jeune.
Carine m’a demandé ce que je voulais boire et j’ai opté pour un whisky. Elle a pris un kir pêche et nous nous sommes assis, moi dans un fauteuil et elle dans un canapé, de l’autre côté d’une table base en verre où se trouvaient nos verres et un plat garni de petits fours.
Puis nous nous sommes mis à discuter, à relater notre journée écoulée et celles à venir. Carine et Jennifer prévoyaient de prendre la route le lendemain pour l’île de Ré où leur famille possédait une petite maison agréable. Elle me montra une photo de la maison en question sur son téléphone et m’expliqua qu’elle y passait tous ses étés depuis qu’elle était née. Puis elle fit défiler d’autres photos, dont une où l’on voyait la mère et la fille, côte à côte, assise sur un banc. La ressemblance était presque choquante.
Je le fis remarquer à Carine qui me répondit :
« Jennifer est mon sosie quand j’avais son âge. Je vais te montrer d’autres photos, si tu veux, j’en ai des pleines pochettes. »
Puis elle se leva et quitta le salon.
Et Jennifer apparut.
Non seulement elles se ressemblaient, mais elles étaient vêtues de la même façon ce soir-là. La même chemisette grise, le même pantalon moulant noir. Les mêmes cheveux attachés en palmier.
Je me suis levé en disant :
« Bonsoir Jennifer. »
Elle a hoché la tête et répondu :
« Bonsoir. Où est ma mère ? »
« Elle cherche des photos qu’elle veut me montrer. »
« OK, a dit l’adolescente avant de se diriger vers la pièce où Carine était allée. »
Je me suis retrouvé tout seul dans ce salon pendant une longue minute, à me dire que les choses se présentaient bien. La fille allait sortir et je pourrais passer du bon temps avec la mère.
J’ai avalé deux petits fours et pris une gorgée de whisky en regardant autour de moi. Il y avait d’autres photos, ici et là, accrochées aux murs ou posées sur des meubles. Je connaissais la musique qui passait dans la chambre de l’adolescente, mais je fus incapable d’y mettre un nom…
« Ce sont des photos qui datent un peu, dit Carine en regagnant le salon, suivie de sa fille qui repartit vers sa chambre. »
Il y avait trois pochettes cartonnées, un peu cornées. Carine en ouvrit une et se mit à sélectionner des clichés en disant :
« Reprends du whisky, n’hésite pas. »
Je me suis resservi et j’ai attendu que Carine ait fini de faire son tri.
Sur la première photo qu’elle me tendit, elle m’indiqua qu’elle avait seize ans et demi. Elle portait une robe blanche d’été et elle était assise sur le même banc en bois.
Le sosie de sa fille.
Sur la deuxième, elle avait dix-sept ans. Elle était en maillot de bain deux pièces, orange, avec des lunettes de soleil, debout sur une plage. Le même sourire que Jennifer sur la photo qu’elle m’avait montrée la veille, dans le bar où on s’était rencontrés.
Sur la troisième, sur une autre plage, elle avait un bikini rouge et ses seins étaient nus. Dix-sept ans également.
Carine m’a alors dit :
« Jennifer a exactement la même poitrine. »
Je m’étais mis à bander.
Puis l’adolescente a surgi de sa chambre en disant :
« J’y vais. Je ne sais pas à quelle heure je rentrerai. »
Elle avait passé une fine veste noire sur ses épaules, chaussé des nu-pieds noirs à talons et pris un petit sac à main rouge vif. Nous l’avons saluée et elle a quitté l’appartement.
Carine s’est tournée vers moi en disant :
« Tu veux voir d’autres photos ? »
J’ai pris trois gorgées de whisky et répondu :
« Avec plaisir. »
Elle a aussitôt ouvert une autre pochette cartonnée, puis s’est mise à trier d’autres photos d’elle en me précisant que là aussi, elle avait dix-sept ans, c’est-à-dire l’âge de Jennifer.
Et sur les trois clichés qu’elle me confia, pris dans des endroits différents, elle avait de nouveau les seins à l’air.
Sur le même banc en bois, avec un bikini noir.
Assise sur le sable, les genoux repliés sous son menton, souriante.
Sur un vélo, à l’arrêt, toujours aussi souriante.
Je bandais toujours.
Je lui ai dit :
« Qui a fait ces photos ? »
« Mon beau-père de l’époque, a répondu Carine. On s’entendait très bien. Tu veux voir d’autres photos de Jennifer ? J’en ai quelques-unes sur mon téléphone qui datent de l’été dernier. »
J’ai reposé les photos sur la table, terminé mon verre et pris la bouteille pour me resservir. Ma tête commençait à tourner et je ne débandais pas.
Carine attendait ma réponse.
J’ai dit :
« Pourquoi pas… »
Carine s’est resservie un verre également et j’ai senti son regard posé sur moi, tandis que je faisais défiler les photos sur son écran tactile, sans dire un mot, sans lever les yeux.
La fille avait les mêmes seins que sa mère à son âge, en effet. Petits, pointus et fermes. Le même sourire, les mêmes longues jambes. Tantôt assise, tantôt debout, sur une plage ou sur le banc en bois qui se trouvait devant la maison familiale.
Bikinis rouge, noir, orange, vert fluo…
Puis complètement nue.
Seule ou aux côtés de sa mère qui était nue aussi.
Bras dessus, bras dessous, souriantes.
Les mêmes pubis lisses et les mêmes seins. Ceux de Carine n’avaient pas pris beaucoup de volume depuis ses dix-sept ans.
J’ai fini par relever les yeux pour demander :
« Qui a fait ces photos-là ? »
Carine souriait :
« Des hommes que j’ai rencontrés sur Internet, comme toi, et qui nous ont accompagnées sur l’île de Ré certains week-ends. Jacques, Laurent, Michel… Elles te plaisent ces photos ? »
Je suis revenu à l’écran tactile.
Sur la photo suivante, Jennifer était de nouveau seule, à poil, couchée dans l’herbe, sur le ventre. Son cul était splendide.
J’ai secoué la tête et dit :
« Oui. »
Carine a vidé son verre, puis s’est resservie. Elle a pris une gorgée et je suis passé à la photo suivante. On y voyait de nouveau Jennifer à poil, couchée sur le dos cette fois-ci, les cuisses écartées, elle souriait au photographe.
Carine a dit :
« C’est Michel qui a fait cette série. Jennifer l’aimait bien. Veux-tu que je te suce pendant que tu regardes les suivantes ? »
J’ai relevé les yeux et dit :
« Que représentent les suivantes ? »
« C’est moi qui les ai faites. On y voit Jennifer et Michel faire l’amour. Mais je comprendrais que ça te choque. »
J’ai remué la tête en revenant à l’écran, l’air de dire non, ça ne me choque pas. Ce n’était pas un choc, c’était une succession de décharges électriques dans le bas du ventre. Je bandais comme un cheval.
Voyant que je ne répondais pas, Carine m’a dit :
« Veux-tu que je me mette à poil pour te sucer ? »
Une minute plus tard, je continuais de faire défiler les photos, tandis que Carine s’était mise à me sucer la queue dans le canapé. Mes yeux allaient de ses petits seins et de ses hanches nues à l’écran tactile où l’on voyait sa fille se faire pénétrer par un homme qui avait à peu près mon âge. Aucun détail n’était voilé. On voyait tout, y compris la bite qui pénétrait en gros plan la chatte de Jennifer.
Carine suçait divinement bien et ne disait plus rien. J’avais baissé mon pantalon et mon caleçon à mes chevilles avant de me rasseoir et de reprendre le téléphone. Sa langue s’enroulait délicatement autour de mon gland, ou bien elle s’amusait à titiller sa fente où je sentais des gouttelettes de sperme qui perlaient. J’ai dû faire défiler vingt photos avant que Carine abandonne ma bite pour me dire :
« Veux-tu me pénétrer pendant que tu mates des photos de ma fille ? »
Un peu plus tard, nous avons commandé des pizzas qui nous ont été livrées très vite. Nous avons mangé tranquillement, sans se dire grand-chose. Nous avons ensuite pris d’autres verres et on a baisé, d’abord dans le canapé, puis dans le lit de Carine, en regardant d’autres photos, papier ou numériques, et en parlant à voix haute.
Nous n’avons pas vu l’heure passer.
Et Jennifer fut de retour.
Il était minuit passé.
En l’entendant rentrer, Carine s’est levée du lit et elle a passé une longue chemise blanche qu’elle a boutonnée avant d’aller vers le salon. J’ai entendu la mère et la fille discuter pendant un petit moment, sans saisir les paroles. Ma tête tournait sévèrement et j’avais mille images qui tournaient en boucle dans ma tête.
Je n’ai pas bougé du lit. J’ai attendu le retour de Carine.
Je n’avais pas éjaculé et ma bite était au repos. Elle était brûlante.
Je me souviens avoir regardé les chiffres rouges du réveil posé sur la table de nuit, à ma gauche, pendant que la mère et la fille parlaient dans la pièce voisine : 00h21.
00h24.
A 00h26, Carine est revenue dans la chambre et s’est glissée sous le drap à mes côtés.
Elle m’a enlacé en disant :
« Jennifer n’a pas passé une très bonne soirée. Vois-tu un inconvénient à ce qu’elle vienne dormir avec nous ? Elle se couchera entre et moi. Elle sera discrète. »
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